Pour ceux qui veulent manifester leur joie du décès d'un ennemi la porte-parole du gouvernement a rappelé une phrase de Jean Marie Le Pen à l'occasion de la mort de Jacques Chirac.
Jean-Marie le Pen : "mort, même l'ennemi a droit au respect"
Ceci suffit pour éteindre des polémiques totalement inutiles.
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Si on pouvait rester dans le sens original de la file, ce serait bien…
: (
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J’ai mis un pouce à l’annonce du décès de Le Pen pour dire « merci » pour l’info. Un pouce n’est pas fatalement une approbation. À mon avis ! 😊
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A propos du décès de JMLP
J’avais demandé au régulateur d’ABCBourse de supprimer si possible mon « pouce » positif sur une remarque de Fipuaa 070125 14 40 31. Comme cela ne semble pas possible je confirme que ce pouce levé est juste une erreur de manipulation en voulant regarder ceux qui approuvaient la remarque. C’est en quelque sorte mon droit de rétractation.
Je ne juge pas l’homme qu’était JMLP, je m’étonnais juste du nombre de fans (plus de 10 pouces levés c’est… rarissime) et je ne voudrais pas être pris pour un « admirateur » du Grand Homme…
J’avoue sur cette liste avoir été surpris de retrouver un intervenant bien connu qui m’avait traité de NAZI et qui pourtant par son approbation semble adhérer à certains propos pour le moins douteux de notre malheureux défunt (Chambre à gaz et détail de l’Histoire). Nous avons tous nos petites contradictions, c’est humain.
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Gilles Dreu
DÉCÈS mardi 07 janvier 2025
Star des années 60, ce célèbre chanteur français nous a quittés
C'est une bien triste nouvelle qui frappe la grande famille de la chanson française. Gilles Dreu, rendu célèbre à la fin des années 60 pour son tube "Alouette, alouette", s'est éteint ce mardi 7 janvier.
https://youtu.be/uCDN5bl2EcM
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waine70
On a eut Jacquot avec le bruit et les odeurs…//.. N'attendez rien des autres ni d'en haut... » »
(sur la musique de je ne sais pas qui) - pour égayer un peu la rubrique "décès"
T’as voulu avoir Jacquot, on a eu Jacquot,
T’as voulu avoir Sarko, on a eu Sarko,
Mais je te le dis,
J’veux pas des autres partis.
N'attendez rien des autres ni d'en haut...
N'attendez rien ni d'en bas...
Ni de droite, ni de gauche,
Ce sont tous des gogos, ....
La la la...
Ça vole très bas,
Ô, que tout ça est moche,
Ce ne sont tous que des charlots,
Gaïe, gaïe , Chauffe !
Chauffe Marcel, chauffe,.
Tous ne pensent qu’à la gamelle,
Tous se vendent pour un caramel,
Ils nous en ont fait démonstration,
Dès le tout début de l’ère macron.
Gaïe, gaïe , Chauffe !
Chauffe Marcel, chauffe,.
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Un visionnaire qui aura eu raison sur tout
Le réel aujourd'hui le prouve et même au delà de ses prévisions, la classe politique et médiatique qui se bouchait le nez à son époque peut aller se cacher de honte
R I P Jean Marie
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On a eut Jacquot avec le bruit et les odeurs.
On a eut Sarkoko et son Karcher.
Et puis rien.
Alors Jean Marie.... Blablabla avec une plus grande bouche...?...
Pour mémoire, De Gaulle n'est apparu qu'après la débâcle totale.
N'attendez rien des autres ni d'en haut...
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Mon oncle, élu sous l'étiquette "poujadiste", siégea à ses côtés à l'Assemblée Nationale. Ils devinrent amis. Souvent controversé dans ses prises de position, Jean-Marie Le Pen n'avait que dans l'idée de faire retrouver à la France sa grandeur d'antan. Il ne résidera plus à La Trinité-sur-Mer mais s'en va rejoindre La Sainte Trinité. RIP Jean-Marie.
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JMLP, un grand Homme qui a servi et éclairé la France.
Des jeux de mots que Charlie Hebdo n'aurait pas fait mieux, mais venant de lui... était bien sûr très mal perçu.
France tu me fais honte!!!! Redresse toi "salope", reconnait au minimum ceux qui se sont battus pour elle et arrête tes baisers et ta prosternation devant nos ennemis, ceux qui ont mitraillé à un feu rouge un membre de ma famille Albert C.... à Alger.
Paix et Hommage à Albert et Paix et Hommage à JMLP.
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JMLP, un homme visionnaire à qui le temps qui passe aura donné pour bonne partie raison
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Jean-Marie Le Pen, figure majeure et controversée de la Ve République, est mort
AFP
Publié le 7 janvier à 12h58,
Message complété le 08/01/2025 09:09:38 par son auteur.
L'article 16-1-1 du Code Civile est le suivant : “Le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort. Les restes des personnes décédées, y compris les cendres de celles dont le corps a donné lieu à crémation, doivent être traités avec respect, dignité et décence”. Festoyer sur une disparition, cache une haine endémique.
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Claude Allègre en 2010 :
"Il y a un changement climatique mais personne ne sait d'où ça vient."
"les scientifiques qui défendent le réchauffement climatique dû à l'activité humaine sont dévoyés, ils ambitionnent l'argent et la gloire. ils trouvent le relais de politiques fanatisés"
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« Le clown Buffo ne fera plus rire. Howard Buten, connu pour son personnage «Buffo» et auteur d’une dizaine de livres dont « Quand j’avais cinq ans, je m’ai tué », est mort vendredi à l’âge de 74 ans, a-t-on appris samedi auprès de sa compagne et traductrice, confirmant une information du Point. Né à Détroit aux Etats-Unis en 1950, l’artiste américain, qui était atteint de la maladie d’Alzheimer, s’est éteint «paisiblement dans son sommeil» à Plomodiern (Finistère), où il résidait, a déclaré à l’AFP Jacqueline Huet, qui traduisit certains de ses livres. »
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Claude Allègre. Un homme de convictions qui n’avait pas sa langue dans la poche, et qui avait des idées.
Je suis persuadé que, si on l’avait laisser faire , notre E.N. serait en bien meilleur état qu’elle ne l’est aujourd’hui.
Mais voilà ! On ne touche pas aux joujoux de la gauche.
Paix à son âme.
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Hommage, respect pour cet homme qui avait compris qu'il fallait dégraisser le mammouth.
La France est foutue, et c'est tant mieux car elle ne mérite pas des hommes de ce niveau de vision de ce qu'il aurait fallu faire quand il était encore temps.
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Scientifique internationalement reconnu, il avait été à la fois le trublion et le pilier de l’Institut de physique du globe de Paris avant de se lancer en politique dans le sillage de Lionel Jospin, puis de défendre sur la fin de sa vie des positions ouvertement climatosceptiques.
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« Claude Allègre, ancien ministre de l’éducation dans le gouvernement de Lionel Jospin, auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique, récompensés par le prix Crafoord en 1986 et la médaille d’or du CNRS en 1994, est décédé à l’âge de 87 ans, vient d’annoncer sa famille à l’AFP. L’homme qui voulait «dégraisser le mammouth» était un personnage haut en couleurs qui avait soutenu Nicolas Sarkozy en 2012. »
Les mammouths soufflent.
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« L'écrivain britannique David Lodge, un des écrivains britanniques préférés des Français, connu notamment pour sa trilogie culte (Changement de décor, Un tout petit monde et Jeu de société) dans laquelle il dépeint avec ironie le milieu universitaire, est décédé à l'âge de 89 ans, a annoncé vendredi sa maison d'édition. «Sa contribution à la culture littéraire a été immense, tant par ses critiques que par ses romans magistraux et emblématiques qui sont déjà devenus des classiques», écrit son éditrice Liz Foley dans un communiqué. «Nous sommes très fiers de ses réalisations et du plaisir que ses œuvres de fiction, en particulier, ont procuré à tant de personnes», ont ajouté ses enfants dans le communiqué de la maison d'édition Penguin Random House. »
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Obsédé par la morale en politique, il fut un piètre président avant de devenir un arbitre recherché sur la scène internationale. Les États-Unis observeront une journée de deuil national le 9 janvier.
Le « meilleur ex-président des États-Unis » selon le Time Magazine était entré en fonction le 20 janvier 1977.
Les chefs d'État des pays démocratiques se targuent d'agir – notamment dans leurs relations internationales – en ayant toujours comme guides et comme inspirateurs les droits de l'homme. En réalité, fort peu satisfont à cet engagement moral et la realpolitik, sinon le cynisme, devient rapidement leur credo.
Ce ne fut pas le cas de Jimmy Carter, mort dimanche 29 décembre à l'âge de 100 ans, dont les soucis de santé s'étaient accumulés ces dernières années. On ne s'est pas privé de multiplier les reproches sur la façon dont il a exercé la présidence des États-Unis de 1977 à 1981. On ne peut lui faire grief de ne pas avoir respecté ses engagements. Il avait annoncé, dès son investiture, que le respect des droits de l'homme serait le mantra de sa manière d'exercer les plus hautes fonctions de son pays. Il a scrupuleusement respecté cet engagement au point d'apparaître comme un idéaliste un peu béat, et non comme le leader d'un État surpuissant ni, non plus, comme le « commandant en chef » que les Américains attendent toujours pour les guider.
En revanche, son attachement passionnel à la morale en politique lui a permis, une fois chassé du pouvoir après un seul mandat par le pragmatique et volontaire Ronald Reagan, de devenir un arbitre recherché et efficace pour tous les conflits que les diplomates ne parvenaient pas à résoudre. Sa modération et son obsession du consensus – qui étaient un handicap à la Maison-Blanche – devinrent un gage de neutralité qui le faisait accepter par des interlocuteurs parfois très éloignés des valeurs américaines. Reçu au Soudan comme en Corée du Nord, à Cuba, en Haïti ou à Gaza, il a aussi, à travers sa fondation créée dès le lendemain de son départ de la Maison-Blanche, lutté inlassablement pour la cause des femmes et des minorités et contribué avec les équipes de son organisation à l'éradication de plusieurs maladies tropicales en Afrique.
« Meilleur ex-président des États-Unis »
Alors pourquoi celui à qui le magazine Time a donné en 1989 le titre de « meilleur ex-président des États-Unis » a-t-il laissé se propager cette réputation d'avoir accumulé les bides pendant son unique mandat ?
D'abord, comme souvent pour les jugements à l'emporte-pièce, celui-là est en partie injuste. En effet, il ne tient compte ni du traité sur la rétrocession de Panama en 1977, ni de l'accord SALT 2 avec les Soviétiques du temps de Leonid Brejnev qui limitait la course aux armements, ni de son action exemplaire à l'époque en faveur de l'environnement. Et surtout pas des accords de Camp David qui, en septembre 1978, mettent fin à quarante ans de guerre plus ou moins ouverte entre Israël et l'Égypte.
Le président égyptien Anwar al-Sadat et le Premier ministre israélien Menachem Begin le 17 septembre 1978 après avoir signé les accords de Camps David as US sous "l'égide" de Jimmy Carter.
Le moment clé de cette négociation, tel que Carter l'a rapporté dans l'un de ses derniers livres, est à lui seul révélateur de la sensibilité de l'ancien président et de ses qualités psychologiques de négociateur : il survient au bout de treize jours de discussions infructueuses entre Sadate l'Égyptien et Begin l'Israélien. Avant de se quitter, après avoir constaté leur échec, ce dernier demande au président américain de lui dédicacer une photo souvenir de leur négociation. Carter s'exécute mais dédicace la photo, « avec toute mon affection », aux trois petits enfants de Begin, dont il a retenu le prénom. Lorsque le Premier ministre israélien découvre et lit à haute voix la dédicace et les noms de ses petits-enfants, sa voix se trouble, il a les larmes aux yeux, et demande à se rasseoir. La négociation reprendra un peu plus tard et, cette fois, miracle, va aboutir à la poignée de main historique de Camp David entre Anouar el-Sadate et Menahem Begin, sous l'œil de Jimmy Carter le 17 septembre 1978.
Il lâche le shah d'Iran
Mais sa gestion d'autres affaires du Proche-Orient et de l'Asie Centrale, en Afghanistan et surtout en Iran, se transformera à l'inverse en cauchemar, dont aujourd'hui encore les retombées se font amèrement ressentir.
Dès sa prise de fonction, et après un voyage rapide à Téhéran, Jimmy Carter décide de ne plus soutenir le shah. Ce monarque autocrate dont le pouvoir est préservé plus par la toute-puissance de sa police politique, la Savak, que par l'adhésion de son peuple est pour le nouveau président l'exemple même des régimes dont la morale veut qu'on les abandonne. Voire que l'on favorise leur renversement. Et peu importe les conséquences géopolitiques d'un bouleversement qui met en cause l'un des principaux pays producteurs de pétrole du monde et l'un des plus fidèles et rares amis des États-Unis dans la région. L'essentiel est que la morale y trouve son compte. La révolution islamique de 1979 renverse le shah sans que l'Amérique lève le petit doigt. Certains historiens suggéreront même que la CIA l'a favorisée. Mais comme souvent en politique, la réalité va largement dépasser la prévision, et le fanatisme religieux et l'influence grandissante de l'ayatollah Khomeini rapidement inquiéter, sinon Carter lui-même, du moins les diplomates qui le conseillent.
Archives L'homme qui a failli empêcher le retour en Iran de l'ayatollah Khomeini
Le 1er février 1979, un mois après le départ du shah Rezza Pahlavi pour l'exil, l'ayatollah Khomeini embarque à Paris à bord d'un 747 spécial d'Air France qui doit le ramener à Téhéran. Il n'aurait jamais dû arriver dans la capitale iranienne. Comme me l'a confié quelques années plus tard Zbigniew Brzezinski, qui présidait alors le Conseil de sécurité américain, tout avait été mis en place sur le plan militaire pour intercepter l'appareil, au large de l'Italie, et le forcer à atterrir à la base américaine de Sigonella, en Sicile. Mais pour que les F16 accomplissent cette mission, qui n'était pas exempte de complications diplomatiques, il fallait le feu vert du président Carter. Après avoir longuement hésité, il refusa de donner son accord à une opération qui aurait peut-être changé la façon dont la révolution iranienne a évolué. Et en tout cas aurait très probablement été décisive dans les événements qui ont conduit à son échec à l'élection présidentielle de 1980.
En effet, quelques mois plus tard, après que Carter a autorisé le shah à se réfugier aux États-Unis, des militants iraniens envahissent le 4 novembre 1979 l'ambassade américaine à Téhéran et y retiennent en otage 52 diplomates. C'est le début d'une interminable période pendant laquelle l'Amérique va se sentir humiliée, incapable de récupérer ses otages, que ce soit par la voie diplomatique ou par une opération militaire d'exfiltration, comme ce fut le cas de l'échec de l'opération Eagle Claw, en avril 1980.
L'Amérique ne pardonnera pas à Jimmy Carter d'avoir ainsi perdu la face. Quelques mois plus tard, il sera sèchement battu par Ronald Reagan à l'élection présidentielle. Il n'obtient ce jour-là que 44 % des suffrages des électeurs. C'était la fin d'une présidence peu convaincante et le début d'une seconde vie bien mieux réussie. Et, celle-là, non seulement saluée par le prix Nobel de la paix, en 2002, mais tellement appréciée par les citoyens de son pays que, oublieux de leur rejet de 1980, seuls 8 % déclarent aujourd'hui avoir une mauvaise opinion des années de Jimmy Carter à la Maison-Blanche.
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