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++++Décès++++ - Page 7



jipes jipes
07/01/2025 16:32:13
6

Mon oncle, élu sous l'étiquette "poujadiste", siégea à ses côtés à l'Assemblée Nationale. Ils devinrent amis. Souvent controversé dans ses prises de position, Jean-Marie Le Pen n'avait que dans l'idée de faire retrouver à la France sa grandeur d'antan. Il ne résidera plus à La Trinité-sur-Mer mais s'en va rejoindre La Sainte Trinité. RIP Jean-Marie.

  
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JCROIPLU JCROIPLU
07/01/2025 14:54:31
9

JMLP, un grand Homme qui a servi et éclairé la France.

Des jeux de mots que Charlie Hebdo n'aurait pas fait mieux, mais venant de lui... était bien sûr très mal perçu.

France tu me fais honte!!!! Redresse toi "salope", reconnait au minimum ceux qui se sont battus pour elle et arrête tes baisers et ta prosternation devant nos ennemis, ceux qui ont mitraillé à un feu rouge un membre de ma famille Albert C.... à Alger.

Paix et Hommage à Albert et Paix et Hommage à JMLP.



  
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fipuaa fipuaa
07/01/2025 14:40:31
15

JMLP, un homme visionnaire à qui le temps qui passe aura donné pour bonne partie raison

  
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cool13 cool13
07/01/2025 13:01:11
7

Jean-Marie Le Pen, figure majeure et controversée de la Ve République, est mort
AFP
Publié le 7 janvier à 12h58,

Message complété le 08/01/2025 09:09:38 par son auteur.

L'article 16-1-1 du Code Civile est le suivant : “Le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort. Les restes des personnes décédées, y compris les cendres de celles dont le corps a donné lieu à crémation, doivent être traités avec respect, dignité et décence”. Festoyer sur une disparition, cache une haine endémique.

  
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blackleroc blackleroc
06/01/2025 13:53:36
3

Claude Allègre en 2010 :

"Il y a un changement climatique mais personne ne sait d'où ça vient."

"les scientifiques qui défendent le réchauffement climatique dû à l'activité humaine sont dévoyés, ils ambitionnent l'argent et la gloire. ils trouvent le relais de politiques fanatisés"

  
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Rollier1 Rollier1
06/01/2025 09:50:20
4

« Le clown Buffo ne fera plus rire. Howard Buten, connu pour son personnage «Buffo» et auteur d’une dizaine de livres dont « Quand j’avais cinq ans, je m’ai tué », est mort vendredi à l’âge de 74 ans, a-t-on appris samedi auprès de sa compagne et traductrice, confirmant une information du Point. Né à Détroit aux Etats-Unis en 1950, l’artiste américain, qui était atteint de la maladie d’Alzheimer, s’est éteint «paisiblement dans son sommeil» à Plomodiern (Finistère), où il résidait, a déclaré à l’AFP Jacqueline Huet, qui traduisit certains de ses livres. »

  
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moicmoi moicmoi
04/01/2025 19:37:54
9

Claude Allègre. Un homme de convictions qui n’avait pas sa langue dans la poche, et qui avait des idées.

Je suis persuadé que, si on l’avait laisser faire , notre E.N. serait en bien meilleur état qu’elle ne l’est aujourd’hui.

Mais voilà ! On ne touche pas aux joujoux de la gauche.
Paix à son âme.

  
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JCROIPLU JCROIPLU
04/01/2025 18:39:57
7

Hommage, respect pour cet homme qui avait compris qu'il fallait dégraisser le mammouth.

La France est foutue, et c'est tant mieux car elle ne mérite pas des hommes de ce niveau de vision de ce qu'il aurait fallu faire quand il était encore temps.



  
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JD1976 JD1976
04/01/2025 18:26:59
4

Scientifique internationalement reconnu, il avait été à la fois le trublion et le pilier de l’Institut de physique du globe de Paris avant de se lancer en politique dans le sillage de Lionel Jospin, puis de défendre sur la fin de sa vie des positions ouvertement climatosceptiques.

  
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Rollier1 Rollier1
04/01/2025 18:17:06
6

« Claude Allègre, ancien ministre de l’éducation dans le gouvernement de Lionel Jospin, auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique, récompensés par le prix Crafoord en 1986 et la médaille d’or du CNRS en 1994, est décédé à l’âge de 87 ans, vient d’annoncer sa famille à l’AFP. L’homme qui voulait «dégraisser le mammouth» était un personnage haut en couleurs qui avait soutenu Nicolas Sarkozy en 2012. »


Les mammouths soufflent.

  
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Rollier1 Rollier1
03/01/2025 15:26:50
3

« L'écrivain britannique David Lodge, un des écrivains britanniques préférés des Français, connu notamment pour sa trilogie culte (Changement de décor, Un tout petit monde et Jeu de société) dans laquelle il dépeint avec ironie le milieu universitaire, est décédé à l'âge de 89 ans, a annoncé vendredi sa maison d'édition. «Sa contribution à la culture littéraire a été immense, tant par ses critiques que par ses romans magistraux et emblématiques qui sont déjà devenus des classiques», écrit son éditrice Liz Foley dans un communiqué. «Nous sommes très fiers de ses réalisations et du plaisir que ses œuvres de fiction, en particulier, ont procuré à tant de personnes», ont ajouté ses enfants dans le communiqué de la maison d'édition Penguin Random House. »

  
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JD1976 JD1976
30/12/2024 09:01:50
5

Obsédé par la morale en politique, il fut un piètre président avant de devenir un arbitre recherché sur la scène internationale. Les États-Unis observeront une journée de deuil national le 9 janvier.


Le « meilleur ex-président des États-Unis » selon le Time Magazine était entré en fonction le 20 janvier 1977.

Les chefs d'État des pays démocratiques se targuent d'agir – notamment dans leurs relations internationales – en ayant toujours comme guides et comme inspirateurs les droits de l'homme. En réalité, fort peu satisfont à cet engagement moral et la realpolitik, sinon le cynisme, devient rapidement leur credo.

Ce ne fut pas le cas de Jimmy Carter, mort dimanche 29 décembre à l'âge de 100 ans, dont les soucis de santé s'étaient accumulés ces dernières années. On ne s'est pas privé de multiplier les reproches sur la façon dont il a exercé la présidence des États-Unis de 1977 à 1981. On ne peut lui faire grief de ne pas avoir respecté ses engagements. Il avait annoncé, dès son investiture, que le respect des droits de l'homme serait le mantra de sa manière d'exercer les plus hautes fonctions de son pays. Il a scrupuleusement respecté cet engagement au point d'apparaître comme un idéaliste un peu béat, et non comme le leader d'un État surpuissant ni, non plus, comme le « commandant en chef » que les Américains attendent toujours pour les guider.

En revanche, son attachement passionnel à la morale en politique lui a permis, une fois chassé du pouvoir après un seul mandat par le pragmatique et volontaire Ronald Reagan, de devenir un arbitre recherché et efficace pour tous les conflits que les diplomates ne parvenaient pas à résoudre. Sa modération et son obsession du consensus – qui étaient un handicap à la Maison-Blanche – devinrent un gage de neutralité qui le faisait accepter par des interlocuteurs parfois très éloignés des valeurs américaines. Reçu au Soudan comme en Corée du Nord, à Cuba, en Haïti ou à Gaza, il a aussi, à travers sa fondation créée dès le lendemain de son départ de la Maison-Blanche, lutté inlassablement pour la cause des femmes et des minorités et contribué avec les équipes de son organisation à l'éradication de plusieurs maladies tropicales en Afrique.


« Meilleur ex-président des États-Unis »

Alors pourquoi celui à qui le magazine Time a donné en 1989 le titre de « meilleur ex-président des États-Unis » a-t-il laissé se propager cette réputation d'avoir accumulé les bides pendant son unique mandat ?

D'abord, comme souvent pour les jugements à l'emporte-pièce, celui-là est en partie injuste. En effet, il ne tient compte ni du traité sur la rétrocession de Panama en 1977, ni de l'accord SALT 2 avec les Soviétiques du temps de Leonid Brejnev qui limitait la course aux armements, ni de son action exemplaire à l'époque en faveur de l'environnement. Et surtout pas des accords de Camp David qui, en septembre 1978, mettent fin à quarante ans de guerre plus ou moins ouverte entre Israël et l'Égypte.

Le président égyptien Anwar al-Sadat et le Premier ministre israélien Menachem Begin le 17 septembre 1978 après avoir signé les accords de Camps David as US sous "l'égide" de Jimmy Carter.

Le moment clé de cette négociation, tel que Carter l'a rapporté dans l'un de ses derniers livres, est à lui seul révélateur de la sensibilité de l'ancien président et de ses qualités psychologiques de négociateur : il survient au bout de treize jours de discussions infructueuses entre Sadate l'Égyptien et Begin l'Israélien. Avant de se quitter, après avoir constaté leur échec, ce dernier demande au président américain de lui dédicacer une photo souvenir de leur négociation. Carter s'exécute mais dédicace la photo, « avec toute mon affection », aux trois petits enfants de Begin, dont il a retenu le prénom. Lorsque le Premier ministre israélien découvre et lit à haute voix la dédicace et les noms de ses petits-enfants, sa voix se trouble, il a les larmes aux yeux, et demande à se rasseoir. La négociation reprendra un peu plus tard et, cette fois, miracle, va aboutir à la poignée de main historique de Camp David entre Anouar el-Sadate et Menahem Begin, sous l'œil de Jimmy Carter le 17 septembre 1978.


Il lâche le shah d'Iran

Mais sa gestion d'autres affaires du Proche-Orient et de l'Asie Centrale, en Afghanistan et surtout en Iran, se transformera à l'inverse en cauchemar, dont aujourd'hui encore les retombées se font amèrement ressentir.

Dès sa prise de fonction, et après un voyage rapide à Téhéran, Jimmy Carter décide de ne plus soutenir le shah. Ce monarque autocrate dont le pouvoir est préservé plus par la toute-puissance de sa police politique, la Savak, que par l'adhésion de son peuple est pour le nouveau président l'exemple même des régimes dont la morale veut qu'on les abandonne. Voire que l'on favorise leur renversement. Et peu importe les conséquences géopolitiques d'un bouleversement qui met en cause l'un des principaux pays producteurs de pétrole du monde et l'un des plus fidèles et rares amis des États-Unis dans la région. L'essentiel est que la morale y trouve son compte. La révolution islamique de 1979 renverse le shah sans que l'Amérique lève le petit doigt. Certains historiens suggéreront même que la CIA l'a favorisée. Mais comme souvent en politique, la réalité va largement dépasser la prévision, et le fanatisme religieux et l'influence grandissante de l'ayatollah Khomeini rapidement inquiéter, sinon Carter lui-même, du moins les diplomates qui le conseillent.

Archives L'homme qui a failli empêcher le retour en Iran de l'ayatollah Khomeini

Le 1er février 1979, un mois après le départ du shah Rezza Pahlavi pour l'exil, l'ayatollah Khomeini embarque à Paris à bord d'un 747 spécial d'Air France qui doit le ramener à Téhéran. Il n'aurait jamais dû arriver dans la capitale iranienne. Comme me l'a confié quelques années plus tard Zbigniew Brzezinski, qui présidait alors le Conseil de sécurité américain, tout avait été mis en place sur le plan militaire pour intercepter l'appareil, au large de l'Italie, et le forcer à atterrir à la base américaine de Sigonella, en Sicile. Mais pour que les F16 accomplissent cette mission, qui n'était pas exempte de complications diplomatiques, il fallait le feu vert du président Carter. Après avoir longuement hésité, il refusa de donner son accord à une opération qui aurait peut-être changé la façon dont la révolution iranienne a évolué. Et en tout cas aurait très probablement été décisive dans les événements qui ont conduit à son échec à l'élection présidentielle de 1980.

En effet, quelques mois plus tard, après que Carter a autorisé le shah à se réfugier aux États-Unis, des militants iraniens envahissent le 4 novembre 1979 l'ambassade américaine à Téhéran et y retiennent en otage 52 diplomates. C'est le début d'une interminable période pendant laquelle l'Amérique va se sentir humiliée, incapable de récupérer ses otages, que ce soit par la voie diplomatique ou par une opération militaire d'exfiltration, comme ce fut le cas de l'échec de l'opération Eagle Claw, en avril 1980.

L'Amérique ne pardonnera pas à Jimmy Carter d'avoir ainsi perdu la face. Quelques mois plus tard, il sera sèchement battu par Ronald Reagan à l'élection présidentielle. Il n'obtient ce jour-là que 44 % des suffrages des électeurs. C'était la fin d'une présidence peu convaincante et le début d'une seconde vie bien mieux réussie. Et, celle-là, non seulement saluée par le prix Nobel de la paix, en 2002, mais tellement appréciée par les citoyens de son pays que, oublieux de leur rejet de 1980, seuls 8 % déclarent aujourd'hui avoir une mauvaise opinion des années de Jimmy Carter à la Maison-Blanche.

  
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jipes jipes
29/12/2024 23:04:07
3

Jimmy Carter nous a quittés. Les Etats-Unis ont perdu un grand Président. RIP

  
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BerMer BerMer
22/12/2024 14:38:15
5

DPV, Didier Pineau-Valencienne, grand patron français, à 93 ans.

  
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cool13 cool13
22/12/2024 07:23:39
4

Pour rendre hommage à Maïté merci pour vos recettes

https://youtu.be/1EjD253Vk24?feature=shared

  
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BerMer BerMer
21/12/2024 17:56:14
7

Les anguilles n'ont plus rien à craindre, MaÏté est décédée hier, 20 décembre 2024, à 86 ans.

  
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gars d1 gars d1
18/12/2024 21:38:15
7

Encore un hommage…


Michel del Castillo est mort le 17 décembre 2024 à Sens (Yonne).

Michel del Castillo naît à Madrid en 1933 sous le nom de « Miguel Janicot del Castillo », peu avant la guerre civile. Face à la montée des dangers en Espagne, son père retourne vivre seul en France quand leur enfant a 2 ans. Il occupe un poste de cadre commercial chez Michelin ; Cándida del Castillo et leur fils ont prévu de le rejoindre et tardent à le faire. Lorsque le père revient en Espagne au printemps 1936, il découvre que sa femme a renoué avec un ancien amant, dont elle a eu deux fils par le passé ; les plans de fuite commune en France sont en conséquence annulés.

Sa mère, Cándida, très engagée politiquement, est proche du parti républicain de Manuel Azaña. Pourtant elle est emprisonnée par ces mêmes républicains de 1936 à 1937, pour s’être inquiétée du sort de prisonniers politiques. Durant l’emprisonnement de sa mère, le petit Michel lui rend visite, accompagné de sa grand-mère ; elle est condamnée à mort par les franquistes.

Ensemble, la mère et le fils fuient l'avancée franquiste et se réfugient en France chez Michel Janicot (le père), qui les aide un peu financièrement sans pour autant renouer avec son épouse. Alors que Cándida réclame encore de l'argent à son mari, durant la Seconde Guerre mondiale, celui-ci la dénonce aux autorités et la fait interner au camp de Rieucros à Mende avec Michel. Ce camp de réfugiés politiques est l'une des épreuves que l'écrivain décrira notamment dans son roman Tanguy3. Il garde une certaine attache pour la ville de Mende, où une école reçoit ultérieurement son nom. Après s'être évadé, l'enfant est livré en otage par sa propre mère aux Allemands et envoyé en Allemagne dans des fermes de travail jusqu'à la fin de la guerre.

Rapatrié en France après la guerre, puis livré à l'Espagne, Michel del Castillo est enfermé dans une maison de redressement, véritable bagne, comme « fils de rouge ». Il s’en évade en 19493.

Il a ensuite la chance d'être accueilli dans un collège de jésuites, à Úbeda en Andalousie. C'est avec le père jésuite Mariano Prados (Pardo dans Tanguy) qu'il découvre la littérature. Alors que son père biologique ne répond pas à ses lettres désespérées, il part à Sitges (Province de Barcelone) pour devenir ouvrier en 1950. Il est alors âgé de 17 ans.
Carrière littéraire

Influencé par les romanciers Miguel de Unamuno et Fiodor Dostoïevski, Michel del Castillo publie en 1957 son premier roman, Tanguy, qui remporte un succès mondial. Ses romans ultérieurs reçoivent de nombreux prix, dont le Renaudot pour La Nuit du décret (1981) et le prix Femina essai pour Colette, une certaine France (1999). En 1995, il obtient le prix de l'Écrit intime.

Élu membre de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique en 1997, il succède à l'historien Georges Duby.

Il a produit une série télévisée, La Saga des Français, pour Antenne 2.

En 2008, il publie un récit biographique inattendu consacré au général Franco. Opposant au régime franquiste, fils d'une républicaine espagnole condamnée à mort par les nationalistes, envoyé lui-même au travail forcé en Allemagne à l'âge de 10 ans, ayant subi des sévices à son retour en Espagne dans les maisons de redressement du régime, il rédige le portrait d'un homme qu'il considère comme physiquement courageux, un militaire « chimiquement pur », moins fasciste que conservateur et autoritaire, assez banal. Il porte à son crédit, au passage, le décollage économique de l’Espagne. Au lieu de reprendre le cliché habituel du dictateur sanguinaire, inculte, poltron, del Castillo ne manque à aucun moment de se référer aux ouvrages des historiens de Brian Crozier (en), Antony Beevor, Bartolomé Bennassar, Gerald Brenan, Philippe Nourry et Stanley Payne. Sans chercher obstinément la réhabilitation du Caudillo, sans nier aucun des crimes ou des délits commis par les participants à la guerre civile ou lors de la dictature, il fait tomber les idées reçues, en passant notamment par « le fil de l'épée les biographies fantaisistes » ou celles des intellectuels tels que Paul Preston. Ce dernier historien ne nie en aucun cas les exactions côté républicain qui ont fait, selon lui, plus de victimes que la rébellion franquiste à Madrid et à Barcelone.
Michel del Castillo meurt le 17 décembre 2024, à l’âge de 91 ans, à Sens dans l’Yonne


Romans
1957 : Tanguy, éditions René Julliard, autobiographie romancée de son enfance
1958 : La Guitare, éditions René Julliard
1959 : Le Colleur d’affiches, éditions René Julliard
1960 : Le Manège espagnol, éditions René Julliard
1962 : Tara, éditions René Julliard
1965 : Les Aveux interdits : Le Faiseur de rêves, éditions René Julliard
1966 : Les Aveux interdits : Les Premières Illusions, éditions René Julliard
1967 : Gérardo Laïn, éditions Christian Bourgois
1972 : Le Vent de la nuit, éditions René Julliard – prix des libraires et prix des Deux Magots
1975 : Le Silence des pierres, éditions René Julliard – prix Chateaubriand
1977 : Le Sortilège espagnol, éditions René Julliard
1979 : Les cyprès meurent en Italie, éditions René Julliard
1981 : La Nuit du décret, éditions du Seuil – prix Renaudot
1984 : La Gloire de Dina, éditions du Seuil
1985 : La Halte et le Chemin, éditions Bayard
1987 : Le Démon de l'oubli, éditions du Seuil
1989 : Mort d'un poète, Mercure de France
1991 : Une femme en soi, éditions du Seuil – prix du Levant • (ISBN 978-2-02013-523-8)
1993 : Le Crime des pères, éditions du Seuil – grand prix RTL-Lire • (ISBN 978-2-02013-551-1)
1994 : Rue des Archives, éditions Gallimard – prix Maurice-Genevoix • (ISBN 978-2-07073-858-8)
1996 : Le Sortilège espagnol : les Officiants de la mort, Fayard • (ISBN 978-2-21359-768-3)
1997 : La Tunique d'infamie, Fayard • (ISBN 978-2-21359-814-7)
1998 : De père français, Fayard • (ISBN 978-2-21360-101-4)
2001 : Les Étoiles froides, Stock, tome 1 de sa trilogie • (ISBN 978-2-23405-399-1)
2002 : Colette en voyage, éditions des Cendres • (ISBN 978-2-86742-109-9)
2003 : Les Portes du sang, éditions du Seuil, tome 2 de sa trilogie • (ISBN 978-2-02059-952-8)
2004 : Sortie des artistes, éditions du Seuil • (ISBN 978-2-02066-207-9)
2006 : La Religieuse de Madrigal, Fayard • (ISBN 978-2-75780-822-1)
2007 : La Vie mentie, Fayard – prix des Écrivains croyants • (ISBN 978-2-21363-105-9)
2010 : Mamita, Fayard • (ISBN 978-2-21363-343-5)
2018 : L'Expulsion : 1609-1610, Fayard • (ISBN 978-2-21366-142-1)

Essais

1970 : Les Écrous de la haine, éditions René Julliard
1986 : Séville, collection « L'Europe des villes rêvées », éditions Autrement, Paris • (ISBN 2-86260-184-5)
1991 : Andalousie, collection « Points planète », éditions du Seuil • (ISBN 978-2-02012-713-4)
1993 : en collaboration avec Yves Belaubre, Carlos Pradal, éditions Loubatières • (ISBN 978-2-02012-713-4)
1994 : préface à Une auberge espagnole
1995 : Mon frère l’Idiot – prix de l'Écrit intime
1999 : Colette, une certaine France – prix Femina essai
2000 : L’Adieu au siècle : journal de l'année 1999
2000 : Droit d’auteur, pamphlet
2002 : Algérie : l'Extase et le Sang, essai
2005 : Dictionnaire amoureux de l'Espagne – prix Méditerranée
2008 : Le Temps de Franco
2015 : Goya

Théâtre

2002 : Une répétition, pièce consacrée à Jean Sénac
2003 : Le Jour du destin
2005 : La Mémoire de Grenade

Récompenses et distinctions
1973 : prix des Libraires pour Le Vent de la nuit
1973 : prix des Deux Magots, pour Le Vent de la nuit
1975 : prix Chateaubriand, pour Le Silence des pierres
1981 : prix Renaudot, pour La Nuit du décret
1991 : prix du Levant, pour Une femme en soi
1993 : grand prix RTL-Lire, pour Le Crime des pères
1994 : prix Maurice-Genevoix, pour Rue des Archives
1995 : prix de l'Écrit intime, pour Mon frère l'Idiot
1999 : prix Femina essai, pour Colette, une certaine France
2004 : prix François-Victor-Noury 2004, pour l'ensemble de son œuvre
2005 : prix Méditerranée, pour Dictionnaire amoureux de L’Espagne
2008 : prix des Écrivains croyants, pour La Vie mentie
2016 : grand prix de littérature Henri-Gal, pour l'ensemble de son œuvre

Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres Il est fait commandeur lors de la promotion du 17 juin 1991

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Des BONUS !!!

• Lecture de "La guitare " de Michel del Castillo

https://www.youtube.com/watch?v=QIjzb8vEsYI


En 1959, entrevue conjointe avec François Mauriac et Michel Del Castillo

https://www.youtube.com/watch?v=JoCTokXxwS4


• Singulier : Michel Del Castillo partie 01

https://www.youtube.com/watch?v=yMQuOYCbgxA


• Singulier : Michel Del Castillo partie 02

https://www.youtube.com/watch?v=e5Xq1w3JySA

  
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Rollier1 Rollier1
18/12/2024 13:18:51
5

« Le Belge Rik Van Looy, monarque absolu des courses cyclistes, est mort

Sprinteur exceptionnel, ce champion méticuleux affichait un palmarès unique dans le cyclisme avec pas moins de 482 succès, dont deux championnats du monde en 1960 et 1961. Il s’est éteint mercredi à l’âge de 90 ans.

Au royaume de Belgique, il était « l’Empereur d’Herentals », ville flamande de la province d’Anvers où il vivait et avait été statufié de son vivant. Rik Van Looy est mort le mercredi 18 décembre, à l’âge de 90 ans, selon plusieurs médias belges. Entre 1953 et 1968, ce prince reconnu des courses d’un jour s’est construit un palmarès unique dans le cyclisme : 482 succès, où la qualité se mêle à la quantité. Double champion du monde (1960 et 1961), Van Looy est ainsi le premier à remporter les cinq grandes classiques : Milan-San Remo, le Tour des Flandres, Paris-Roubaix, Liège-Bastogne-Liège et le Tour de Lombardie. »

  
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JD1976 JD1976
17/12/2024 11:38:02
6

Elle a joué dans Talons aiguilles, Tout sur ma mère ou encore Parle avec elle. L'actrice espagnole Marisa Paredes, dont la carrière a notamment été marquée par les six films qu'elle a tournés sous la direction de Pedro Almodovar, est morte à l'âge de 78 ans, a annoncé l'Académie espagnole du cinéma – institution qu'elle a présidée entre 2000 et 2003 – mardi 17 décembre.

Née à Madrid en 1946, Marisa Paredes se lance dans la comédie contre la volonté de son père, ouvrier, en intégrant à 15 ans le Conservatoire et débute sur les planches en 1961 dans Esta noche tampoco de José López Rubio. C'est le théâtre, qu'elle n'abandonnera jamais vraiment en dépit de son succès au cinéma, qui la fera connaître. À l'affiche d'un grand nombre de films dans les années 1970 et 1980, elle décroche en 1988 une nomination au Goya du Meilleur second rôle pour sa prestation dans Cara de acelga.


Une longue collaboration avec Almodovar

En 1983, en pleine Movida, la comédienne campe une nonne excentrique dans Dans les ténèbres, première d'une longue série de collaborations avec Pedro Almodovar. Le cinéaste en fera, tout au long des années 1990, l'héroïne de ses mélodrames, lui offrant de beaux rôles de divas en crise, entre réussite professionnelle et drames intimes.

Marisa Paredes acquiert ainsi une popularité internationale grâce au personnage de Becky, chanteuse et mère de Victoria Abril dans Talons aiguilles(Nouvelle fenêtre) (1992), avant d'incarner une romancière dépressive dans La Fleur de mon secret(Nouvelle fenêtre) (performance qui lui vaut le Prix d'interprétation à Karlovy Vary en 1995), puis une actrice adulée dans Tout sur ma mère (1999), un rôle écrit spécialement pour elle. Le réalisateur espagnol continuera de la diriger au cours de la décennie suivant dans Parle avec elle (2002) et La Piel que Habito (2011).

L'actrice enchaîne les tournages en Espagne, de L'Échine du diable(Nouvelle fenêtre) (2001) au délirant Reinas(Nouvelle fenêtre) (2005). Elle incarne ensuite une religieuse sous la direction de Manoel de Oliveira dans Le Miroir magique aux côtés de Michel Piccoli. En 2007, la comédie Four last songs(Nouvelle fenêtre) (inédite en France) lui permet de fréquenter un casting international.

Très appréciée en France, elle joue dès 1993 dans Tombés du ciel, la première comédie de Philippe Lioret, elle s'illustre en 2010 dans Gigola(Nouvelle fenêtre) aux côtés de Lou Doillon mais aussi de ses compatriotes Eduardo Noriega et Rossy de Palma. Elle rejoint ensuite le casting de Les Yeux de sa mère(Nouvelle fenêtre) (2011) de Thierry Klifa aux côtés de Catherine Deneuve et Géraldine Pailhas.


Message complété le 18/12/2024 10:56:09 par son auteur.

Luz Casal chante la chanson sur la bande originale du film de Pedro Almodóvar Talons aiguilles :

https://www.youtube.com/watch?v=gcgGVVmgbDI



Magnifique !!!

  
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gars d1 gars d1
13/12/2024 09:26:09
6

Un petit hommage chaleureux à Martial Solal, disparu hier 12 décembre 2024 avec pleins notes de musiques…

Merci, Martial pour toutes ces années musicales !


Martial Solal, né le 23 août 1927 à Alger (Algérie française) et mort le 12 décembre 2024 à Versailles (Yvelines), est un pianiste de jazz, compositeur, arrangeur et chef d'orchestre français.

Sa carrière débute dans les années 1950, au cours desquelles il enregistre notamment avec Django Reinhardt et Sidney Bechet. Au Club Saint-Germain, il accompagne les plus grands musiciens américains de l'époque : Don Byas, Clifford Brown, Dizzy Gillespie, Stan Getz ou encore Sonny Rollins. Il enregistre plus d'une centaine de disques en solo, en trio ou avec différents big bands, ainsi qu'en duo — formule qu'il affectionne particulièrement —, avec entre autres Lee Konitz, Michel Portal, Didier Lockwood, John Lewis ou David Liebman.

Solal ne se limite pas à la scène de jazz : il écrit de nombreuses œuvres symphoniques jouées notamment par le nouvel orchestre philharmonique, l'orchestre national de France ou l'orchestre de Poitou-Charentes. Il compose également plusieurs musiques de films, notamment pour Jean-Luc Godard (À bout de souffle) ou pour Jean-Pierre Melville (Léon Morin, prêtre).

Le style de Martial Solal, virtuose, original, inventif et plein d'humour, s'appuie notamment sur un talent exceptionnel d'improvisation servi par une technique irréprochable qu'il entretient par un travail systématique tout au long de sa carrière. Bien que n'ayant eu qu'un seul véritable élève en la personne de Manuel Rocheman, il influence de nombreux musiciens tels que Jean-Michel Pilc, Baptiste Trotignon, Franck Avitabile, François Raulin ou encore Stéphan Oliva. Le prestigieux concours de piano jazz Martial Solal, organisé de 1988 à 2010, est nommé en son honneur.

Martial Solal est certainement le musicien français le plus important apparu depuis la disparition de Django Reinhardt. L’ampleur de sa carrière et la richesse de son œuvre suffiraient à lui attribuer ce titre mais ce serait négliger l’essentiel : ses talents exceptionnels d’instrumentiste et l’incroyable fertilité de son imagination dans l’improvisation qui en ont fait l’un des pianistes les plus admirés, bien au-delà du seul cercle du jazz.

Le trio, formation privilégiée

Né le 23 août 1927 à Alger, débutant l’étude du piano à l’âge de six ans, Martial Solal découvre le jazz à l’adolescence, par le biais de Lucky Starway, un saxophoniste qui lui fait connaître les enregistrements de Louis Armstrong, Fats Waller, Teddy Wilson, Benny Goodman, etc., et l’entraîne à l’accompagner. Fasciné par le sentiment de liberté que lui procure l’improvisation, Solal décide de devenir musicien de jazz en 1945. Cette initiation l’encourage à travailler sa technique pianistique. Installé à Paris en 1950, il travaille dans des orchestres à la lisière du jazz et de la variété, gagnant progressivement une réputation qui lui vaut d’accéder rapidement aux studios d’enregistrement (avec Django Reinhardt en 1953, Don Byas, Lucky Thompson en 1956, etc.) et d’être sollicité dans les meilleurs clubs parisiens pour accompagner les solistes américains de passage, tout particulièrement au Club St Germain où il est fréquemment associé à Kenny Clarke et Pierre Michelot.

Reconnu comme instrumentiste brillant, il s’impose surtout comme soliste aux conceptions singulières en développant, dès 1953, une activité de leader d’un trio qui comprendra au fil du temps Pierre Michelot et Jean-Louis Viale, puis Guy Pedersen et Daniel Humair (1960-1964) et encore Gilbert Rovère et Charles Bellonzi (1965-1968). En 1956, il enregistre pour la première fois en solo (un contexte auquel il reviendra souvent dans les décennies suivantes) et illustre ses talents d’arrangeur en créant un grand orchestre. Sa notoriété grandissante lui vaut d’être invité en 1963 à jouer en club et dans plusieurs festivals aux États-Unis en trio avec Teddy Kotick et Paul Motian, et d’enregistrer un album en leur compagnie qui sera diffusé sur le territoire américain. Le trio s’impose comme le cadre qui convient parfaitement à l’expression de toute l’originalité de son inspiration, et devient le lieu privilégié d’exercice d’une pensée d’arrangeur éclairée, cherchant à sortir des schèmes traditionnels (tant dans la forme des pièces que dans les rôles assumés par chaque instrument).

Virtuosité et humour

Passé maître dans l’art de transfigurer les standards, Martial Solal déploie avec une maîtrise époustouflante une approche exigeante de l’improvisation, basée sur le renouvellement permanent, sa virtuosité alimentant une imagination sur le qui-vive qui se refuse à la facilité ou aux clichés. Si l’on retrouve dans son jeu des échos du raffinement harmonique d’un Art Tatum ou un goût de la vitesse et de la netteté qui rappelle Bud Powell, force est de constater que Martial Solal se situe parmi les pianistes les plus remarquables par sa capacité à combiner spontanément une pensée féconde, une énonciation précise, le sens de la surprise et celui du risque, sans que l’abondance de ses idées n’infléchissent le swing ou ne le prive de son humour. Car aussi brillante puisse-t-elle paraître, notamment grâce à la clarté de l’articulation et au contrôle des dynamiques qui soulignent la verve de son inspiration, l’expression de Martial Solal ne se défait jamais d’une malice qui sait s’immiscer à bon escient au cœur des passages les plus abstraits – comme le signe d’une vigilance permanente qui l’empêche de se prendre au piège de la virtuosité. Ses nombreux titres en forme de calembour sont aussi une façon de se prémunir contre un trop grand esprit de sérieux.
Orchestrateur et compositeur

Nombre des caractéristiques de son jeu de pianiste se retrouvent dans ses talents d’orchestrateur. D’abord appliqués au cinéma (pour lequel, de 1958 à la fin des années 1960, il écrit des musiques – la plus célèbre étant celle d’À bout de souffle, de Godard), ceux-ci seront servis par différentes formations constituées par le pianiste : un big band en 1980 puis, par souci économique mais aussi esthétique, des configurations plus légères, comme le Dodécaband et le New Décaband. L’intérêt croissant de Martial Solal pour la composition l’a d’ailleurs conduit à non seulement concevoir des pièces développées pour petite formation de jazz (Suite n°1 en ré bémol pour quartet de jazz dès 1959 ; Concerto pour trio et orchestre en 1981) mais également, depuis 1978, à écrire de nombreuses œuvres orchestrales, répondant aux commandes d’interprètes de musique classique ou contemporaine (collaboration avec Marius Constant à l’écriture de Stress par exemple).

Seul, en duo ou en trio

Parallèlement à cette œuvre d’envergure, Martial Solal entretient depuis des années un goût pour les récitals en solitaire, s’engageant, parfois sans programme préétabli, dans de longues improvisations spontanées, tout comme il multiplie les rencontres en duo, suivies ou ponctuelles, avec d’autres fortes personnalités musicales, dont certaines éloignées de son propre univers : au fil du temps, Lee Konitz, Stéphane Grappelli (1980), Jean-Louis Chautemps, Toots Thielemans (1992), Michel Portal (1992 et 1999), Didier Lockwood (1993), Eric Le Lann (1999), Johnny Griffin (1999) ou encore Dave Douglas (2005) ; et qui parfois sont comme lui pianistes : Hampton Hawes (1968), John Lewis ou Joachim Kühn (1991). Pour autant, le contexte du trio continue de marquer son cheminement artistique, qu’il s’agisse d’une formation régulière (comme celle qu’il a constituée avec les frères Moutin) ou de circonstance : Marc Johnson et Peter Erskine (1995), Gary Peacock et Paul Motian (1997) ou François Moutin et Bill Stewart (2001).
« Parrain » de toute une génération

Reconnu comme l’un des plus importants musicien de jazz à avoir émergé en France, comptant parmi les rares à avoir conquis l’admiration de ses homologues américains (Duke Ellington se fendit à son égard de compliments des plus élogieux), Martial Solal a fait office de « parrain » pour toute une génération de pianistes, notamment au travers d’une émission radiophonique sur France Musique dans laquelle il invita les plus brillants représentants de ses jeunes confrères, dont certains reconnaissent son influence : Manuel Rocheman, Jean-Michel Pilc, Baptiste Trotignon, Franck Avitabile, etc. La création par la Ville de Paris en 1998 d’un concours international de piano jazz portant son nom rend hommage à son talent, tout comme l’attribution en 1999 du Jazzpar Prize, le « prix Nobel » du jazz.

Musiques de films (Longs métrages)

Deux Hommes dans Manhattan (1959, Jean-Pierre Melville)
Match contre la mort (1959, Claude Bernard-Aubert)
À bout de souffle (1960, Jean-Luc Godard)
L'Affaire d'une nuit (1960, Henri Verneuil)
Le Testament d'Orphée (1960, Jean Cocteau)
Si le vent te fait peur (1960, Émile Degelin)
Léon Morin, prêtre (1961, Jean-Pierre Melville)
Les Ennemis (1962, Édouard Molinaro)
Svenska flickor i Paris (1962, Barbro Boman)
Échappement libre (1963, Jean Becker)
Trois chambres à Manhattan (1965, Marcel Carné)
Ballade à blanc (1983, Bertrand Gauthier)
Les Acteurs (2000, Bertrand Blier)

Une riche discographie est inventorié Ici

https://fr.wikipedia.org/wiki/Discographie_de_Martial_Solal


Un petit chez Martial Solal

• [Podcast] : "La Matinale avec Martial Solal, une vie de jazz"
Publié le lundi 18 novembre 202

https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/musique-matin/la-matinale-avec-martial-solal-une-vie-de-jazz-7590511

• Martial Solal & Django Reinhardt - 8 Avril 1953 (Album)

(avec Fats "Sadi" Lallemand (vib), Martial Solal (p), Django Reinhardt (g), Pierre Michelot (b), Pierre Lemarchand (dr) - Paris - 8 Avril 1953)

https://www.youtube.com/watch?v=cKBvcQ6hckM

• Martial Solal - Escale à Paris - 3 & 4 Mai 1956

Vinnie Tano (tp), Carl Fontana (tb), Don Rendell (ts), Martial Solal (p), Curtis Counce (b), Mel Lewis (dr) - Paris - 3 & 4 Mai 1956

https://www.youtube.com/watch?v=nZcXwFtO9LA

• Martial Solal - Jazz on the Left Bank - 12 & 14 Septembre 1956

Dick Mills (tp), Billy Byers (tb), William Boucaya (bs, ts), Martial Solal (p), Benoit Quersin (b), Wessel Licken (dr) - Paris - 12 & 14 Septembre 1956

https://www.youtube.com/watch?v=2jBRDEP_49Y

• BO de Martial Solal - L' Affaire d'une Nuit - 1960

https://www.youtube.com/watch?v=PHNqO9waLiU

• BO de Martial Solal - Si le Vent te fait peur - 1960

https://www.youtube.com/watch?v=-rie-knHcVs

• Martial Solal - Concertos pour Piano - 1989 (Album)

(avec Martial Solal (p, claviers), Michel Benita (b), François Laizeau (dr), Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Marius Constant (dir) - Octobre 1989

https://www.youtube.com/watch?v=Lnu28O3zcRg

• BO de Martial Solal - Le Procès - 1962

https://www.youtube.com/watch?v=Kf7Juu8QaFI

• BO Martial Solal - Match contre la Mort - 1959

https://www.youtube.com/watch?v=yPdA3zJA9-Q

• BO de Martial Solal - Echappement Libre - 1963

https://www.youtube.com/watch?v=x6THn2qCfJE

• Martial Solal Trio - 1965 (Album)

Martial Solal (p, clavecin*), Gilbert Rovère (b), Charles Bellonzi (dr) - "Martial Solal Trio" - 7 & 8 Avril 1965 - Columbia CTX 40288 (1966)

https://www.youtube.com/watch?v=rOXL4U7FokQ

• Martial Solal - NDR 1965 (TV concert recorded April 30, 1965 prob. Großer Sendesaal des NDR Funkhauses, Hamburg )

https://www.youtube.com/watch?v=qeLwL1wbxCM

• Martial Solal, Live, 1959/1985 ("Les introuvables" Coffret de 4 vinyles inédits en CD, paru en 1985 - INA/Radio France - PAM 963)

https://www.youtube.com/watch?v=5dSe0QH3lrQ&list=PLNyeotQq26DFpi8hedouOaIPr6o9vl1wa

Martial Solal - Hymself - 1974

https://www.youtube.com/watch?v=kSjJuydkImI&list=PLNyeotQq26DGlfKQtF32rD3n53lNOWduC

• Martial Solal & Lee Konitz Live at the Berlin Jazz Days 1980 (Full Concert)

https://www.youtube.com/watch?v=HXtMj-oiTF4&list=PLNyeotQq26DEhvNPZEZbHNZzcqOwNeylr

• Martial Solal / Gary Peacock / Max Roach - Live in Paris - 1991

https://www.youtube.com/watch?v=gYUAZ0GFDOk&list=PLNyeotQq26DHhnwNPJbISRBNqGRzj2wiF


Et encore pleins d'autres musiques d'albums superbes encore à découvrir ici

https://www.youtube.com/@martialsolal1927/playlists

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