Felix Baumgartner ,
Se tuer en parapente quand on a sauté à 39000 mètres d'altitude est quand même bizarre.
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PDG emblématique de grandes entreprises publiques françaises, sa carrière a été jalonnée de succès, mais aussi d’affaires retentissantes.
Son CV a de quoi faire rêver. Loïk Le Floch-Prigent, ancien PDG de grandes sociétés publiques françaises comme Rhône-Poulenc (1982-1986), Elf Aquitaine (1989-1993), GDF (1993-1995) et la SNCF (1995-1996), est mort ce mercredi 16 juillet à l'âge de 81 ans, a annoncé sa femme à l'Agence France-Presse, confirmant une information du Télégramme.
Ce natif de Brest a grandi à Guingamp, a étudié à l'École nationale supérieure d'hydraulique et de mécanique de Grenoble puis à l'école de journalisme de l'université du Missouri-Columbia, avant de se constituer un réseau politique d'envergure à partir des années 1980. Sa carrière l'amène notamment à côtoyer Raymond Barre et à se rapprocher de François Mitterrand. En juin 1989, Michel Rocard le nomme président-directeur général d'Elf Aquitaine, qui est alors le premier groupe industriel français.
C'est son passage dans ce groupe qui restera dans les mémoires, avec l'« affaire Elf » qui éclate en 1994. Une affaire de détournements de plus de 504 millions de dollars, considérée comme un immense scandale politico-financier. Loïk Le Floch-Prigent sera condamné par la justice à des peines de prison ferme pour détournements de fonds. De 2003 à 2005, il sera ainsi emprisonné à Fresnes.
« Il était intellectuellement brillant »
Dans les années 2000, il développe ses entreprises en Afrique (Congo, Mali, Bénin, Tanzanie…), travaillant en lien avec le Qatar, les Émirats arabes unis, le Canada, les États-Unis… En mai 2007, il est condamné à quinze mois avec sursis dans le dernier volet judiciaire de l'affaire Elf : un système d'emplois fictifs mis en place en Suisse au début des années 1990. Parmi les bénéficiaires de ces emplois de complaisance présumés se trouvaient des proches de François Mitterrand, de Charles Pasqua ou de l'homme d'affaires corse et ami d'Alfred Sirven Mathieu Valentin.
De 2010 à 2011, il est ainsi à nouveau emprisonné à Fresnes pour non-paiement d'amendes antérieures. De 2012 à 2013, il est placé en détention préventive au Togo pour des soupçons d'escroquerie. Il sera relâché pour raisons médicales.
« On avait un lien très fort. Il était intellectuellement brillant. C'était un vrai patron d'industrie, mais il aimait le dialogue social et échangeait régulièrement, par exemple, avec Bernard Thibault. Il aimait la Bretagne, notamment ce coin de Trébeurden où il avait accueilli dans sa maison François Mitterrand, le seul “patron” de sa vie, me disait-il », rapporte Erwan Chartier, historien, directeur des éditions Coop Breizh et petit-cousin de Loïk Le Floch-Prigent.
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Loïk LE FLOCH-PRIGENT, ingénieur, PDG d'ELF et souffre-douleur de la juge Eva Joly.
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"LA FACE CACHÉE DE L'HOMME EN NOIR"
Dans un communiqué, le groupe TF1 annonce la diffusion de La face cachée de l'homme en noir le mercredi 16 juillet à 22h50 sur TF1.
Il s'agit d'"un documentaire exclusif et inédit écrit et réalisé par Audrey Crespo-Mara". "Ardisson, tout le monde en a parlé sans jamais approcher sa vérité. Mon ambition : vous faire découvrir celui qui se cache derrière le costume de "L’homme en noir". Je me suis dit : s’il est quelqu’un qui doit pouvoir le percer à jour, c’est moi qui suis journaliste, portraitiste, et qui vis avec lui depuis 15 ans. Qui est l’intime Thierry derrière le spectaculaire Ardisson ?", détaille la journaliste de TF1 qui avait épousé l'animateur en 2014.
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La télévision perd l’un de ses monstres sacrés, celui qui avait su pousser les curseurs de la provocation et de l’impertinence. L’animateur-producteur Thierry Ardisson nous a quittés à l’âge de 76 ans.
La mort, il ne la redoutait pas. Mais il savait qu'un jour ou l'autre, et c'était là sa seule frustration, elle viendrait interrompre le flux incessant de ses idées, de ses envies, de ses désirs. En ce 14 juillet, elle est venue frapper – sans doute trop tôt – à sa porte. Thierry Ardisson, l'animateur et producteur dont le nom restera à jamais associé à l'émission Tout le monde en parle ou Paris Dernière, s'est éteint à l'âge de 76 ans, des suites d'une longue maladie.
« Ce que je veux, c'est voir arriver la mort en face », nous confiait l'homme en noir en 2022 à l'occasion du lancement d'Hôtel du temps, une émission dans laquelle il interviewait des personnalités disparues (Dalida et Jean Gabin...) recréées grâce à l'intelligence artificielle, dans le décor feutré du Meurice où il avait ses habitudes. Car oui, la mort le fascinait. Ce bourreau de travail, toujours en quête de nouveaux formats, de concepts novateurs, n'a jamais cessé de se projeter, même au-delà de la vie.
Provocation et impertinence
Né en 1949 à Bourganeuf, dans la Creuse, d'un père ouvrier dans le BTP et d'une mère au foyer, il rêvait déjà, enfant, de s'élever, de connaître la gloire, la fortune, le succès. « Si j'ai une dette, c'est envers mes parents. Je leur ai longtemps reproché de ne pas m'avoir offert la vie que je voulais… Je croyais qu'il y avait eu une erreur à la maternité. Je ne comprenais pas ce que je foutais dans cette famille. Et pourtant, c'est mon père qui m'a tout transmis : l'humour, l'info, le cinéma… », racontait-il en juin dernier dans une interview qu'il nous avait accordée à l'occasion de la sortie de son ultime livre L'Homme en noir, sorte d'autobiographie dans laquelle il s'imaginait entre la vie et la mort, en train d'animer un talk-show posthume. Sa dernière mise en scène : celle de sa propre fin.
Thierry Ardisson laisse derrière lui une œuvre télévisuelle dense, un goût intact pour la provocation, et un style inimitable, mêlant élégance, impertinence et, diront certains, une pointe de goujaterie. Jusqu'au bout, il est resté ce créateur infatigable, passionné par l'image, les mots et les formats, qu'il n'a cessé de réinventer. De Paris Dernière à Rive droite/Rive gauche en passant par 93, faubourg Saint-Honoré, diffusées par Paris Première, l'aura de ses émissions est parfois inversement proportionnel à leurs audiences confidentielles.
Déjà, dès ses débuts dans la pub, il fait sensation. Il invente des slogans qui marquent (« Ovomaltine, c'est de la dynamite ! » / « Vas-y Waza ! » / « Lapeyre, y en a pas deux ! »…), forge un ton, impose une signature. De ces années d'excès, dont il ne cachera pas grand-chose (drogue, tentative de suicide….), il va garder le meilleur : le désir impérieux de ne jamais faire comme les autres. Passé par la case presse (L'Écho des savanes, le magazine Interview rebaptisé Entrevue), Ardisson part à l'assaut de la petite lucarne.
Mais la télévision, il ne veut pas la subir et préfère la réinventer. En faire un terrain d'expérimentation pour son imagination bouillonnante. Avec plus ou moins de succès. Parfois dans l'air du temps (son Lunettes noires pour nuits blanches pousse le curseur de la provocation dans un paysage très formaté en 1988), parfois un peu trop en avance comme ce fut le cas de son Hôtel du temps, lancé en 2022, néanmoins nommé aux Emmy Awards dans la catégorie « Non-Scripted Entertainment ».
Comme producteur, Ardisson a du flair : on lui doit surtout Graines de stars, de Laurent Boyer sur M6, ou encore Frou-frou, animé par Christine Bravo et sa bande de copines. Sans oublier On a tout essayé, porté par Laurent Ruquier, véritable plébiscite public de 2000 à 2007, qui va faire bondir les audiences d'avant-soirée de France 2.
Mais c'est bien en tant qu'animateur-producteur qu'il marque l'histoire du petit écran, en créant un genre à part, le talk-show aux allures de pièce de théâtre dont il est le maître de cérémonie, maniant le montage comme un art à part entière, pour aboutir à un vrai spectacle. Les silences, la gestuelle, les interviews « à la Ardisson », les jingles et les coups d'éclat n'ont alors qu'une ambition, donner naissance à des séquences télé prêtes à nourrir les années zapping.
Rappelez-vous : Michel Rocard, à qui il demande si sucer c'est tromper ; Milla Jovovich, qui envoie valser son verre avant de quitter le plateau ; Dorothée, renversant un seau à champagne sur la tête de Laurent Baffie, ou encore la colère froide de Lio, face à Muriel Cerf invoquant l'« amour passionnel » pour justifier le féminicide commis par Bertrand Cantat, chanteur du groupe Noir Désir, sur la comédienne Marie Trintignant.
Les années fastes de Tout le monde en parle
Ardisson agace et s'attire des inimitiés très médiatiques qu'il alimente savamment (on se souviendra de celle avec Marc-Olivier Fogiel, alors lui aussi animateur de talk-show), mais qu'on l'aime ou pas, il a su créer sa propre patte – la question inattendue, le tutoiement imposé, l'interview complice ou froide. Autant d'éléments qui font décoller les audiences de Tout le monde en parle, rendez-vous incontournable qu'il anime le samedi soir sur France 2, de 1998 à 2006, sous la houlette tout aussi exigeante de Catherine Barma.
Certes, passer chez cet anti-Michel Drucker, peu client de l'exercice de promotion classique, c'est prendre le risque de traverser une petite zone de turbulences sous l'œil inquisiteur des caméras, et l'humour décapant de Laurent Baffie, tout en étant assuré d'être vu dans un show qui fédère plusieurs générations, y compris les plus jeunes.
Une recette efficace qu'il appliquera également entre 2006 et 2019 dans Salut les Terriens ! sur Canal+ d'abord puis sur C8, avant de claquer la porte avec fracas, confessant ne pas vouloir faire « de la télé low-cost » et reconnaissant quelques années plus tard avoir des divergences d'opinions avec Vincent Bolloré, patron du groupe Canal+ à qui appartient la chaîne. Avec un procès à la clé qu'il gagnera.
Thierry Ardisson est aussi cet homme déroutant qui, en interview, évoquait avec une tendresse pudique sa troisième épouse, la journaliste Audrey Crespo-Mara, avec qui il partageait sa vie depuis 2009. « J'ai rencontré Audrey quand j'avais 60 ans, elle en avait 33. Je l'ai aidée à prendre confiance en elle. Aujourd'hui, elle réussit très bien. Sans moi. Elle est très indépendante », nous confiait-il il y a quelques semaines. Quand on lui demandait ce qu'elle lui apportait, sa réponse, embuée de larmes, prend aujourd'hui un tout autre sens : « Elle m'apporte l'amour. Je n'ai jamais été aimé comme ça… »
L'animateur, père de trois enfants, se réjouissait de voir diffuser en septembre prochain, sur la chaîne TMC du groupe TF1, un documentaire réalisé par la journaliste elle-même, La Face cachée de l'homme en noir. « Je l'ai vu pour la première fois il y a dix jours : c'est remarquable ! Elle y a passé plus d'un an, elle m'a poussé dans mes retranchements », assurait-il, ému, concluant : « Ce sera la seule fois où vous entendrez encore parler de moi… Après j'aurai tout dit, promis. Vous n'aurez pas droit à un “J'ai oublié de vous dire…” »
On ne pourra que lui reprocher d'avoir tenu sa promesse.
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j'avais commencé à regarder ses anciennes emissions récemment, elles sont sur youtube. C'était de la bonne télé.
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Thierry Ardisson, l'irrévérencieux homme en noir nous a quitté à l'âge de 76 ans !
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Maxime Tessier, l'un des avocats de Joël Le Scouarnec, s'est donné la mort la nuit dernière. L'homme de 34 ans défendait Joël Le Scouarnec.
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Le député LR Olivier Marleix a mis fin à ses jours (sources parlementaires)
07/07/2025 17:33 | AFP
Le député Les Républicains (LR) d'Eure-et-Loir Olivier Marleix, qui avait présidé le groupe des députés de droite de 2022 à 2024, a mis fin à ses jours lundi, ont indiqué à l'AFP des sources parlementaires concordantes.
Agé de 54 ans et proche de l'ex-Premier ministre Michel Barnier, Olivier Marleix avait soutenu ce printemps la candidature de Bruno Retailleau à la présidence des Républicains face à Laurent Wauquiez qui lui avait succédé l'an dernier à la présidence des députés LR.
Le député d'Eure-et-Loire a été retrouvé sans vie à son domicile d'Anet, selon le procureur de la République de Chartres Frédéric Chevallier. Olivier Marleix a été "retrouvé dans une pièce du haut, pendu", a-t-il dit.
A l'annonce de son décès, plusieurs personnalités politiques ont rendu hommage au député.
"Nous n'oublierons pas l'homme de conviction, défenseur inlassable de l'intérêt général dont la vision tirait vers le haut le débat public", a dit le président du groupe LR à ;l'Assemblée nationale Laurent Wauquiez.
Le maire de Nice Christian Estrosi a salué "un homme courageux, engagé, éclairé. Un vrai gaulliste".
"Il fut un élu de terrain, rigoureux, engagé au service de ses idées", a réagi sur X Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale.
"Il était un adversaire politique toujours respectueux, une voix singulière, attachée à défendre la souveraineté industrielle de la France", a salué de son côté Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise.
En fin d'après-midi l'Assemblée nationale a suspendu brièvement ses travaux en apprenant la nouvelle, avant d'observer une minute de silence.
Olivier Marleix, fils de l'ancien ministre Alain Marleix, était père de deux filles.
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Le Portugais Diogo Jota, attaquant de Liverpool, a perdu la vie à 28 ans dans un accident de voiture. Son frère également footballeur est aussi décédé. RIP
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L'Avventura s'est terminée pour Léa Massari. Le cinéma italien est en deuil.
RIP
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Handball : Denis Lathoud, ancien joueur de l’équipe de France des "Barjots" est décédé à l’âge de 59 ans
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Lié à J.M. Aulas dans la meilleure période de l'O.L. et titré de nombreuses fois avec les Girondins de Bordeaux.
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Bernard Lacombe, légende du foot français, est mort à 72 ans
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BRIAN WILSON, fondateur des BEACH BOYS.
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Charline Leray, miss Bretagne 2006, originaire de Loire-Atlantique, est décédée à l’âge de 38 ans
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Philippe LABRO , grand journaliste et grand écrivain.
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« Une femme… »
Nicole Croisille s’est envolée.
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Le rappeur Werenoi, plus gros vendeur de disques en France, est mort à 31 ans
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Décès de Daniel Bilalian, ancien présentateur et figure de France Télévisions
15/05/2025
Daniel Bilalian, ex-présentateur des journaux télévisés d'Antenne 2 puis France 2 et ancien patron du service des sports de France Télévisions, est décédé mercredi à l'âge de 78 ans, a annoncé sa famille jeudi à l'AFP.
Figure de l'audiovisuel bien connue des téléspectateurs pendant plus de 40 ans, il avait pris sa retraite à l'automne 2016, à presque 70 ans. Il avait depuis disparu des écrans.
Daniel Bilalian est décédé de maladie à son domicile, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), où il était conseiller municipal.
C'est "la disparition d'un grand nom du service public", a affirmé le journaliste Julian Bugier en ouverture du 13H00 sur France 2, disant "l'immense tristesse" de ses anciens collègues.
L'expression souvent grave, "Bil'" -- comme il était surnommé -- a été successivement grand reporter, présentateur et rédacteur en chef des journaux de 13h00 et de 20h00. Il a également produit les magazines "Star à la barre" et "Mardi soir", et présenté des soirées électorales.
Parmi les nombreuses personnalités de l'audiovisuel à saluer sur X Daniel Bilalian, l'ancien journaliste sportif Patrick Chêne, qui a aussi présenté le JT de 13H00 sur France 2, a relevé "son élégance et son humour très british".
"Sa bienveillance, sa passion pour l'actualité et le service public de l'information m'ont fait grandir dans ce métier", lui a rendu hommage Agnès Vahramian, directrice de la radio franceinfo.
Côté politique, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a jugé qu'il "incarnait la rigueur d’un journalisme exigeant et passionné", tandis que le président Renaissance de la Région Sud, Renaud Muselier, a fait valoir que "sa voix a marqué des générations, à travers l’info comme les grands moments de sport".
Le Tour de France a, pour sa part, évoqué un "grand ami et défenseur" de la course cycliste.
"Il était d'une efficacité dans les négociations sportives absolument incroyable! Il me bluffait", a relaté sur France 2 l'ancien directeur général du groupe public Patrice Duhamel. Diffusion du Tour de France ou des JO, "c'est à Daniel Bilalian qu'on le doit" finalement, selon lui.
Né le 10 avril 1947 à Paris d'un père arménien (qui était tailleur) et d'une mère originaire du Pas-de-Calais, Daniel Bilalian avait débuté sa carrière au quotidien l'Union de Reims en 1968.
Il était entré à l'ORTF au bureau régional d'information de Reims en 1971 puis de Lille en 1972, avant de rejoindre la direction nationale d'Antenne 2 au service de politique intérieure. Une "maison" qu'il ne quittera plus, entre journalisme politique, JT puis service des sports.
"Journaliste viscéral"
C'est là que le journaliste passera les 12 dernières années de sa carrière (2004-2016), en qualité de directeur du service des sports de France Télévisions, malgré des critiques en interne et des polémiques.
Parmi elles: l'intégration d'Elodie Gossuin, Miss France 2001, dans le dispositif de couverture du Dakar, une crise à la rédaction de Stade 2 ou encore une motion de défiance à son encontre.
Daniel Bilalian, alors directeur sportif de France 2 Sports, sur la goélette Daniel Bilalian, alors directeur sportif de France 2 Sports, sur la goélette "La Recouvrance", le 4 juillet 2008 dans la rade de Brest ( Fred TANNEAU / AFP/Archives )
Lui a été reprochée également la couverture des JO de Sotchi en 2014 et certains commentaires sportifs jugés sexistes et approximatifs.
Il avait défendu mordicus sur Europe 1 le tandem constitué de Philippe Candeloro et Nelson Monfort, auteurs de commentaires sexistes lors de ces mêmes JO, expliquant que "ces événements (...) ne sont que du sport, du divertissement, propres à la plaisanterie, à l'enthousiasme, au patriotisme".
"Les journalistes ont commenté avec de l'enthousiasme, peut-être parfois de l'excès d'enthousiasme, de superlatifs ? Et alors, est-ce qu'on peut leur en faire le reproche ? Je leur ai dit que, quand on est au centre de l'actualité, on est au centre des critiques", s'était-il encore défendu.
Rebelote en 2016 avec les Jeux de Rio: une polémique avait éclaté après des propos jugés approximatifs, voire "colonialistes", de deux présentateurs, dont Daniel Bilalian. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA, désormais Arcom) avait mis en garde la chaîne, déplorant des "approximations" et des "erreurs historiques regrettables".
Il avait été remplacé à ce poste très exposé par Laurent-Eric Le Lay, ancien cadre de TF1.
"Journaliste viscéral", il continuait ces dernières années "de lire toute la presse et de suivre la politique", a témoigné son ancien collègue et ami Gérard Holtz sur CNews jeudi.
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