« Le journaliste Jean-François Kahn, fondateur de Marianne et L’Évènement du jeudi est décédé à l’âge de 86 ans. Historien de formation, il s’était tourné vers le journalisme dès la fin des années 50 en intégrant le journal Paris Presse l’Intransigeant, pour lequel il a notamment couvert la guerre d’Algérie, Le Monde, puis L’Express au courant des années 60, où il a suivi cette fois la guerre du Vietnam. »
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J'ai côtoyé de nombreuses années
Bertrand Blier homme d'humour extraordinaire RIP
Le grand réalisateur des Valseuses et de Buffet froid est décédé ce mardi, a annoncé sa famille.
Bertrand Blier est décédé mardi 21 janvier, annonce son entourage à l’AFP. L’un des derniers géants du cinéma français s’en est allé. Il a su inventer son propre univers cinématographique, a écrit et réalisé des films inoubliables pour plusieurs générations, et a dirigé les plus grands acteurs qui se sont bousculés au portillon de ses plateaux de tournage pour être de la partie... Grand lecteur, c’est aussi un mélomane avisé, fanatique de jazz et de musique classique.
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Voilà un auteur disparu que j'avais rencontré en dédicace dont je garde bon souvenir et dont j'avais adoré la précision du dessin dans la revue "Circus" chez Glénat, une belle revue de BD pour adultes dans le sillage de "A Suivre" chez Casterman.
A cette époque, les mœurs étaient libérées et on s'offusquait devant la couverture ci-dessous qui était vraiment considérée comme un chef d'oeuvre et qui largement contribué au succès de la série… Succès que la Maison Glénat à l'époque avait du mal à reconnaitre financièrement provoquant entre autre les départs de Michel Schetter et François Bourgeon, auteur de la série phare "Les passagers du Vent" prépubliée aussi dans "Circus"
Doux souvenirs de lire mon "Circus" au coin du feu en rentrant de coupe de bois, pour prendre un café traditionnel de 16 h 00 avant de s'occuper des vaches à l'étable… Et donc le fumier à sortir à la brouette avec la planche de verne pour monter en haut du tas de fumier benner, puis les vaches à pailler et à traire, l'ensilage à distribuer au baquet !
J'avais rencontré Michel au festival BD de la Bulle d'or à Brignais (69) et j'avais eu grand plaisir à parler dessin et BD durant un bon 20 minutes pour une superbe dédicace aquarellée d'album que j'ai encore regardé il n'y a pas longtemps…
Mort du desinateur de BD Michel Schetter à l’âge de 76 ans
Actualité du 17 janvier 2025 completé de remarques historiques personnelles
Le dessinateur belge Michel Schetter est décédé le 10 janvier dernier à l’âge de 76 ans. Né le 26 septembre 1948 à La Louvière, il est un auteur arrivé tardivement à la BD mais très actif du début des années 1980 aux années 2000. Depuis une vingtaine d’années, il s’était peu à peu consacré à la peinture après avoir tenté l’autoédition à la fin de sa carrière. Il vivait depuis quinze ans à Saint-Cast-Le-Guildo, dans les Côtes-d’Armor.
On l’apprend par le quotidien Ouest-France daté d’hier, le dessinateur belge Michel Schetter a tiré sa révérence le 10 janvier dernier, à 76 ans.
Après deux courts récits dont un Oncle Paul dans Spirou en 1976, il rejoint le Journal Tintin où il multiplie les récits courts et devient brièvement l’assistant aussi bien de Tibet sur Ric Hochet que de Christian Denayer .
Bien qu’ayant travaillé un court temps sur des récits complets d’Yves Duval, il devient rapidement son propre scénariste et se démarque par son appétence pour les sujets historiques et son goût pour les « vérités cachées ». Son premier album, Les Années de feu (1939-1945) aux éditions du Lombard, paru en 1982, s’intéresse à la Seconde Guerre mondiale. Son dessin détaillé sert un scénario documenté qui s’inscrit dans le courant de la BD historique qui est alors, grâce aux éditions Glénat, en plein essor.
Tout en publiant quelques titres aux éditions Bedescope, il rejoint bientôt !’éditeur grenoblois, dans la revue Circus, avec "Cargo", une série d’inspiration d’aventure érotico-fantastique qui sera son plus gros succès. Suit le dyptique de "Yerushalaïm", mis en images par Emmanuel Moynot, inspiré par le film Portier de nuit (1985), puis "Berlin", une dystopie située en Union soviétique (1986).
Scénariste, il écrit en 1985 « Yérushalaïm » inspiré par le film Portier de nuit (1985), destiné à la nouvelle collection naissante de Glénat "Vécu" pour le alors jeune Emmanuel Moynot. Les deux auteurs ne parvenant pas à s’entendre, deux épisodes seulement sont publiés.
Suit le dyptique de "Berlin", une dystopie située en Union soviétique (1986).
Concernant sa rupture avec Glénat, les versions diffèrent notamment pour des histoires de chiffres de vente, mais aussi de niveau de rémunération et l'arrêt de la rémunération des prépublications en revue… L'arrêt par Glénat de ses revues BD phare "Circus" et "Vécu" correspond à un moment dans l'histoire de la bd où l'on considère qu'il a sur-production 'autour de 850 sorties annuelles contre plus de 5200 actuellement) et aussi à l'arrivée de ceux qui feront le grand ménage dans les collections Dargaud.
Le point d'orgue de cette épopée fantastique et fantasque sera dans nulle doute la chute inattendue de la maison d'édition "Les Humaïnodes associées", fondée par Druillet, Moebius Farkas et Dionnet et qui venait de reprendre les auteurs virés par Dargaud… Tout cela se terminera d'ailleurs par un grand nombre d'albums soldés.
Ses relations difficiles et sa défiance vis-à-vis des éditeurs l’amènent à partir de 1991 à créer sa propre maison d’édition -Schetter éditions- où il publie la série "Ying Yang", des aventures inspirées par Pearl Buck se déroulant en Asie, avant de reprendre dans son catalogue la série Cargo à laquelle il rajoute un épisode inédit.
En 2005, il avait publié, sous ce même label, son autobiographie, "Sabre au clair". Un parcours atypique qui fait qu’il est tombé peu à peu dans l’oubli.
Message complété le 18/01/2025 21:18:24 par son auteur.
J'avais oublié encore de parler que Michel Schetter a aussi beaucoup occupé ses dernières années productives à peindre des tableaux dont on pouvait admirer le talent son site internet manifestement fermé et qu'il en éprouvait beaucoup de plaisir (confirmé par lui-même lors d'un rencontre en dédicace…)
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Denis Law, seul Ecossais a avoir remporté le ballon d'or, nous a quittés. RIP
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« Le premier ministre monégasque Didier Guillaume est mort ce vendredi à l’âge de 65 ans, emporté par la maladie. Engagé très jeune en politique pour soutenir la candidature de François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1981, il avait ensuite fait ses classes au sein du Parti socialiste. Figure incontournable du PS de la Drôme, sa terre d’origine, il y avait réalisé plusieurs mandats, dont celui de président du conseil général de 2004 à 2015. En parallèle, au niveau national, il avait été élu sénateur en 2008, puis premier vice-président du Sénat en 2011 et enfin président du groupe socialiste en 2014. »
65 ans… 🙄
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Le cinéma de notre jeunesse continue de tirer sa révérence
Le cinéaste réalisateur Jeannot Szwarc est mort le 15 janvier 2025 à 87 ans.
Jeannot Szwarc est né le 21 novembre 1937 dans le 6e arrondissement de Paris1, sous le nom d’état civil de Jean Szwarc1, d’un père d’origine polonaise. Il est diplômé de l'université Harvard et d'HEC (promotion 1961).
Jeannot Szwarc a mené l'essentiel de sa carrière aux États-Unis comme réalisateur de télévision et de cinéma. Il est notamment à l'origine de la réalisation de la série télévisée L'Homme de fer avec Raymond Burr et des long métrages "Les Dents de la mer, 2e partie (1978)", Quelque part dans le temps (1980) et Supergirl (1984).
Dans les années 1990, il tourne plusieurs films en France. Dans les années 2000, il réalise des épisodes de Ally McBeal, JAG, Smallville, FBI : Portés disparus, Heroes, Bones…
1981 : prix de la critique au Festival international du film fantastique d'Avoriaz pour "Quelque part dans le temps"
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Je vous remets la captivante bande annonce de "Les Dents de la mer 2" , assez terrifiante avec l'inoubliable Roy Scheider,
C'était excellemment bien réalisé et la musique de la BO de John Williams reste inoubliable…
Les Dents de la mer 2ème partie (Jaws 2 - 1978) - Bande annonce d'époque #1 HD VOST
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Gilles Jacob a parfaitement resumé le film de David Lunch « Mulholland drive » : indéchiffrable pour beaucoup et pourtant on l’aime. Perso j’ai préféré « Éléphant Man » plus accessible.
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« David Lynch, géant du cinéma américain à l’influence immense, réalisateur de Twin Peaks et Mulholland Drive, est mort à 78 ans, a annoncé jeudi sa famille dans un communiqué publié sur sa page Facebook. «C’est avec un très grand regret que nous, sa famille, annonçons le décès de l’homme et de l’artiste, David Lynch», relève le communiqué. »
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« Trois décennies durant, le navigateur immobile avait été l’âme et l’unique habitant d’une petite île déserte italienne. A Budelli, un rocher paradisiaque orbitant dans le voisinage d’une île plus vaste, la sauvage Sardaigne, Mauro Morandi s’est longtemps inventé une vie singulière, veillant sur les équilibres délicats de la nature insulaire, heureux de se tenir à distance de la rumeur du monde sans pour autant lui tourner tout à fait le dos. Il est mort à l’âge de 85 ans, vendredi 3 janvier, après avoir été longtemps célébré avec tendresse pour le soin qu’il n’avait cessé de porter au fragile écosystème de l’île aux sables roses, un monde dont il aurait voulu que sa présence soit considérée comme une composante de plein droit. »
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Le critique gastronomique amoureux de l'Auvergne Jean-Luc Petitrenaud est mort
Le célèbre critique gastronomique, Jean-Luc Petitrenaud, est décédé vendredi 10 janvier, à l'âge de 74 ans. Cette figure familière du petit écran est décédée "entourée de ses proches", ont déclaré à l'AFP ses enfants Louise et Antonin Petitrenaud. Né à Clermont-Ferrand, le journaliste, qui présenta Les escapades de Petitrenaud pendant dix ans, avait de fortes attaches avec l'Auvergne.
Jean-Luc Petitrenaud naît le 5 décembre 1950 à Clermont-Ferrand. Il s’intéresse très jeune à la cuisine de terroir, grâce à sa grand-mère paysanne, Louise, et à ses fameux pâtés de pommes de terre. N'étant pas un élève modèle et assidu, il passait ses journées à faire le pitre en imitant ses professeurs, il est renvoyé du collège en 3e pour indiscipline. Son père l’incite à apprendre un métier. Sans conviction, Jean-Luc Petitrenaud obtient un CAP de chaudronnier et de soudeur. Il passe ensuite un diplôme d’éducateur spécialisé et anime des colonies de vacances et des clubs de théâtre.
Tout en continuant son métier d'éducateur dans un centre d'enfants inadaptés, il prend des cours à l'École du cirque Fratellini et portera le surnom de Clown Mime Luc. C'est certainement cette formation qui lui a permis d'acquérir le jeu d'acteur et la théâtralité dont il use dans ses émissions. Marié à une éditrice, Sylvie Desormière, il est le père d'une fille prénommée Louise, en souvenir de sa grand-mère, et d'un fils, Antonin.
Premiers pas sur les ondes de Radio Puy-de-Dôme
En 1984, Jean-Luc Petitrenaud commence à faire des émissions de cuisine sur les ondes de Radio Puy-de-Dôme (Ici Pays d'Auvergne, aujourd'hui). Il diffuse entre autres des portraits féminins souvent savoureux, intitulés Le quart cœur et commence à faire des chroniques gastronomiques.
C’est lorsqu’il est en Suisse que sa carrière de critique gastronomique décolle : Radio suisse romande lui propose une chronique quotidienne sur la cuisine. Ensuite, il va exercer ses papilles à la télé dans Grands gourmands (France 3 de 1997 à 2006), Carte postale gourmande (de 2000 à 2006) et Les Escapades de Petitrenaud sur France 5 (à partir de 2006). Il exerce aussi ses talents sur Europe 1 et dans les pages de L’Express. En 2017, il rejoint Sud Radio pour une émission hebdomadaire, Au bistrot du marché.
Un attachement viscéral à l'Auvergne
Les souvenirs du journaliste gastronomique étaient solidement enracinés à Couleuvre (Allier). Chez cet Auvergnat, le pendant paternel est bourbonnais. Couleuvre, c’est là que résidait sa grand-mère paternelle, Louise.
Dans cette maison, des Rozières, aujourd’hui disparue. "J’y suis retourné, adulte, avant qu’elle ne soit abattue, et tout m’a semblé si petit", confiait-il dans dans une interview à La Montagne.
L’image de cette liberté bourbonnaise, ce sont ces vacances d’été ou ces dimanches, passés dans la maison de Louise Petitrenaud. "Nous habitions à Clermont-Ferrand et l’on s’y rendait le week-end."
En décembre 2018, Michel Drucker avait fait un stop à l'aéroport d'Aurillac pour un brunch sur le tarmac organisé par son ami Jean-Luc Petitrenaud et le boulanger et meilleur ouvrier de France Christian Vabret. Photo d'archives Christian Stavel
Son amour du bon manger, il l'a puisé chez sa mère : "Elle avait une très grande présence aux fourneaux". Et chez sa grand-mère "détentrice de ce lien de famille." Avec une anecdote parmi d'autres : "Ma grand-mère ne savait pas comment nous dire je t’aime, mais elle le faisait à travers un pâté aux pommes de terre. C’est mieux qu’un petit baiser déposé sur le bout du nez d’un enfant de cinq ans."
Souvenir d'enfance qui était aussi lié au territoire. "L'enfance est un refuge, un virus. J'ai un attachement viscéral à la région, pas militant. Je suis très accroché à cette image, quand je reviens en pèlerinage. D'abord les Combrailles, le puy de Dôme, la vue sur la chaîne des puys…"
Un passeur d'émotions
Jean-Luc Petitrenaud était un passeur d’émotions. Un agitateur de bons sentiments qui savait faire remonter à la surface les fumets de notre enfance.
Quel que soit son support d’expression, il a toujours su trouver les mots pour enchanter les moments les plus simples de la vie.
À la radio, on adorait l’entendre vibrionner dans les étals aurillacois des frères Meinier, les "Rapetout" de la boucherie, ou au contact du Pape de la Boulangerie, son ami cantalien Christian Vabret.
A la télé, chaque année, ses escapades dans les cuisines brivistes de Chez Francis ou d’ailleurs régalaient les papilles de tous les fins gourmets réfugiés derrière l’écran.
Son écriture était construite sur les mêmes ressorts. Ciselée, colorée, avec des mots simples et des phrases courtes, elle savait à merveille nous plonger dans le coffre à secrets de nos souvenirs.
Le fils et la fille de Jean-Luc Petitrenaud ont ainsi souligné que leur père était mort "entouré de ses proches". Au cours de sa carrière, le journaliste a travaillé pour Europe 1, L'Express et Sud Radio. Tout en présentant plusieurs émissions sur France 5. C'est en 2017 que le critique gastronomique avait été écarté de la chaîne publique. Il s'était confié à ce sujet lors de sa dernière interview en 2019.
"Je crois que j'ai fait partie de ceux qui atteignaient la limite d'âge. Comme on a décidé dans la haute direction de la télévision française. Comme si derrière chaque jeune il y avait de nouvelles idées. Ce qui peut être juste. Mais pas très juste parfois. Car l'expérience est quelque chose pas si mal que ça notamment dans un domaine comme la table", avait premièrement indiqué Jean-Luc Petitrenaud au micro de Jordan de Luxe.
"Je me suis arrêté. Je voulais écrire mon livre. Et puis après on en a profité pour passer à autre chose et je suis jamais revenu. J'ai été très fatigué. C'est pour ça que j'ai voulu me concentrer sur mon livre. Parce qu'un voyage par semaine avion et compagnie... C'était une forme de lassitude. C'est pour des raisons très personnelles", avait ensuite ajouté l'ancien animateur de France 5. Au cours de ce même entretien, Jean-Luc Petitrenaud avait aussi évoqué son état de santé.
L'ancien animateur de France 5 avait dû faire face à des problèmes de santé
"J'avais mis un genou en terre. Mais aujourd'hui je renais de mes cendres. Et me voilà extrêmement disponible. Prêt et heureux de repalpiter. D'être à nouveau face à une caméra et à nouveau de coudre des histoires. Je trouve qu'à cette époque on manque de plus en plus de cette belle phrase qui plait tant aux enfants : 'Il était une fois'", avait tout d'abord expliqué le journaliste.
"Raconter une histoire aux gens dans un pays actuellement en souffrance de rêves. Ça faisait pas de mal à l'heure du déjeuner d'avoir quelqu'un qui se glissait entre le toast apéritif et la boisson. D'avoir quelqu'un qui venait raconter une histoire de nos racines de nos provinces", avait finalement conclu Jean-Luc Petitrenaud.
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Le journaliste gastronomique Jean-Luc Petitrenaud est mort, ont annoncé ses enfants à l'AFP, vendredi 10 janvier. Il avait 74 ans. Il avait notamment présenté les émissions télé "Carte postale gourmande" et "Les Escapades de Petitrenaud"
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« Le prince Gabriel de Broglie est mort à l’âge de 93 ans. Il était un juriste et historien français, grand défenseur de l’audiovisuel public et de la langue française. Membre de l’Académie des sciences morales depuis 1997, puis de l’Académie française depuis 2001, occupant le fauteuil laissé vacant parAlain Peyrefitte, le prince de Broglie était le cinquième immortel de sa famille à siéger sous la Coupole. Il a été aussi chancelier de l’Institut de 2006 à 2017. Il appartient à la branche cadette de cette grande maison de lointaine origine piémontaise qui a donné tant d’hommes d’État, d’ecclésiastiques, de maréchaux et de savants à la France. »
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Pour ceux qui veulent manifester leur joie du décès d'un ennemi la porte-parole du gouvernement a rappelé une phrase de Jean Marie Le Pen à l'occasion de la mort de Jacques Chirac.
Jean-Marie le Pen : "mort, même l'ennemi a droit au respect"
Ceci suffit pour éteindre des polémiques totalement inutiles.
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Si on pouvait rester dans le sens original de la file, ce serait bien…
: (
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J’ai mis un pouce à l’annonce du décès de Le Pen pour dire « merci » pour l’info. Un pouce n’est pas fatalement une approbation. À mon avis ! 😊
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A propos du décès de JMLP
J’avais demandé au régulateur d’ABCBourse de supprimer si possible mon « pouce » positif sur une remarque de Fipuaa 070125 14 40 31. Comme cela ne semble pas possible je confirme que ce pouce levé est juste une erreur de manipulation en voulant regarder ceux qui approuvaient la remarque. C’est en quelque sorte mon droit de rétractation.
Je ne juge pas l’homme qu’était JMLP, je m’étonnais juste du nombre de fans (plus de 10 pouces levés c’est… rarissime) et je ne voudrais pas être pris pour un « admirateur » du Grand Homme…
J’avoue sur cette liste avoir été surpris de retrouver un intervenant bien connu qui m’avait traité de NAZI et qui pourtant par son approbation semble adhérer à certains propos pour le moins douteux de notre malheureux défunt (Chambre à gaz et détail de l’Histoire). Nous avons tous nos petites contradictions, c’est humain.
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Gilles Dreu
DÉCÈS mardi 07 janvier 2025
Star des années 60, ce célèbre chanteur français nous a quittés
C'est une bien triste nouvelle qui frappe la grande famille de la chanson française. Gilles Dreu, rendu célèbre à la fin des années 60 pour son tube "Alouette, alouette", s'est éteint ce mardi 7 janvier.
https://youtu.be/uCDN5bl2EcM
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waine70
On a eut Jacquot avec le bruit et les odeurs…//.. N'attendez rien des autres ni d'en haut... » »
(sur la musique de je ne sais pas qui) - pour égayer un peu la rubrique "décès"
T’as voulu avoir Jacquot, on a eu Jacquot,
T’as voulu avoir Sarko, on a eu Sarko,
Mais je te le dis,
J’veux pas des autres partis.
N'attendez rien des autres ni d'en haut...
N'attendez rien ni d'en bas...
Ni de droite, ni de gauche,
Ce sont tous des gogos, ....
La la la...
Ça vole très bas,
Ô, que tout ça est moche,
Ce ne sont tous que des charlots,
Gaïe, gaïe , Chauffe !
Chauffe Marcel, chauffe,.
Tous ne pensent qu’à la gamelle,
Tous se vendent pour un caramel,
Ils nous en ont fait démonstration,
Dès le tout début de l’ère macron.
Gaïe, gaïe , Chauffe !
Chauffe Marcel, chauffe,.
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Un visionnaire qui aura eu raison sur tout
Le réel aujourd'hui le prouve et même au delà de ses prévisions, la classe politique et médiatique qui se bouchait le nez à son époque peut aller se cacher de honte
R I P Jean Marie
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On a eut Jacquot avec le bruit et les odeurs.
On a eut Sarkoko et son Karcher.
Et puis rien.
Alors Jean Marie.... Blablabla avec une plus grande bouche...?...
Pour mémoire, De Gaulle n'est apparu qu'après la débâcle totale.
N'attendez rien des autres ni d'en haut...
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