Alexeï Navalny est décédé en prison. Jusqu'au bout il s'est opposé aux dirigeants du Kremlin mais.......
RIP
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Décès à 84 ans du distributeur de cinéma René Chateau le 14 Février 2023
"Mort de René Chateau : c'était le pape de la cassette vidéo" - Le Parisien
René Chateau nous a quittés. Ce mercredi 14 février, Var-Matin confirme le décès du distributeur mythique du cinéma en France et annonce la date de ses obsèques.
Le monde du cinéma est en deuil. L'éditeur emblématique de films français René Chateau "est décédé dans la plus grande discrétion en tout début de semaine dernière dans le golfe de Saint-Tropez", nous apprend Var-Matin ce mercredi, soit la veille des obsèques du regretté. Celles-ci se dérouleront, en effet, ce jeudi 15 février 2024 à Vidauban, indique le quotidien régional. L'entrepreneur de 84 ans a marqué le septième art en se dressant comme précurseur et propulseur de talents en France.
René Chateau, connu pour avoir été un distributeur de films français influent des années 1960 et 1970. Il était également reconnu pour avoir joué un rôle clé dans le développement et la popularisation de l'industrie de la cassette vidéo en France. Il est décédé à l'âge de 84 ans.
René Chateau est né le 3 juillet 1939 au Mans, en France.
Il a grandi dans des circonstances modestes après que ses parents ont divorcé, suivant sa mère au Pré-Saint-Gervais. À l'âge de 14 ans, il a décroché son certificat d'études et a commencé à travailler. En 1955, il est devenu apprenti chez Honoré et Villanova, une entreprise de maçonnerie et de carrelage à Paris.
Parallèlement, sa passion pour le cinéma l'a conduit à fréquenter assidûment les salles de quartier, les ciné-clubs parisiens et les cinémas emblématiques de la ville. En 1960, avec deux amis du "Club James Dean", Francis Gendron et Marcel Lannoy, il a fondé la revue de cinéma La Méthode, inspirée par l'Actors Studio et mettant en lumière des figures telles qu'Elia Kazan et Marlon Brando.
René Chateau était également un habitué des Congrès Indépendant du Cinéma International (C.I.C.I).
L'Homme des coulisses du cinéma français
René Chateau, plongeant dans le monde du cinéma, prodigue des conseils à des acteurs comme Anny Duperey pour Jean-Luc Godard ou Gérard Blain pour José Bénazéraf. Son engagement dans les relations presse pour le film de José Bénazéraf, "Du suif chez les dames", rebaptisé par Chateau "Joë Caligula", s'avère désastreux lors de la projection presse, l'amenant à déclarer qu'il ne ferait plus jamais une telle projection.
En 1964, avec l'appui de Jacques Prévert, Siné et Ursula Vian, il organise une exposition sur Boris Vian et publie un numéro spécial de la revue cinématographique "L'Âge d'or" consacré à "Boris Vian et le Cinéma".
Ses compétences lui valent un poste au magazine "Lui", où il est responsable de la rubrique cinéma. Il interviewe des personnalités majeures telles que Jean-Paul Belmondo, Alain Delon et Henri-Georges Clouzot. En 1965, grâce à ses contacts, il orchestre la ressortie des films de James Dean et la première de "Qui a peur de Virginia Woolf ?" pour la Warner Bros.
En 1967, dans le cadre du lancement de "Bonnie and Clyde" d'Arthur Penn pour la Warner, il persuade Serge Gainsbourg de composer une chanson sur le couple de gangsters, interprétée avec Brigitte Bardot et immortalisée par François Reichenbach.
Serge Gainsbourg et Brigitte Bardot "Bonnie and Clyde" | Archive INA
Le complice de Belmondo dans le cinéma français
En utilisant son réseau, il réussit également à présenter Gainsbourg au producteur du film "Ho!", mettant en vedette Jean-Paul Belmondo.
En 1967, René Chateau entame une collaboration fructueuse avec Jean-Paul Belmondo, rencontré deux ans auparavant. Devenant son attaché de presse, publicitaire, et même actionnaire dans sa société de production Cerito Films, Chateau joue un rôle crucial dans la carrière de Belmondo, faisant de lui le seul acteur depuis Charlie Chaplin à être distributeur de ses propres films. Leur partenariat se concrétise avec Cerito-René Chateau Distribution.
Belmondo lui-même loue le génie de Chateau dans la communication et la promotion, soulignant notamment son influence dans la conception des affiches de ses films et sa stratégie novatrice de communication. Ensemble, ils révolutionnent les méthodes de promotion en choisissant de ne plus organiser de projections privées pour les journalistes cinéma, afin que ces derniers découvrent les films en même temps que le public.
Pendant quinze ans, ce tandem accumule les succès populaires avec des films tels que "Flic ou Voyou", "Le Professionnel", "Le Guignolo" et "Les Morfalous". Leurs collaborations connaissent des records de fréquentation, comme avec "L'As des as" de Gérard Oury et "Le Marginal" de Jac
Chateau a eu une relation amoureuse avec l'actrice Brigitte Lahaie dans les années 1980, et il a écrit et produit le film "Les Prédateurs de la nuit", réalisé par Jésus Franco en 1988, pour elle.
Parcours et polémiques
En 1980, René Chateau propose à Jean-Paul Belmondo de devenir distributeur, lui permettant ainsi de contrôler tous les aspects de la production et de la sortie de ses films. Cette initiative donne naissance à Cérito & René Chateau. En 1990, Belmondo cède la société pour 43 millions d'euros à Canal+.
Après la fin de sa collaboration avec Belmondo en 1985, marquée par des désaccords et des interviews controversées pendant le tournage de "Joyeuses Pâques", René Chateau se consacre pleinement à sa propre société.
En 2004, le journaliste Jean-Luc Douin du Monde publie une enquête intitulée "Les Jours obscurs de Gérard Lebovici" (Stock), suggérant dans certaines hypothèses sur la mort de Lebovici la possible implication de René Chateau. Ce dernier engage alors des poursuites en diffamation contre Douin, et remporte le procès.
Passionné du cinéma français
René Chateau, passionné de cinéma et grand collectionneur de photos et d'affiches, a publié plusieurs ouvrages consacrés à l'histoire et aux figures marquantes du cinéma français. Parmi eux, on retrouve deux livres sur les plus belles affiches des années 1930-1940 et des années 1950, édités aux éditions La Mémoire du cinéma.
En 1995, il publie "Le Cinéma français sous l'Occupation, 1940-1944", un ouvrage exhaustif de 530 pages retraçant le parcours du cinéma français pendant la période de l'Occupation nazie, avec de nombreux témoignages et documents inédits. En 1995 également, à l'occasion du dixième anniversaire de la disparition de Michel Audiard, Chateau édite un livre intitulé "Audiard par Audiard", rassemblant les meilleurs dialogues, textes, interviews et polémiques de l'auteur. Ce livre, réédité en 2011 avec du contenu supplémentaire, rencontre un succès notable.
Malgré ses contributions significatives au cinéma français, René Chateau exprime sa frustration face à certaines tentatives de l'ignorer dans des hommages cinématographiques, comme dans le cas d'un film dédié à Belmondo présenté à Cannes en 2011, où son nom aurait été sciemment omis.
René Chateau : Mémoire du cinéma Français
Gardien de la mémoire cinématographique française
René Chateau, animé par sa passion pour le cinéma français, lance en 1979 une ambitieuse entreprise de restauration et de mise en valeur du patrimoine cinématographique français avec sa collection vidéo, La Mémoire du cinéma français.
Malgré l'absence de subventions, cette initiative rencontre un franc succès, notamment parce que les chaînes câblées n'existent pas encore et que les films de ce genre sont peu diffusés à la télévision. En 1980, il fonde sa société d'édition vidéo, publiant des films comme "Massacre à la tronçonneuse" et "James Dean Story", ainsi que des films d'horreur. Grâce à la vente des droits télévisés à La Cinq, il acquiert un hôtel particulier à Paris et une villa à Saint-Tropez.
Par la suite, René Chateau se tourne vers la promotion des films de Bruce Lee en France, connaissant un grand succès avec "La Fureur du dragon". Avec les bénéfices accumulés, il rachète les actifs de vingt sociétés de production françaises, ainsi que les droits de distribution de plusieurs films de Sacha Guitry, élargissant ainsi son catalogue à plus de 1 000 films.
En parallèle, il édite en VHS des classiques du cinéma français tels que "La Fin du jour" et "La Belle Équipe" de Julien Duvivier, ainsi que des œuvres majeures comme "Shoah" de Claude Lanzmann et "Les Tontons flingueurs" de Lautner et Michel Audiard.
• Interview René Chateau : Un long entretien avec l'éditeur vidéo René Chateau à propos de "Massacre à la tronçonneuse".
https://www.youtube.com/watch?v=ObGLPlQQ8zU
• René Chateau : Mémoire du cinéma Français
https://www.youtube.com/watch?v=7HEOaFq3Ic8&t=32s
Et un petit bonus ! Le premier film de Bruce Lee, un fameux long-métrage du Catalogue René Chateau !
• Le Retour du Dragon (1974) VHS René Chateau (1ère édition 1982)
https://www.youtube.com/watch?v=Urk2MLbpPqQ
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Et surtout qu'il pensait que le 14 avril prochain à Rotterdam être le premier à descendre sous la barre des 2 heures. RIP
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Le recordman du monde du marathon, le Kényan Kelvin Kiptum, est mort dans un accident
L'athlète kényan Kelvin Kiptum est décédé dimanche soir dans un accident de la route dans le centre du Kenya. Qualifié de "sportif extraordinaire" par le président kényan, il détenait le record du monde du marathon depuis 2023 (2 h 00 min et 35 sec).
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Mort de l'acteur Carl weathers
L'acteur Carl Weathers, qui était connu pour son rôle d'Apollo Creed dans "Rocky", est mort ce jeudi 1er février 2024 à l'âge de 76 ans.
Carl Weathers, né le 14 janvier 1948 à La Nouvelle-Orléans (Louisiane) et mort le 1er février 2024 à Los Angeles (Californie), est un footballeur, acteur, réalisateur et producteur américain1.
Apparaissant dans 75 films et émissions de télévision au cours de ses cinquante années de carrière, Carl Weathers est notamment connu pour avoir incarné le rôle du boxeur Apollo Creed dans les quatre premiers films de la saga Rocky (1976-1985) aux côtés de Sylvester Stallone, et celui du major George Dillon dans le film Predator (1987) aux côtés d'Arnold Schwarzenegger.
En 2019, il incarne le rôle de Greef Karga dans la série en prise de vues réelles The Mandalorian, issue de l'univers Star Wars. Il est également réalisateur de plusieurs épisodes dans les trois saisons de la série.
Avant d'être acteur, Carl Weathers est joueur de football américain dans l'équipe des Oakland Raiders de la NFL, et dans celle des Lions de la Colombie-Britannique de la LCF.
En 1974, après avoir obtenu son diplôme en Arts du Théâtre à l'Université d’État de San Diego, il arrête le sport de compétition pour se consacrer à son art.
Carl Weathers est surtout connu pour avoir incarné le personnage d'Apollo Creed, le premier adversaire puis l'ami de Rocky Balboa (Sylvester Stallone) dans la saga Rocky (du premier volet Rocky en 1976, jusqu'à Rocky IV en 1985, au début duquel son personnage meurt lors d'un combat).
Il apparaît aussi dans le film Predator (1987) de John McTiernan aux côtés de Arnold Schwarzenegger (futur gouverneur de Californie) et de Jesse Ventura (futur gouverneur du Minnesota). Carl Weathers apparaîtra l'année plus tard dans un segment de l'émission humoristique Saturday Night Live annonçant qu'il se lance à son tour en politique, appelant les gens à voter pour lui au motif qu'il était « le mec noir dans Predator ».
En 2006, quand Sylvester Stallone demande aux anciens acteurs des quatre premiers volets de la saga Rocky leur autorisation pour inclure des images d'archive les représentant dans le film Rocky Balboa, les acteurs Mr. T et Dolph Lundgren acceptent, mais Carl Weathers pose comme condition d'avoir un rôle effectif dans ce film (alors même que son personnage est mort depuis plus de vingt ans au moment où se déroule le récit). L'acteur n'y apparaît donc pas, et ce sont des images d'un autre boxeur noir qui sont incluses au montage. Plus tard, en revanche, l'acteur accepte l'utilisation d'images d'archives le représentant pour les films Creed (2015) et Creed II (2018), centrés autour du fils d'Apollo Creed.
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Badinter DCD....c'est bien trop tard...!
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S'il a été député, voire récidiviste (!), hou la retraite !!
Quelques." Petits" millions !
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Va être accueilli froidement par toutes les victimes tués par les multi récidivistes sérial killer
Il a du sang sur les mains ce fumier.
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à 4 ans près, il aurait la concession perpétuelle de 99 ans.
Je me souviens gamin de tout le bazar aux JT de Giquel : le moins qu'on puisse, c'est qu'il avait de l'animation dans le poste TV noir et blanc !
: )
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Ah oui, très juste 😊
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La peine de mort est pour tout le monde alors ...?....
Je sors !....
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Robert Badinter, l'ancien ministre de la Justice de François Mitterrand qui a porté l'abolition de la peine de mort en France, est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi, à l’âge de 95 ans.
REP 😕
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L'ethnologue, explorateur et scientifique Jean Malaurie nous a quittés à l'âge de 101 ans. Il était le fervent défenseur des peuples du Grand Nord. RIP
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Le prince Victor-Emmanuel de Savoie, fils du dernier roi d'Italie, est décédé ce samedi à Genève, en Suisse, à l'âge de 86 ans après un long exil.
« Son altesse royale, Victor-Emmanuel, duc de Savoie et prince de Naples s'est éteint paisiblement à Genève entouré de sa famille », indique un bref communiqué de la maison royale des Savoie cité par les médias, précisant que le lieu et la date des obsèques seront annoncés ultérieurement.
En exil pendant 56 ans
Victor-Emmanuel de Savoie, né le 12 février 1937 à Naples, était le chef de la maison des Savoie qui régna sur l'Italie unifiée de 1861 à 1946 et le fils du dernier roi, Umberto II, qui n'a occupé le trône que de mai à juin 1946.
Il a quitté l'Italie à l'âge de 9 ans, banni avec tous les descendants mâles de la maison royale par la Constitution de 1946 pour sanctionner la collaboration de son grand-père, Victor Emmanuel III, avec le régime fasciste et la signature des lois raciales.
Il n'a pu revenir dans la péninsule qu'en décembre 2002, après la levée de l'exil votée par le Parlement italien. Pour l'obtenir, il avait dû jurer fidélité à la République, un geste auquel il s'est longtemps refusé.
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C’était une légende du sport français.
Repose en Paix.
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Athlétisme : le vice-champion olympique Michel Jazy est mort à Dax, à l’âge de 87 ans
Vice champion olympique et multiple recordman du monde (sur le mile, le 3000m, le 2 miles et le 2000m), Michel Jazy s’est éteint ce jeudi 1 février à l’âge de 87 ans, dans les Landes
C’est une légende de l’athlétisme français qui nous a quittés. Michel Jazy est décédé ce mercredi 1er février après avoir été admis à l’hôpital de Dax mercredi. Il avait 87 ans.
Plusieurs fois recordman du monde, deux fois champion d’Europe et vice-champion olympique du 1 500 m en 1960, l’ancien athlète français qui vivait dans les Landes, à Hossegor, est décédé à l’hôpital de Dax ce jeudi 1er février 2024.
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Mort du magnat Iskandar Safa, propriétaire de l’hebdomadaire « Valeurs actuelles »
Très secret, l’homme d’affaires franco-libanais, né en 1955, possédait notamment de nombreux chantiers navals. Il a succombé à une « maladie grave », précise un communiqué du magazine qu’il avait racheté en 2015
Le magnat franco-libanais des chantiers navals Iskandar Safa, propriétaire de l’hebdomadaire Valeurs actuelles, est mort, lundi 29 janvier, a annoncé le directeur de la direction de cette publication.
« Nous sommes ce soir bouleversés de vous informer du décès de notre propriétaire, Iskandar Safa. Parti avec la dignité du chevalier qu’il était. Que Dieu bénisse son âme et protège sa famille, qui comptait tant pour lui », a écrit Tugdual Denis sur le réseau social X.
« Guerrier jusqu’au bout, il a affronté ces derniers mois une maladie grave, mais celle-ci a eu raison de son courage. Il est décédé, debout, le 29 janvier 2024, à Mougins, entouré de la chaleur des siens », précise un communiqué écrit par la rédaction de l’hebdomadaire et diffusé sur son site Internet.
Négociateur de la libération des otages au Liban
Né en 1955 dans une famille chrétienne, l’homme d’affaires a été l’un des négociateurs de la libération en 1988 des otages français au Liban. Il s’est fait connaître du grand public en 1992 en rachetant les chantiers de constructions mécaniques de Normandie (CMN).
Très secret, M. Safa contrôlait des chantiers navals à Cherbourg (CMN), en Grèce, à Abou Dhabi et en Allemagne, au nord de Hambourg (GNYK pour les grands navires militaires et Nobiskrug, d’où est sorti en 2017 le plus grand yacht voilier du monde). Il comptait parmi ses clients six grandes marines nationales. Il avait racheté Valeurs actuelles en 2015 pour 9,2 millions d’euros, selon les comptes de la holding montée pour l’occasion.
En 2019, il avait été candidat à la reprise de Nice-Matin. Sa fortune, et celle de son frère Akram, s’élevait à 1,45 milliard d’euros en 2023, selon le magazine Challenges.
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Peut être que d'autres excès accompagnaient généreusement ce flot de pensées.
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« plus on pense plus on meurt jeune »
Je ne pense pas 😊
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Fibopivots
« « Mr Desmarets atteint d'Alzheimer…//.. plus on pense plus on meurt jeune ! » »
Ça me rassure. J’ai donc bon espoir de vivre très vieux.
Je comprends maintenant pourquoi nos chefs d’état meurent si vieux.
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