OK
Accueil > Communauté > Forum Or (once en $)

Et à la fin il ne restera plus que l'OR. - Page 23

Cours temps réel: 3 344,00  0,55%



MITTE MITTE
04/04/2025 18:23:24
1


Alors si on considère que l'Or n'est pas une valeur refuge, il faut tout vendre.



  
Répondre
Anjou49 Anjou49
04/04/2025 16:39:40
0

Alors peut-on dire que l’or, comme toute chose, à ses limites et que sa qualité de valeur refuge peut-être très chahutée voire mis à mal ?

  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 15:26:07
0

Baisse du prix de l'or suite à de nouvelles prises de bénéfices et à une faible liquidation des positions longues
Kitco Media
Par Jim Wyckoff
Publié :
14:50
Mis à jour :
14:55


(Kitco News) - Le prix de l'or est en baisse et l'argent a fortement chuté, atteignant son plus bas niveau en neuf semaines vendredi en début de séance aux États-Unis. Alors qu'une forte aversion au risque imprègne le marché en fin de semaine, les métaux refuges subissent une pression accrue en termes de prises de bénéfices et de faible liquidation des positions longues de la part des traders de contrats à terme à court terme. L'or a reculé de 21,60 $ en juin, à 3 100,10 $. L'argent a reculé de 1,015 $ en mai, à 30,955 $.

Les turbulences sur les marchés mondiaux ont éclipsé le rapport sur l'emploi américain de mars, publié vendredi matin par le ministère du Travail. Le chiffre clé de l'emploi non agricole a enregistré une hausse plus forte que prévu de 228 000, contre une hausse de 140 000 attendue, et une hausse révisée à la baisse de 117 000 dans le rapport de février.

Les marchés boursiers asiatiques et européens ont affiché une forte baisse durant la nuit. Les indices boursiers américains sont de nouveau orientés à la baisse et à des plus bas mensuels à l'ouverture aujourd'hui à New York. L'aversion au risque reste très élevée en fin de semaine, après l'annonce mercredi des droits de douane américains et les mesures de rétorsion prises par les autorités américaines. En tête des représailles, la Chine vient d'annoncer de nouveaux droits de douane de 34 % sur tous les produits américains entrant dans la deuxième économie mondiale.

Le marché à terme des fonds fédéraux anticipe désormais cinq baisses des taux d'intérêt américains cette année. À raison de 0,25 % pour chaque baisse, cela représente une baisse totale de 1,25 % cette année. Les analystes estiment que les contrats à terme sur les fonds fédéraux anticipent une récession aux États-Unis.

L'investisseur légendaire Warren Buffet a déclaré par le passé qu'il aimait acheter des actions lorsque le sang coule dans la rue. Il a également déclaré que lorsque la plupart des autres sont avides, il est craintif, et que lorsque la plupart des autres sont craintifs, il est avide. Nombreux sont ceux qui s'accordent à dire que c'est le cas aujourd'hui.

Le yen japonais et le franc suisse sont des valeurs refuges à l'achat cette semaine.

Les principaux marchés extérieurs aujourd'hui voient l'indice du dollar américain légèrement en hausse, mais pas au-dessus de son plus bas de six mois de jeudi. Les prix à terme du pétrole brut sur le Nymex sont en forte baisse, atteignant leur plus bas niveau depuis près de quatre ans et s'échangent autour de 62,00 $ le baril. Le rendement de l'obligation de référence du Trésor américain à 10 ans est désormais inférieur à 4 %, à 3,9 %. Dans un marché perturbé, les bons du Trésor américain connaissent une fuite vers les titres de qualité.

Techniquement, les investisseurs haussiers sur les contrats à terme sur l'or de juin bénéficient toujours d'un solide avantage technique à court terme. Leur prochain objectif de hausse est de clôturer au-dessus de la résistance solide du plus haut du contrat à 3 201,60 $. Leur prochain objectif de baisse à court terme est de faire passer les contrats à terme sous le support technique solide de 3 031,00 $. La première résistance se situe à 3 150,00 $, puis au plus haut de la nuit à 3 160,20 $. Le premier support est observé au plus bas de la nuit à 3 089,30 $, puis au plus bas de la semaine à 3 073,50 $. Note de marché de Wyckoff : 8,5.

Les baissiers sur les contrats à terme sur l'argent de mai bénéficient d'un avantage technique global à court terme. Le prochain objectif de hausse des haussiers de l'argent est une clôture au-dessus de la solide résistance technique à 33,00 $. Le prochain objectif de baisse pour les baissiers est une clôture sous le support solide du plus bas de décembre à 29,405 $. La première résistance est observée à 31,50 $, puis à 32,00 $. Le prochain support est observé au plus bas de la nuit à 30,81 $, puis à 30,50 $. Note de marché de Wyckoff : 4,0.


Kitco Media
Jim Wyckoff

.......................................................................................;

La kijun tient toujours.



  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 14:52:37
1

Font ch..r les ricains. Là-bas ils n'aiment pas trop l'Or. Les futures juin sont vendus.

Pour le moment la kijun tient. Faut qu'elle tienne.

Pas ( encore ) gagné.

Bon la baisse de l'Or c'est rien eu égard à ce que les marchés actions prennent.

Ça tient pour le moment parce que les stats de l'emploi us ont boosté le $, ce qui profite à l'Or côtée en €.

Wait and see.

  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 14:41:04
0

Explosion des créations d'emplois aux usa !

14:30 USD Créations d'emplois dans le secteur non agricole (Mar) 228K 137K 117K

Avec un salaire horaire moyen qui ne bouge pas

14:30 USD Salaire horaire moyen (Mensuel) (Mar) 0,3% 0,3% 0,2%

Mais un taux de chômage en légère hausse

14:30 USD Taux de chômage (Mar) 4,2% 4,1% 4,1%

Amha, comme l'économie tourne bien les gens s'inscrivent au chômage pour trouver du boulot.

La FED n'est pas prête de baisser ses taux.

Les marchés ne vont pas apprécier.

  
Répondre
Babou120 Babou120
04/04/2025 13:33:48
0

Record du Nap à 560 €.

  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 12:52:37
0

On repasse positif sur l'Or en €.

En hausse de 0,17 % sur les 2823 €.

Faut attendre le NFP.

  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 12:49:35
0

Ça ne va pas être du gâteau !


Tarifs douaniers : le pire cauchemar économique de l’Europe vient de se réaliser
Par
ING Economic and Financial Analysis
Auteur
Carsten Brzeski
Aperçu des marchés
Publié le 04/04/2025 09:04

Les droits de douane réciproques de 20 % imposés par les États-Unis à l’Union européenne feront mal.

Il a aggravé les perspectives à court terme de la zone euro. Aujourd’hui, tout dépend de la capacité des gouvernements européens à mettre en œuvre les mesures de relance budgétaire et les réformes prévues pour renforcer les économies nationales

Les tarifs douaniers annoncés mercredi par Donald Trump devraient être le dernier rappel pour l’Europe que la relation transatlantique a changé pour de bon. Et cela ne s’applique pas seulement aux politiques de sécurité et de défense.

Depuis les élections américaines de novembre, il est clair que les politiques économiques américaines envisagées étaient une sorte de version moderne de la politique du chacun pour soi, renforçant l’économie américaine et cannibalisant d’importants partenaires commerciaux.

Alors que les politiques énergétiques et les réductions d’impôts prévues n’ont pas encore été mises en œuvre, les droits de douane annoncés hier, combinés aux droits de douane antérieurs sur les futures sur l’acier, l’aluminium, et les véhicules automobiles, nuiront à l’économie de la zone euro.

Même s’il n’y a pas de gagnants dans les guerres commerciales, certains perdent plus que d’autres. Alors qu’au cours des dernières semaines, les perspectives à long terme de l’Europe s’étaient nettement améliorées grâce aux initiatives européennes en matière de défense et au revirement budgétaire de l’Allemagne, les tarifs douaniers viennent d’assombrir les perspectives à court terme.
Que savons-nous des tarifs douaniers ?

Le "jour de la libération" s’est transformé en "jour de l’application des droits de douane" lorsque le président Trump a signé un décret introduisant des droits de douane réciproques sur ses partenaires commerciaux. Ces droits de douane ne sont pas appliqués sous la forme pure d’une correspondance avec le différentiel tarifaire exact imposé par d’autres pays sur les marchandises importées.

Au lieu de cela, ils incluent des barrières "non monétaires" telles que les taux de change, les normes techniques et la TVA, comme le souligne le rapport de l’USTR sur les barrières au commerce extérieur qui sera bientôt publié. Ces "tarifs réciproques réduits", comme l’a décrit le président Trump, couvrent environ la moitié de ce qui est facturé aux États-Unis, selon l’administration américaine. Il n’y a pas de fin bien définie à ces tarifs ; ils entreront en vigueur le 9 avril.

Chaque pays est considéré individuellement et reçoit son propre taux tarifaire. Lors de l’annonce des droits de douane dans la roseraie, un panneau d’affichage indiquait que la Chine était le plus grand délinquant commercial, recevant un "droit de douane réciproque réduit" de 34 %. L’UE suivait avec un tarif de 20 %, et le Viêt Nam avec 46 %. Il semble que, du moins pour l’instant, le Canada et le Mexique ne soient pas soumis aux droits de douane réciproques d’hier.

On ne sait pas encore si ces tarifs nouvellement annoncés viendront s’ajouter aux tarifs déjà existants ou s’ils seront considérés séparément. En d’autres termes, une voiture importée d’Europe sera-t-elle frappée d’un droit de douane de 47,5 % ou "seulement" de 27,5 % ? Nous n’en sommes pas absolument sûrs, mais les dirigeants européens espèrent qu’ils ne seront pas empilés les uns sur les autres, et c’est en tout cas ce que suggère la liste de conditions.

La réaction de l’UE

L’Union européenne a reporté à la mi-avril sa première série de contre-tarifs. Les responsables ont toujours exprimé leur préférence pour la négociation et leur ouverture au dialogue. Toutefois, l’UE a également fait savoir qu’elle prendrait des mesures de rétorsion si aucune solution n’était trouvée.

L’UE privilégie une "solution négociée" afin d’éviter tout préjudice économique mutuel. Le ministre allemand des finances, Jörg Kukies, a récemment appelé à la création d’une zone de libre-échange entre les États-Unis et l’Union européenne, réduisant ainsi les droits de douane à zéro pour les deux parties.

Bien que cette proposition soit admirable, elle entraînerait probablement de longues négociations. Par conséquent, proposer d’acheter davantage de produits fabriqués aux États-Unis pourrait être un moyen plus rapide de parvenir à un accord. Toutefois, le discours prononcé ce soir par le président américain Trump n’a pas vraiment donné l’impression qu’il y avait une grande marge de manœuvre pour les négociations.

"Il n’y a pas beaucoup de marge de manœuvre pour les négociations

L’UE a déclaré à plusieurs reprises qu’elle était prête à prendre des contre-mesures fermes si nécessaire pour protéger ses intérêts. À quoi cela ressemblerait-il ?

Dans un premier temps, l’UE rétablira les droits de douane précédemment suspendus sur une série de produits américains et appliquera des droits de douane compensatoires encore plus élevés sur des produits tels que les produits agricoles et alimentaires, les textiles et les vêtements, les chaussures et les couvre-chefs, les meubles et la literie, les appareils ménagers et les outils, les matériaux de construction, les produits optiques, les métaux précieux et l’éclairage.

Les États-Unis représentant 13,7 % du total des échanges extracommunautaires, cette mesure aura un impact considérable sur les exportateurs américains, surtout si d’autres pays prennent des mesures de rétorsion similaires.

En réponse aux droits de douane imposés au titre de l’article 232 sur l’acier, l’aluminium, les voitures et les pièces détachées, l’UE peut rapidement appliquer des droits de douane de rétorsion sans que les parlements nationaux n’aient à effectuer de contrôle de subsidiarité.

L’UE agit au nom de ses États membres par le biais du "règlement sur l’application des règles commerciales", qui lui permet de suspendre ou de retirer des concessions ou d’autres obligations découlant d’accords commerciaux internationaux lorsque des pays tiers enfreignent ces accords et portent atteinte aux intérêts commerciaux de l’UE, ce qui lui permet de prendre des contre-mesures (immédiates).

Envisageant des mesures plus profondes et plus efficaces à l’encontre des entreprises américaines, l’UE envisage de cibler le secteur des services. Cela pourrait impliquer la mise en œuvre de réglementations plus strictes sur les "Big Tech" ou, dans le cadre de l’instrument de lutte contre la coercition (ACI), le report de la délivrance de licences commerciales pour les entreprises américaines, la limitation de leur accès aux marchés publics, la restriction des droits de propriété intellectuelle ou l’interdiction pure et simple des investissements dans l’UE.

Toutefois, l’application de contre-mesures au titre de l’ACI nécessiterait le feu vert d’une "majorité qualifiée" de 15 des 27 États membres, représentant au moins 65 % de la population de l’Union. En outre, toute réaction au titre de l’ACI prendrait environ huit semaines et ne pourrait être déclenchée si les droits de douane de M. Trump n’étaient pas punitifs ou si leur adoption était subordonnée à des changements politiques opérés par l’UE et ses États membres.

Ce que cela signifie pour les économies européennes

Certes, beaucoup de choses restent floues et il est presque impossible de quantifier pleinement l’impact d’un tel tsunami tarifaire, qui ramènerait en réalité les niveaux tarifaires des années 1930. Les droits de douane généraux de 20 % pourraient réduire de 0,3 point de pourcentage la croissance du PIB de la zone euro au cours des deux prochaines années, si l’on se concentre uniquement sur l’impact commercial direct et indirect. Il est intéressant de noter que les exportations de la zone euro vers les États-Unis avaient augmenté de manière significative avant l’annonce des tarifs douaniers, et l’effet le plus immédiat sera l’inversion de la tendance à la préconcentration lorsque les tarifs entreront en vigueur.

Mais il n’y a pas que l’impact direct. Pensez aux effets secondaires sur la confiance que ces droits de douane auront déjà sur les consommateurs et les entreprises européens. Il est probable que la consommation et les investissements soient freinés. La croissance économique de la zone euro s’en trouverait ralentie.

Plus tôt dans la journée de mercredi, Bloomberg a fait état d’un éventuel programme de soutien de la Commission européenne, accompagnant les contre-mesures prises à l’encontre des États-Unis, qui pourrait contribuer à atténuer l’impact sur les secteurs les plus durement touchés. Si tel était le cas, cela limiterait naturellement l’impact à court terme du choc tarifaire, mais la question reste de savoir combien de temps cela peut limiter les retombées sur la demande.

"Nous revoyons à la baisse nos prévisions de croissance du PIB de la zone euro"

Les réformes et les coups de pouce à la compétitivité, également mentionnés, prendraient plus de temps à produire leurs effets et à améliorer matériellement le sort des secteurs vulnérables. Bien que le diable soit dans les détails avec de tels plans, les améliorations structurelles de l’économie de la zone euro ne pourraient pas arriver à un meilleur moment. Pour l’instant, nous réduisons nos prévisions de croissance du PIB de la zone euro à 0,6 % en glissement annuel, contre 0,7 % en glissement annuel, pour 2025, et à 1,0 %, contre 1,4 %, pour 2026

L’évaluation de l’impact sur l’inflation est d’autant plus complexe qu’elle dépendra également de la réaction de l’UE. Dans l’hypothèse de représailles de la part de l’UE, l’inflation en Europe augmentera également. Toutefois, dans le même temps, les droits de douane américains pourraient s’ajouter à des niveaux de stocks déjà élevés et à une faible utilisation des capacités, ce qui constituerait la bonne recette pour une désinflation lorsque les entreprises essaieront de déstocker.
Publicité tierce. Il ne s'agit pas d'une offre ou recommandation d'Investing.com. Lisez l'avertissement ici ou supprimez les pubs.

Dans le même temps, d’autres pays touchés par les droits de douane américains, comme la Chine, pourraient également tenter d’augmenter leurs exportations vers l’Europe en baissant leurs prix. Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, à long terme, une véritable guerre commerciale est susceptible d’être désinflationniste pour l’Europe. Mais à court terme, tous les regards sont tournés vers les contre-mesures de la Commission afin d’évaluer correctement leur impact sur l’inflation.

Les premières contre-mesures entreront en vigueur à la mi-avril, mais elles sont relativement modestes car elles constituent des mesures de rétorsion contre les droits de douane sur l’acier et l’aluminium. Comme la Commission n’a pas encore annoncé de contre-mesures aux annonces d’hier, on ne sait pas encore quel sera l’impact global sur les prix dans la zone euro.

En ce qui concerne la Banque centrale européenne, les derniers commentaires des responsables de la BCE soulignent qu’un groupe important semble toujours soutenir une pause lors de la prochaine réunion, qui se tiendra dans deux semaines. L’inflation mensuelle et l’inflation des services ne sont toujours pas au niveau où elles devraient être, et de nombreux responsables soulignent encore que le travail n’est tout simplement pas terminé.

Cependant, l’appel à une pause était plus fort il y a quelques semaines lorsque les attentes en matière de relance budgétaire ont amélioré les perspectives de croissance de la zone euro (et d’inflation). Avec le choc négatif sur le commerce et la confiance de ce soir et la faible perspective de négociations rapides, les chances que la BCE veuille pousser le taux d’intérêt directeur plus loin en territoire neutre dans deux semaines ont clairement augmenté.

..............................................................................................................................

CAC 40

Graphiquement une possible formation de tasse avec anse inversée.

Retour sur les 6510 € ?

  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 12:20:06
0

L'Or en $ a une meilleure tenue que celle de sa consœur européenne.

L'Or en $ est assise " plus haut dans les cours " sur sa tenkan et sur le retracement fibo des 23,60 %.

Rien de bien méchant.

Mêmes commentaires que ceux faits au post précédent.

On a encore en tête les 4500 $ de Goldman Sachs, 4500 $ qui seraient atteints lors d'une poussée violente avant de retomber par la suite vers un niveau non précisé par GS.

Vu ce qui se passe actuellement sur la planète, l'hypothèse ne serait pas farfelue.

En baisse de 0,56 % sur les 3097 $.

  
Répondre
MITTE MITTE
04/04/2025 12:08:32
0

Bref " coucou " concernant l'Or en € qui, comme avancé hier, se tient plutôt bien eu égard aux mille milliards de capitalisation perdus par les " 7 merveilleuses "

L'Or en € consolide gentiment, bien au chaud entre tenkan et kijun, assise actuellement sur le retracement fibo 38,20 % de la hausse initiée le 11 mars 2025 à partir d'un plus bas des 2655 € jusqu'au plus haut du 3 avril 2025 sur les 2911 €.

Ce serait bien ( l'hypothèse la plus intéressante pour nous ) que l'on se dirige vers un range compris entre les 2911 € ( dernier plus haut ) et les 2783 € ( kijun actuelle et fibo 50 % du retracement en cours ).

La STO, toujours dans sa zone d'évolution normale descend doucement vers sa zone de survente. Il y a encore de la marge, aussi nous pourrions une nouvelle fois aller tester les 2783 €, niveau par deux fois testé depuis les annonces de TRUMP.

La probabilité que l'on se dirigerait vers une stagflation, du fait de l'inflation causée par la hausse des droits de douane dans l'économie mondiale et du fait du ralentissement, voire plus, de cette même économie pour la même cause, ne peut que favoriser l'Or en tant que valeur refuge.

En légère baisse de 0,16 % sur les 2814 €.

Cet aprem les usa publieront leur NFP, stat importante de l'emploi privé et public us sans les emplois agricoles et du taux de chômage.

Les coupes d'emplois publics décidées par Elon MUSK apparaîtront-elles déjà dans le NFP ?

Un NFP moins bon que prévu devrait, normalement, privilégier l'Or.

  
Répondre
MITTE MITTE
03/04/2025 21:22:56
0

Certains opérateurs sur l'Or commencent à mieux cerner la situation.

Et ce n'est pas pour nous déplaire.

......................................................................................................

Le prix de l'or pourrait chuter, mais le risque de baisse est limité, car l'économie américaine se détériore - RBC
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
20:40
Mis à jour :
21:08


(Kitco News) - Le marché de l'or continue de connaître une volatilité accrue, les investisseurs réagissant aux tarifs douaniers mondiaux imposés par le président Donald Trump.

Bien que le prix de l'or puisse encore baisser, une banque canadienne estime que les risques de baisse sont limités.

La semaine dernière, avant l'annonce des tarifs douaniers par Trump, les analystes de RBC Marchés des Capitaux ont revu à la hausse leurs prévisions de prix de l'or, tablant désormais sur un prix moyen de 3 039 $ l'once cette année et de 3 195 $ l'once l'an prochain.

Si RBC entrevoit un solide potentiel de hausse pour l'or, ils soulignent également que la dynamique du marché est surexploitée. Dans ce contexte, les analystes estiment que les prix pourraient tester le support autour de 2 821 $ l'once.

« L'or semble toujours surévalué d'un point de vue macroéconomique, et les incertitudes qui ont propulsé le prix de l'or sont intrinsèquement incertaines », ont déclaré les analystes. « Bien que nous n'excluions toujours pas la possibilité d'une correction après les sommets induits par l'incertitude, il est clair que le sentiment économique s'est détérioré et que l'attrait de l'or est plus durable dans ce contexte, ce qui signifie que les prix élevés devraient se maintenir.»

Jusqu'à présent, le prix de l'or a réussi à maintenir son support initial à 3 050 $ l'once. L'or au comptant s'échangeait à 3 106,30 $ l'once, en baisse de près de 1 % sur la journée.


Bien que le prix de l'or continue de fluctuer près de ses récents sommets historiques, au-dessus de 3 100 $ l'once, RBC a déclaré que le métal précieux pourrait avoir besoin d'un nouveau catalyseur pour atteindre de nouveaux sommets.

« Nous pensons qu'une nouvelle hausse dépendra de la transformation de la faiblesse des données statistiques en faiblesse des données statistiques. Cela entraînerait une hausse plus agressive des prix, menée par les investisseurs, vers notre sommet », ont déclaré les analystes.

Les indicateurs de confiance montrent que les investisseurs sont extrêmement inquiets. Polymarket, la plus grande plateforme de prédiction au monde, indique que les consommateurs anticipent une probabilité de récession de 47 % cette année. Dans ses dernières projections économiques, la Réserve fédérale d'Atlanta prévoit une contraction de 2,8 % de l'économie américaine au premier trimestre.

Par ailleurs, les anticipations d'inflation des consommateurs restent élevées, suscitant des inquiétudes quant à une stagflation. La semaine dernière, le Conference Board des États-Unis a annoncé que les consommateurs anticipaient une hausse de l'inflation à 6,2 % au cours des 12 prochains mois, contre 5,8 % le mois précédent.

Jusqu'à présent, les données économiques « durables » ont montré une résilience continue et un marché du travail relativement sain. Les analystes ont déclaré que la détérioration de l'économie réelle forcerait la Réserve fédérale à abandonner sa position neutre et à baisser ses taux, déclenchant ainsi une nouvelle hausse de l'or.

RBC prévoit qu'une contraction économique stimulera la demande d'or, valeur refuge, les investisseurs se protégeant contre les baisses des marchés boursiers. Cependant, les analystes ont déclaré qu'une consolidation contribuerait à attirer de nouveaux capitaux.

« Ces chiffres sont basés sur nos échanges avec des investisseurs qui, bien que largement favorables à l'or, peuvent se sentir ou non sous-investis dans ce métal, mais hésitent à s'y investir à des niveaux historiquement élevés », ont-ils écrit. « Ces flux contribueraient à stabiliser l'or à la baisse si une période de consolidation se matérialisait.

» Kitco Media
Neils Christensen



  
Répondre
MITTE MITTE
03/04/2025 20:53:38
0

Or en € - UT 4 heures - Ichimoku.

La configuration graphique de l'Or en €, en ichimoku et en ut 4 heures montre que, malgré la puissance des baisses de ce jour, nous ne sommes pas passés baissiers dans cette ut.

Les cours sont revenus dans leur nuage et la lagging span ne valide pas, pour le moment, un retournement baissier. La tenkan et la kijun sont en quasi katana et n'appuie plus la descente des cours.

La configuration graphique dans cette ut vient " coller " aux commentaires parus sur kitco.com suivant lesquels les opérateurs ont une telle marge de bénéfices qu'ils peuvent digérer encore des poussées baissières avant de prendre des décisions sur leurs positions.

Il sera intéressant de voir demain et les prochains jours comment la tenkan et la kijun se comporteront l'une vis-à-vis de l'autre.



  
Répondre
MITTE MITTE
03/04/2025 20:37:32
0

Un article qui viendrait accréditer l'hypothèse évoquée dans les post du jout suivant le fait que pour le moment on est plus en présence d'un gros coup de vent plutôt qu'à un début de retournement baissier.

........................................................................................................

L'or bénéficie toujours d'un soutien important après la fin des arbitrages sur les métaux précieux suite aux droits de douane imposés par Trump - Analystes
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
17:07
Mis à jour :
17:10

(Kitco News) - Le marché de l'or connaît une volatilité importante alors que des mois d'arbitrage touchent à leur fin.

À l'ouverture des marchés nord-américains, les prix de l'or étaient en baisse de 2 % sur la journée ; Cependant, les prix se sont redressés depuis et sont restés relativement stables aujourd'hui.

Après des semaines d'incertitude, le président Donald Trump a annoncé ses droits de douane mondiaux sur les importations, excluant les métaux précieux, ainsi que le cuivre, l'acier et l'aluminium, rendant ainsi superflus les stocks accrus dans les coffres new-yorkais.

Si l'or pourrait connaître de nouvelles prises de bénéfices à court terme, les investisseurs s'adaptant aux nouveaux tarifs douaniers, certains analystes estiment que le métal précieux reste bien soutenu.

Dans un commentaire à Kitco News, Kelvin Wong, analyste principal de marché chez OANDA, a déclaré que si l'annonce de Trump sur les droits de douane a atténué certaines incertitudes, la crainte persiste sur le marché, ce qui pourrait entraîner une hausse du prix de l'or.

La dernière vague de droits de douane imposée par l'administration de la Maison Blanche a accru la probabilité d'un contexte de stagflation aux États-Unis. Le monde n'ayant pas connu de stagflation depuis les années 1970 et le début des années 1980, l'incertitude sera accrue quant à la planification des stratégies commerciales et à la mise en œuvre des politiques monétaires visant à contrer la faiblesse de la croissance économique, ce qui profitera à l'or comme moyen de couverture de la demande », a-t-il déclaré.

Wong a ajouté qu'une nouvelle faiblesse des marchés boursiers américains soutiendrait également l'or comme importante couverture contre le risque. Malgré la forte baisse initiale de l'or jeudi, celui-ci continue de surperformer les marchés boursiers.

L'indice S&P 500 a débuté la séance nord-américaine avec des pertes importantes et continue de perdre du terrain, chutant de 4 % ; l'indice boursier général s'échangeait à 5 442 points. Parallèlement, l'or au comptant s'échangeait à 3 126,80 $ l'once, soit un niveau quasiment stable sur la journée.

« Le principal support à court terme pour l'or (XAU/USD) se situera à 3 080/3 060 $ US, avec des résistances à court terme à 3 180 et 3 215 $ US », a déclaré Wong.

Les analystes matières premières de TD Securities anticipent également une volatilité accrue sur l'or, qui est « suracheté mais sous-détenu ».

« Les gestionnaires de fonds non CTA détiennent désormais moins d'or qu'en mars dernier », ont déclaré les analystes. « Les fonds macroéconomiques ont liquidé suite à une offre chinoise, réduisant la taille de leurs positions à des niveaux qui nous permettent d'affirmer que l'or est actuellement sous-détenu, malgré ce que l'on pourrait attendre en regardant le graphique des prix. »

TDS a également noté que, même si le prix de l'or a une marge de baisse, les risques de baisse sont limités.

Ils ont expliqué que la hausse du prix de l'or au cours des 12 derniers mois signifie que de nombreux investisseurs disposent de profits importants et ne sont pas menacés par une pression vendeuse à court terme.

« Les CTA ne vendront pas en masse tant que nous n'aurons pas réduit significativement leurs positions », ont déclaré les analystes. « Le risque de baisse se limitera probablement à une consolidation à terme si nous observons des signes d'épuisement des achats. »

Le prix de l'or a progressé de 32,5 % au cours des 12 derniers mois et a augmenté de plus de 18 % au premier trimestre de 2025. L'or a également enregistré sa meilleure performance trimestrielle en 39 ans.

Kitco Media
Neils Christensen


.........................................................................................


On ne peut pour le moment être plus clair sur la position des opérateurs sur l'Or.

  
Répondre
Anjou49 Anjou49
03/04/2025 18:24:15
1

Ok merci.

Mais la période est pour le moins « particulière » alors des règles jusqu’ici intangibles résisteront-elles aux coups de boutoirs actuels ? Qui vivra verra.

  
Répondre
MITTE MITTE
03/04/2025 18:06:06
1

Anjou49,

Ce que je peux répondre :

En janvier 2007 l'€ a côté 1,30 $.

En avril 2008 il côtait 1,48 $

soit une hausse de 13 %.

En janvier 2007 l'Or en € a côté 500 €

En avril 2008 il a côté 623 €

soit une hausse de 25 %.

En janvier 2007 l'Or en $ a côté 652 $

En avril 2008 l'Or en $ a côté 926 $

soit une hausse de 42 %.

Donc, sauf erreur de ma part, sur une période où l'€ a grimpé de 13 %, l'Or en $ a grimpé de 42 % et l'Or en € a grimpé de 25 %.

La hausse de l'Or en € est donc bien pénalisée par le différentiel de la parité € vs $, mais elle grimpe quand même.

La meilleure des situations serait celle où le dollar baisse et que la BCE baisse aussi, voire agressivement, ses taux directeurs.




  
Répondre
Anjou49 Anjou49
03/04/2025 17:23:50
0

« Et si la parité €/$ revenait à 1,60 comme en 2008 que deviendrait notre capital or en euros ? Jusqu’où la valeur or en euros peut-elle baisser ? »

Voilà la question que je me posais ce matin et j’aurais aimé avoir l’avis de Mitte.

  
Répondre
MITTE MITTE
03/04/2025 17:07:54
0

Concernant maintenant l'Or en $, les cours affichent une toute petit, voire minuscule baisse de 0,20 %.

Les acheteurs se sont positionnés sur les 3054 €, préservant ainsi le niveau des 3000 $ et faisant rebondir les cours de 2,36 % des 3054 $ vers les 3126 $ leur niveau actuel.

Il y aurait des occasions à ne pas rater ?

Donc : concernant l'Or en $, c-a-d concernant la valeur de référence du métal précieux avant sa conversion dans les autres monnaies, pourrais-t-on s'autoriser à écrire : circulez il n'y a rien à voir.

Or en $ en baisse de 0,22 % sur les 3127 $.

Toujours haussier.

  
Répondre
MITTE MITTE
03/04/2025 16:56:37
0

Aïe, ça fait mal hein ? On ne va pas écrire le contraire.

Raisons de la baisse ?

L'OR en $ ne baisse que de 0,20 %, l'Or en € est sur une baisse de 2,50 %, la différence s'expliquant par la parité € / $. Donc faut relativiser.

D'autre part courant novembre beaucoup d'Or avait été importé aux usa car les opérateurs craignaient que l'Or ne soit soumise aux "taxes TRUMP ". Il n'en a rien été, l'Or n'est pas soumis à la litanie des taxes douanières énumérées par TRUMP dans son discours d'hier soir. Donc ces mêmes opérateurs ont peut-être pris leurs bénéfices sur leurs opérations de novembre 2024.

Troisièmement il y a un adage boursier qui dit que, dans un contexte de séisme boursier, " si tu ne peux pas vendre ce que tu veux, vends ce que tu peux ". Là encore l'Or peu faire " l'affaire ".

Enfin on a vu que lors du Covid- 19 l'Or avait chuté des 1528 € le 24 février 2020 vers les 1305 € le 17 mars 2020 soit une baisse de 15 % avant de remonter. Là encore certains sont allés chercher sur l'Or ce qu'ils ne pouvaient pas trouver ailleurs et ce pour faire face à certaines obligations.

Enfin, cf l'article ci-dessous, une certaine résilience du marché de l'emploi us peut conduite la FED à différer ses baisses de taux, ce qui est préjudiciable à l'Or.

Voilà pour le " fondamental ".

Graphiquement et concernant l'Or en € on voit que l'énorme bougie rouge du jour fait état d'une grosse grosse mèche basse, les cours ayant chuté vers les 2747 € avant de remonter sur les niveaux actuels des 2806 €, c-a-d que les acheteurs se sont positionnés sur les 2747 €, les cours ayant repris 2,15 %.

Plus précisément les cours ont cassé la kijun puis sont revenus au-dessus et se maintiennent entre les fibo 23,8 % et 38,20 %. Les 50 % du retracement fibo de la dernière jambe de hausse, qui correspondent toujours à la valeur de la kijun n'ont pas été cassés.

Tant qu'on restera au-dessus de la kijun et des 50 % du retracement fibo il s'agira juste d'un gros coup de grisou.

Le positionnement haussier de l'Or en € n'étant pas actuellement remis en cause.

Une occasion de vendre et de prendre une partie de ses bénéfices ou, au contraire de se positionner à l'achat ? A chacun de voir, mais on devrait en savoir plus assez rapidement.

L'Or en € est actuellement en baisse de 2,44 % pour une cotation des 2816 €.

...............................................................................................


La baisse des inscriptions hebdomadaires au chômage pèse sur le prix de l'or, même s'il est en baisse.
Kitco Media
Par Neils Christensen
Publié :
14:32
Mis à jour :
14:57


(Kitco News) - Le marché de l'or continue de subir une forte pression vendeuse, et la résilience accrue du marché du travail américain maintient les prix à leurs plus bas niveaux de séance.

Les demandes initiales d'allocations chômage ont diminué de 6 000 pour atteindre 219 000 (données corrigées des variations saisonnières) pour la semaine se terminant le 29 mars, a annoncé jeudi le ministère du Travail. Ce chiffre est inférieur aux attentes, le consensus tablant sur un chiffre inchangé de 225 000 demandes.

Le marché de l'or ne réagit guère aux dernières données sur l'emploi, continuant d'assimiler les nouvelles mesures tarifaires annoncées mercredi par le président Donald Trump.

Selon certains analystes, le marché de l'or subit une pression vendeuse, le métal précieux ayant été exclu des droits de douane du président. Cette situation a mis fin à une opportunité d'arbitrage qui avait vu des millions d'onces affluer dans les coffres de l'État de New York depuis la mi-novembre.

Selon les analystes, la résilience des données sur l'emploi pourrait accentuer les difficultés du marché de l'or, obligeant la Réserve fédérale à maintenir sa position neutre actuelle. La banque centrale américaine a déclaré ne pas être pressée de baisser ses taux d'intérêt, les pressions inflationnistes restant élevées et le marché du travail américain restant relativement sain.

Si l'on examine les tendances à long terme, la moyenne mobile sur quatre semaines des nouvelles demandes d'allocations chômage – souvent considérée comme une mesure plus fiable du marché du travail car elle aplatit la volatilité hebdomadaire – s'est établie à 223 000, soit 1 250 demandes de moins que la moyenne révisée de la semaine dernière, qui s'élevait à 224 250.

Si le nombre d'Américains demandant une première allocation chômage reste relativement stable, les travailleurs ont plus de mal à réintégrer le marché du travail. Les demandes d'allocations chômage continues, qui représentent le nombre de personnes déjà indemnisées, ont bondi à 1,903 million au cours de la semaine se terminant le 22 mars, soit une hausse de 56 000 par rapport au niveau révisé de 1,856 million de demandes de la semaine dernière.

« Il s'agit du niveau le plus élevé pour le chômage indemnisé depuis le 13 novembre 2021, où il s'élevait à 1 970 000 », indique le rapport.

Kitco Media
Neils Christensen

  
Répondre
Babou120 Babou120
03/04/2025 09:56:20
0

"Et si la parité €/$ revenait à 1,60 comme en 2008 que deviendrait notre capital or en euros ?"

Pas de panique, l'or en $ va monter d'autant.

  
Répondre
Anjou49 Anjou49
03/04/2025 09:37:48
0

Et si la parité €/$ revenait à 1,60 comme en 2008 que deviendrait notre capital or en euros ? Jusqu’où la valeur or en euros peut-elle baisser ?

Peut-être convient-il d’envisager sérieusement de s’alléger d’une partie du formidable profit réalisé depuis ces dernières années (perso capital or multiplié par 2,7 depuis 2018)


  
Répondre

Forum de discussion Or (once en $)

202504041823 756850

Investir en Bourse avec Internet

Mes valeurs