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Et à la fin il ne restera plus que l'OR. - Page 96

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MITTE MITTE
09/10/2024 22:13:17
0

Oui, oui,


  
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Anjou49 Anjou49
09/10/2024 22:07:00
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Rien de personnel 😜😜😜

  
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MITTE MITTE
09/10/2024 21:51:34
1

On dit que la famille Rothschild a surtout fait sa fortune lors des guerres Napoléoniennes. Le blocus mis en place avait fait du mal aux actions anglaises, que Rothschild avait peut-être délaissées ou vendues.

Toujours est-il, qu'informé bien avant ses pairs que Napoléon avait été vaincu à Waterloo, notre baron a quasiment tout racheté.

Alors, bien sûr, comparaison n'est pas raison, mais toujours est-il que je ne savais pas que le commerce de l'Or s'accompagnait d'un supplément d'âme où toute spéculation sur des faits de guerre prochain serait à bannir.

Il y a là un sentimentalisme très de circonstance car très en vogue dans le landerneau de la société française d'aujourd'hui, sentimentalisme qui l'a conduit dans la situation où elle est aujourd'hui, et dont elle n'est pas près de s'en sortir.

Et oui, quand on monte au pinacle les grands principes tous plus humanitaires les uns que les autres, alors même qu'on n'a même pas le 1er euro pour les financer, et que l'on s'acharne à s'endetter encore plus et encore plus, là oui, pour le coup, ça ne sent pas bon, ça ne sent pas bon du tout et qu'effectivement c'est un sacré merdier qui est en train de se déverser sur nos politiques et bientôt sur ceux qui vont devoir rembourser les fonds empruntés par nos grands humanitaires, toujours au, nom des grands principes dont certains sont si friands.


  
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Anjou49 Anjou49
09/10/2024 21:27:07
0

Espérer une hausse de l’or en échange d’une bonne petite guerre ? Ça ne sent pas trop bon, non ? C’est vrai que l’argent n’a pas d’odeur… quoique.

  
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MITTE MITTE
09/10/2024 21:20:29
0

Concernant l'Or libellée en $, la lecture du graph apparaîtrait évidente :

Résistance sur les 2657 $, niveau à partir duquel la tenkan s'est doucement orientée à la baisse.

Le 1 er support est là, sous nos yeux, sur les 2578 $ ( extension de plat de kijun ).

Si ce 1er support est cassé, ce sont les 2500 $ tout ronds ( extension de plat de tenkan ) qui attendraient les cours.

La STO, sur les 24,31 arrive à la limite de la zone en sur-vente.

Tout cela semble bien coordonné.

Bon alors Bibi, tu cognes ou pas ? Il faut reconnaître qu'il faut qu'il soit sacrément sûr de son coup car les conséquences pourraient être, pour le moins, assez explosives.

En tous les cas ils apparaissent surs d'eux :

"Notre frappe sera précise et mortelle, l'Iran ne comprendra pas ce qui lui arrive" (Yoav Gallant)

Il a affirmé que l'armée de l'air israélienne n'avait subi aucun dommage lors de cette attaque, toutes les pistes étant opérationnelles et aucun avion, soldat ou civil n'ayant été touché
i24NEWS

Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a lancé un avertissement sans équivoque à l'Iran lors d'une visite à l'unité de renseignement 9900 de Tsahal.

Il a déclaré que la prochaine frappe d'Israël contre l'Iran serait "létale, précise et particulièrement surprenante", ajoutant que l'Iran "ne comprendra pas ce qui lui est arrivé, ni comment".

Gallant a souligné le contraste avec la récente attaque iranienne, qu'il a qualifiée d'"agressive mais ratée en raison de son imprécision". Il a affirmé que l'armée de l'air israélienne n'avait subi aucun dommage lors de cette attaque, toutes les pistes étant opérationnelles et aucun avion, soldat ou civil n'ayant été touché.

Le ministre a insisté sur l'unité du système de sécurité israélien face à cette situation, déclarant que "toute la chaîne de commandement est alignée et concentrée sur cette question, du simple soldat au Premier ministre".

  
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waltgof waltgof
09/10/2024 16:54:41
0

La poudrière du Moyen-Orient prête à exploser
rédigé par Jim Rickards 9 octobre 2024

Soyez sélectif dans vos achats d’actions, gardez beaucoup d’argent liquide et achetez de l’or si vous ne l’avez pas encore fait !

Il se passe tellement de choses dans le monde en ce moment, qu’il est difficile de savoir par où commencer.

Mais l’attaque menée par l’Iran contre Israël le 1er octobre doit être abordée en raison de ses implications potentiellement massives.

L’Iran a lancé une importante attaque de missiles contre Israël, apparemment en représailles aux récentes attaques israéliennes contre le Hezbollah dans le sud du Liban. Les détails de l’attaque restent vagues et Israël est extrêmement discret sur les dommages qu’il a subis.

Je ne veux donc pas trop spéculer, car je ne dispose que d’informations limitées. Mais d’après les informations disponibles, l’Iran a lancé près de 200 missiles balistiques contre Israël. Les cibles étaient apparemment limitées à des installations militaires et de renseignement, et non à des centres civils. A cet égard, on peut donc dire que l’attaque iranienne a été modérée.
Nous ne plaisantons pas cette fois-ci

Mais contrairement à l’attaque iranienne contre Israël en avril, qui comprenait des drones et des missiles de croisière à déplacement lent, cette attaque semble avoir été menée exclusivement à l’aide de missiles balistiques.

L’Iran affirme que 80% ou plus de ses missiles ont atteint leur cible. De son côté, Israël affirme avoir abattu environ 90% des missiles (sur la base de renseignements américains et même jordaniens).

Il est évident que les deux ne peuvent pas être vrais. La vérité se situe peut-être quelque part entre les deux. Certains rapports indiquent que l’Iran aurait prévenu les Etats-Unis à l’avance de l’attaque, tandis que d’autres affirment que ce n’est pas vrai.

Par ailleurs, Washington a émis des avertissements à l’avance sur le fait que l’Iran préparait une attaque de missiles. Mais cela aurait pu être le résultat de communications interceptées, d’images satellites ou d’autres formes de renseignements techniques.

En fonction des différents missiles concernés, le temps de vol entre l’Iran et Israël est compris entre cinq et douze minutes ; Israël aurait eu peu de temps pour se préparer s’il n’avait pas été prévenu.

Les Etats-Unis et Israël affirment tous deux que les attaques ont été vaincues et qu’elles doivent être considérées comme un échec – une fois encore, Israël affirme avoir intercepté la plupart des missiles.

Mais les vidéos de l’attaque révèlent clairement que de nombreux missiles ont pénétré les défenses israéliennes et touché le sol. Dans l’une des vidéos, on peut apercevoir pas moins de 12 missiles atterrir presque instantanément de façon groupée.

Ils ont très probablement saturé et submergé les défenses israéliennes.
L’Iran a-t-il détruit une importante base aérienne israélienne ?

Comme je l’ai indiqué précédemment, nous ne savons pas exactement ce que ces missiles ont touché. Mais des rapports non confirmés affirment que ce groupe particulier de missiles a frappé la base aérienne israélienne de Nevatim, qui est l’une des plus grandes et des plus importantes bases aériennes d’Israël.

Cette base est également protégée par les défenses aériennes les plus importantes au monde. Si les rapports sont exacts, l’Iran a donc été en mesure de vaincre les défenses aériennes israéliennes et d’endommager gravement une de leurs bases clés.

Il semblerait que les missiles qui ont réussi à passer étaient des missiles hypersoniques Fatteh-2, que l’Iran affirme avoir utilisés lors de l’attaque. Il n’existe actuellement aucune défense contre les missiles hypersoniques.

Les Fatteh-2 hypersoniques n’ont peut-être constitué qu’une petite partie de la frappe. Le reste était probablement des missiles plus lents et plus faciles à abattre.

Ces missiles sont probablement à l’origine du taux d’interception élevé revendiqué par Israël.

Mais compte tenu du nombre relativement élevé de missiles hypersoniques qui ont manifestement franchi les défenses israéliennes, l’Iran a envoyé un message clair à Israël : « Nous pouvons vous frapper quand et où nous voulons avec nos missiles hypersoniques. Et vous ne pouvez pas nous arrêter. Ne nous obligez pas à recommencer, car la prochaine fois, ce sera pire. »

Ne croyez pas qu’Israël ne l’a pas compris.
Des centaines de millions en fumée

L’Iran impose également des coûts élevés à Israël. Les principaux intercepteurs antimissiles d’Israël s’appellent Arrow et David’s Sling. Il ne faut pas les confondre avec le Dôme de fer israélien, qui est principalement conçu pour abattre des roquettes plus lentes et non guidées.

Un missile Arrow coûte environ 3,5 millions de dollars, tandis que le David’s Sling coûte environ 1 million de dollars.

Si l’on suppose que l’Iran a lancé environ 200 missiles sur Israël, la défense contre l’attaque d’hier a coûté des centaines de millions.

Mais surtout, il s’agit de systèmes hautement sophistiqués dont la production est limitée. Combien d’attaques de missiles à grande échelle Israël pourra-t-il encore supporter avant d’être à court d’intercepteurs ?

La grande question est de savoir ce qu’il se passera ensuite. Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré que l’Iran ne mènerait pas d’autres attaques si Israël ne ripostait pas. Mais Israël a prévenu qu’il riposterait. Israël a indiqué qu’il pourrait cibler les installations pétrolières et gazières de l’Iran, et même les principaux dirigeants iraniens.

Vous pouvez déjà imaginer à quel point tout cela peut rapidement devenir incontrôlable. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et pourquoi l’Iran a-t-il attaqué Israël le 1er octobre ?
Cela aurait dû arriver en août

Au mois d’août, j’ai prévenu mes lecteurs en leur disant que l’Iran pourrait attaquer Israël « d’un jour à l’autre ». En effet, Israël avait récemment assassiné deux personnalités fortement liées à l’Iran.

Le premier assassinat a été celui d’un dirigeant du Hezbollah. Cet assassinat a eu lieu au Liban, la base du Hezbollah.

Moins de 24 heures plus tard, Israël a assassiné le chef politique du Hamas, Ismail Haniyeh. Cet assassinat a eu lieu en Iran même, alors que Haniyeh se trouvait à Téhéran pour assister à la cérémonie de prestation de serment du nouveau président iranien.

L’Iran a promis une vengeance « sévère » pour ces deux assassinats. Mais curieusement, l’Iran n’a rien fait. Pourquoi ?

Il est possible que la Russie ait fait pression sur l’Iran pour qu’il fasse marche arrière. Le 5 août, Sergei Shoigu, secrétaire du Conseil national de sécurité russe, s’est rendu à Téhéran pour, semble-t-il, transmettre un message personnel de Vladimir Poutine. Ce message invitait les dirigeants iraniens à s’abstenir de toute riposte.

Il est possible que la Russie n’ait pas voulu qu’une guerre au Moyen-Orient interrompe la réunion des BRICS qui se tiendra à Kazan, en Russie, à la fin du mois. Il s’agit bien sûr de spéculations, mais la Russie n’a aucun intérêt à ce que la guerre s’étende au Moyen-Orient.

Je ne sais pas si la Chine a joué un rôle en influençant l’Iran, mais elle a besoin du pétrole iranien et ne veut pas que le détroit d’Ormuz soit fermé en cas de guerre au Moyen-Orient.

Mais l’Iran a malgré tout décidé de frapper Israël, contre les intérêts russes et chinois.

Encore une fois, pourquoi maintenant ? Netanyahou pousse-t-il l’Iran à l’attaquer ?

Depuis le mois d’août, Israël a continué à intensifier ses attaques contre les intérêts iraniens au Liban.

La semaine dernière, Israël a assassiné le chef politique du Hezbollah, Hassan Nasrallah, à Beyrouth. L’attaque aurait également tué un général de haut rang du Corps des gardiens de la révolution islamique d’Iran.

C’est comme si le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait incité l’Iran à attaquer Israël afin de pouvoir justifier une action militaire de grande envergure contre l’Iran, avec le soutien des Etats-Unis.

M. Netanyahou a même enregistré une vidéo s’adressant au peuple iranien, l’appelant essentiellement à soutenir le changement de régime et lui disant que « lorsque l’Iran sera enfin libre – et ce moment arrivera bien plus tôt qu’on ne le pense – tout sera différent ».

Qu’est-ce qui l’a poussé à dire cela ?

Entre-temps, ces derniers jours, Israël a également lancé des « raids terrestres limités, localisés et ciblés, fondés sur des renseignements précis » dans le sud du Liban, visant le Hezbollah. Encore de la provocation.

Alors pourquoi attaquer maintenant ? La réponse est que l’Iran a peut-être estimé qu’il n’avait pas le choix.
L’Iran devait sauver la face

Après l’échec des représailles contre Israël en août, le Hezbollah et d’autres mandataires iraniens dans la région ont commencé à remettre en question la puissance et la fiabilité de l’Iran en tant qu’allié. Ils ont perçu ses faiblesses, Israël n’ayant cessé de provoquer l’Iran sans que ce dernier ne fasse quoi que ce soit.

L’Iran a donc peut-être conclu qu’il ne pouvait pas reculer devant les dernières provocations d’Israël, même si ses alliés étaient contre. Il devait simplement riposter pour sauver la face.

La balle est désormais dans le camp d’Israël.

En fonction de la suite des événements, nous pourrions être confrontés à une guerre plus large au Moyen-Orient, qui pourrait impliquer les Etats-Unis.

Si nous ne sommes pas déjà en récession, nous nous dirigeons clairement vers une récession. Une nouvelle guerre au Moyen-Orient fera grimper le prix du pétrole, peut-être de manière spectaculaire en fonction de l’évolution du conflit.

Nous serions confrontés à une récession majeure qui écraserait l’Américain moyen. Ce pourrait être le dernier clou dans le cercueil de l’économie Biden/Harris.

Soyez sélectif dans vos achats d’actions, gardez beaucoup d’argent liquide et achetez de l’or si vous ne l’avez pas encore fait.

  
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MITTE MITTE
09/10/2024 12:34:54
0

L'Or en € poursuit tout doucement, pour le moment, une légère respiration.

Elle évolue entre les 2406 €, niveau qu'elle n'a pas pu tenir et son 1er support sur les 2366 €, un niveau déjà travaillé par les bougies des 24, 25, 27, 30 septembre 2024 et aussi celle du 1 er octobre.

Les cours sont aussi coincés entre la tenkan sur les 2394 € et la kijun sur les 2335 € toutes les deux plates, ne pouvant donc soutenir ni une baisse, ni une hausse des cours. Le graph prend ainsi, doucement, une formation en range.

Les baissiers se sont offerts un petit 2 % de baisse attendant plus d'éléments du côté des fondamentaux pour éventuellement continuer leurs attaques baissières.

On n'entend plus parler ce matin de possibles négociations avec le Hezbollah, les bombardements continuent, tant sur Gaza que sur le Liban.

Parallèlement, le Hezbollah semble avoir abandonné sa demande d'une trêve à Gaza comme condition préalable à un cessez-le-feu au Liban. Naim Qassem, le numéro deux du Hezbollah, a déclaré dans un discours télévisé : "Nous soutenons l'activité politique menée par Berri sous le titre de cessez-le-feu. Si l'ennemi (Israël) poursuit sa guerre, alors le champ de bataille décidera."

Ce changement de position du Hezbollah serait dû à diverses pressions, notamment le déplacement massif de personnes dans ses principaux bastions du sud du Liban et de la banlieue sud de Beyrouth, ainsi que l'intensification de la campagne terrestre israélienne.

Des responsables politiques libanais d'autres confessions ont récemment appelé à une résolution mettant fin aux combats sans lier l'avenir du Liban à la guerre de Gaza. Walid Jumblatt, figure druze libanaise, a déclaré : "Nous ne lierons pas notre sort au sort de Gaza." Le département d'État américain a commenté ce changement de position du Hezbollah, affirmant qu'il montrait que le groupe était sur la défensive et "se faisait malmener".

On notera aussi que le ministre de la défense israélienne, Yoav Gallant, ne s'est pas encore rendu aux usa car Netanyahou aurait formulé de nouvelles conditions,

Netanyahou et Biden devraient s'entretenir au sujet de l'Iran après des semaines sans communication

Le voyage de Yoav Gallant à Washington, prévu mardi soir, a été reporté suite aux conditions imposées par le Premier ministre israélien

Le président américain Joe Biden doit tenir un entretien téléphonique décisif mercredi matin avec le Premier ministre Benjamin Netanyahou pour discuter des plans israéliens de frappe contre l'Iran, en représailles à l'attaque de missiles balistiques iraniens sur Israël la semaine dernière, selon trois responsables américains cités par Axios. Cette conversation marquerait le premier contact entre Biden et Netanyahou depuis deux mois.

Mardi soir, Netanyahou a rencontré pendant plusieurs heures des ministres de haut rang et les chefs des agences militaires et de renseignement israéliennes pour décider de l'ampleur et du moment de leurs frappes prévues contre l'Iran, selon deux responsables israéliens.

Ces responsables ont indiqué que la réponse d'Israël sera substantielle, impliquant probablement un mélange de frappes aériennes sur des cibles militaires en Iran et d'opérations secrètes. Israël a également envisagé des frappes sur l'infrastructure pétrolière iranienne, une option à laquelle Biden s'est dit opposé.

Un collaborateur de Netanyahou a déclaré à Axios qu'une fois la décision prise, le dirigeant israélien en informerait Biden. Un responsable américain a ajouté : "Nous voulons utiliser l'appel pour essayer de définir les limites de la riposte israélienne."

Cette annonce intervient quelques heures après l'annulation du voyage du ministre de la Défense Yoav Gallant à Washington, prévu pour mercredi. Netanyahou a informé Gallant ne partirait pas pour les Etats-Unis, tant qu'un appel avec Biden n'aurait pas eu lieu et que le cabinet de sécurité n'aurait pas approuvé les plans d'attaque.

Une source proche du dossier a indiqué que l'appel Biden-Netanyahou avait déjà été programmé avant que le différend entre le Premier ministre et le ministre de la Défense n'éclate.

Tout ça pour souligner qu'Israël VA FRAPPER et que je doute fort que dans ces conditions les attaques baissières sur l'Or puissent prospérer longtemps.

Encore que jeudi et vendredi des stats us vont tomber sur l'inflation consommateur et producteur et également sur la confiance du consommateur. Une forte remontée de l'inflation pourrait effectivement venir jouer les troubles fêtes.

Donc : on attend les frappes israéliennes ( à ce propos l'Iran a mis en garde les pays arabes s'ils venaient à autoriser Israël à survoler leurs territoires pour frapper l'Iran ) et on attend les stats us.

Après on mettra tout ça dans un shaker et on secouera le tout pour voir ce qu'il en sort.

Les cours sur les 2385 € en légère baisse de 0,09 % ne font que de traduire cette situation.


  
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MITTE MITTE
08/10/2024 23:27:55
0

A priori, pas trop d'inquiétudes à avoir.

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L'or devrait subir une correction, mais les principaux supports devraient le maintenir peu profond - Razaqzada de StoneX Group
Kitco Media
Par Ernest Hoffman
Publié :
22:04
Mis à jour :
22:10



(Kitco News) - Les arguments en faveur d'une correction à la baisse de l'or se renforcent de jour en jour, mais il bénéficie toujours de certains facteurs de soutien clés, selon Fawad Razaqzada, analyste de marché chez StoneX Group.

« Sans aucun catalyseur évident en vue pour une baisse du dollar, l’indice du dollar venant de connaître l’une de ses semaines les plus fortes depuis des mois, et les données d’inflation de cette semaine n’ayant probablement pas d’impact important sur les attentes de baisse des taux, sans parler du fait que le métal jaune reste sévèrement suracheté sur toutes sortes d’horizons temporels, une correction d’une certaine sorte est attendue depuis longtemps », a-t-il écrit. « Mais tant que les tensions géopolitiques restent élevées, l’or devrait rester largement soutenu lors des creux, contrebalançant les facteurs baissiers susmentionnés. »

Razaqzada a noté que le rapport sur l’emploi américain de vendredi a fait baisser le métal précieux avant que les acheteurs de creux n’interviennent, puis n’aient pris des bénéfices avant le week-end. « La clôture stable de vendredi a reflété l’évolution des prix des jours précédents, ce qui a assuré que l’or mettrait fin à sa série de trois semaines de gains », a-t-il déclaré. « La publication vendredi d’un solide rapport sur les emplois non agricoles aux États-Unis a quelque peu bouleversé la Fed après que les données ont facilement dépassé les attentes avec une impression de 254 000 emplois et une révision à la hausse des chiffres du mois précédent. Les données sur l’emploi plus solides mettent la Fed dans une position difficile, car le récit d’un ralentissement économique est devenu beaucoup plus compliqué. Le marché du travail étant toujours solide, il n’est pas étonnant que le président de la Fed Powell ait déjà écarté l’idée d’une nouvelle baisse des taux de 50 points de base, même quelques jours avant la publication des données. Maintenant, c’est presque certain : ne vous attendez pas à de nouvelles baisses de taux agressives cette année. »

Le dollar américain a bondi dans le sillage du rapport NFP, mais l’or a réussi à reprendre pied avec les actions. « L’argent a également connu un grand mouvement vendredi, puisqu’il a presque franchi la barrière des 33 dollars avant de se détendre avec l’or à la fin de la séance, les traders se méfiant du risque du week-end. »

Razaqzada a déclaré que la Fed se trouve actuellement dans une position difficile, obligée d’équilibrer les inquiétudes concernant l’inflation avec une économie toujours résiliente. « Avec la forte hausse des prix du pétrole brut au cours des deux dernières semaines en raison des tensions géopolitiques élevées au Moyen-Orient et du déploiement par la Chine de programmes de relance majeurs, l’inflation n’est pas quelque chose qu’ils peuvent ignorer », a-t-il déclaré. « Mais en même temps, ils ne peuvent pas se permettre de freiner trop fort, ou ils risquent de faire dérailler la dynamique économique qui est toujours là.

L'idée d'une baisse des taux de 50 points de base ? C'est hors de question pour l'instant. Même si le rapport sur l'emploi d'octobre montre un peu de calme, il faudrait un gros ralentissement pour justifier une baisse aussi agressive. »

Il a déclaré que l'or est désormais confronté à un équilibre intéressant entre les risques à la hausse et à la baisse. « Si la Fed devient désormais plus prudente au lieu de maintenir une trajectoire stable sur les taux, l'or pourrait subir une certaine pression dans les semaines à venir », a-t-il noté. « Mais avec les risques géopolitiques ajoutant de l'incertitude au marché dans son ensemble, le potentiel de baisse pourrait être limité. »

Razaqzada a également souligné les données clés qui pourraient donner une direction au métal jaune cette semaine. « Jeudi, nous aurons le rapport sur l'IPC américain, qui devrait montrer un ralentissement de l'inflation à 2,3 % en glissement annuel, contre 2,5 % en août », a-t-il déclaré. « Si l’inflation est plus faible que prévu, elle pourrait susciter des ondes de confiance, ce qui pourrait donner à l’or une nouvelle impulsion à la hausse. Vendredi, nous aurons le rapport sur le sentiment des consommateurs de l’Université du Michigan. Cela nous éclairera sur ce que les gens pensent de l’économie.

Étant donné que le jonglage de la Fed implique à la fois de maximiser l’emploi et de maintenir la stabilité des prix, ces indicateurs de sentiment sont plus importants que jamais. Par exemple, une baisse notable de la confiance des consommateurs pourrait affecter l’activité économique future, ce qui pourrait influencer la politique de la Fed, ce qui pourrait également jouer sur la performance de l’or. »

En ce qui concerne les perspectives techniques, Razaqzada a déclaré que le graphique de l’or reste haussier à l’heure actuelle. « Les prix oscillant à des niveaux de surachat extrêmes sur des périodes plus longues, nous pourrions bientôt assister aux premiers stades d’un renversement baissier, surtout si le dollar continue de se renforcer », a-t-il ajouté. « Cependant, avant de tirer des conclusions hâtives et d’appeler le sommet, nous avons besoin d’une confirmation solide que cette phase de la hausse a suivi son cours. »

Il a déclaré qu’il existe « de nombreux niveaux techniques clés qui pourraient servir de support si l’or baisse. »

« Pour l’instant, 2 600 $ est le niveau à court terme à surveiller, surtout si le support de la semaine dernière autour de 2 635 $ se brise », a-t-il noté. « La ligne de tendance haussière de 2024 se situe près de 2 530 $, puis il y a le niveau psychologiquement significatif de 2 500 $, qui pourrait également offrir un soutien si le marché recule davantage. Les yeux seront rivés sur ces niveaux pour voir s’ils vont tenir, si l’or recule un peu. »

Mais selon les graphiques à plus long terme, Razaqzada a déclaré que le métal jaune devrait connaître quelques prises de bénéfices.

« Historiquement, chaque fois que l’indice de force relative (RSI) dépasse la barre des 70 sur des périodes plus longues, comme c’est le cas actuellement, nous assistons souvent à une période de consolidation ou de pression à la vente pour atténuer ces conditions de surachat », a-t-il déclaré. « À l’heure actuelle, le RSI mensuel se situe à plus de 80,00, en d’autres termes, à des niveaux de surachat extrêmes. L’or n’a pas été aussi suracheté depuis le pic de la pandémie en 2020. Et nous avons vu ce qui est arrivé à l’or dans les mois et les années qui ont suivi. »

Il a toutefois averti que si le RSI suggère qu’une correction pourrait arriver, il ne constitue pas un signal de vente en soi.

« Nous devons voir ce renversement se poursuivre sur les périodes quotidiennes ou inférieures », a-t-il déclaré. « Pour l’instant, l’or est toujours dans une forte tendance à la hausse, et il est difficile de prédire jusqu’où il pourrait aller avant un repli significatif. Cela dit, une brève baisse ou consolidation ne serait pas surprenante avant que l’or ne reprenne son élan à la hausse. Donc, quand il s’agit de négocier l’or à la hausse, n’hésitez pas à prendre des bénéfices au premier signe de faiblesse. »

« Mon objectif à long terme reste 3 000 $, mais je préférerais voir une belle baisse pour secouer les mains les plus faibles avant que le cours ne recommence à monter », a conclu Razaqzada.

Les prix de l’or subissent une forte pression à la vente depuis tôt ce matin, l’or au comptant tombant d’un sommet de séance de 2 653,11 $ juste avant 8 h 30 HE à un creux de séance de 2 604,82 $ à 11 h 30.

L’or au comptant s’est négocié pour la dernière fois à 2 617,10 $ pour une perte de 0,96 % sur le graphique journalier.

Kitco Media
Ernest Hoffman

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Très modestement c'est aussi mon sentiment.

La mèche basse signale que des acheteurs opportunistes sont sortis du bois.

  
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MITTE MITTE
08/10/2024 19:01:51
1

Le Hezbollah chercherait à négocier un cessez le feu.

Question que je pose : cette demande est-elle réelle et de bonne foi, ou bien n'est-ce pas un subterfuge retord comme ils en sont capables pour empêcher Israël de frapper l'Iran ?

Je pense bien que telle est la réponse à la question : un subterfuge retord.

Il faut frapper l'Iran et négocier après.

  
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MITTE MITTE
08/10/2024 18:51:06
0

Les investisseurs nord-américains sont-ils rentrés au mauvais moment ?

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Les investisseurs nord-américains mènent la hausse des ETF sur l'or alors que la Fed réduit ses taux et que les tensions géopolitiques augmentent
Kitco Media
Par Neils Christensen

Publié :
17:58
Mis à jour :
18:04


(Kitco News) - Après une longue pause, les investisseurs nord-américains jouent enfin un rôle de premier plan dans la remontée de l'or, stimulant une forte demande de fonds négociés en bourse (ETF) en septembre.

Dans son dernier rapport, le World Gold Council a déclaré que 18,4 tonnes d’or, évaluées à 1,4 milliard de dollars, ont afflué vers les ETF mondiaux adossés à l’or en septembre. Il s’agit du troisième mois consécutif où le métal précieux attire des investisseurs, transformant le marché.

« Les entrées continues de ces derniers mois ont réduit les sorties de fonds des ETF mondiaux sur l’or depuis le début de l’année, passant à 389 millions de dollars », ont déclaré les analystes dans le rapport. « Il convient de noter que les flux depuis le début de l’année des fonds nord-américains sont devenus positifs, laissant l’Europe comme la seule région à avoir enregistré des sorties jusqu’à présent en 2024. Pendant ce temps, les fonds asiatiques ont continué de dominer les entrées mondiales depuis le début de l’année malgré un récent ralentissement de la demande. »

Si l’on considère la demande régionale, les fonds cotés en Amérique du Nord ont enregistré des entrées de 1,36 milliard de dollars, ce qui représente la majeure partie de l’activité sur le marché.

Les analystes ont noté que la demande des investisseurs nord-américains s’est fortement améliorée le mois dernier, la Réserve fédérale ayant abaissé de manière agressive les taux d’intérêt de 50 points de base et signalé le début d’un nouveau cycle d’assouplissement qui pourrait réduire les taux à 3 % d’ici 2026.

« La baisse des coûts d’opportunité, liée aux taux d’intérêt et au dollar, a stimulé l’intérêt des investisseurs pour les ETF aurifères », ont déclaré les analystes dans le rapport. « Comme les mois précédents, la flambée du prix de l’or a non seulement attiré l’attention des investisseurs, mais a également conduit à l’exercice d’options d’achat dans la monnaie des principaux ETF aurifères, créant des entrées importantes à la date d’expiration. Nous pensons que la montée des tensions géopolitiques au Moyen-Orient au cours du mois a également contribué à attirer les entrées d’ETF aurifères, les investisseurs recherchant un refuge sûr. »

Cependant, les fonds aurifères européens ont enregistré des sorties de 1,7 tonne, évaluées à 244,9 millions de dollars.

Les analystes ont noté que les politiques monétaires divergentes entre la Réserve fédérale et la Banque d’Angleterre auraient pu provoquer ce changement parmi les investisseurs européens.

« Les sorties provenaient principalement des fonds britanniques. Par rapport aux efforts d’assouplissement de la Fed américaine, la Banque d’Angleterre (BoE) s’est montrée plus réservée, laissant ses taux inchangés à 5 % lors de sa réunion de septembre, évoquant le risque de hausse de l’inflation lié à la croissance élevée des salaires. « La prudence de la BoE a refroidi les attentes des investisseurs concernant de futures baisses de taux et a alimenté un rebond considérable des rendements des obligations britanniques, qui a coïncidé avec les sorties des principaux ETF aurifères locaux », ont déclaré les analystes. « En revanche, l’Allemagne et la Suisse ont enregistré des entrées de capitaux, même mineures, probablement alimentées par la demande de valeurs refuges dans un contexte de détérioration des perspectives économiques, en particulier en Allemagne. »

Bien qu’encore relativement petits, les fonds cotés en Asie continuent de se démarquer par leur régularité. Le rapport note que les avoirs en ETF asiatiques ont augmenté de 2 tonnes, évaluées à 175 millions de dollars, en septembre. La région a enregistré des entrées nettes au cours des 20 derniers mois consécutifs.

« L’Inde a de nouveau enregistré de fortes entrées de capitaux, alimentées par des facteurs pas trop différents des mois précédents. Dans le même temps, la forte dynamique du prix de l’or et le risque géopolitique élevé ont contribué à cette hausse. Les entrées chinoises ont été modérées, car la hausse des actions plus tard dans le mois, alimentée par le plan de relance agressif du gouvernement, a détourné l’attention des investisseurs de l’or malgré sa bonne performance », ont déclaré les analystes.

Pour l’avenir, le World Gold Council s’attend à ce que les prix de l’or continuent de grimper alors que la Réserve fédérale continue de réduire ses taux d’intérêt.

« [L’or] a historiquement rapporté en moyenne 6 % au cours des six mois suivant le début des cycles de baisse des taux », ont déclaré les analystes. « Dans un contexte de forte corrélation entre les actions et les obligations et de phases macroéconomiques changeantes, les perspectives de l’or offrent aux investisseurs une diversification et une couverture contre le risque de portefeuille plus large. Ajoutez à cela le soutien des achats des banques centrales, la demande croissante de marchés clés comme l’Inde, le retour des investisseurs occidentaux dans les ETF et la récente escalade des tensions au Moyen-Orient, et l’or est bien placé pour profiter de ces conditions de marché en évolution. »

Cependant, les investisseurs doivent également s’attendre à une certaine volatilité. Un rapport sur l’emploi solide en septembre a montré une forte vigueur du marché du travail américain, incitant les marchés à modifier rapidement leurs attentes en matière de politique monétaire pour le mois prochain.

Avant le rapport sur l’emploi, qui a montré que l’économie a créé 250 000 emplois le mois dernier, les marchés tablaient sur une probabilité de 30 % d’une baisse des taux de 50 points de base. Depuis les données de vendredi, les marchés voient maintenant une probabilité de 90 % d’une baisse de 25 points de base et une probabilité de 10 % d’absence de baisse des taux le mois prochain.

Les prix de l’or ont connu des difficultés dans ce nouvel environnement. Les contrats à terme sur l’or de décembre se sont négociés pour la dernière fois à 2 629,10 $ l’once, en baisse de plus de 1 % sur la journée.

Kitco Media
Neils Christensen

  
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MITTE MITTE
08/10/2024 18:41:32
0

Fallait bien que ça arrive un jour.

Respiration profonde, certainement pas terminée, due .... au proche orient : le Hezbollah chercherait à négocier un cessez le feu. Il ne resterait plus à Bibi qu'à tordre le cou au Hamas.

Lire :

L'or et l'argent se vendent suite aux informations selon lesquelles le Hezbollah cherche un cessez-le-feu
Kitco Media
Par Jim Wyckoff
Publié :
17:33
Mis à jour :
17:39


(Kitco News) - Les prix de l'or et de l'argent sont en forte baisse et ont atteint leurs plus bas niveaux depuis trois semaines en fin de matinée aux États-Unis mardi, suite aux informations selon lesquelles le groupe Hezbollah basé au Liban souhaite discuter d'un cessez-le-feu avec Israël. Israël mène actuellement des opérations militaires majeures contre le groupe au Liban. Les acteurs du marché considèrent les nouvelles d’aujourd’hui comme une possible désescalade des tensions au Moyen-Orient qui sont élevées depuis des semaines. L’or de décembre était en baisse de 33,10 $ à 2 632,80 $ et l’argent de décembre était en baisse de 1,40 $ à 30,61 $.

Les nouvelles du Hezbollah ont fait sombrer le marché du pétrole brut, le brut Nymex ayant chuté d’environ 3,75 $ le baril à 73,50 $ après avoir atteint un sommet de 3,5 mois pendant la nuit. L’indice du dollar américain est passé au-dessus du niveau inchangé aujourd’hui et se négocie à son plus haut du jour, tandis que les rendements du Trésor américain ont augmenté récemment – ​​deux éléments « extérieurs au marché » baissiers pour les marchés des métaux précieux. Le rendement des obligations à 10 ans est actuellement à 4,028 %.

Les indices boursiers américains sont en hausse aujourd’hui, ce qui est également négatif pour les marchés des métaux refuges.

Le briefing économique très attendu de la Commission nationale chinoise pour le développement et la réforme mardi « a déçu les marchés, offrant peu de nouvelles mesures de relance », a déclaré le courtier SP Angel.

Cette nouvelle a provoqué des ventes massives dans les indices boursiers chinois, l'indice Hang Seng ayant chuté de près de 10 % et enregistrant la plus forte perte en une journée depuis près de deux ans.

Techniquement, les haussiers de l'or de décembre ont un avantage technique global à court terme. Le prochain objectif de prix à la hausse des haussiers est de produire une clôture au-dessus de la résistance solide au record de 2 708,70 $. Le prochain objectif de prix à la baisse à court terme des baissiers est de pousser les prix à terme en dessous du support technique solide à 2 572,50 $. La première résistance est observée à 2 650,00 $, puis au plus haut d'aujourd'hui à 2 672,40 $. Le premier support est observé à 2 625,00 $, puis à 2 610,00 $. Note de marché de Wyckoff : 7,5.

Les haussiers des contrats à terme sur l'argent de décembre ont l'avantage technique global à court terme, mais ils s'estompent maintenant. Une tendance à la hausse vieille de sept semaines sur le graphique à barres quotidien est sérieusement menacée et les haussiers doivent bientôt montrer une nouvelle puissance pour la maintenir en vie. Le prochain objectif de prix à la hausse des haussiers de l'argent est de clôturer les prix au-dessus de la solide résistance technique au plus haut de mai à 33,50 $. Le prochain objectif de prix à la baisse pour les baissiers est de clôturer les prix en dessous du support solide à 29,00 $. La première résistance est observée à 31,00 $, puis à 31,50 $. Le prochain support est observé à 30,00 $, puis à 29,50 $. Évaluation du marché de Wyckoff : 6,5

Kitco Media
Jim Wyckoff

On rajoutera que la Chine n'a pas encore acheté d'Or en septembre.

Les supputations vont bon train sur ce qu'elle va faire pour la suite ...

Encore trop tôt pour essayer de trouver un point d'arrêt à cette respiration.

  
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MITTE MITTE
08/10/2024 13:05:47
0

Hier :

" Mais, car il y a toujours un mais, la tenkan et la kijun sont passées plates et leur zone, la zone tenkan/kijun est plate et large. Techniquement elle n'appuie donc plus franchement la hausse des cours comme la zone/tenkan kijun l'avait fait à partir du départ de la hausse du 12 septembre 2024 jusqu'à son point haut du 26 septembre sur les 2407 €. Cette zone était alors haussière et étroite.

Les cours pourraient, peut-être, ainsi consolider latéralement sur leurs niveaux actuels avant de reprendre leur hausse."

Les cours ont donc bien retesté hier le niveau des 2406 € qu'ils avaient cassé à la hausse et en clôture vendredi soir.

Visiblement ils ne sont pas convaincus et, la tenkan étant toujours plate, ont décidé d'aller la tester. Le contact avec la tenkan sur les 2394 € a bien eu lieu puisque les cours ont tapé les 2392 € ce matin.

Nous en sommes là pour le moment, pile poil sur les 2407 € stable à 0,00 % !

Il faut maintenant que les cours et les deux droites tenkan et kijun accordent leurs violons. Ça pourrait prendre un peu de temps.

Question fondamental, tout est " en l'état " : taux us, géopolitique ukraine et israël, dettes mondiales et masse monétaire et hypothétique nouvelle monnaie des BRICs adossée en partie à l'Or.

Sous ces réserves, non négligeables :

- la Chine semble avoir arrêter ses achats d'Or,

- Poutine, à Kazan, au prochain sommet des BRICs pourrait faire accélérer les choses sur la mise en place efficace d'un système de paiement propre aux BRICs ( pas évident, lire sur le net pourquoi ) et sur le rôle futur de l'Or et d'autres métaux précieux,

- au-moins 16 % des analystes ont estimé hier que la FED pourrait passer son tour lors de sa prochaine réunion sur le niveau de son taux directeur ...

  
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MITTE MITTE
07/10/2024 12:30:07
0

Prochain objectif : 2450 € ?

  
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MITTE MITTE
07/10/2024 12:13:18
0

L'Or en € continue son parcours haussier.

Le niveau des 2406 €, un temps résistance, est devenu support après son franchissement par l'or vendredi dernier et après sa clôture sur les 2417 €.

Ce matin les cours cherchent à valider le franchissement des 2406 € en venant, par leur bougie du jour faire un point bas sur les 2407 €. Après ce test, actuellement réussi, les cours sont remontés sur leur niveau actuel des 2424 € en hausse de 0,28 %.

Mais, car il y a toujours un mais, la tenkan et la kijun sont passées plates et leur zone, la zone tenkan/kijun est plate et large. Techniquement elle n'appuie donc plus franchement la hausse des cours comme la zone/tenkan kijun l'avait fait à partir du départ de la hausse du 12 septembre 2024 jusqu'à son point haut du 26 septembre sur les 2407 €. Cette zone était alors haussière et étroite.

Les cours pourraient, peut-être, ainsi consolider latéralement sur leurs niveaux actuels avant de reprendre leur hausse.

Bien entendu des évènements en provenance du proche orient pourraient venir accélérer le cours des choses.

On sait que le ministre de la défense israélienne est aux usa et que son alter ego américain vient de dire que "

10:54 : Lloyd Austin à Yoav Gallant : "Les États-Unis ont l'obligation de dissuader l'Iran et ses proxys d'étendre le conflit au Moyen-Orient"

Si cette phrase ne voudrait pas dire qu'Israël va répliquer aux 108 missiles tirés dernièrement par l'Iran et que les USA interviendront pour la cas où la réponse de l'Iran irait trop loin, je veux bien me faire curé.

Ce que l'on peut aussi souligner c'est que cet " évènement " ,à classer dans les " indicateurs fondamentaux ", interviendrait sur un graph aux données techniques déjà haussières, si ce n'est très haussières.

Y-a plus qu'à attendre.

  
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MITTE MITTE
05/10/2024 20:32:17
0

En complément des 2 posts précédents : " Israël a le devoir et le droit de riposter aux attaques de l'IRAN et c'est ce que nous ferons "

Benjamin Netanyahou.

5 octobre 2024

19h13

Source I24NEWS.

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On tape les 3 000 $ ?

Mais après il se passera quoi ?

  
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MITTE MITTE
05/10/2024 20:26:46
0

Conflit IRAN-ISRAÊL.

En complément du précédent post.

Il en découlerait qu'Israël ne pourrait pas tenir à long terme face à la multiplicité de missiles que l'Iran est en train de produire.

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4 octobre 2024
Par
Decker Eveleth

IMINT : frappe iranienne sur la base aérienne de Nevatim

Le 1er octobre, l’Iran a lancé une nouvelle attaque de missiles balistiques contre Israël et, contrairement à la dernière fois, un grand nombre de systèmes de missiles balistiques iraniens semblent avoir touché diverses zones cibles en Israël. Voici ce que nous savons jusqu’à présent : l’Iran a lancé environ 180 missiles balistiques et cette fois, ils ont utilisé certains de leurs modèles les plus avancés. Contrairement aux frappes d’avril, qui semblent avoir été menées principalement avec des dérivés plus anciens de Scud à carburant liquide comme le missile Emad, l’Iran a également lancé un grand nombre de ses systèmes à carburant solide plus modernes. Mon ancien collègue Sam Lair du CNS a fait le tour des bases de missiles iraniennes pour trouver des preuves de lancements et jusqu’à présent, nous savons que l’Iran a lancé des missiles à carburant solide depuis plusieurs bases, dont Tabriz, et des missiles à carburant liquide depuis sa base de missiles à Shiraz. Les cibles, selon l’Iran, comprenaient diverses installations radar de défense aérienne israéliennes, deux bases aériennes (la base aérienne de Nevatim et la base aérienne de Tel Nof) et le siège du Mossad à Glilot. Parmi ces frappes, celle contre le siège du Mossad à Glilot semble avoir été la moins réussie. Nous n'avons constaté que deux impacts, et celui qui a touché le siège du Mossad s'est produit à environ 520 mètres du bâtiment lui-même.

Les frappes sur Tel Nof et Nevatim semblent avoir été beaucoup plus efficaces.
Nous n'avons pas encore d'images de Tel Nof, mais il existe des images sur les réseaux sociaux montrant des ogives nucléaires pleuvant sur la base, et certaines semblent avoir provoqué des explosions secondaires, ce qui est une bonne preuve qu'elles ont probablement touché quelque chose qui valait la peine d'être touché. Dès que nous aurons des images de Tel Nof, moi-même et l'équipage du CNS commencerons à compter.

Nous avons obtenu des images haute résolution de l'une des cibles, la base aérienne de Nevatim, que nos amis de Planet Labs ont prises le 2 octobre. Cela vaut la peine de parler longuement de ces images. Hier, Jeffrey, son équipe du CNS et moi-même avons effectué une évaluation des dommages causés par les combats sur la base aérienne de Nevatim, et nous avons compté au moins 33 cratères d'impact probables, avec probablement d'autres impacts actuellement masqués par les nuages. Il se pourrait que l'Iran ait frappé la base avec quelque chose comme 40 ogives. Un grand merci à Sam Lair, Michael Duitsman et au reste de l'équipe pour avoir fait du bon travail géospatial sur ce problème.

Voici l'image postée par Jeffrey. Avant d'aller plus loin, il vaut la peine de s'arrêter un instant sur ce point. La dernière fois que l'Iran a essayé de frapper Nevatim en avril, ils n'ont réussi à atteindre que 5 ogives nucléaires, et ces ogives étaient assez dispersées et n'ont pas touché grand-chose d'intéressant. J'ai eu une discussion avec Jeffrey à l'époque sur le type de cibles qu'ils visaient. Jeffrey, en partant du principe raisonnable que les missiles à carburant liquide comme Emad que l'Iran utilise ne sont pas si précis (une évaluation avec laquelle je pense être d'accord), a avancé l'argument selon lequel l'Iran visait probablement un seul point cible. Je n'étais pas d'accord avec lui à l'époque sur le nombre de points cibles, et le léger effet de regroupement ici semble soutenir la conclusion provisoire selon laquelle l'Iran visait probablement plusieurs points. Il y a un léger effet de regroupement sur plusieurs cibles importantes, comme les hangars de ravitaillement en vol et les abris F-35. Mais davantage de données sont nécessaires pour arriver à une conclusion précise. Il est possible que l’Iran ait visé un seul point en avril, mais cette fois-ci, il avait plusieurs points de visée car il utilisait des missiles différents. L’Iran a utilisé des systèmes plus modernes pour cette frappe – il semble avoir utilisé ses derniers missiles Fattah et Kheibar Shekan, qui sont à combustible solide et dotés d’ogives mobiles. Le Fattah est particulièrement sophistiqué car il possède une ogive motorisée. Certains tentent d’utiliser cette analyse pour affirmer que les missiles iraniens ont une précision de 500 mètres, mais je m’abstiendrais de le faire étant donné que nous ignorons tout de ce qu’ils visaient.

Il est également important de noter que les bases aériennes sont des cibles très difficiles. La grande majorité d'une base aérienne est un terrain vide et la plupart des choses que vous voulez probablement frapper sont assez dispersées. Les Russes n'ont pas eu beaucoup de chance en frappant les bases aériennes ukrainiennes pour la même raison. Pour être très efficace dans la destruction des avions, il faut être très, très précis, et la plupart des missiles n'ont tout simplement pas cette précision.

Alors, qu'ont-ils touché ? Pas grand-chose. La plupart des zones d'impact ont soit complètement raté leur cible, soit simplement touché les voies de circulation autour de la base, dont la plupart ont été réparées. Ils ont néanmoins touché un hangar de ravitaillement en vol et quelques bâtiments.

Il y a un léger effet de regroupement dans cette zone où Israël stocke un grand nombre d'avions sans protection, ce qui peut encore une fois indiquer que l'Iran visait cette zone spécifiquement, ou que l'Iran a simplement eu beaucoup de chance d'avoir un si bon regroupement dans une zone de si grande valeur.

Un bâtiment de soutien à l'extrémité sud de la base a été touché par un missile, mais l'impact n'était pas centré sur le bâtiment, et seule une partie du bâtiment a été détruite.

Enfin, les images à 3 mètres montrent des dégâts probablement graves sur un bâtiment du côté est de la base, probablement utilisé pour des tâches de maintenance. Les dégâts sur ces trois structures sont les éléments les plus évidents des dégâts graves causés par la frappe iranienne. De là, nous passons aux abris F-35, qui semblent avoir en grande partie résisté à la tempête.

Deux quasi-accidents ici, avec des cratères d'impact visibles de chaque côté d'une des rangées d'abris F-35. Un troisième impact un peu plus loin de l'image. Cela devrait démontrer que l'absence de dégâts sérieux aux installations ici à Nevatim est autant due à la chance qu'à l'imprécision relative des missiles iraniens.

Jeffrey a souligné que l'un des abris F-35 semble avoir subi des dégâts, peut-être même un coup direct. Il y a peut-être un petit trou dans le toit de l'abri, et une grande quantité de poussière de béton sur le toit. Mais l'abri lui-même semble toujours intact. Il se peut que l'ogive qui a atterri ici était un raté et n'ait pas explosé ou que les techniques de construction d'abris antiaériens israéliens contiennent très bien les explosions. Il est remarquable que cet abri ait toujours ses portes fermées, contrairement à la plupart des autres abris, peut-être parce qu'il est endommagé et inutilisé.

Les autres impacts n'ont pas touché grand-chose et beaucoup ont atterri plus loin sur la piste. Un ami travaille sur une théorie expliquant pourquoi cela se produit, dont je parlerai la prochaine fois, quand elle sera un peu plus détaillée.

Alors, que nous apprend tout cela ? Il y a encore beaucoup de choses que nous ignorons sur la frappe globale, mais je pense que certaines données peuvent être extraites de cela. Nous ne pouvons pas dire grand-chose sur l'efficacité globale de la défense aérienne israélienne. Nous savons qu'Israël a lancé un grand nombre d'intercepteurs, et nous pouvons voir des images de ces intercepteurs interceptant QUELQUE CHOSE au-delà de l'atmosphère, mais nous ne savons pas quelle a été leur efficacité dans son ensemble.

Mais le fait demeure que plus de 30 missiles ont touché Nevatim, et je ne pense pas que ce soit parce qu'Israël n'a pas intercepté des missiles qu'il pensait manquer. Comme le montrent les images des abris F-35, de nombreux missiles manqués ici à Nevatim n'étaient qu'à quelques mètres de quelque chose qui valait la peine d'être touché, et il semble peu probable qu'Israël puisse déterminer les points d'impact des missiles en mouvement alors qu'ils sont encore en train de parcourir leur trajectoire à mi-parcours jusqu'à 5 mètres.

Nous ne savons pas non plus grand-chose sur les capacités spécifiques des missiles iraniens à manœuvrer pour vaincre le système de défense antimissile israélien. Peut-être certains missiles iraniens ont-ils réussi à tromper le système de défense antimissile israélien, mais sans données concrètes à ce sujet, nous ne pouvons pas en dire beaucoup.

Nous ne savons pas non plus pourquoi Nevatim a été touchée plus durement que Glilot. Il est possible qu'Israël ait donné la priorité à l'interception des missiles se dirigeant vers Glilot, puisque Glilot se trouve dans une zone urbaine. Si cela s'avère vrai, cela donne du crédit à l'idée qu'Israël a été réellement submergé par les missiles, ou qu'il a simplement choisi de conserver ses intercepteurs pour un autre jour. Les deux sont peut-être vrais.

Peu importe que l’une ou l’autre de ces deux options soit vraie ou plus vraie que l’autre, le fait essentiel reste que l’Iran a prouvé qu’il pouvait frapper Israël durement s’il le voulait. Les bases aériennes sont des cibles difficiles, et le genre de cibles qui ne feront probablement pas beaucoup de victimes. L’Iran pourrait choisir une autre cible – par exemple une base terrestre de Tsahal surpeuplée, ou une cible dans une zone civile – et une frappe de missiles à cet endroit ferait un grand nombre de victimes.

Il y a aussi le problème du conflit à long terme auquel Israël est actuellement confronté.

Les intercepteurs sont plus chers que les missiles balistiques, et l’Iran est en train d’agrandir considérablement ses installations de production de missiles balistiques sur les trois sites où il produit des missiles. La disparité entre le rythme auquel Israël peut produire des intercepteurs et le rythme auquel l’Iran peut produire des missiles balistiques va probablement pencher en faveur de l’Iran, ce qui suggère que l’Iran pourrait, dans le cadre d’une campagne de missiles plus longue ou d’une guerre prolongée, simplement continuer à lancer des missiles sur Israël jusqu’à ce qu’il n’ait plus d’intercepteurs.

C'est le problème récurrent de la défense antimissile : une fois que vous avez construit un bouclier défensif et identifié le nombre de missiles que vous souhaitez intercepter, votre adversaire va simplement en construire davantage.

Je suis convaincu que la défense antimissile de théâtre génère des portes de sortie dans les conflits, mais cet argument ne fonctionne que dans les conflits où les acteurs PEUVENT reculer, c'est pourquoi je pense toujours que cet argument ne fonctionne pas vraiment au niveau de la stratégie nucléaire. Cela dépend aussi de la personnalité en question à la tête d'un État qui souhaite prendre une porte de sortie, et malheureusement, nous parlons ici d'Israël.

Malgré les moqueries suscitées par la précision des missiles iraniens, je retiens personnellement le contraire de ce que les gens semblent conclure de tout cet épisode : l’Iran a prouvé que ses missiles sont efficaces et qu’ils peuvent effectivement nuire à Israël.

Personne ne doit se laisser tromper par l’idée que la précision des missiles iraniens (ou son absence) signifie que la force de missiles iranienne est une sorte de tigre de papier. Une cible différente produirait des résultats différents.

Que cette révélation décourage ou non Israël est une autre histoire qui dépend du climat politique intérieur israélien et des personnalités au sein du gouvernement israélien.

Étant donné qu’Israël semble s’être déjà publiquement engagé à frapper l’Iran, ce n’est probablement pas la dernière fois que nous assisterons à des échanges de missiles.

Ce qui m’inquiète, c’est qu’à long terme, ce sera un échange qu’Israël ne pourra pas se permettre si cela se transforme en un conflit prolongé.

  
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MITTE MITTE
05/10/2024 20:10:17
0

L'IRAN a, semble-t-il, les moyens de faire réfléchir Israël.

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Une image plus claire des dégâts causés à la base aérienne israélienne par les missiles balistiques iraniens apparaît.
Des dizaines de zones d'impact ont été identifiées dans la base aérienne israélienne de Nevatim, mais peu de missiles balistiques iraniens semblent avoir atteint leurs cibles.

Thomas Newdick , Tyler Rogoway

Publié le 4 octobre 2024 à 19 h 29 HAE

L'attaque iranienne contre une base aérienne israélienne fait quelques dégâts mais rien de généralisé

Les images satellite de la base aérienne israélienne de Nevatim révèlent des détails sur le niveau de destruction atteint par l'Iran lors de son barrage de missiles balistiques du 1er octobre, mais ne fournissent pas non plus de preuves pour étayer les affirmations de Téhéran concernant la destruction des chasseurs furtifs F-35I Adir de l'armée de l'air israélienne. Vous pouvez lire notre rapport initial sur les attaques iraniennes ici , ainsi qu'un compte rendu de la manière dont la marine américaine a contribué à la défaite de certains des missiles entrants ici .

Sur les 180 missiles balistiques lancés par l’Iran en début de semaine, dont certains de conception particulièrement avancée, un nombre important a atterri en Israël, réussissant à neutraliser le vaste système anti-missiles balistiques du pays . Cela contraste avec les attaques iraniennes d’avril, au cours desquelles seuls quelques missiles, principalement de conception ancienne, ont réussi à passer au travers. Lors de cette attaque, des drones d’attaque à sens unique à longue portée ont également été intégrés à l’attaque. Cette fois, il s’agissait strictement de missiles balistiques, ce qui est logique compte tenu des faibles performances des drones.

L'Iran a affirmé que les missiles de la dernière attaque visaient des installations militaires israéliennes clés, notamment le siège du Mossad, des radars de défense aérienne et deux bases aériennes clés : Nevatim et Tel Nof. C'est exactement l' ensemble de cibles que nous avions envisagé pour une telle attaque.

La base aérienne de Nevatim a été très présente dans les déclarations iraniennes de succès, tandis que les images satellites ultérieures éclairent ce qui s'y est réellement passé. Jusqu'à présent, aucune image équivalente de la base aérienne de Tel Nof n'est disponible. La couverture nuageuse partielle a limité la production d'images à haute résolution depuis la frappe. Israël a affirmé que ses opérations aériennes n'avaient pas été affectées par les frappes.

Pendant ce temps, les analystes du renseignement et de l’imagerie open source ont étudié de près les images satellite de Nevatim, qui abrite la flotte de F-35 et d’avions de soutien électronique de l’IAF, ainsi que des avions de transport et d’autres appareils. Selon Decker Eveleth, analyste des forces stratégiques au Center for Naval Analyses (CAN), une organisation américaine de recherche et d’analyse à but non lucratif, ces images révèlent « au moins 33 cratères d’impact probables, avec probablement davantage d’impacts actuellement masqués par les nuages ​​». Le nombre total d’impacts est donc probablement plus proche de 40, soutient Eveleth.

Il s'agit d'un chiffre significatif, particulièrement notable lorsqu'on le compare aux attaques iraniennes du mois d'avril, qui n'ont abouti qu'à cinq impacts de missiles confirmés sur Nevatim.

Ce qui n'est pas tout à fait clair, c'est ce que l'Iran visait exactement sur la base aérienne de Nevatim et si les ogives nucléaires qui ont frappé cette base étaient destinées à frapper des hangars, des bâtiments ou d'autres points particuliers et n'ont pas réussi à le faire. Eveleth note quelques impacts « groupés » autour de zones telles que des revêtements et des hangars de chasseurs, bien que cela ne soit pas concluant. Néanmoins, un hangar a clairement été détruit.

L'Iran dispose de missiles balistiques à têtes nucléaires manœuvrables et les attaques passées de missiles à courte portée ont montré une précision surprenante , de sorte que des efforts ont été faits pour cibler des points précis autour de la base. Cependant, frapper avec précision sur des distances beaucoup plus grandes avec des missiles plus complexes est certainement une tâche plus difficile.

Dans son analyse de ce que le dernier barrage de missiles contre la base aérienne de Nevatim a réellement accompli, Eveleth conclut que la réponse est « pas grand-chose ».

« La plupart des zones d’impact ont soit complètement raté leur cible, soit simplement touché les voies de circulation autour de la base, dont la plupart ont été réparées. Ils ont néanmoins touché un hangar de ravitaillement en vol et quelques bâtiments », poursuit-il.

Un bâtiment de soutien à l'extrémité sud de la base a certainement été touché, détruisant une partie de celui-ci, tandis qu'un autre bâtiment à l'est de la base a également été touché et montre des signes de dommages probablement importants. On a également observé un certain nombre d'impacts regroupés autour d'une zone de stockage d'avions, bien que ces avions soient stationnés à l'air libre, ce qui suggère qu'ils ne sont peut-être plus actifs.

Quant aux très prisés F-35 — dont 20 ont été détruits, selon certains rapports iraniens — les dégâts semblent ici être largement limités à quelques cratères adjacents à une rangée d'abris abritant les avions, bien que des dommages limités aux cellules dissimulées aient pu se produire.

L'un des abris semble avoir subi quelques dégâts, peut-être à cause d'un coup direct, et il semblerait qu'il y ait eu un petit trou dans le toit. On ne sait pas exactement ce qui s'est passé ici, mais Eveleth suggère qu'il s'agissait peut-être d'une ogive qui n'a pas explosé.

Même si davantage d’ogives avaient touché les abris et explosé, il est fort probable que la majorité des F-35 auraient survécu de toute façon, puisqu’ils étaient presque certainement en vol avant l’attaque de missiles. Le soir des frappes, presque tous les avions-citernes de l’armée de l’air israélienne étaient en vol au large de la côte, ce qui suggère qu’ils étaient impliqués dans le ravitaillement des avions de combat qui avaient décollé de leurs bases. Les F-35 auraient été prioritaires pour le soutien des avions-citernes afin de les sauver d’une destruction potentielle au sol. De tous les avions ciblés par l’Iran, ils seraient en tête de liste car ils représentent la plus grande menace pour le régime et sont très prisés par l’armée de l’air israélienne.

Certains prétendent néanmoins que tous les F-35 auraient quitté la base avant l’arrivée des missiles. C’est une idée presque impossible. Tous les avions de chasse, et en particulier les types très complexes de la 5e génération, nécessitent une maintenance constante et considérable. Une partie de la flotte serait immobilisée à tout moment pour des révisions approfondies, en attente de pièces et pour d’autres problèmes, ce qui rendrait impossible leur décollage.. Néanmoins, certains avions cloués au sol pourraient toujours être déplacés vers des endroits improbables autour de la base dans de nombreux cas pour aider à les protéger s’il y avait du temps pour le faire.

En examinant la base aérienne de Nevatim dans son ensemble, il y a de bonnes et de mauvaises nouvelles, en ce qui concerne Israël.

La base a subi de nombreux tirs, ce qui suggère que les défenses anti-missiles balistiques d'Israël ont été, au moins dans une certaine mesure, dépassées. Ce n'est pas si surprenant. Comme nous l'avons souligné à plusieurs reprises après la première attaque en avril, la prochaine attaque utiliserait de nouvelles tactiques, avec une sursaturation des défenses anti-missiles et une concentration sur un petit nombre de cibles militaires de grande envergure dans des endroits éloignés - des bases aériennes en particulier - qui seront probablement les bases d'un futur plan d'attaque.

L'absence de dégâts peut être due aux difficultés inhérentes à la visée d'une base aérienne à une distance aussi longue ou peut indiquer un niveau élevé d'échecs et un faible niveau de précision des missiles balistiques à longue portée de l'Iran. Il est toujours possible que l'Iran ait intentionnellement choisi des cibles, et non des structures ou des objets spécifiques, afin de réduire la probabilité d'une contre-attaque majeure tout en accomplissant ses objectifs de propagande sur son territoire et dans tout le Moyen-Orient. Cela semble néanmoins être une possibilité moins probable.

Il faut également tenir compte des efforts déployés par Israël pour se défendre contre les frappes de missiles iraniens, au-delà de l’utilisation de ses défenses antimissiles balistiques et de celles de ses alliés . Israël aura presque certainement également employé la guerre électronique, comme la perturbation GPS et les tactiques « à gauche du point de lancement » pour dégrader les capacités de missiles balistiques de l’Iran par des moyens non cinétiques.

Il se pourrait aussi que, cette fois-ci, la base aérienne de Nevatim – et Israël – aient eu de la chance.

Le principal enseignement à retenir est que l’Iran a démontré qu’il pouvait frapper Israël avec de nombreux missiles balistiques. Si ces mêmes missiles avaient ciblé des zones civiles, les pertes en vies humaines auraient pu être très lourdes. S’ils avaient été dirigés contre des cibles d’infrastructures de grande envergure, les dégâts auraient également pu être très problématiques.

L'inquiétude d'Israël réside non seulement dans le fait que l'Iran puisse frapper son territoire, mais aussi dans le fait qu'il augmente le nombre de missiles dans son inventaire, en améliorant leur précision et en les rendant plus résistants aux contre-mesures, ce qui en fait une menace encore plus grande. De plus, une utilisation aussi massive dans le monde réel, comme cette dernière attaque, fournit des données cruciales à l'Iran sur la manière d'améliorer ces systèmes de frappe à longue portée qui se développent déjà rapidement.

Alors qu'Israël est prêt à riposter à tout moment et que l'Iran menace de détruire les infrastructures essentielles d'Israël s'il agit ainsi, un autre déluge pourrait survenir dans un avenir proche.


  
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MITTE MITTE
05/10/2024 16:34:42
0

Clôture trimestrielle record pour l'argent, l'or atteint une résistance majeure.

Publié par Mike Roy | 1 oct. 2024 | 11075

Site : or.fr

Pour les graphiques : cf site or.fr

Cette semaine, nous allons analyser l'or et l'argent, et nous constaterons que les deux métaux sont à un point d'inflexion très intéressant.

Commençons par le cours de l'argent : il vient de clôturer le trimestre à 31,14 $, sa clôture la plus élevée en 12 ans et sa cinquième clôture trimestrielle la plus élevée de tous les temps ! L'argent est en hausse d'environ 65% par rapport à son plus bas trimestriel établi en 2022 et montre peu de signes de ralentissement. Le prochain objectif à surveiller est son record historique de clôture trimestrielle à 37,58 $, et s'il parvient à le dépasser, il n'y a pratiquement plus de résistance au-dessus de ce niveau.

Dans une perspective plus large, je vous rappelle que le mouvement actuel de l'argent semble être une tentative d'achever la formation de l'anse d'une figure en tasse avec anse qui remonte au sommet de 1980, avec un mouvement mesuré sur une clôture trimestrielle autour de 140 $. L'avenir de l'argent au cours des prochaines années semble incroyablement prometteur.

Le cours de l'or a atteint cette semaine une ligne de résistance historique reliant ses sommets de 1980 et 2011, il n'est donc pas surprenant que le prix ait rebondi sur la zone de 2 665 $ et puisse consolider pendant un certain temps. Nous avons maintenant ce qui me semble être un modèle de tasse avec anse incliné très convaincant. Cependant, pour ceux qui préfèrent une approche plus classique de l'analyse technique, je suggère de considérer l'immense drapeau haussier qui remonte à 2001. Le mouvement mesuré sur ce drapeau est d'environ 8 000 $, et il semblerait qu'une rupture de la ligne de cou de la tasse avec anse donnerait un énorme coup d'accélérateur au prix dans cette direction. En effet, c'est le bon moment pour être un haussier des métaux !

  
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MITTE MITTE
05/10/2024 14:02:24
0

Petit point de la situation :

1 - L'Or en € a établi, ce vendredi 4 octobre 2024, un nouveau plus haut de tous les temps en atteignant en séance les 2434 € et un nouveau plus haut en clôture sur les 2417 €. Les graphs sont toujours haussiers, la zone de résistance des 2406 €, 2407€ et 2408 € ayant été franchie à la hausse de vendredi 4 octobre. A voir si elle tiendra la semaine prochaine avec la publication de deux stats sur l'inflation us version consommateur et producteur.

On verra alors si les baisses journalières en séance donneront toujours lieu à des achats lors des plus bas de la bougie journalière.

Attention aussi à la parité euro/doll qui favorise grandement la cotation en € de l'Or.

En dollar, l'Or a perdu hier 0,09 % pour une hausse de 0,40 % en €.

2 - L'Or a, amha, 4 soutiens, à savoir :

a) la politique de taux de la FED,

b) la situation géopolitique de la planète, : les conflits en Russie et en Israël,

c) le cheminement des BRICs vers une dédollarisation partielle de leurs échanges ce qui les conduit à l'instauration d'une monnaie assise, à hauteur de 60 % sur un panier de devises, dont notamment les devises chinoises, indiennes et russes ( respectivement les 2 ème, 5 ème et 9 ème économies de la planète ) et à hauteur de 40 % sur de l'Or. Ce qui soutient ipso facto le cours de l'Or.

d) l'augmentation dantesque de la masse monétaire mondiale, mesurée notamment par son indicateur M2, augmentation due à l'émission incontrôlée de monnaie, donc à une augmentation sans fin des dettes mondiales, qui fait grimper l'Or du fait de son rôle de protection contre la chute du pouvoir d'achat des différentes monnaies, en particulier le dollar.

SI L'OR N'AVAIT QU'UN SEUL SOUTIEN, A SAVOIR LA POLITIQUE DE TAUX DE LA FED, L'OR AURAIT, AMHA, CHUTER SENSIBLEMENT A LA PARUTION DES DERNIERES STATS US SUR L'EMPLOI AU TRAVERS DU NFP. On aurait pu parler de respiration, voire de consolidation, voire de correction, en perdant près de 20 % en atterrissant sur le bas du nuage journalier, c-a-d les 2167 €.

3 - Encore que, concernant le NFP, ne pourrait-on pas s'interroger sur la fiabilité de cet indice ?

En effet le chiffre de créations d'emplois attendues pour le mois de septembre, c-a-d 147K avait été établi sur la base des créations d'emplois des mois précédents, or celles-ci avaient été revues à la hausse ... ce qui a manifestement conduit pour la stat de septembre à un chiffre de créations d'emplois inférieur à celui qui aurait dû être publié si les données des mois précédents ( aout, juillet ) avaient été correctes.

D'ici à ce que le chiffre publié pour septembre, c-a-d 254K soient revu à la baisse le mois prochain ...

D'autre part lors de la parution de la stat du dernier Indice PMI manufacturier de l'ISM, cet indice a été publié en baisse à 47,2 alors qu'il était attendu à 47,6, et il a été question concernant cette stat de sous-emploi et de diminution des emplois temporaires ...


  
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MITTE MITTE
04/10/2024 23:22:26
0

Là voila donc la nouvelle petite musique ( évoquée au précédent post ) sur laquelle l'Or pourrait asseoir sa hausse.

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La dette mondiale et la masse monétaire battent des records, alimentant les hausses de l'or et du Bitcoin.
Kitco Media
Par Jordan Finneseth
Publié :
22:24
Mis à jour :
22:35


(Kitco News) – Les politiciens et les banques centrales avancent de nombreuses raisons pour l'inflation persistante observée ces dernières années, pointant du doigt des éléments comme la pandémie de COVID-19 et les hoquets de la chaîne d'approvisionnement comme les principaux coupables, tout en ignorant le fait que l'émission ininterrompue de dette joue le plus grand rôle dans la montée en flèche de la masse monétaire mondiale.

Selon le fournisseur de commentaires économiques The Kobeissi Letter, la masse monétaire totale aux États-Unis, dans la zone euro, au Japon et en Chine a récemment atteint un nouveau record de 89,7 billions de dollars, dont 7,3 billions de dollars ajoutés au cours de la seule année écoulée.

« Il s'agit de la plus forte augmentation en 3 ans et d'un bond similaire à la réponse initiale à la pandémie observée au premier semestre 2020 », ont déclaré les analystes de The Kobeissi Letter. « Rien qu’aux États-Unis, la quantité de monnaie en circulation a bondi de 410 milliards de dollars sur un an, pour atteindre 21 200 milliards de dollars. »

Pour mettre ces chiffres en perspective, les analystes ont noté qu’« au début de 2020, la masse monétaire américaine était inférieure de 27 % aux niveaux actuels », ce qui indique une chose : « l’impression monétaire mondiale est de retour ».

« Depuis la pandémie, la masse monétaire mondiale a grimpé en flèche », ont-ils déclaré dans un article de suivi. « En fait, le dollar américain a perdu 25 % de son pouvoir d’achat au cours des quatre dernières années seulement. De toute évidence, l’inflation n’était pas « transitoire ». »

Et alors que les États-Unis s’engagent à soutenir financièrement de nombreux conflits dans le monde tout en faisant face à une infrastructure défaillante sur leur territoire et à des paiements d’intérêts insoutenables sur leur dette, la trajectoire ascendante de M2 ​​et de la dette ne montre aucun signe de ralentissement.

« La dette publique américaine a bondi de 345 milliards de dollars au cours des 3 derniers jours, atteignant un nouveau record de 35,7 billions de dollars », a déclaré jeudi The Kobeissi Letter. « Depuis juin 2023, la dette fédérale a augmenté de 4 billions de dollars, soit 14 %. »

« Sur la même période, le PIB américain n’a augmenté que de 1,5 billion de dollars, soit environ 6 % », ont-ils noté. « En d’autres termes, la dette nationale a dépassé la croissance économique de 2,7 FOIS au cours des 16 derniers mois. En dehors de la crise pandémique, la dette fédérale américaine n’a jamais augmenté aussi rapidement. »

« Imaginez que vous dirigiez votre ménage comme les États-Unis gèrent leur dette… Vous seriez en faillite à l’heure du déjeuner et que vous achetiez toujours du homard pour le dîner. Mais bon, continuons à prétendre que le PIB sauvera la situation », a répondu l’analyste financier Jon Markman.

Quant au principal coupable, Global Markets Investor a clairement pointé du doigt le gouvernement américain, qui dépense des milliards de dollars au-delà de ses moyens depuis 2009.

Et ce ne sont pas seulement les États-Unis qui accumulent leur dette, car Visual Capitalist rapporte qu'après une augmentation de 1 300 milliards de dollars au premier trimestre 2024, la dette mondiale a atteint un nouveau record de 315 000 milliards de dollars, dont les marchés matures représentent 209 700 milliards de dollars, soit les deux tiers du total mondial.

Avec tout cela en arrière-plan, il devient plus compréhensible pourquoi l'or est en plein essor depuis octobre 2022, s'appréciant de 64 % dans un contexte de demande effrénée des banques centrales et des traders de détail.

Après avoir connu des mois de sorties de capitaux des ETF sur l'or, le mois de juillet a vu la tendance s'inverser, et depuis lors, la demande a explosé. Selon The Kobeissi Letter, « les entrées cumulées d’ETF sur l’or, y compris les ETF des mineurs d’or, s’élèvent désormais à 3,3 milliards de dollars depuis août ».

« L’ETF sur l’or le plus populaire, $GLD, a enregistré des entrées cumulées de 644 millions de dollars depuis le début de l’année », ont-ils ajouté. « La demande historiquement élevée a mis l’or sur la voie de son meilleur rendement annuel depuis 1979, en hausse de 28 % depuis le début de l’année. Dans le même temps, les ETF des mineurs d’or, $GDX et $GDXJ, sont en hausse de plus de 30 % et sont en passe de connaître leur meilleure année depuis 2020. L’or continue de se négocier comme si nous étions en crise. »

En raison de la forte demande, l’or est la « classe d’actifs majeure la plus performante » depuis le début de l’année, selon Global Markets Investor, et est « également sur la voie du meilleur rendement annuel DEPUIS 1979 ».

« L'or est tout simplement implacable : un autre jour, un autre record (4e consécutif), en hausse de 30 % sur l'année à 2 662 $ », a tweeté ZeroHedge le 24 septembre. « C'est la meilleure performance YTD de l'or ce siècle ! »

Bien que les crypto-monnaies et le Bitcoin (BTC) ne soient pas inclus dans la définition d’une classe d’actifs majeure de Global Markets Investor, ils ont également grimpé en flèche en 2024. Alors que l’or a augmenté d’environ 30 % depuis le début de l’année, le Bitcoin a augmenté de plus de 40 %, même s’il se négocie à plus de 15 % en dessous du record établi en mars.

Et comme le Bitcoin a montré une tendance à la hausse parallèlement à la masse monétaire M2, avec un décalage de 75 à 90 jours, la plupart des analystes s’attendent à une reprise saine du BTC à la fin de 2024, malgré les vents contraires qui pourraient influencer les conditions économiques.

Selon l’analyste de marché Joe Consorti, la tendance M2 suggère que le Bitcoin pourrait atteindre un prix de 90 000 $ d’ici la fin de 2024.

En ce qui concerne l’or par rapport à M2, le métal jaune a sous-performé dans le passé, mais les analystes s’attendent largement à ce qu’il continue de grimper à mesure que la masse monétaire augmente.

Ratio M2/or aux États-Unis. Source : In Gold We Trust

« Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessus, les marchés haussiers de l’or ont tendance à être corrélés à de fortes augmentations du ratio (1971-1980, 2000-2011) », ont déclaré les analystes de Vaulted. « Cependant, le marché haussier le plus récent, qui a commencé en 2016, est différent. L’or a augmenté parallèlement à la masse monétaire M2, de sorte que le ratio évolue latéralement depuis 2016. »

« Cela indique que l’or pourrait avoir beaucoup plus à grimper pendant ce marché haussier », ont-ils conclu. « Les marchés haussiers de l’or ont tendance à surpasser largement la croissance de la masse monétaire, ce que nous n’avons pas encore vu. Même un retour à la moyenne historique constituerait une énorme augmentation du prix de l’or. »

Kitco Media
Jordan Finneseth

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Donc, exit la FED et sa politique de taux et vive l'accroissement de la dette et la croissance de la masse monétaire mesurée notamment par l'indicateur M2.

J'avais bien écrit au post précédent que les opérateurs trouveraient bien une nouvelle petite musique pour faire grimper l'Or.

  
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