
Si ce montant reste très éloigné des 8 milliards d'euros qu'a dû verser BNP Paribas, les investisseurs accusent le coup, le titre affichant un repli de 2,3% ce mardi en milieu d'après-midi, ramenant ses gains à un peu plus de 2% depuis le début de l'année.
A l'instar de la première banque française, Crédit Agricole a été épinglé pour avoir violé les règles américaines d'embargo en facilitant des transactions en dollars avec le Soudan, l'Iran, Cuba et la Birmanie.
Différence de taille toutefois avec BNP Paribas : la banque verte n'aurait pas à plaider coupable pour mettre un terme aux poursuites.
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