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Metoo quelles sont tes valeurs?
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Merci pour cette analyse-reponse, qui cependant est minée d'incertitudes et de sensibilité très personnelle.
Alors je vous souhaite d'avoir un bon ressenti pour ... les années à venir.
Très cordialement
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En parlant d'optique, ça tombe bien car il y en a un qui offre 3 paires pour le prix d'une. Ça permettra de mieux voir.
Je ne change pas d'avis sur cette action qui prend les actionnaires pour de jolis pigeons trépanés.
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@Metoo
Personnellement j'investis sur Proximus, et grossi modo c'est les même problèmes telecoms partout.
Voici mon analyse et mes postulats de base :
-le service Télécom est un service de rente
-il y aura toujours des clients pour internet
-les telecoms sont sous évalués
-les investissement 5g bouffent du bénéfice, mais ça ne va pas durer indéfiniment.
-le Télécom est plutôt inflation-recession proof
Ma conclusion est que les telecoms sont sur une pente descandante mais que cela devrait s'améliorer
Ma technique est d'acheter des dips (16,20 pour proximus) et de revendre à des top ( récemment 17,50 pour Proximus) tout en holdant une partie des actions achetée à meilleur prix, le but est de faire baisser le pru.
À un moment donné la baisse va s'arrêter. Car le BNA par action sera tout simplement trop gros par rapport au cours de l'action. Plus le fait que les investissements 5g vont avoir une fin
Acheter pour holder est peut être pas bon, mais avec une stratégie de baisse de pru et si on table sur une remontée dans les 5 ans, ça peut être cohérent de viser les telecoms, secteur sous côté a mon sens.
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@metoo
Comment pouvez vous encourager l'achat d'une action qui ne cesse de plonger ???
Le dividendes est rémunéré par la fonte de l'action elle-même. Ce que vous savez très bien !!!
Alors pourquoi une telle ineptie de votre part ???
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Non l'action ne plonge plus depuis un à deux ans. Elle se cantonne dans un canal de 9 à 11 euros et effectivement ne constitue plus qu'une obligation déguisée avec un bon rendement. Ceci peut s'avérer très intéressant dans les périodes de bourse chahutée, et il n'est pas dit que les années qui viennent ne le seront pas. J'ai ma ligne constituée dans cette optique.
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Le propre d'un forum est bien d'échanger des points de vue... Celui-ci est positif et d'autres carrément négatifs.
Donc, à chacun ça façon de voir et personne ne viendra obliger quiconque à acheter ou vendre.
Chacun fait ce qui lui plaît.👀🧐
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Comment pouvez vous encourager l'achat d'une action qui ne cesse de plonger ???
Le dividendes est rémunéré par la fonte de l'action elle-même. Ce que vous savez très bien !!!
Alors pourquoi une telle ineptie de votre part ???
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Au cours actuel, le rendement de l'action est à regarder et à plus de 7% , il peut à lui seul constituer une raison de mettre l'action en portefeuille.
Actionnaire
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(+2,5% à 9,22 euros)
Le groupe est soutenu par la spéculation qui entoure le secteur avec la montée au capital d'Altice UK dans BT Group.
Message complété le 15/12/2021 09:22:57 par son auteur.
Orange: reprise de suivi à surperformance chez Oddo
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Orange : Delphine Ernotte pour succéder à Stéphane Richard ?
C’est du moins ce qui se murmure en ce moment, et ce au regard d’une impulsion de l’exécutif, qui viserait à mettre à la tête de l’opérateur historique, non seulement du sang neuf, mais également féminin avec la présidente de France Télévisions.
La nomination de Delphine Ernotte ferait ainsi suite à l’éviction de Stéphane Richard de son mandat social non seulement en qualité de Président mais également de Directeur Général d’Orange, sur décision du Conseil d’Administration, après sa condamnation dans l’affaire dite de l’arbitrage TAPIE / LCL à un an de prison avec sursis et une amende de 50 000 € par la Cour d’Appel de Paris, il y a quelques semaines à peine.
Deux postes sont donc désormais à pourvoir, pour lesquels plusieurs noms ont été avancés, avant que ne soit évoqué celui de Delphine Ernotte, comme celui de Fabienne Dulac (à la tête d’Orange France), Ramon Fernandez (directeur financier d’Orange) ou bien encore Jean-François Fallacher (directeur de la filiale espagnole d’Orange), si l’on jette un coup d’oeil du côté des compétences internes.
Nicolas Dufourcq (patron de BPI France), ou encore Michel Paulin (ex-président de SFR à la tête d’OVHCloud) sont également murmurés, avec une préférence nettement marquée en faveur de celle qui dirige France Télévisions depuis une poignée d’année, et notamment en raison de son ancienne appartenance à Orange par le passé.
Une femme certes mais avec l’esprit d’entreprise Orange, ce serait mieux.
Si Orange souhaiterait renouer avec son ancienne dirigeante, il est également fort probable que l’Etat se mêle de cette désignation à la tête de l’opérateur historique avec une volonté délibérée et clairement exprimée, de pouvoir imposer le principe d’une alternance homme / femme à la tête d’Orange, ce qui placerait tout naturellement Delphine Ernotte dans la posture de candidate idéale au regard de son parcours, comme de ses compétences.
Cette désignation ne serait cependant pas isolée, puisque l’opérateur historique devra accompagner cette désignation, à la mise en place d’un nouveau président.
En tout état de cause, une décision rapide devrait intervenir et le nom du successeur rapidement connu, Stéphane Richard quittant ses postes dès la fin du mois de janvier prochain.
C’est à dire demain.
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Oddo BHF débute la couverture d' Orange avec un conseil 'acheter' et une cible de 11 euros
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❓👩🏻💻 Rien de changé, à ma connaissance le dividende a toujours été payé en espèces ⁉️
Ici, c'est un acompte (le paiement se fait en deux fois : en juin et décembre).
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"L'objectif de cette opération était de talonner Deutsch Telekom [...] Mais l'État actionnaire adit non", le récit de Matthieu Pechberty.
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Crédit Suisse passe de surperformance à neutre en visant 11 EUR.
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Sur "Capital":
Orange est à la peine à la Bourse de Paris. L’action du géant historique des télécoms a connu une semaine boursière à oublier, revenant sur ses planchers annuels. “Les pressions vendeuses ont fait suite aux craintes apparues sur le variant Omicron puis à la dégradation de l’opinion du courtier Bank of America”, relève Monocle AM, qui voit toutefois l’action d’un bon œil, soulignant “un profil rendement-risque particulièrement attractif”. Orange constitue d’ailleurs “une de nos plus grosses lignes chez Monocle (9% du fonds)”, précisait mi-novembre la société de gestion.
En effet, alors que l’opérateur est jugé “particulièrement décoté” en Bourse, “à près de 5 fois le résultat opérationnel attendu”, son business est “particulièrement résilient et contracyclique : la crise du Covid-19 n’a eu aucun impact sur le chiffre d‘affaires et les marges de la société”, fait valoir Pierre Michaud, analyste chez Monocle AM, interrogé par Capital. “Le retour (rémunération, NDLR) à l’actionnaire est conséquent : Orange sert 0,70 euro de dividende par action à ses investisseurs, un rendement de presque 8% au cours actuel”, souligne l’expert.
Par ailleurs, “la filialisation de la ‘towerco’ Totem offre un potentiel de création de valeur substantiel à moyen terme, pouvant se chiffrer jusqu’à 6 milliards d’euros. Certains segments offrent des relais de croissance à moyen terme, comme la cybersécurité et le marché africain. Quant au départ de Stéphane Richard annoncé dernièrement suite à la décision de justice dans l’affaire Tapie, nous n’y voyons aucun élément défavorable”, ajoute-t-il.
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Avant de quitter ses fonctions de président directeur général d’Orange, Stéphane Richard livre une dernière interview confession. Au programme, “l’aversion au risque de l’Etat” pesant sur les initiatives stratégiques du groupe.
Condamné le 24 novembre dans l’affaire Tapie à un an de prison avec sursis, l’actuel PDG d’Orange, Stephane Richard, a pris la décision de démissionner et ainsi respecter la règle fixée par l’Etat, évitant ainsi un éventuel bras de fer avec le principal actionnaire du groupe. S’il quittera au plus tard ses fonctions au 31 janvier 2022, le temps nécessaire pour prendre congé de ses équipes et permettre la transition avec successeur, le futur ex-patron de l’opérateur historique a tenu à se livrer dans un entretien accordé au Point avant de partir “faire son deuil et réfléchir à son avenir”, dans les télécoms ou ailleurs, possiblement à l’international.
Après avoir fait part de sa «colère » et de son « incompréhension devant le revirement opéré après la relaxe de la première instance », Stéphane Richard a passé en revue ses accomplissements mais aussi ses échecs à la tête d’Orange, sans épargner l’Etat. S’il estime que ce dernier est un actionnaire “stable, qui rassure salariés et clients”, et qui “favorise l’investissement”, il note a contrario certaines limites : “D’abord, l’État actionnaire entretient une forme d’aversion au risque. Il n’est jamais proactif et regarde les projets qu’on lui présente d’abord sous l’angle des risques. Cela pèse incontestablement sur les initiatives stratégiques”, explique celui qui a été nommé à la tête d’Orange par Nicolas Sarkozy, avant d’être confirmé par François Hollande en 2013, puis par Emmanuel Macron en 2018.
Et il ne manque pas d’exemples. Vient naturellement le sujet de la consolidation du secteur des télécoms en France : “Nous sommes un des rares pays de notre taille dans lequel elle ne s’est pas produite. Si le rachat de Bouygues Telecom par Orange a échoué en 2016, c’est en grande partie à cause de l’État, qui a formulé des exigences déraisonnables”, assure celui qui a “mouillé sa chemise” pour que ce rapprochement aboutisse. Sa conviction est fondée : “que Bouygues devienne actionnaire d’Orange a été vécu par certains comme une erreur politique. On ne peut pas me reprocher l’échec de ce projet”.
A ceux qui lui reproche de ne pas avoir réalisé de fusion avec de grands opérateurs étranger, Stéphane Richard se défend : ” J’ai eu plusieurs fois l’occasion d’aller voir l’État pour proposer des schémas de rapprochement, notamment avec Deutsche Telekom. Je me suis toujours heurté à un grand scepticisme. La crainte de l’éloignement du centre de décision, d’une forme de dilution de l’entreprise, a été plus forte que l’intérêt de participer à la création d’un grand groupe Européen”, révèle t-il. Et d’en finir sur ce chapitre, toujours sans langue de bois : “L’État a été souvent le champion des injonctions contradictoires, attentif à l’effort d’investissement en France, au maintien de prix le plus bas possible, tout en insistant sur les confrontations avec les Gafam, l’innovation et la paix sociale”. Ses comptes sont réglés.
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Lle conseil d’administration d’Orange s’est réuni, hier soir, pour décider de son sort : le PDG du groupe français de télécommunications quittera son poste au plus tard le 31 janvier
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BarretoJerome
« « Et six mois pour un jet de bouteille sur un stade de football, cherchez l'erreur ! » »
Ben….la bouteille était consignée. Ca fait la différence.
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Et six mois pour un jet de bouteille sur un stade de football, cherchez l'erreur !
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Est-ce que ses anciens collègues vont lui en apporter au moins...
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