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@Christel : j'attends toujours ton coup de téléphone..
j'ai un autre conseil pour ton mandat : rapproche toi d'Eutel et Ses avant que les Mickeys te balayent d'un revers de main.
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16/02/2022 | 14:16
Ce gateway permettra d'offrir des services de connectivité à faible latence et haute performance sans précédent à tout le continent africain.
Orange, l'un des principaux opérateurs de télécommunications multiservices au monde, présent dans 18 pays d'Afrique, et sa filiale Sonatel, numéro un des solutions de télécommunications au Sénégal, s'associent à SES, leader des solutions globales de gestion de contenus et de connectivité, afin de déployer et gérer le premier gateway O3b mPOWER en Afrique, qui offrira à tout le continent africain un accès facilité à des services de connectivité à faible latence et haute performance. Les trois entreprises ont annoncé que cette passerelle du système de communication par satellite en orbite terrestre moyenne (MEO) de nouvelle génération de SES, O3b mPOWER, sera déployée sur le site du téléport de Sonatel à Gandoul, au Sénégal, parmi d'autres antennes satellites locales
Ce tout premier gateway O3b mPOWER sera exploité par Sonatel et Orange pour fournir à toute l'Afrique des services de connectivité cloud optimisés, à haute performance et faible latence. SES utilisera également cette station pour soutenir les fonctions TT&C (Telemetry, Tracking & Command) de la flotte O3b mPOWER depuis un site supplémentaire, et le premier en Afrique. La constellation satellitaire O3b mPOWER de plusieurs térabits de capacité et son infrastructure terrestre automatisée peuvent générer des milliers de faisceaux dynamiques pour délivrer aux clients des services gérés de connectivité à des débits de plusieurs gigabits par seconde.
Orange, Sonatel et SES prévoient de créer un mémorial sur le site du gateway de Gandoul, afin de retracer l'histoire de la connectivité par satellite en Afrique et faire valoir l'impact positif que ces nouvelles technologies et des solutions comme O3b mPOWER peuvent apporter au continent.
« Le téléport de Sonatel est une fierté pour le Sénégal car c'est là que fut installée la première grande antenne satellite d'Afrique, d'un diamètre de 30 mètres. Non seulement notre pays joue un rôle de tout premier plan dans le développement de l'industrie des télécommunications sur le continent africain depuis ces 50 dernières années, mais nous allons également continuer de moderniser le territoire en y amenant de nouvelles technologies via O3b mPOWER, un réseau satellite MEO de nouvelle génération », a déclaré Sekou Dramé, Directeur Général du Groupe Sonatel
« Chez Orange, nous continuons à penser que le satellite reste une technologie d'avenir et que les multiples innovations dont il fait l'objet actuellement contribueront à lui donner une place de plus en plus importante dans le domaine des télécommunications et ce aussi bien en Afrique que dans les pays bénéficiant d'infrastructures plus développées comme l'Europe ou l'Amérique du Nord. C'est pourquoi nous nous réjouissons tout particulièrement de la consolidation de notre partenariat avec SES qui ajoutera une nouvelle composante majeure à la mission que s'est fixée Orange, celle de construire des réseaux intelligents et ouverts destinés à développer l'usage et l'accessibilité des technologies numériques pour le plus grand nombre » a déclaré Jean-Luc Vuillemin, Directeur des réseaux internationaux d'Orange.
« Au cours de la dernière décennie, nous avons connecté des communautés et industries du monde entier à notre système de télécommunications O3b, et contribué ainsi à faciliter leur vie et leurs activités. Nous nous sommes associés à Orange dans le but d'améliorer les réseaux cellulaires et la connectivité internet au profit de ses filiales africaines, et de renforcer les opérations de ses clients professionnels », a déclaré Steve Collar, CEO de SES. « Avec le lancement du système O3b mPOWER ces prochains mois, nos clients sont impatients de pouvoir étendre leurs réseaux avec un niveau de débit et d'agilité sensiblement supérieur. Grâce à l'implantation du gateway au Sénégal, ce nouveau partenariat permettra à Sonatel et Orange d'offrir une meilleure connectivité avec plus de flexibilité via O3b mPOWER aux régions éloignées et mal ou pas desservies, de sorte que tous les habitants d'Afrique puissent être connectés, sans exception. »
Auparavant, Orange et SES avaient annoncé qu'Orange serait le premier grand opérateur télécoms à intégrer O3b mPOWER dans son réseau pour répondre à l'augmentation de la demande de connectivité en Afrique, en commençant par la République centrafricaine.
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Pour les accrocs d'Orange il y a 'Stratégies' qui sort aujourd'hui avec 'Les chantiers Orange' en couverture...
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09/02/2022 | 14:39
Fort de l'expertise d'Orange Cyberdefense, leader dans la cybersécurité en Europe, Orange propose aux TPE et PME le service Cyber protection, un antivirus de nouvelle génération, afin de mieux les protéger contre les cyberattaques.
Dans un contexte de forte accélération des usages digitaux, la cybercriminalité s'est considérablement développée et les TPE et PME sont aujourd'hui la cible de 77% des cyberattaques(1). L'offre Cyber Protection répond ainsi à un besoin croissant de sécurisation des données souvent vitales pour l'activité de ces petites structures n'ayant pas toujours le temps et les moyens pour s'y consacrer.
Le fonctionnement de Cyber Protection combine l'intelligence artificielle et l'expertise humaine. Une protection des équipements connectés de l'entreprise est assurée 24h/24 et 7j/7 avec :
- L'installation d'un agent logiciel sur l'ordinateur
- Une surveillance humaine par les experts en cybersécurité d'Orange Cyberdefense.
Les mises à jour de la solution de protection sont pilotées à distance par les équipes d'Orange Cyberdefense, assurant au client une protection la plus optimale possible. Dès qu'une nouvelle menace numérique est identifiée chez un client, les experts identifient la signature de l'attaque et traque celle-ci sur tous les ordinateurs bénéficiant de Cyber Protection. Par ailleurs les experts peuvent rechercher des traces de compromission passées jusqu'à 3 mois. Le client peut ainsi être alerté en amont de la présence d'une menace furtive en sommeil afin d'anticiper les attaques.
L'utilisateur peut accéder depuis son tableau de bord, aux fichiers mis en quarantaine et aux solutions préconisées.
Ce système de protection permet notamment d'anticiper les nouvelles formes d'attaques numériques, du type ransomwares* de plus en plus fréquentes. L'offre Cyber Protection, équivalente à celle proposée aux grandes entreprises, bénéficie de l'expertise développée par Orange Cyberdefense, l'entité du groupe Orange dédiée à la cybersécurité en France et à l'international.
Le service Cyber Protection peut être souscrit par tout client professionnel détenant une offre internet haut débit Orange Pro.
Cette option est commercialisée au prix de 10€HT/mois/ordinateur avec un engagement de 12 mois (2).
Cyber Protection s'inscrit dans la continuité de l'offre Orange Cyber Filtre, lancée en avril dernier et destinée à protéger les données professionnelles des terminaux mobiles lors de la navigation internet sur le réseau mobile Orange.
« Le nombre de cyber attaques impactant les TPE et PME ne cesse d'augmenter et il nous est apparu comme une évidence de leur proposer une solution qui peut les protéger efficacement de la cybercriminalité. C'est donc tout naturellement, que nous avons construit spécifiquement pour eux une offre qui bénéficie du savoir-faire développé par Orange Cyberdefense, auprès de plus de 4000 grandes et moyennes entreprises françaises. » indique Pierre Clément, Directeur Entreprises France
Hugues Foulon, CEO d'Orange Cyberdefense et Directeur Exécutif Stratégie et Sécurité d'Orange, précise : « Les attaques visant les PME- TPE sont non seulement de plus en plus fréquentes mais ont aussi un impact de plus en plus fort, puisque 60% des PME subissant une cyberattaque déposent le bilan sous six mois. C'est pourquoi Orange Cyberdefense, leader français de la cybersécurité pour les entreprises, est ravi de mettre son savoir-faire et ses experts au service des clients PME - TPE d'Orange. Ils pourront ainsi bénéficier d'une cybersécurité de nouvelle génération qui s'adapte en permanence aux évolutions des menaces et protège leur compétitivité »
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** Rachète Atos et crée une filiale cybersécurité indépendante.
oui ça apporterai un joli coup de fouet à la valo du groupe. ♥
j'dis ça .. j'dis rien. Christel m'a pas encore demander conseil !
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08/02/2022 | 09:43
ORANGE EN DISCUSSION POUR FUSIONNER SA FILIALE ESPAGNOLE AVEC MASMOVIL, SELON JOURNAL EXPANSION
MADRID (Reuters) - L'opérateur de télécommunications Orange envisage de fusionner sa filiale espagnole, le deuxième opérateur du pays, avec son rival local MasMovil, a rapporté mardi le journal Expansión.
Le projet de fusion envisage d'accorder 50% de la nouvelle société à Orange d'une part et aux actionnaires de MasMovil - les fonds KKR, Cinven et Providence- d'autre part, a indiqué le journal espagnol.
L'entreprise résultant de cette fusion se positionnerait parmi les quatre plus grands opérateurs télécoms en Espagne et se rapprocherait en taille de l'opérateur historique Telefonica.
Confrontés à une concurrence accrue, les opérateurs télécoms européens ont appelé à plusieurs reprises à une consolidation du marché qui leur permettrait d'améliorer leur rentabilité alors même qu'ils investissent massivement dans le déploiement de la 5G.
Des représentants d'Orange et de MasMovil ont refusé de commenter.
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Le titre Orange(dividende inclus) est totalement en retard vis à vis de son secteur !
Graph = Stoxx600 Telecom
Message complété le 01/02/2022 16:00:56 par son auteur.
Faut-il miser sur Orange ?
Orange reprend son souffle en Bourse cette semaine, après avoir connu une impressionnante revalorisation depuis le plancher majeur du 13 décembre 2021. “L'intérêt de l’action Orange est simple : un dividende de 7%, couvert par le free cash flow (le flux de trésorerie d’exploitation, après investissements, NDLR).
Ce dividende offre deux avantages :
1/ un rendement conséquent dans l’univers actuel de taux bas;
2/ une protection sur l’action : si le cours descend, le rendement que représente le dividende monte ce qui attire de nouveaux acheteurs sur l'action”, souligne Charles Monot, cofondateur et président de Monocle AM.
Un seul bémol : le marché n'a pas totalement confiance dans la capacité d'Orange à maintenir son dividende.
En effet, la direction “l'a déjà coupé par le passé - notamment au moment de la libéralisation du secteur il y a dix ans. L'actuel PDG, Stéphane Richard, s'est battu pour que ce dividende soit maintenu, en particulier en 2020 où le gouvernement comme les syndicats demandaient aux sociétés dont l'état est actionnaire de faire des exemples. Maintenant, Stéphane Richard s'en va.
Sa remplaçante, Christel Heydemann, aura-t-elle la même vision ?”, s’interroge l’expert.
En effet, si elle a de grands projets, elle aura peut-être besoin d'argent pour les réaliser, et donc de réduire le dividende. “Je n'ai pas d'idée sur la probabilité de ce risque, mais il existe et la réaction du cours, en tout cas à court terme, ne serait pas bonne”, met en garde Monocle AM”.
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Bein de toute façon, c'est à se demander si il reste une boite du Cac40 qui est encore libre de ses mouvements. O_o
petit à petit le désastre grandit.. et c'est jamais bon de mettre le pouvoir dans peu de mains.
surtout quand la plupart ont les mains sales.
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Pour rappel :
30/11/2021 16:49 | Boursier
Stéphane Richard, le futur ex-patron d'Orange règle ses comptes, notamment avec l'Etat français. Dans un entretien accordé au 'Point', le PDG de l'opérateur télécoms, condamné dans 'l'affaire Tapie', revient sur plusieurs points, dont la consolidation du secteur, attendue de longue date, dans l'Hexagone : "nous sommes un des rares pays de notre taille dans lequel elle ne s'est pas produite. Si le rachat de Bouygues Telecom par Orange a échoué en 2016, c'est en grande partie à cause de l'État, qui a formulé des exigences déraisonnables". Et le dirigeant d'ajouter : "que Bouygues devienne actionnaire d'Orange a été vécu par certains comme une erreur politique. On ne peut pas me reprocher l'échec de ce projet".
Même son de cloche pour les tentatives avortées de grosse acquisition à l'étranger : "j'ai eu plusieurs fois l'occasion d'aller voir l'État pour proposer des schémas de rapprochement, notamment avec Deutsche Telekom. Je me suis toujours heurté à un grand scepticisme. La crainte de l'éloignement du centre de décision, d'une forme de dilution de l'entreprise, a été plus forte que l'intérêt de participer à la création d'un grand groupe Européen".
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Vraiment dramatique
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Ca semble pas joli joli tout ça dis donc !!! è-é
d'autant qu'il se serait bien passer la même chose chez Atos en faisant venir le Pdg d'Eutelsat plus que rapidement.
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Pourquoi l'ingérence de l'Etat dans la nomination du patron d'Orange suscite l'ire des administrateurs
Delphine Dechaux Il y a 11 heures (Challenges)
En préemptant le choix d’un directeur général sans attendre la décision du conseil d’administration et en bafouant le secret des délibérations, l’Etat a donné une coloration très politique à la passation de pouvoir chez Orange. Une bataille d'influence qui pourrait nuire à l'image de l'opérateur.
La malédiction de l’Etat actionnaire va-t-elle une fois encore s’abattre sur Orange? Le caprice des politiques décidera-t-il du sort du premier opérateur français? C’est l’enjeu des débats très tendus qui divisent depuis quelques jours le conseil d’administration de l’opérateur historique. A quelques jours du 31 janvier, échéance que s’était fixé le groupe pour se choisir un nouveau patron, la gouvernance d’Orange dysfonctionne gravement.
Pour éviter que ne se répète le traumatisme des transitions précédentes – le départ précipité de Thierry Breton, l’éviction de Didier Lombard en pleine crise des suicides, le conseil d’administration s’était pourtant engagé dans un processus rigoureux, digne de ce qu’est Orange: un grand groupe international, coté en Bourse.
Le processus de recrutement semblait sérieux...
Lancée dès septembre 2021, la démarche mérite qu’on s’y attarde un peu. A l’horizon mai 2022, Orange doit être piloté par un duo directeur général et président. Un poste que Stéphane Richard s’imaginait - jusqu’à sa condamnation le 24 novembre dans l’affaire de l’arbitrage Tapie - occuper lui-même. Une chasse de têtes est donc confiée au cabinet Spencer Stuart, réputé le meilleur mondial pour le secteur des télécoms. Bertrand Richard, une star du métier, est même rappelé pour cette mission de haut vol. Proche de la retraite, il est réputé pour son indépendance d’esprit. Le cabinet contacte et auditionne alors 25 patrons de télécoms, dans le monde entier, qui tous refusent. D’autres candidats – n’étant pas CEO en exercice – sont alors approchés. Tests de personnalité, entretiens oraux, écrits, mises en situation, enquête de personnalité… ils sont scrutés sous toutes les coutures. Ils doivent même produire une note écrite anonymisée présentant leur projet stratégique pour Orange. La copie la mieux classée de toutes est celle de Frank Boulben, un des dirigeants de Verizon. Le chasseur de tête présente alors une liste de six candidats au comité de nomination d’Orange.
Composé de trois administrateurs indépendants – l’ex directeur d’HEC, Bernard Ramanantsoa, la secrétaire générale de Publicis, Anne-Gabrielle Heilbronner, et la directrice générale adjointe de l’Agence des participations de l’État (APE) Stéphanie Besnier, ce comité prend donc le relais. Peu avant Noël, son choix est fait: il se porte sur Frank Boulben, un polytechnicien au profil très international, fort de 25 ans chez les opérateurs, notamment chez Verizon où il dirige la division grand public. Derrière lui arrive Christel Heydemann. La jeune femme ne manque certes pas d’atouts: X-Ponts, doté d’un sens politique aigu, elle a passé 15 ans chez l’équipementier Alcatel, où elle a une expérience dans les ressources humaines, et connaît déjà le groupe Orange, puisqu’elle siège comme administratrice depuis août 2017. Mais face aux défis opérationnels qui attendent Orange, l’expérience de Frank Boulben l’emporte. "Indépendamment du sujet de la parité, si le choix de Christel Heydemann se confirme, il semble davantage correspondre à la vision du politique, décrypte Thomas Coudry, analyste télécoms chez Bryan Garnier. Son profil a une coloration plus sociale et ressources humaines que celui Frank Boulben, qui insufflerait une dimension internationale et marketing à Orange .
... jusqu'à ce camouflet pour les administrateurs indépendants
C’est alors que le politique intervient: faisant fi de l’avis du conseil d’administration et du secret des délibérations, le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire déclare sa préférence pour Chrystel Heydemann. "A compétence égale, le ministre souhaite que ce soit une femme qui reprenne la direction d’Orange , fait-il dire au journal Les Echos le 12 janvier. Quelques jours plus tard, l’Elysée lui emboîte le pas. "La notion de parité avait pourtant été prise en compte dès le départ. Si un candidat masculin est retenu comme directeur général, il fera équipe avec une présidente. Il y aura dans tous les cas une femme dans le duo dirigeant, s’énerve un ancien dirigeant d’Orange.
Pour les administrateurs indépendants, l’immixtion de l’Etat est un véritable camouflet. Furieux, certains vont jusqu’à menacer de claquer la porte. Du côté de l’Agence des participations de l’Etat, les hauts commis de l’Etat ravalent eux aussi leur amertume: ils avaient soutenu le choix des administrateurs indépendants mais ne peuvent qu’obéir qu’aux instructions données par leur ministère de tutelle, Bercy. "Bruno Le Maire a tout simplement omis le terme "à compétences égales , grince un proche du dossier. "Si l’Etat est capable de tordre le bras au conseil d’administration pour imposer son profil, alors il y a un problème de gouvernance, estime Thomas Coudry. Les marchés, eux ne s’y trompent pas. Le 18 janvier, une note des analystes de la banque Goldman Sachs, déplorant l’ingérence de l’Etat, fait flancher le titre de l’opérateur. "Alors qu’Emmanuel Macron avait pris soin jusqu’alors de ne pas s’immiscer dans les grands groupes dont l’Etat est actionnaire, cette intervention est assez regrettable, déplore le chasseur de têtes Thierry Carlier Lacour. En fait, le cabinet Spencer Stuart a servi de lièvre"…
Les lobbyistes s'en donnent à coeur joie
Le politique s’en mêlant, les lobbyistes s’en donnent à cœur joie. Très politique, la jeune femme a activé elle-même ses réseaux, avec l’appui de son mari, André Loesekrug Pietri, directeur de la Joint European Disruptive Initiative. "Son mari la coache depuis le début de sa carrière", souffle un directeur d’Alcatel qui l’a côtoyée pendant des années. Patricia Chapelotte, directrice d’Hopscotch Influences et co-créatrice du prix de la Femme d’influence mobilise son réseau. Cristel Heydemann peut aussi compter sur le soutien de Stéphane Richard, qui l'a fait venir au conseil d’administration. Un jeu d’influences complexe dans lesquels l’un des enjeux, et non des moindres, est de décrocher, une fois la victoire arrachée, un juteux budget de communication auprès d’Orange. Dans la bataille, un troisième homme tente d’imposer sa candidature comme une solution de compromis: Ramon Fernandez, actuel directeur financier d’Orange, l’un des trois candidats internes retenus par le chasseur de têtes.
L’intervention capricieuse de l’Etat vient s’ajouter à une longue liste d’ingérences, toutes désastreuses pour l’opérateur. En 2002, l’abandon par l’Etat d’un France Télécom surendetté ; la nomination à Bercy de Thierry Breton, dont le brusque départ précipite le groupe dans une nouvelle crise de gouvernance ; le choix enfin d’un profil politique, celui de Stéphane Richard, rattrapé au terme de son troisième mandat de PDG par son passé dans la sphère publique.
Dans ce nouveau chapitre en cours, une chose est claire: l’ex-France Télécom n’est toujours pas une entreprise privée comme les autres.
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Les analystes restent majoritairement positifs sur le dossier puisque, selon le consensus 'Bloomberg', 16 sont à l''achat', 10 à 'conserver' et 3 à 'vendre'. L'objectif moyen à douze mois est fixé à 11,85 euros. L'opérateur dévoilera ses résultats annuels 2021 le 17 février.
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Goldman Sachs dégrade Orange à 'vendre' avec un objectif ramené de 11 à 9,2 euros
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Barclays conserve son opinion et reste à vendre. L'objectif de cours est réajusté à la hausse à 9.80 €contre 9.40 €.
JP Morgan abaisse son objectif de cours à 12 euros contre 13 euros auparavant.
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Je le mets car c'est une édition limitée...
donc ça se garde !
18:01 : Orange, plus forte hausse du CAC 40 à la clôture du lundi 10 janvier 2022
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Bruno Le Maire favorable à Christel Heydemann pour succéder à Stéphane Richard chez Orange.
Message complété le 10/01/2022 17:19:22 par son auteur.
Christel Heydemann
Christel Heydemann, née en 1974, est présidente de Schneider Electric France et membre du Comité exécutif de Schneider Electric depuis avril 2017.
Christel Heydemann débute sa carrière en 1997 au sein du Boston Consulting Group. En 1999, elle intègre Alcatel où elle occupe différents postes à responsabilités, notamment dans le cadre de la fusion entre Alcatel et Lucent. En 2004, elle rejoint le département commercial d’Alcatel-Lucent et prend en charge les comptes stratégiques SFR et Orange. En 2008, elle est nommée directrice commerciale France et membre du Comité de direction d’Alcatel-Lucent France. En 2009, elle négocie une alliance stratégique avec HP aux États-Unis avant d’être promue en 2011 directrice générale des ressources humaines et de la transformation et membre du Comité exécutif.
Christel Heydemann a rejoint Schneider Electric en 2014 au poste de directrice des alliances stratégiques avec pour mission d’accélérer le lancement des solutions IoT via le développement d’un écosystème de partenaires, avant d’être nommée en février 2016 directrice de la stratégie et des alliances.
Christel Heydemann est diplômée de l’École polytechnique et de l’École Nationale des Ponts et Chaussées. Elle est de nationalité française.
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... Sauf que cette liste ne semble pas faire l’unanimité chez Orange. Plusieurs administrateurs indépendants et des salariés militent pour prendre plus de temps afin qu’elle soit élargie et enrichie. "L’Elysée n’est pas satisfait non plus et demande de meilleurs profils" confient plusieurs sources proches du groupe. La date butoir du 31 janvier pourrait donc être repoussée. De quelques semaines ou jusqu’à la fin du mandat de Stéphane Richard en mai.
Cette échéance posait déjà problème lorsque Stéphane Richard a été condamné dans l’affaire Tapie. Le 24 novembre dernier, le conseil d’administration d’Orange avait débattu pendant de longues heures sur la date de départ du PDG. L’Etat, actionnaire du groupe à 23%, avait poussé pour le 31 décembre quand les administrateurs indépendants souhaitaient que Stéphane Richard aille jusqu’à la fin de son mandat ou au moins jusqu’à la présentation des résultats annuels, mi-février. Ce débat devrait donc revenir au menu du prochain conseil dans deux semaines.
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Ramon Fernandez, Christel Heydemann et Frank Boulben sont en lice pour remplacer Stéphane Richard aux commandes d'Orange, selon Libération.
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Oui excellent
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(CF) - 27/12/2021 | 07:16 ►Orange : accord pour l'acquisition de VOO en Belgique
Orange Belgium a annoncé vendredi soir avoir signé un accord pour l'acquisition, auprès de Nethys, de 75% moins une action de VOO SA, transaction sur la base d'une valeur d'entreprise de 1,8 milliard d'euros pour 100% du capital.
'Grâce à l'acquisition de VOO, Orange Belgium se dotera d'un réseau très haut débit en Wallonie et dans une partie de Bruxelles et, ainsi, confortera le déploiement de sa stratégie convergente au niveau national', explique l'opérateur télécoms.
Orange offre à Nethys la possibilité de convertir sa participation restante dans VOO en titres Orange Belgium. La réalisation de la transaction est soumise à des conditions suspensives usuelles, notamment l'approbation de la Commission européenne attendue en 2022.
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Et bien moi je ne me plains pas car en faisant des ventes et des achats régulièrement et en prenant les dividendes depuis déjà pas mal d'années j'ai pu constituer une ligne avec un PRU sur les 3,80 euros qui baisse chaque année. Donc aucune raison d'abandonner ce qui constitue 7% de mes placements en bourse.
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... mes valeurs sont plombées par ORANGE. Je me mords les doigts de les avoir dans mon portefeuille.
Depuis des années, ORANGE se dirige vers le plancher des vaches. Dans quelques années, ils auront des pelles et des pioches pour creuser. Orange c'est MORT. Je crois en la file "plus jamais on reverra les dix euros".
Et s'il vous plaît, merci d'arrêter de dire que le titre paye bien. Sinon, je vous envoie mon RIB, vous m'achetez des actions "METOO", chaque année je vous verse des dividendes et un bilan de vos actions dont le cours sera également à l'action (N-1) - dividende N ... et ainsi de suite.
Elle est pas belle la vie ?? ... !!!
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Désolé de déranger pendant votre conversation de comptoir (lire le nom de la file)
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Grand ménage d'hiver ou jeu de chaises musicales entre ami(e)s..
20/12/2021 | 14:35
PARIS (Agefi-Dow Jones)--L'opérateur de télécommunications Orange a annoncé lundi le départ du directeur général de sa branche dédiée aux entreprises, Orange Business Services.
"Après 14 ans chez Orange Business Services, Helmut Reisinger a souhaité poursuivre d'autres opportunités professionnelles en dehors du groupe", a indiqué Orange dans un communiqué. Il quittera le groupe le 17 janvier.
"Une période d'intérim sera assurée par Aliette Mousnier-Lompré, directrice des opérations et du service client [d'Orange Business Services, ndlr], jusqu'à la nomination d'un(e) nouveau(elle) directeur(rice) général(e)", a ajouté Orange.
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