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TOTALENERGIES : GROS PROGRAMME DE RACHAT D'ACTIONS ET HAUSSE DU DIVIDENDE ATTENDUS EN 2025

02/10/2024

TotalEnergies présente depuis New York la stratégie et les perspectives de la Compagnie. Le géant de l'énergie explique poursuivre la mise en oeuvre de sa stratégie de transition équilibrée et rentable ancrée sur deux piliers, les hydrocarbures et l'électricité, en faisant croître sa production globale d'énergies (pétrole, gaz, électricité, bioénergies) de 4% par an jusqu'en 2030, tout en réduisant résolument les émissions de ses opérations (- 40% sur le scope 1+2 net en 2030 par rapport à 2015, et - 80% sur le méthane en 2030 par rapport à 2020). Grâce à cette stratégie de transition, le contenu carbone moyen des ventes d'énergies de TotalEnergies baissera de 25% en 2030 par rapport à 2015.

TotalEnergies confirme des investissements nets entre 16 et 18 milliards de dollars par an sur la période 2025-30 dont environ 5 milliards seront consacrés aux énergies bas-carbone. La Compagnie conserve cependant la flexibilité de réduire ses investissements nets de 2 milliards en cas de forte baisse des prix.

Grâce à cette politique d'investissement claire et disciplinée et d'une croissance anticipée du free cash-flow de 10 milliards de dollars à horizon 2030 (par rapport à 2024 à environnement de prix constant), le Conseil d'administration a confirmé un retour à l'actionnaire à plus de 40% du cash-flow à travers les cycles et a arrêté les décisions suivantes :

- En 2024, allouer 8 milliards de dollars aux rachats d'actions correspondant à environ 5% du capital de la Compagnie. Le retour à l'actionnaire devrait ainsi être supérieur à 45% du cash-flow en 2024.

- En 2025, poursuivre les rachats d'actions à raison de 2 milliards de dollars par trimestre dans des conditions de marchés raisonnables, et augmenter le dividende d'au moins 5% compte tenu des rachats d'actions réalisés en 2024.

Ce soir il y aura aussi les retombées de l'intervention du PDG de Total à Wall Street.

Quand il va expliquer que le titre sera côté directement sur le marché américain face à Chevron qui fait un C.A. et des bénéfices voisins des siens pour une valeur actuellement moitié de celle de Chevron il espère bien trouver des investisseurs nouveaux !!! Surtout qu'il a aussi, en plus, une part importante dans les énergies renouvelables, ce que la plupart des pétroliers américains n'ont pas.

Cours temps réel: 61,15 +3,10%

😊

Spécu réussie 😊

… spéculatif ! 😊

Elle commence à éveiller mon intérêt spéculatif de court terme 😊

Fredo_

Merci pour l’info, je n’avais pas fait attention 👍

J'ai un tracé légèrement différent de celui de Ptitchat72, ce qui laisse peut-être une petite chance, mais la config n'est pas séduisante!

En effet il évolue sous mes niveaux limites en jour, Hebdo et mois. Le 26/09 un gap a été ouvert juste sous le niveau mensuel. Aujourd'hui, dernier jour du mois, il faut clôturer en dessus de 59.7 sinon la config sera baissière dans le 3 UT.

Avec audace, il est peut-être possible de tenter un rebond sur la ROH ou un peu en dessous sur le pointillé à 56.8. Mais cela reste vraiment risqué.

@Rollier1, le dividende est trimestriel. Pour 2024 a été distribué 2x0.74 + 1x0.79 et reste 1x0.79 soit environ 5% annuel pour un cours de 60€

L'Arabie saoudite se dirige vers une hausse de sa production, les cours du pétrole reculent
Aujourd'hui à 13:02

(BFM Bourse) - Les cours du pétrole sont orientés à la baisse alors que l'Arabie saoudite compte relever sa production d'or noir pour regagner des parts de marché, selon des informations du Financial Times. Totalenergies et les autres groupes parapétroliers reculent en réaction à ces informations.

Chef de file de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), l'Arabie saoudite ne veut plus brider sa production pour maintenir les cours du pétrole à flot.
D'autres producteurs tels que les Etats-Unis, qui ne sont pas dans ce cartel pétrolier, abreuvent le marché de leur or noir, ce qui pèse sur les cours. Tout comme la faible demande de la Chine, qui vient aussi freiner les possibilités d'une reprise des prix.

Le plus grand exportateur de pétrole au monde est donc prêt à abandonner son objectif officieux d'un baril de pétrole à 100 dollars en vue de regagner des parts de marché, rapporte le Financial Times, citant des sources proches du dossier. Ce qui vient jeter "ainsi les bases d'une augmentation de la production", avance Ricardo Evangelista analyste chez Activtrades

Le Royaume est en effet désormais mûr pour relever sa production, poursuit le quotidien britannique. Même si cette initiative va encore pousser les prix du pétrole à la baisse et qu'elle ne va pas dans le sens de Riyad. Le Royaume a notamment besoin de cours élevés pour financer la diversification de son économie vers d'autres pans d'activité que le pétrole, comme le tourisme.
De nouvelles pressions à la baisse à court terme

"En outre, des informations suggèrent que le pétrole libyen pourrait bientôt revenir sur le marché, ce qui augmenterait encore l'offre. Dans le même temps, les marchés sont de plus en plus sceptiques quant à l'efficacité des mesures de relance prises par Pékin pour relancer l'économie chinoise en difficulté, ce qui a réduit les espoirs d'un rebond de la demande mondiale de pétrole brut", avance Ricardo Evangelista.

"Compte tenu de l'augmentation de l'offre et de l'incertitude de la demande, les prix du pétrole pourraient subir de nouvelles pressions à la baisse à court terme", poursuit le spécialiste.

Après avoir perdu 3%, les cours pétroliers restent donc sous pression sur ces informations. Le contrat de novembre sur le Brent de mer du Nord perd 2,3% à 71,23 dollars le baril tandis que celui de même échéance sur le WTI coté à New York abandonne 2,4% à 68 dollars le baril.

Cette chute des cours du pétrole écarte les valeurs pétrolières du rebond des marchés, qui profitent des espoirs de nouvelles mesures de relance du côté de la Chine.

Le dividende représente moins de1,4%. C’est à dire pas grand-chose 😊

Beaucoup de titres servent des dividendes bien « meilleurs ».

Total après le détachement du dividende hier n'est plus très intéressant à acheter dans l'immédiat, quand on voit les menaces de baisse du baril de brut d'ici la fin de l'année qui semblent se concrétiser si l'Arabie Saoudite ne veut plus fermer un peu ses vannes.

Maintenant si jamais il redescend encore un peu vers 54 à 55 euros ce sera une bonne occasion car malgré les menaces de taxation des superprofits et de renforcement d'imposition Total résistera aux tempêtes.

Le cours arrive sur une belle zone de supports. Peut-être l’occasion d’en rentrer un peu pour viser les gaps baissiers vers 60€ et 62€ 🤔

Mon alerte de début Aout est entrain de se mettre en place...
Après un bull trap au dessus de l'oblique noire, le titre quitte son couloir bleu de long terme.
le titre a l'air de se faire aspirer par son gap.. voir de sa Mm200.
ralentissement économique mondiale = pas bon pour Total en général

25/09/2024 Détachement du dividende Montant : 0.79€ (Acompte)

Le brut chute sous les 70 dollars, au plus bas depuis décembre 2021
Par Jean-Baptiste André Publié le 10/09/2024 à 16h41


(Boursier.com) — La baisse reprend de plus belle sur le marché de l'or noir. Les contrats à terme sur le Brent chutent de 3,7% à 69,2$ à Londres (contrat novembre), sous les 70$ pour la première fois depuis décembre 2021.

La décision de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) de repousser la semaine dernière l'augmentation de la production prévue en octobre ne semble pas beaucoup peser face aux inquiétudes liées à la demande. Les dernières données économiques décevantes en provenance de Chine et des États-Unis ont en effet renforcé les craintes concernant la consommation de pétrole chez les deux principaux consommateurs d'huile. " Les chiffres des importations et des exportations de la Chine impliquent une destruction de la demande dans le premier pays importateur au monde ", déclare à 'Bloomberg' Robert Yawger, directeur de la division contrats à terme sur l'énergie chez Mizuho Securities USA.

L'instant est important !
Nous sommes arrivés sur le bas du canal haussier en bleu.
Bon point d'achat ?
j'en suis pas si sur.. surtout si l'hypothèse d'une récession se valide.
d'autant que plus bas, on pourrait se faire aspirer par le gap sous 57€...
de plus, un retour à la Mm200 est tout à fait envisageable !

TotalEnergies: la justice française déboute des opposants au mégaprojet en Ouganda et en Tanzanie. https://www.abcbourse.com/marches/totalenergies-la-justice-francaise-deboute-des-opposants-au-megaprojet-en-ougan_589247

Pas de solde pour le dividende exceptionnel, il restera à 1 €. TTE a un nouveau problème avec son dividende : malgré une année exceptionnelle, il devient de plus en plus faible. Le fait de passer par l'annulation pour passer sous les radars ne convainc pas. Ils auraient dû passer par la distribution "gratuite" d'une partie de ces actions pour augmenter le retour actionnaire et la fidélisation... Actionnaire.

Message complété le 08/02/2023 09:40:40 par son auteur.

*il* devient de plus en plus faible - son rendement !

PARIS (Reuters) - TotalEnergies a publié mercredi des résultats en nette hausse au quatrième trimestre 2022, tirés par les prix et l'augmentation de sa production d'hydrocarbures et a annoncé une hausse de 6,4% de son dividende au titre de l'exercice passé, à 2,81 euros par action.
Le groupe pétrolier et gazier, également très présent dans les énergies renouvelables, a enregistré au titre du quatrième trimestre un résultat net ajusté de 7,6 milliards de dollars (+11%), un Ebitda ajusté de 16,0 milliards (+12%) et une production de 2,812 millions de barils par jour (Mb/j), en hausse de 5%.

Annulation d'actions autodétenues représentant 4,92% du capital social de TotalEnergies SE

Les pays producteurs de pétrole de l’Opep + ont annoncé mercredi une ouverture quasi dérisoire de leurs vannes de brut, malgré la récente visite de Joe Biden en Arabie saoudite pour tenter d’enrayer la flambée des cours. Les représentants des treize membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs dix partenaires ont convenu « d’augmenter la production […] de 100 000 barils par jour pour le mois de septembre », à comparer aux quelque 432 000 puis 648 000 barils supplémentaires fixés les mois précédents, a annoncé l’alliance dans un communiqué.