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Carrefour : plusieurs options seraient à l'étude, dont une potentielle vente
05/11/2024
Carrefour fait à nouveau parler. Trois ans après l'échec du rapprochement avec Alimentation Couche-Tard en raison de la vive opposition du gouvernement français, le distributeur étudierait diverses options afin d'augmenter sa valorisation. Selon des personnes proches du dossier citées par 'Bloomberg', le groupe dirigé par Alexandre Bompard discute de divers scénarios en interne mais aussi avec des conseillers. Les possibilités à l'étude comprendraient des cessions d'actifs, une croissance par le biais de partenariats et d'acquisitions, ou une réorganisation opérationnelle.
Carrefour pourrait également envisager une vente totale ou la cession d'une participation dans la société si un prétendant intéressé se présente, selon les sources. Une autre possibilité serait de rester indépendant tout en poursuivant des mesures pour renforcer sa compétitivité par des changements de stratégie et de nouveaux investissements.
L'agence souligne que le titre Carrefour a chuté d'environ 30% par rapport à son récent pic de 2022, ce qui donne à l'entreprise une valeur de marché d'environ 10,1 milliards d'euros. Une vente pourrait susciter l'intérêt de sociétés de capital-investissement et d'acteurs du secteur si Carrefour va de l'avant, selon les sources. Les délibérations en sont à un stade précoce et il n'y a actuellement aucune discussion formelle avec des prétendants, soulignent les sources. Les actifs de Carrefour tels que ceux du Brésil ou de certains marchés européens pourraient être plus faciles à monétiser tandis qu'une vente totale de l'entreprise entraînerait, sans aucun doute, de nouvelles réactions politiques et une opposition des syndicats.
Toute transaction nécessiterait logiquement le soutien des actionnaires de Carrefour, notamment la famille Moulin, propriétaire du groupe de grands magasins Galeries Lafayette, et premier investisseur dans l'ex numéro deux mondial de la distribution.
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Carrefour étudie diverses options pour augmenter sa valorisation boursière
Le 05 novembre 2024
Le groupe de grande distribution Carrefour étudie diverses options, dont des cessions d'actifs et des acquisitions, afin d'augmenter sa valorisation boursière, a rapporté lundi soir l'agence Bloomberg en citant des sources proches du dossier.
Carrefour a sollicité des conseillers pour étudier ses options, qui comprennent des cession d'actifs, la croissance par le biais de partenariats et d'acquisitions et une réorganisation opérationnelle, selon ces sources. Le distributeur pourrait faire l'objet d'une vente partielle ou totale si un prétendant se manifestait, qu'il s'agisse d'un fonds d'investissement ou d'un acteur du secteur, ont-elles ajouté.
Aucune discussion formelle en ce sens n'est actuellement en cours, selon les informations de Bloomberg, qui a précisé que Carrefour pourrait décider, à terme, de ne pas réaliser de transaction.
Contactés par l'agence Agefi-Dow Jones, des porte-parole de Carrefour n'étaient pas joignables dans l'immédiat pour commenter ces informations.
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Les magasins Cora vont passer sous enseigne Carrefour à partir du 1er octobre
Le 30 septembre 2024
Les magasins Cora, rachetés par Carrefour, vont progressivement changer d'enseigne à partir du 1er octobre, a annoncé dans un communiqué lundi le géant de la distribution.
Carrefour avait annoncé le 1er juillet dernier la finalisation du rachat officiel au groupe belge Louis Delhaize des magasins Co et Match - ces derniers conservant pour leur part leur nom - ainsi que de leur centrale d'achat Provera. L'opération avait été réalisée sur la base d'une valeur d'entreprise de 1,05 milliard d'euros.
Louis Delhaize détenait 60 hypermarchés Cora et 115 supermarchés Match, souvent situés dans le quart nord-est de la France. Ils représentent selon Carrefour 2,4% environ du très bataillé marché de la distribution alimentaire, et emploient 22.000 personnes.
Lundi dans un communiqué, Carrefour annonce que son "acquisition du distributeur Cora entre dans une nouvelle phase avec la bascule progressive des 60 magasins sous leur nouvelle enseigne".
"Cette intégration s'effectuera en trois vagues de changement d'enseigne: une première de 19 magasins qui débutera le 1er octobre; une deuxième de 20 magasins à compter de la mi-octobre et enfin, une dernière vague de 21 magasins à partir de fin octobre".
Pendant cette "bascule", les hypermarchés resteront ouverts, précise Carrefour.
L'acquisition de Cora et Match est "la plus importante pour Carrefour depuis le rachat de Promodès" en 1999, dixit le PDG Alexandre Bompard, et permet à Carrefour de conforter sa deuxième place derrière E.Leclerc, qui détient près du quart du marché, et devant Les Mousquetaires/Intermarché qui ont racheté de nombreux magasins au groupe en difficulté Casino.
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et nous voila tranquillement a 16 euros , toujours aucun commentaire ?
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décidément ABC bourse revient toujours sur son conseil : attendre . N en déplaise aux oiseaux de mauvais augures ......... J espere déclencher des commentaires merci.
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En résumé c est positif ou négatif pour le cour ?
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— Dans le cadre de son programme de rachat d'actions de 700 millions d'euros annoncé en février 2024, le groupe Carrefour a précisé avoir déjà racheté 38,5 millions d'actions composant son capital entre le 4 mars et le 16 septembre 2024 pour un montant total de 563 millions d'euros.
Carrefour a confié à un prestataire de service d'investissement un mandat de rachat d'actions pour poursuivre le programme. La nouvelle période d'achat s'ouvrira le 18 septembre 2024. Les actions ainsi rachetées seront conservées en vue de leur annulation future.
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abcBOURSE change d avis tous les trois jours mais revient toujours sur attendre ca m arrange toujours....
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le conseille ABC bourse passe de alléger a attendre . Je ne sais pas si ca a un quelconque rapport ? mais cela me convient et en plus le cour continue de monter légèrement ( actionnaire)
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Carrefour : mise en œuvre d'un contrat de liquidité
Le 02 septembre 2024
Carrefour annonce la mise en place d'un contrat de liquidité portant sur ses actions ordinaires avec Rothschild Martin Maurel, dans le cadre de la réglementation en vigueur. Ce contrat a pour objet l'animation par Rothschild Martin Maurel des actions Carrefour sur le marché réglementé d'Euronext à Paris afin de favoriser la liquidité des transactions et la régularité de la cotation desactions Carrefour. Pour la mise en œuvre de ce contrat, 29 000 000 euros ont été affectés au compte de liquidité.
Ce contrat prendra effet à partir du 2 septembre 2024 et a une durée initiale de 12 mois, renouvelable par tacite reconduction pour des périodes successives de 12 mois.
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Prenons de la distance pour évaluer la performance du groupe sur le temps long, c’est-à-dire sur les deux cycles décennaux 2003-2013 et 2013-2023. La première chose qui frappe, c’est bien sûr la stagnation du chiffre d’affaires sur vingt ans ; si l’on ajuste celui-ci avec l’inflation, c’est même d’un déclin qu’il s’agit.
Latente et largement ininterrompue, la compression de la marge brute illustre à elle seule le drame de Carrefour : celui de réaliser la moitié de son chiffre d’affaires sur son marché domestique — le marché français — aussi compétitif que saturé. La conséquence de cette concurrence à couteaux tirés, c’est une course des prix vers le bas à laquelle aucune force ne peut s’opposer.
Dans un tel contexte, le groupe est astreint à une discipline de fer dans la gestion de ses coûts d’exploitation. Les notables efforts entrepris en la matière depuis l’arrivée d’Alexandre Bompard, hélas, ont été battus en brèche par le retour de l’inflation, et la charge supplémentaire qu’elle représente pour la masse salariale. Après un ressaisissement, la marge d’exploitation est donc de nouveau sous pression.
La conséquence de ces dynamiques, c’est une rentabilité des actifs qui diminue sans cesse depuis vingt ans — elle est très exactement divisée par deux sur la période. Pour pallier à cela et maintenir tant bien que mal à flot la rentabilité des capitaux propres — qui en réalité n’échappe pas non plus à la dégringolade — le levier financer n’a fait qu’augmenter.
Baisse de la rentabilité, hausse de l’endettement : la funeste combinaison, c’est évident, déplaît souverainement aux investisseurs ; le cours de bourse en érosion quasi continue sur les deux décennies le reflète.
Le cas de Carrefour, du reste, illustre bien le problème intrinsèque des activités très capitalistiques mais sans pricing power, qui subissent l’inflation de manière plus dure encore que les autres : d’un côté leurs marges sont compressées par la hausse des coûts, tandis que de l’autre leurs dépenses d’investissements augmentent.
Soulignons néanmoins que la situation tend vers une certaine amélioration depuis le changement de direction et de stratégie — forcément un chantier à très long terme — initiés en 2017. L’année dernière, le profit par action atteignait un plus-haut à quinze ans, tandis que la transition du modèle d’affaires vers des magasins franchisés et des surfaces plus petites dynamise nettement la génération de cash-flow.
La tendance est claire — à voir si elle sera confirmée cette année — et permet au groupe de retourner €3.3 milliards à ses actionnaires ces trois derniers exercices, soit €1.1 milliard par an en moyenne, dont les deux-tiers via des rachats d’actions. Au regard de la valorisation déprimée du groupe par rapport à ses pairs, un tel choix apparaît parfaitement logique.
Cette valorisation attractive, à coup sûr, retiendra l’attention des amateurs de « value investing ». A ces chasseurs de décotes, il n’aura pas échappé que Carrefour s’échange à x0.9 la valeur de ses capitaux propres, c’est-à-dire sur son plus-bas à vingt ans, et pour un rendement sur dividende de 6.1%, c’est-à-dire sur son plus-haut à vingt ans !
On leur objectera bien entendu qu’il faudrait un évènement « catalyseur » pour que le distributeur retrouve les faveurs du marché. Or de quelle nature pourrait-il être ? Le marché français n’est pas moins compétitif — c’est plutôt l’inverse — et un distributeur reste structurellement désavantagé à l’international, car loin de ses bases et donc moins susceptible de réaliser des économies d’échelle.
Dans ce cadre, il n'est guère étonnant qu’Alexandre Bompard ait fait la grimace lorsque Bruno Le Maire s’est opposé à un rapprochement de Carrefour avec Alimentation Couche-Tard.
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Personnellement 18 euros me convient parfaitement , le tous c est d y arriver .
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- Jefferies abaisse son objectif de cours à 18 euros contre 21 euros précédemment...
A suivre...
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Super ! J'ai vendu récemment des "Safran" pour acheter des "Carrefour" !
Avec 20 Safran vendues à 200,057 € de PNC, j'ai acheté :
• 252 carrefour à 13,707 € de PRU
• 38 Engie à 14,236 € de PRU
Je booste ma distribution de dividende potentielle estimée qui passe de 22 euros à (252 x 0,87) + (38 x 1,20) = 264,82.
Quelques calculs à la con…
Cette distribution ramené aux 20 Safran vendues, fait 13,242 € par titre.
Si le cours de carrefour monte à 16,00, ma plus value potentielle grimpe à 577,83 €, soit un équivalent de 28,89 € par titre Safran
Et donc ça fait un équivalent à 242,13 de cours pour Safran en 2025.
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CARREFOUR CONFIRME SES PERSPECTIVES POUR 2024
24/07/2024
Le groupe Carrefour confirme ses perspectives pour 2024, en abordant le second semestre avec confiance, après avoir fait état d'un bénéfice opérationnel courant en hausse au premier semestre, tiré par le Brésil et la France. Le ROC du distributeur tricolore a progressé de 6,2% à 743 Millions d'euros entre janvier et juin, rapporté à un chiffre d'affaires de 44,86 Milliards d'euros, en croissance de 12,1% en données comparables. "Dans un contexte économique contrasté, Carrefour réalise une très bonne performance dans ses deux pays clés", a souligné Alexandre Bompard, président-directeur général du groupe.
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CARREFOUR VA TESTER LE PAIEMENT AVEC LA PAUME DE VOTRE MAIN
22/07/2024
Le géant de la distribution Carrefour va lancer une expérimentation permettant à ses clients de payer directement avec la paume de leurs mains.
Il ne sera peut-etre bientôt plus nécessaire de sortir sa carte bancaire pour payer ses courses. Dès le 29 juillet, Carrefour va lancer une expérimentation dans son magasin Carrefour Market Paris Seine, dans le 6e arrondissement de la capitale, en utilisant la technologie de l'entreprise Ingenico.
Celle-ci consiste à utiliser l'empreinte palmaire dans le but de payer ses achats. Concrètement, les clients "cobayes" vont enregistrer le schéma veineux de leurs mains via une borne dédiée, pour ensuite l'associer à leur carte bancaire. Une fois l'opération réalisée, il suffit alors de passer sa main sur un terminal de paiement pour valider ses achats.
"Fluidifier le passage en caissse"
L'objectif, "fluidifier le passage en caisse et améliorer le parcours client", annonce le groupe dirigé par Alexandre Bompard. Le communiqué insiste sur "une très forte sécurité" liée aux données personnelles et bancaires, et veut profiter des Jeux olympiques de Paris 2024 - Carrefour est partenaire majeur - pour tester cette fonctionnalité.
Ingenico est une entreprise implantée partout dans le monde qui propose des solutions de paiement, notamment les terminaux permettant de payer par carte bancaire. Elle propose depuis plusieurs années des transactions biométriques et a créé en 2016 Ingenico Labs, une équipe entièrement dédiée à l'innovation.
Pour sa solution de paiement utilisant l'empreinte palmaire, Ingenico s'est associé à Fujitsu en 2023: "Chaque personne a un motif veineux unique dans sa paume, l'identification des veines de la paume est l'une des technologies biométriques les plus précises et les plus sûres au monde. Il est moins intrusif et plus sûr que d'autres alternatives, telles que les empreintes digitales et la reconnaissance faciale" assurait Ingenico en janvier 2023.
Depuis l'été 2023, Amazon a aussi lancé ce service dans plus de 200 points de vente de Whole Foods aux États-Unis.
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Carrefour reperd 0,5% à 14,55 euros, alors que Citigroup est à l'achat sur le distributeur avec un objectif de cours qui passe de 19,60 à 20,80 euros, dans la foulée de la finalisation de l'acquisition des 60 hypermarchés Cora et des 115 supermarchés Match auprès du groupe Louis Delhaize. Le parc de magasins acquis présente une forte complémentarité géographique avec celui de Carrefour, avec des parts de marché particulièrement importantes dans les régions Grand Est et Nord de la France, où Carrefour est peu présent. La valeur d'entreprise de l'opération est de 1,05 MdE. Elle intègre le rachat des murs de 55 hypermarchés et 77 supermarchés. L'Autorité de la Concurrence prendra sa décision finale d'ici la fin du 1er trimestre 2025, mais le risque est cantonné à quelques magasins uniquement selon Carrefour.
Le potentiel de synergies est revu à la hausse, atteignant une contribution additionnelle à l'Ebitda de 130 ME en rythme annualisé à horizon 2027 (110 ME précédemment). Ces synergies seront générées pour moitié par une accélération de la performance commerciale des magasins, et par moitié par l'optimisation des coûts, notamment grâce à des gains aux achats marchands et non marchands, et à la mutualisation des coûts marketing & publicité.
"Cette confirmation était attendue, mais les conditions de marchés ayant évolué depuis 1 an (avec des pertes de parts de marché chez Cora) rendent de facto le 'deal' moins intéressant d'un point de vue financier à très court terme, sans remettre en cause sa pertinence stratégique à moyen-long terme, et l'intérêt pour le groupe de grossir en taille", estime Oddo BHF. L'analyste maintient sa position prudente sur le titre et pense toujours que l'objectif du management de voir la marge de ROI (EBIT) progresser en France est difficile à atteindre. Il reste ainsi 'neutre' avec une cible de 16 euros.
Le groupe de distribution publiera son T2 le 24 juillet prochain.
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Carrefour a conclu un partenariat avec GreenYellow, leader de la transition énergétique décentralisée en France et à l'international, pour l'installation et l'exploitation d'équipements de production d'énergie photovoltaïque sur près de 350 de ses parkings d'hypermarchés et de supermarchés en France.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre du plan Carrefour 2026 et de son ambition de valorisation des actifs immobiliers, traduite dans un objectif de production d'énergie photovoltaïque en France, en Espagne et au Brésil d'1 TWh par an à compter de 2027.
L'énergie ainsi produite permettra de couvrir autour de 20% des besoins des magasins Carrefour.
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Carrefour : végète sur des propos de broker
Le 12 juillet 2024
Carrefour végète à son équilibre et sous-performe ainsi la tendance à Paris sur fond de propos d'UBS qui, tout en conservant sa recommandation 'neutre' sur le titre du géant de la grande distribution, ramène son objectif de cours de 17 à 15,3 euros.
'Carrefour est bon marché à un P/E de huit fois, avec une grande partie de la négativité française probablement intégrée, mais l'Europe demeure un risque', juge le broker, voyant les résultats semestriels 'peu susceptibles de constituer un point d'inflexion'.
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Carrefour fournira 117 nouvelles boutiques de stations-services Shell et TotalEnergies
Le 03 juillet 2024
Le groupe de grande distribution Carrefour a annoncé mercredi avoir remporté deux appels d'offres auprès des pétroliers Shell et TotalEnergies pour approvisionner 117 boutiques de stations-services supplémentaires.
La valeur de ces contrats n'a pas été communiquée.
Le gain de ces appels d'offres "renforce ainsi sensiblement" la présence de Carrefour dans le secteur des stations-services, a indiqué le distributeur dans un communiqué.
Avant la fin de l'année, Carrefour sera présent dans plus de 350 stations-services en France.
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