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ACCOR : PREND 5%, EN TÊTE DU CAC40
07/08/2025
En tête du CAC40, Accor bondit alors que le groupe hôtelier envisagerait une introduction en bourse de sa co-entreprise d'hôtellerie "lifestyle et loisirs" Ennismore dont il est actionnaire majoritaire. Barclays pense que "cette annonce, bien que légèrement anticipée, concorde globalement avec les commentaires de la direction effectués plus tôt cette année et offre à Accor l'opportunité de débloquer davantage la valorisation d'Ennismore et de redistribuer des liquidités aux actionnaires après l'introduction en bourse potentielle".
Citi souligne que l'éventuelle introduction en bourse a été évoquée par les investisseurs, mais il s'agit de la première indication publique qu'une telle opération est envisagée. Le rapport suggère que l'entreprise vise une valorisation de plusieurs milliards de dollars, ce qui représenterait une hausse par rapport aux 2 milliards d'euros de valeur d'entreprise lors de la cession d'une participation en 2022, ou aux 3 milliards d'euros évoqués dans le cadre d'une éventuelle levée de fonds pour Ennismore en mars 2024.
Bien que potentiellement positive, la cession d'une participation en 2022 n'a eu "aucun impact sur le cours de l'action Accor", malgré un multiple bien supérieur à la moyenne du groupe, tempère Morgan Stanley. De plus, l'information du jour suggère qu'Accor ne vendrait aucune action. "Par conséquent, même si une scission devrait théoriquement être légèrement positive, nous doutons qu'elle soit suffisante pour entraîner une réévaluation significative".
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Accor : l'effet devises inquiète, le titre chute
31/07/2025 10:25
-10%...
Accor signe le gadin du jour à Paris avec une action qui chute de 10% à 44,4 euros dans de copieux volumes. Le titre n'avait plus enregistré un tel plongeon depuis mars 2020 et la crise du Covid-19. Le groupe hôtelier a dévoilé des comptes semestriels robustes et globalement meilleurs que prévu mais le marché s'inquiète de l'impact des changes sur les résultats. L'opérateur des chaînes Ibis, Novotel et Sofitel table sur une croissance de son excédent brut d'exploitation (EBE) courant entre 9% et 10% pour l'année fiscale en cours, tout en précisant d'un impact négatif d'environ 60 millions d'euros sur la base des taux de changes attendus.
"Les nouvelles prévisions d'Accor intègrent désormais un effet de change négatif (...) Dans un contexte de solidité récente du cours de l'action, cela devrait peser sur le titre aujourd'hui", affirme JP Morgan. Jefferies souligne également l'impact plus important que prévu des taux de change sur les perspectives du groupe.
"Les prévisions d'EBITDA récurrent d'Accor pour 2025 - une croissance de 9 à 10% à taux de change constants - impliquent une baisse de 3 à 4% du consensus, compte tenu d'un impact négatif de 60 millions d'euros sur les devises", notent aussi les équipes de BI.
Accor a par ailleurs publié un revenu par chambre disponible (RevPAR) en hausse de 4,1% au deuxième trimestre, contre un consensus qui l'attendait en progression de 4,7%. Le groupe a confirmé viser une croissance du RevPAR entre 3% et 4% en 2025.
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Premier semestre 2025 : Une activité solide dans un contexte macro-économique complexe
Publié le 31/07/2025 à 07:46
- REVPAR EN HAUSSE DE 4,6% AU PREMIER SEMESTRE 2025
- CHIFFRE D'AFFAIRES EN HAUSSE DE 5,1% AU PREMIER SEMESTRE 2025 À TAUX DE CHANGE CONSTANT
- EXCÉDENT BRUT D'EXPLOITATION COURANT EN HAUSSE DE 9,4% À 552 M€ (EN HAUSSE DE 13,4% À TAUX DE CHANGE CONSTANT)
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PERSPECTIVES 2025 EN LIGNE AVEC LES ATTENTES DE LA JOURNÉE INVESTISSEUR DE JUIN 2023 À TAUX DE CHANGE CONSTANT
IMPACT NÉGATIF DES VARIATIONS DE TAUX DE CHANGE (-21 M€ AU PREMIER SEMESTRE 2025)
LANCEMENT DE LA SECONDE TRANCHE DU PROGRAMME DE RACHAT D'ACTIONS POUR 240 M€
Sébastien Bazin, Président-directeur général de Accor, a déclaré :
« Sur le premier semestre 2025, le Groupe affiche une nouvelle fois une bonne dynamique malgré un contexte géopolitique complexe et l'impact des taux de change. Ces performances solides confirment la qualité de notre portefeuille de marques et la pertinence de notre présence géographique diversifiée et sont le fruit de la discipline opérationnelle et financière que le Groupe met en œuvre trimestre après trimestre.
À taux de change constant1, pour l'année 2025, nous confirmons nos perspectives de croissance du RevPAR, du réseau et de l'EBE courant, en ligne avec nos perspectives de la Journée Investisseurs de juin 2023.Nous poursuivrons par ailleurs, comme nous nous y étions engagés, notre politique attractive de retour aux actionnaires en lançant la deuxième tranche de notre programme de rachat d'actions. »
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J'ai passé 3 jours dans un camping à côté de l'ile d'Oléron.
Le camping était rempli à 50 %. Les restaurants ne sont pas remplis.
On sent le crise économique.
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Accor : un cinq-étoiles à prix soldé pour votre portefeuille ???
Le premier groupe hôtelier européen confirme son retour au sommet et comble son retard sur ses pairs américains. Après une performance boursière de haut vol l’an dernier, le titre a dérapé avant de se reprendre. Une occasion pour acheter ?
09/05/2025
On pensait que l’action du numéro six mondial de l’hôtellerie (Sofitel, Pullman, Ibis, etc.) allait continuer à tutoyer les sommets après avoir inscrit un plus-haut le 13 février dernier, à 51,10 euros. Le record historique datant du 22 avril 2015, à 51,65 euros. Le titre a même affiché la meilleure performance du CAC 40 en 2024 (+35,5%), porté par une forte reprise du tourisme mondial après la crise sanitaire.
Une performance méritée au vu des résultats annuels exceptionnels enregistrés par le champion tricolore. En 2024, son chiffre d’affaires a progressé de 11%, pour atteindre le record de 5,6 milliards d’euros. L’excédent brut d’exploitation (EBE) ressort à 1,1 milliard (+12%), soit le haut de la fourchette prévue.
Pour l’exercice 2025, les dirigeants envisagent une performance similaire, avec notamment une croissance de l’EBE comprise entre 9 et 12%
Malheureusement, le titre a brusquement glissé avec le désordre provoqué par la politique tarifaire des États-Unis. Les investisseurs se sont inquiétés du risque de récession et de dégradation de la conjoncture mondiale, davantage que des droits de douane et de l’exposition du groupe aux États-Unis (37.000 chambres, soit à peine 4,8% du portefeuille total).
Sébastien Bazin, le PDG, a récemment averti que les réservations effectuées de l’Europe vers les États-Unis pour cet été seraient en baisse de 25%. Les touristes boycotteraient aussi la destination en raison de la multiplication des mesures draconiennes de contrôle aux frontières imposées par le président Donald Trump.
Des turbulences qui pourraient créer une opportunité unique d’acheter une valeur positionnée sur un secteur structurellement porteur.
Vente des murs et priorité au segment haut de gamme
Cela fait bientôt huit ans que le numéro un européen du secteur s’est délesté de ses murs pour copier le modèle moins gourmand en investissements des géants américains en tant qu’opérateur hôtelier asset light (sans actifs).
Le but : essayer de convaincre le marché que l’hôtelier vaut davantage en Bourse. Le groupe a ainsi vendu en 2018 près de 70% de sa foncière Accorinvest à des investisseurs internationaux pour 4,4 milliards d’euros. Accor est ainsi devenu un opérateur hôtelier à part entière.
Parallèlement, en rachetant FRHI (Raffles, Fairmont) en 2016 pour 2,6 milliards d’euros, le groupe a mis le paquet sur le segment du luxe et du prestige, gage d’une meilleure rentabilité. Il compte aujourd’hui des hôtels iconiques, tels que le Raffles London, le Plaza de New York, le Sofitel Roma Villa Borghese ou encore l’Hôtel des Arts Saigon.
Une tendance qui se poursuit. Près de 58% des nouveaux projets hôteliers d’Accor en 2024 sont des conversions d’hôtels vers des marques haut de gamme, comme Emblems, MGallery et Mondrian.
Mais l’hôtellerie se transforme et les établissements standardisés n’ont plus vraiment la cote. Accor l’a bien compris et a fait évoluer son modèle avec une montée en puissance des hôtels dits lifestyle, un compromis entre l’hôtellerie, la restauration et les loisirs. Ce segment, dégage une rentabilité plus forte que l’hôtellerie traditionnelle.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Au premier trimestre 2025, c’est le pôle Luxe & lifestyle qui tire la croissance du groupe, avec une progression du revenu par chambre (RevPar, indicateur de référence dans le secteur) de 8,3%, contre 3,4% pour le segment économique et moyen de gamme. Un bon signe pour la profitabilité à venir.
Par exemple, l’hôtelier profite de l’émergence de nouvelles tendances comme le bleisure (contraction de business et de leisure), qui permet de combiner travail et loisirs en donnant la possibilité aux voyageurs d’affaires de prolonger leurs séjours dans les hôtels.
Fort de tous ces changements, le taux de marge opérationnel d’Accor est passé de 9,3% en 2012 à 13,9% l’année dernière.
Diversification géographique
Pour réduire sa dépendance à l’Europe, le groupe a décidé d’accélérer son développement dans les régions les plus dynamiques (États-Unis, Moyen-Orient, Asie-Pacifique). Accor a ainsi récemment noué un partenariat avec la compagnie aérienne indienne Indigo. Cette opération est destinée à accélérer son développement en Inde, où le groupe vise 300 hôtels en 2030, contre 71 actuellement.
Accor veut profiter de l’émergence de l’Inde qui devrait devenir le quatrième pays au monde en termes de dépenses à l’étranger d’ici à 2030, grâce à l’essor de sa classe moyenne. Au total, 80% des ouvertures réalisées l’année dernière ont eu lieu hors d’Europe, dont 55% dans la région Asie-Pacifique.
Retour aux actionnaires
Sébastien Bazin a eu la bonne idée de vendre une grande partie de son immobilier (AccorInvest) peu de temps avant la crise sanitaire. À présent, le groupe souhaite vendre ses parts restantes (30%) d’ici à 2026, une manière de simplifier encore un peu plus la stratégie du groupe.
Cette cession rapporterait environ 900 millions d’euros, selon un analyste d’Oddo BHF, et pourrait donner lieu à un retour supplémentaire aux actionnaires. Une bonne nouvelle pour ces derniers alors que le groupe s’est déjà engagé à retourner 3 milliards d’euros entre 2023 et 2027, sous forme de versement de dividendes et de rachat d’actions.
Le bilan du groupe reste très solide avec des liquidités qui s’élevaient à 2,2 milliards d’euros à fin décembre 2024. Avec cette manne financière, le premier hébergeur d’Europe pourrait repasser à l’offensive dans des zones où il est peu présent.
Sébastien Bazin a toujours préféré se renforcer par acquisitions ciblées plutôt que de se lancer dans un rachat de grande ampleur.
Autre possibilité : la séparation en deux entités (luxe et économique) pourrait signifier une future scission et ainsi cristalliser davantage la valeur.
Moins cher que ses pairs
Boudé depuis des années, le titre plaît de nouveau aux investisseurs. Pourtant, la valorisation boursière est encore modérée. La valeur d’entreprise (capitalisation boursière plus dette nette) rapportée à l’excédent brut d’exploitation prévu en 2025 ressort à 11,5.
Ce ratio de valorisation reste inférieur à celui de ses concurrents comme les américains Marriott International (14,5) et Hilton International (17,3) ou l’anglais Intercontinental Hotels Group (14,9).
Quelques questions subsistent : si le pricing power permet à Accor de maintenir une rentabilité élevée, l’augmentation des prix pourra-t-elle être longtemps supportée par des touristes touchés par la baisse de leur pouvoir d’achat ?
Pour l’instant, les perspectives pour l’an prochain sont favorables, portées par une demande soutenue, même si elles restent à la merci d’évènements exceptionnels (retour de l’inflation, escalades géopolitiques, récession mondiale, etc.). Mais, sous 45 euros, nous considérons le cours de Bourse comme un point d’entrée attrayant.
Support. Après une ascension de 60% en six mois, le record établi en février à 51 euros a favorisé une correction de 32%, jusqu’à tester le plus-haut de 2021, à 34,50 euros. La capacité à reconquérir les moyennes mobiles et ouvrir un gap au-dessus de 42 euros restaure un important support. À 45 euros, le retracement de 61,8% de la correction peut étayer une résistance délicate, à franchir pour poursuivre vers des paliers à 49 et 51 euros.
Gouvernance
Âgé de 64 ans, Sébastien Bazin a fait ses débuts comme analyste financier à Paris en 1982. En 1997, il est nommé à la direction de la branche européenne de la société de capital-investissement Colony Capital, qui était à l’époque le premier actionnaire d’Accor avec Eurazeo. En août 2013, il a remplacé Denis Hennequin et pris la tête du groupe. Il vient d’être reconduit pour un troisième mandat d’une durée de trois ans.
Actionnariat
Parvus Asset Management Europe : 11,1%
Kingdom Holding Company : 6,7%
Qatar Investment Authority : 6,2%
Intérêt des fonds. Les deux fonds du Moyen-Orient (QIA et Kingdom Holding Company, société du prince saoudien Al-Walid) ont posé les bases d’un partenariat de long terme à l’occasion du rachat de FRHI. Avec plus de 11,1% du capital, la société de gestion britannique Parvus Asset Management a récemment précisé qu’elle n’entendait pas prendre le contrôle d’Accor. Blackrock possède 4,8% du capital et les salariés du groupe détenaient près de 2,1% au 31 décembre 2024.
Le saviez-vous ?
Un réseau qui progresse
En 2024, Accor a ouvert 293 hôtels et resorts, ajoutant 50.000 chambres à son portefeuille. Son réseau mondial compte désormais 5.682 hôtels et 850.285 chambres en exploitation, auxquels s’ajoutent 1.381 projets d’ouverture (233.000 chambres).
Stratégie «asset light»
Sur les 5.682 hôtels, près de 59% des établissements sont exploités en franchise et 39% en contrat de management. Au 31 décembre 2024, seulement 5 hôtels (732 chambres) étaient encore en pleine propriété.
«Lifestyle»
Parmi les marques les plus connues dans le segment dit lifestyle d’Accor, on trouve les hôtels Mama Shelter, Jo & Joe, Rixos, So, Mondrian et Ennismore. L’objectif : séduire les «Millennials» pour concurrencer les plateformes de location entre particuliers.
Atouts
Un positionnement haut de gamme pertinent.
Une rentabilité qui progresse régulièrement.
Un retour important de cash pour les actionnaires.
Risques
Un titre soumis aux aléas géopolitiques et sanitaires.
Une valeur considérée encore comme «cyclique».
Une concurrence rude de Booking et d’Airbnb.
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Dans le sillage du marché, Accor rebondit de 6,3% à 38,8 euros et fait ainsi fi d'une dégradation d'analyste. Kepler Cheuvreux a en effet abaissé sa recommandation sur le groupe hôtelier à 'conserver' tout en réduisant sa cible de 57 à 42 euros.
Les analystes sont malgré tout majoritairement positifs sur le dossier puisque, selon le consensus 'Bloomberg', 17 sont à l''achat', 3 à 'conserver' et aucun à 'vendre'. L'objectif moyen à douze mois est fixé à 53,77 euros.
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Partenariat majeur en Inde
Par Jean-Baptiste André Publié le 09/04/2025 à 09h38
(Boursier.com) — Accor et InterGlobe, premier conglomérat indien dans le secteur du voyage, annoncent le renforcement de leur partenariat afin de créer le groupe hôtelier à la croissance la plus rapide en Inde. Celui-ci s'appuiera sur un réseau, un portefeuille de marques et une puissance de distribution inégalés, sur tous les segments du marché. Cette nouvelle plateforme aura pour objectif de conquérir un marché indien de l'hôtellerie en plein essor, en mobilisant les atouts de deux leaders mondiaux du secteur et vise à déployer un réseau de 300 hôtels sous marques Accor d'ici 2030.
Accor et InterGlobe (qui possède notamment la compagnie aérienne IndiGo) regrouperont au sein d'une plateforme autonome et intégrée les actifs qu'ils détiennent, leurs activités de développement et leurs opérations de gestion hôtelière, implantés dans le pays. Cette nouvelle entité sera le véhicule exclusif de développement pour l'ensemble des marques Accor en Inde, y compris les marques d'Ennismore, le portefeuille lifestyle du Groupe. Accor continuera à piloter l'exploitation et la gestion des marques, avec un accès total aux marques et aux services du groupe.
Le groupe français annonce également un partenariat exclusif avec Treebo. Treebo, l'un des principaux acteurs de l'hôtellerie économique en Inde, exploite 800 hôtels dans 120 villes, en s'appuyant sur des outils technologiques de pointe et des systèmes de distribution efficaces. Accor et InterGlobe investiront conjointement dans Treebo et en deviendront le principal actionnaire. Treebo sera chargé de développer les enseignes ibis et Mercure en Inde au travers de la conclusion d'un contrat de licence. Dans le cadre de ce partenariat, Treebo a conclu des accords avec plusieurs propriétaires pour l'ouverture de dix nouveaux hôtels Mercure, une montée en puissance majeure pour cette marque en Inde. Les marques du groupe Accor s'appuieront sur les technologies de pointe de Treebo pour tirer parti du vaste marché indien de l'hôtellerie indépendante, et dynamiser leur croissance. Les portefeuilles combinés de Accor et de Treebo représenteront le troisième acteur indien de l'hôtellerie, avec plus de 30.000 chambres.
Associant l'expertise mondiale de Accor en matière d'hôtellerie, la connaissance intime du marché indien et l'approche entrepreneuriale d'InterGlobe, et l'approche hôtelière innovante et l'agilité technologique de Treebo, ce partenariat est conçu pour redéfinir les standards de l'hôtellerie en Inde.
Sébastien Bazin, Président-Directeur général Accor, déclare : "ce partenariat stratégique marque un tournant majeur pour Accor et ses marques en Inde. Aux côtés d'InterGlobe, partenaire de confiance de longue date et en nous réunissons le meilleur de l'hôtellerie, des technologies et de l'entrepreneuriat en Inde, pour libérer un potentiel de croissance sans précédent sur l'un des marchés les plus prometteurs au monde pour le tourisme".
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ACCOR : RÉSISTE !
26/03/2025 16:17
Contre la tendance, Accor avance de 0,5% à 45,1 euros, dans le vert pour la troisième séance consécutive.
CIC Market Solutions a relevé à l''achat' sa recommandation sur le groupe hôtelier en visant 52 euros.
Le marché est majoritairement positif sur le dossier puisque, selon le consensus 'Bloomberg', 16 analystes sont à l''achat', 3 à 'conserver' et 1 à 'vendre'. L'objectif moyen à douze mois est fixé à 54,59 euros.
A suivre... 🔎👀
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