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Stellantis Épaule-Tête-Épaule ? - Page 8

Cours temps réel: 8,31  -1,27%



Rollier1 Rollier1
29/07/2024 12:20:50
1

Les supports cassent les uns derrière les autres… Si l’actuel 15,84 € casse aussi alors 14,73 € devrait suivre 😕


  
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LBWB LBWB
25/07/2024 12:02:14
2

Avons testé les 50 %

  
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Rollier1 Rollier1
25/07/2024 11:18:10
2

On revient à l’origine de cette file à savoir ETE et/ou canal baissier à suivre 🙄


  
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Jpgrenoble Jpgrenoble
25/07/2024 10:10:45
4

Stellantis dégringolade ce matin près de 8% vers 16.60€
Techniquement :
Cassure de l’oblique S du canal haussier R.S, de la mm20 mensuel , du ratio finobacci 17.43 on test une zone de support 16.50€, sa rupture ouvrirait la voie sur 15.51 et très certainement sur un seuil où coïncide fibonnacci 50% du dernier mvt haussier, fibonnacci 38.2% du mvt général (14.37-15.13) ou gravité également cloud ichimoku mensuel si tel était le cas je prendrai une position à l’achat
Biensur ce n’est pas un conseil mais une transparence sur mes positions j’avais venus 50% de ma position achete sur13€

  
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Rollier1 Rollier1
19/07/2024 16:16:37
1

On a testé hier le haut d’à canal baissier et échoué à le franchir. Naturellement on corrige aujourd’hui de déception.

Et oui, tu as raison, la zone 19-19,50 est une forte résistance et la cké pour retrouver une meilleure tendance 👍


  
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Jpgrenoble Jpgrenoble
18/07/2024 11:20:44
1

Stellantis est en hausse ce jour

Le cours préserve l’oblique S et teste le nuage ichimoku et RH 19-19.50€

  
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Jpgrenoble Jpgrenoble
10/07/2024 13:07:20
1

AOF) - "Stellantis termine le premier semestre 2024 en croissance de 0,9% en volume en totalisant une part de marché de 18,2%" dans l'Europe des 29. Le constructeur revendique la place de numéro un en France, Italie et Portugal en juin et sur les six premiers mois de l’année, ajoutant que ses parts de marché en Allemagne, en Italie, en Pologne et en Portugal "enregistrent une croissance régulière depuis le début de l’année". Stellantis Pro One "réaffirme sa position de leader" sur le marché du véhicule utilitaire léger (VUL) avec plus de 28,5% de part de marché et une augmentation en volume de 4%

La part de marché du groupe sur le segment des véhicules électriques dans l'Europe des 29 s'est élevée à 13,3 % en cumul au premier semestre. En France, "les volumes ont augmenté de plus de 48 %, la Peugeot E-208 étant la voiture électrique la plus vendue sur la période".

Techniquement :
Pour l’instant la zone 17.50€ et l’oblique S tiennent

  
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Jpgrenoble Jpgrenoble
09/07/2024 09:44:54
1

Boursier.com) — Stellantis accélère dans l'hybride. Le constructeur va équiper davantage de modèles avec son groupe motopropulseur hybride de référence pour répondre à la demande en Europe. L'entreprise proposera 30 modèles hybrides sur le Vieux continent cette année et prévoit d'en commercialiser six de plus d'ici 2026.

Stellantis a augmenté de 41% ses ventes de modèles hybrides en EU30 depuis le début de l'année 2024 par rapport à la même période en 2023, et prévoit une adoption par les clients en hausse avec les nouveaux lancements à venir. Stellantis est le leader des ventes de véhicules à faibles émissions, comprenant les véhicules électriques à batterie, les véhicules à pile à combustible, les hybrides rechargeables et les hybrides, dans l'EU30 pour les segments A et B et les véhicules utilitaires légers.


La plupart des véhicules hybrides des marques Stellantis en Europe sont désormais équipés de la technologie de pointe eDCT et de son moteur électrique de 21 kW intégré, pour une expérience de conduite incroyablement fluide et agréable, avec la possibilité notamment de circuler en mode tout électrique en ville. Le moteur électrique permet au véhicule de rouler avec le moteur à combustion interne coupé. La batterie du système (48 volts et 0,9 kWh) offre jusqu'à 1 km d'autonomie à vitesse régulière et peut également fournir une propulsion électrique en roues libres ou lors des trajets à charge réduite. En roues libres ou pendant le freinage, le moteur électrique se transforme en générateur pour capturer l'énergie cinétique et recharger la batterie en électricité. Un générateur Belt-Starter permet une transition rapide et transparente entre les modes hybride et électrique.

Le système de propulsion hybride avec eDCT est conçu pour optimiser les économies de carburant, avec une réduction de près de 20% des émissions de CO2 par rapport à un moteur à combustion classique avec boîte automatique. Modulaire et innovant, l'eDCT peut également convenir aux modèles hybrides rechargeables grâce à 93% d'éléments communs (seuls le module de propulsion électrique et l'onduleur changent). Stellantis produit actuellement des véhicules hybrides dans plus de 70 % de ses sites européens. Par le biais de leur co-entreprise eTransmissions, Stellantis et son partenaire fabriquent actuellement des eDCT à Metz en France et à Turin en Italie, alimentant ainsi 11 sites de production automobile, avec une capacité de production combinée supérieure à 1,2 million d'eDCT par an.

Dans le cadre de son plan stratégique Dare Forward 2030, Stellantis investira plus de 50 milliards d'euros dans l'électrification au cours de la prochaine décennie et prévoit d'atteindre 100% de ses ventes de voitures particulières en électrique (BEV) en Europe et de 5% pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers aux États-Unis d'ici à 2030.
Techniquement
Nous sommes sur une zone clef ou gravité la mm20 mensuel,l’oblique S du canal haussier, fibonnacci 38% 17.49 qui est aussi le sommet de vague 2010

  
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Rollier1 Rollier1
05/07/2024 13:54:05
0

+haut 18,49€.

Je vais peut-être rater mon pari pour 8 centimes 😊

  
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Rollier1 Rollier1
03/07/2024 17:56:11
0

Doji d’indécision pour ce jour. Bah, faudra voir demain pour plus d’indications peut-être ? 🤔

Je penche tout de même pour la fermeture du gap 18,57€ demain. On verra si le pari est gagné 😊


  
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roulenmo roulenmo
03/07/2024 09:48:29
0

Et ils l'avaient bien compris car sur la RCZ R ils ont bien mis une chaine et pas une courroie.La chaine un peu plus lourde n'empêche pas au petit moteur 1600 de développer 270 cv.Gratter un peu de sous sur des millions de voitures et faire prendre des risques pour les propriétaires et des ennuis de garanties,ça fait trop longtemps que ça dure.

  
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Rollier1 Rollier1
03/07/2024 08:33:09
0

Si ETE (cf post début de file) alors l’objectif est ~11€ (Tête vers 37€, Ligne de cou vers 19€).


Pour info, au cas où elle vous aurait échappée :

https://www.abcbourse.com/analyses/stellantis_malgre_la_valorisation_la_situation_technique_est_catastrophique-6625


  
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jpgrenoble jpgrenoble
02/07/2024 22:56:30
3

Après le calamiteux moteur PureTech et sa courroie cuite à l’huile voici l’airbag meurtrier des Citroën et son rappel au rabais. Mais Carlos Tavares maintient le cap : low cost à tous les étages.


Stellantis dans le piège du low cost


Ce billet, je l’ai déjà écrit ici, et là, à propos du Renault de Carlos Ghosn, ou comment son obsession de la réduction des coûts avait ravagé la réputation de la marque, comment de petites économies avaient failli ruiner l’entreprise.


Avant de devenir PDG de Renault en 2005, le plus célèbre des cost-killers avait bien travaillé : six mois de mise au point économisés avant le lancement de la Laguna 2, une forte pression à la baisse sur les achats aux fournisseurs, des conceptions au rabais comme la courroie en W des moteurs dCi, un SAV dressé à refuser les prises en garanties, bref d’innombrables économies de petits ruisseaux qui firent les grandes rivières de cash.



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Le résultat de la politique de Carlos Ghosn chez Renault est bien documenté : d’abord le redressement spectaculaire des finances puis l’échec cuisant de la Laguna, la ruine de la réputation de fiabilité du Losange suivie de l’éclipse de son haut de gamme et pour conclure, une part de marché européenne sévèrement rabotée. Sans Dacia, Renault n’existerait probablement plus en tant que constructeur indépendant.


Avec l’affaire de l’air bag Takata des Citroën, j’ai l’impression de relire la même histoire, mais écrite à l’envers, avec quelques chapitres pas encore rédigés.


Stellantis dans le piège du low cost

Cent millions de voitures rappelées


Le personnage principal s’appelle lui aussi Carlos (Tavares), a longuement travaillé avec l’autre (Ghosn), mais n’est en rien responsable des avaries des PureTech, ni des déboires des airbags Takata, pas encore en fonction en 2009, quand ils commencent à être montés sur les C3 et DS3. D’ailleurs, à la même époque de nombreux constructeurs les installent eux aussi.


Détail important et rarement mentionné, le premier rappel des airbags Takata par Toyota et Honda intervient en 2008, soit un an plus tôt. Dans l’intervalle, l’équipementier japonais est censé avoir modifié la chimie de son explosif et l’étanchéité de son contenant, mais apparemment, pas efficacement et il faut croire qu’aucun constructeur ne l’a vérifié.


En 2014, le scandale éclate, mais les airbags nippons continuent à garnir les volants et planche de bord des Citroën et d’autres marques jusqu’en juin 2017 où, suite logique, l’entreprise fait une faillite retentissante. Pourtant étrangement, des Citroën continuent à s’en équiper jusqu’en 2018 et 2019 à en croire les millésimes officiellement concernés par le rappel. Erreur de frappe de la date ou bien il y avait du stock sur l’étagère ?


Au bilan, cent millions de voitures ont été et sont rappelées dans le monde, plutôt discrètement, sans faire de vagues. Alors, pourquoi y a-t-il un scandale de l’airbag Citroën ?


Stellantis dans le piège du low cost

Une ligne pas très claire


D’abord parce que le constructeur est dans les derniers à rappeler ses voitures, semblant avoir attendu d’être acculé par les victimes des explosions et leurs familles et la menace d’une action de groupe. Et là, forcément, il faut aller vite.


Vite et bien ne sont pas synonymes. Tout commence par un courrier recommandé intimant de « cesser immédiatement de conduire votre véhicule », un impératif qu’aucun autre constructeur n’avait employé. Et qui est d’autant plus étonnant que les dates d’intervention proposées sont lointaines et les prêts de véhicules de courtoisie bien rares. Jusqu’au moment où l’affaire apparaît dans les JT des grandes chaînes : 60 000 voitures sont alors expédiées chez les concessionnaires.


Plus le détail intrigant : pas de rappel au nord d’une ligne Lyon/ Clermont-Ferrand. Pourquoi cette ligne ne s’étend – elle pas jusqu’à Bordeaux ou Royan ? Du côté de Périgueux est-on au Sud de cette ligne ? Ou complètement à l’Ouest ?


En s’interrogeant sur ce découpage géographique, on découvre que le nitrate d’ammonium se dégrade principalement dans les climats chauds et humides et l’on apprend que dès 2020, Citroën effectuait discrètement le rappel dans les DOM TOM. Sauf à St Pierre et Miquelon, je présume… Autres questions sans réponses : peut-on passer ses vacances à Biarritz ou à Nice si l’on habite les Ardennes ? Peut-on acheter une voiture à Perpignan et la rapatrier à Amiens ?


Au-delà de la radinerie que démontre ce rappel tardif et contraint et sa mise en œuvre au rabais, il y a le timing. Je lis qu’il est désastreux, en pleine campagne de lancement de la nouvelle C3 qui arrive dans les shows room, un vrai sabordage.


Pardon, je suis vilain, mais je ne peux pas m’empêcher de penser qu’au contraire, ce moment a été soigneusement choisi : rien de mieux qu’une campagne de rappel pour générer du trafic en concession et montrer les nouveautés. Et mieux, les faire essayer le temps de changer les coussins gonflables…


Stellantis dans le piège du low cost


Ce qu’il y a de français dans une Peugeot ou une Citroën ?


Toujours à propos de timing, ce qui m’étonne le plus, me stupéfie même, c’est qu’alors que les écrans répétaient en boucle l’affaire des airbags Citroën et le scandale de sa gestion low cost, Carlos Tavares a choisi ce moment pour revendiquer publiquement une politique résolument orientée… low cost. C’était à Détroit, mi-juin, lors d’une conférence de quatre heures devant ses investisseurs où par la voix de son directeur des achats, il a affirmé sa volonté de s’ « approvisionner dans les pays où les coûts sont les plus bas au monde », rappelant que les achats de composants – les airbags au hasard – représentent 85 % du coût d’une voiture contre 10 % pour les usines et 5 % pour la logistique.


Sachant que Stellantis a déjà délocalisé une bonne partie de sa R&D en Inde et au Brésil, pays où l’ingénieur coûte 50 à 70 % moins cher, on peut se demander ce qu’il y a encore de français dans une Peugeot ou une Citroën, ce qu’a d’allemand une Opel, d’italien une Fiat ou d’américain une Jeep.


Le design ?


Admettons que l’on s’en tamponne et que vive la mondialisation (fut-elle malheureuse à Vélisy), je pose dans ce cas deux questions :


1/ Puisque l’on se fiche de la provenance, pourquoi acheter Peugeot, Citroën, Fiat ou Jeep et pas chinois ?


2/ Quelle sécurité et quelle fiabilité peut-on attendre de voitures conçues par des ingénieurs mercenaires et fabriquées avec des composants sélectionnés comme les moins chers possibles ?


Stellantis, le futur Boeing ?


Comment Carlos Tavares peut-il tenir un tel discours « moins disant » alors que son entreprise, au-delà de cette farce d’airbag, est empêtrée dans l’affaire des moteurs pure tech dont la courroie – sans doute moins chère qu’une chaîne - se désintègre dans son bain d’huile ? Lui qui vient de Renault, ne sait-il pas ce qu’ont coûté à la marque les déboires des diesel de Scénic, les bugs électroniques des Laguna, Espace, Vel Satis sans parler du catalogue des autres misères qui ont durablement ruiné l’image et fait fuir le client ?


Quel résultat financier à long terme peut-il attendre de cette politique de conception et d’approvisionnement à bas coût sachant que la simple déficience d’encapsulage d’une capsule d’airbag est en train de lui coûter quasiment un milliard d’euros et des dizaines de milliers de clients furieux ?


Il y a peu, un éminent spécialiste du secteur automobile établissait un cruel parallèle entre les déboires de Boeing et ceux, possiblement à venir, de Stellantis. Les similitudes sont troublantes : obsession du dividende, de la capitalisation boursière, transfert du pouvoir des ingénieurs vers les financiers après une fusion, perte de la culture technique par dégraissage, pression toujours croissante sur les salariés et fournisseurs, raccourcissement des délais de conception, vassalisation des équipementiers…


Il y a peu, la directrice financière de Stellantis se vantait dans les colonnes du Monde d’investir trois fois moins d’argent que ses principaux concurrents pour développer un modèle et d’en dépenser deux fois moins en recherche et développement.


Est-ce de la candeur ou du cynisme ? Veut-elle nous vendre des voitures ou des actions ? Pour les premières, personnellement, je préfère acheter des autos qui coûtent cher à concevoir. Pour les secondes, je me souviens du plongeon de l’action Renault.

  
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Rollier1 Rollier1
02/07/2024 19:05:27
0

Peut-être le (petit) gap 18,57€ fera aimant demain ? 🤔

En ces temps de belle volatilité, c’est pas impossible 😊


  
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Jpgrenoble Jpgrenoble
02/07/2024 18:41:39
1

Stellantis est attaqué et clôture en baisse 18.21€
Techniquement hebdomadaire :

Le cours a testé ce jour l’oblique S du canal haussier MT qui coïncide avec SENKOU B du cloud ichimoku il va être intéressant de suivre si ce seuil va casser ou servir de support
Scénario 1: cassure de la zone direction mm200 et seuil haut de vague 15.51
Scénario 2: rebond sur zone retour sur 19.31(Z1)

  
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Rollier1 Rollier1
02/07/2024 13:32:02
1

Mon sentiment était, hélas, le bon 😕

Prochain support 16,82 €.


  
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Rollier1 Rollier1
28/06/2024 17:49:21
0

18,20€ testés… Tiendra ou pas ? Faites vos jeux !

J’ai le sentiment personnel que ça va casser 70/30.

  
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jpgrenoble jpgrenoble
28/06/2024 09:11:33
4

STELLANTIS : HSBC REDOUTE QUE LE PREMIER SEMESTRE DE STELLANTIS SOIT PLUS DIFFICILE QU'ATTENDU, L'ACTION DÉCROCHE

jeudi 27 juin 2024 à 15h15

Stellantis recule encore en Bourse ce jeudi

(BFM Bourse) - La banque sino-britannique souligne que des ventes aux particuliers faibles et un déstockage lent aux États-Unis augure d'un premier semestre moins bon que ne l'anticipe le consensus.



Plus forte hausse du CAC 40 l'an passé, Stellantis connaît incontestablement un trou d'air boursier. Depuis la fin mars, le titre a rendu plus de 30%.


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Le constructeur automobile issu de la fusion entre Fiat Chrysler et Peugeot SA début 2021 a prévenu que sa marge opérationnelle courante atteindrait entre 10% et 11% au premier semestre, contre 14,4% un an plus tôt, tout en pointant un marché difficile en Europe. Les investisseurs sont également préoccupés par les niveaux de stocks du groupe aux États-Unis, où Stellantis perd des parts de marché.


Le groupe avait d'ailleurs abordé le sujet lors de sa journée dédiée aux investisseurs le 13 juin. Le constructeur avait tenté de rassurer le marché, précisant notamment que les stocks de modèles plus en production avaient diminué de 19% entre mai et avril, et que les stocks en nombre de jours de ventes avaient été réduit de 11 jours sur la même période.



Le constructeur automobile souffre encore en Bourse ce jeudi. L'action abandonne 3,6% vers 15h25 après avoir perdu jusqu'à 4,4% au cours de la journée.


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Des volumes atones


Un analyste parisien estime que ce repli peut être lié à une note de HSBC. Dans ce document, la banque sino-britannique a abaissé son objectif de cours sur Stellantis à 22 euros contre 23,5 euros précédemment, confirmé son conseil à "conserver", et réduit ses prévisions de revenus et de résultat opérationnel courant pour 2024.


Surtout, la banque pointe une première partie d'année plus dure qu'attendu. Des ventes aux particuliers "faibles" et un "déstockage" lent aux États-Unis "suggèrent que le premier semestre 2024 sera plus difficile que ne l'attend le consensus", écrit-elle.



En extrapolant les volumes observés en avril et mai à ceux de juin, HSBC calcule un repli de 4% par rapport au trimestre précédent, alors que le consensus anticipe une hausse de 6% des livraisons sur cette même période.


Des pertes de part de marchés relativisées


Sur les points plus positifs, HSBC contextualise les importantes pertes de part de marché en Amérique du Nord et en Europe, soulignant qu'"une grande partie de la douleur a été auto-infligée".


Ce parce que Stellantis a optimisé son portefeuille de modèles, avec des retraits de véhicules importants. Autrement dit, l'attrait des marques du groupe n'a pas été entamé, d'autant que "les modèles qui ont prévalu (dans le portefeuille de Stellantis) ont bien tenu leur rang en termes de part de marché", souligne la banque. Ce qui est de bon "augure pour les prochains lancements", ajoute-t-elle.



Stellantis doit lancer un total de 25 modèles en 2024, et le groupe compte sur la montée en puissance de ces nouveaux produits pour obtenir des résultats financiers meilleurs au second semestre qu'au premier.


"La prochaine phase de croissance des bénéfices de Stellantis dépend du succès des lancements de nouveaux produits (il y en a beaucoup) et de la capacité du groupe à dépasser les marchés moroses d'Amérique du Nord et d'Europe. D'une certaine manière, il s'agit d'une activité normale, mais les pertes de parts de marché ont été le talon d'Achille du groupe au cours des deux dernières années", conclut HSBC.


Stellantis publiera ses résultats du premier semestre le 25 juillet.

  
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jpgrenoble jpgrenoble
28/06/2024 09:09:23
0

Stellantis (cours de clôture jeudi à 18,556 euros): Barclays abaisse sa recommandation à "pondération en ligne" contre "surpondérer" avec un objectif de cours à 9,5 euros contre 15 euros auparavant.

  
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Jpgrenoble Jpgrenoble
27/06/2024 18:40:56
1

Stellantis trimestriel

Si on visualise le RSI en trimestriel le cours est bien encadré dans un cal haussier avec un excès sur 27€ voir cercle.. il resterait un peu de marge donc de potentiel baissier pour que le cours teste le bas de l’oblique de progression à suivre très fort support(16.88-17.41) qui est aussi le sommet de 2010

  
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