(CercleFinance.com) - Le groupe suisse Novartis annonce que près de 60% des patientes atteintes d'un cancer du sein avancé présentant des métastases viscérales, inscrites à trois essais cliniques, ont bénéficié d'effets positifs dus au Kisqali.

Ainsi, dans une première étude de phase III, le Kisqali plus un traitement endocrinien a prolongé la survie médiane sans progression de 11,5 mois. Dans un deuxième essai, le Kisqali plus un traitement endocrinien a amélioré la survie médiane sans progression de 13,4 mois.

Cependant, dans un troisième essai, l'objectif de survie sans progression (comparé à un traitement endocrinien seul) n'a pas encore été atteint, précise Novartis. Le groupe considère néanmoins que ces résultats appuient l'utilisation du Kisqali dans le cadre d'une polythérapie comme traitement standard du cancer du sein avancé chez ces patientes.


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