Dassault Systèmes annonce une croissance organique à deux chiffres de son chiffre d’affaires et de ses résultats pour le second trimestre et le premier semestre 2012

Regulatory News:

(Paris:DSY) (Euronext Paris: #13065, DSY.PA), leader mondial des logiciels de création 3D, de maquettes numériques en 3D et de solutions de gestion du cycle de vie des produits (PLM — Product Lifecycle Management), publie ses résultats financiers non-audités en normes IFRS pour le second trimestre et le premier semestre clos le 30 juin 2012. Ces résultats ont été revus par le Conseil d’administration de la Société le 25 juillet 2012.

Faits marquants
(données non auditées)

• Progression du BNPA du second trimestre de 29% (IFRS) et de 19% (non-IFRS)
• Progression du BNPA du premier semestre de 21% en (IFRS) et de 15% (non-IFRS)
• Croissance du chiffre d’affaires logiciel de 11% au second trimestre et de 10% au premier semestre, à taux de change constants
• Flux de trésorerie opérationnels de 188 millions d’euros au second trimestre et de 354 millions d’euros au premier semestre
• Extension de notre marché adressable dans le domaine des ressources naturelles avec la finalisation de l’acquisition de Gemcom
• Révision à la hausse des objectifs 2012

Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes, a déclaré :

« Au deuxième trimestre, l’activité de Dassault Systèmes s’est poursuivie sur une bonne dynamique d’activité, comme en témoignent la croissance des ventes de nouvelles licences et la progression de l’activité de location de licences. En conservant la prudence requise, nous relevons nos objectifs de chiffre d’affaires pour 2012 et prévoyons d’atteindre les 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel.

Nous sommes très satisfaits de ces résultats et nous décelons un potentiel bien supérieur pour les années à venir. En effet, nos partenaires ont accueilli de façon unanime et enthousiaste la plate-forme 3DEXPERIENCE. Ils voient clairement le potentiel de nos « Industry Solutions Experience » et la valeur qu’elles représentent pour leurs clients.

Enfin, au cours du premier semestre 2012, nous avons progressé dans l’accomplissement de notre rêve d’une innovation durable pour les produits, la nature et la vie avec la finalisation de l’acquisition de Gemcom. La nouvelle marque GEOVIA et la création d’une nouvelle Industrie, les Ressources Naturelles, suscitent une nouvelle dynamique et apportent des solutions qui intéressent aussi nos autres secteurs d’activité traditionnels. La maîtrise de la géophysique et la modélisation de notre planète constituent en effet des éléments essentiels pour l’avenir du Transport et de la Mobilité, de la Marine et de l’Offshore, des Equipements Industriels et de l’Energie, et des Services à la collectivité. »

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires du second trimestre est en hausse de 10% en normes IFRS et non-IFRS, reflétant notamment la croissance du chiffre d’affaires logiciel de 11%. Le chiffre d’affaires services s’améliore quant à lui de 6%, avec une marge brute non-IFRS en progression à 5,1%.
• A taux de change constants, l’Europe a été la région la plus dynamique avec une hausse de 19% de son chiffre d’affaires, qui s’explique par une forte croissance des ventes des principales marques du Groupe dans cette zone. Les ventes en Asie augmentent de 8%, avec une poursuite de l’amélioration des performances en Corée du Sud et au Japon. Au sein de la zone Amérique, l’évolution du chiffre d’affaires logiciel récurrent est conforme aux attentes, l’évolution du chiffre d’affaires nouvelles licences reflétant quant à elle un cycle de vente plus long.
• Les ventes de nouvelles licences, en hausse de 9% (IFRS et non-IFRS) et le chiffre d’affaires de la location de licences, qui progresse de 20% reflètent la bonne dynamique d’activité que connaît le deuxième trimestre (chiffres à taux de change constant).
• Le chiffre d’affaires logiciel récurrent est en hausse de 11% en normes IFRS et non-IFRS à taux de change constants. Cette progression s’explique par la croissance de la maintenance et par la bonne performance des locations de licences chez CATIA, ENOVIA et SIMULIA.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires PLM a progressé de 9% en normes IFRS et non-IFRS, les autres solutions PLM étant en hausse de 13%, principalement grâce à SIMULIA. Le chiffre d’affaires logiciel CATIA croît de 8% en non-IFRS, avec une progression à deux chiffres du chiffre d’affaires nouvelles licences. Le chiffre d’affaires logiciel ENOVIA en normes non-IFRS est quant à lui en hausse de 9%.
• De nouvelles transactions V6 ont été finalisées au second trimestre avec des sociétés dans les secteurs Aéronautique & Défense, Hautes Technologies, Energie, Sciences de la Vie, et Produits de Grande Consommation et Distribution. De nouvelles commandes ont été enregistrées avec des clients V6 existants, tels que Renault, Jaguar Land Rover, Alstom et LG Electronics.
• Le chiffre d’affaires de SOLIDWORKS progresse de 15% à taux de change constants, avec une croissance à deux chiffres des ventes de nouvelles licences et du chiffre d’affaires logiciel récurrent. Le nombre de nouvelles licences au second trimestre est de 13 844 unités, en hausse de 16%.
• Le résultat opérationnel IFRS a augmenté de 35,7%, pour atteindre 126,5 millions d’euros, et la marge opérationnelle s’est élevée à 25,2%, comparée à 21,7% au second trimestre 2011. En non-IFRS, la croissance du résultat opérationnel a été de 22,3%, à 147,0 millions d’euros. La marge opérationnelle non-IFRS, à 29,2%, s’est améliorée de 120 points de base, dont environ la moitié reflète l’effet de levier opérationnel de Dassault Systèmes.
• Le BNPA (IFRS) a augmenté de 29% à 0,67 euro et de 19% à 0,76 euro (non-IFRS), comparé à 0,64 euro au second trimestre 2011. Cette progression s’explique par la croissance du chiffre d’affaires et du résultat opérationnel non-IFRS, en partie compensée par la hausse du taux d’imposition non-IFRS, qui passe à 34,8% contre 33,4% au second trimestre 2011. Plus généralement, Dassault Systèmes a enregistré une hausse de ses charges fiscales, incluant charges sociales et taxes locales, en plus de l’impôt sur les sociétés.

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires et le chiffre d’affaires logiciel augmentent de 10% (IFRS et non-IFRS), profitant d’une bonne orientation générale de la tendance. Le chiffre d’affaires services est en hausse de 8% à taux de change constants, reflétant principalement la croissance des services dédiés à la V6.
• Le résultat opérationnel IFRS progresse de 26,4% à 232,6 millions d’euros, et la marge opérationnelle s’améliore de 210 points de base à 24,1%. En normes non-IFRS, le résultat opérationnel est en hausse de 19,5% à 282,3 millions d’euros. La marge opérationnelle non-IFRS, à 29,2% au premier semestre 2012, progresse de 100 points de base, environ la moitié de cette croissance reflétant les efforts d’optimisation de la rentabilité du Groupe.
• Le BNPA en normes IFRS croît de 21,4% à 1,25 euro, et de 14,8% à 1,47 euro en normes non-IFRS, reflétant la croissance du chiffre d’affaires et la progression de la marge opérationnelle.
• Dassault Systèmes a bénéficié d’une bonne dynamique d’activité au cours du premier semestre 2012, avec un chiffre d’affaires nouvelles licences en hausse de 13% à taux de change constants et une croissance à deux chiffres de l’activité de location de licences. Par zone géographique, la croissance du chiffre d’affaires nouvelles licences a été la plus forte en Asie, suivie par l’Europe, toutes deux enregistrant une croissance à deux chiffres du chiffre d’affaires nouvelles licences à taux de change constants.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel récurrent du premier semestre est en hausse de 9% (IFRS et non-IFRS), reflétant la croissance des nouvelles licences et de l’activité de location de licences. Dassault Systèmes continue de bénéficier de taux de renouvellement de la maintenance élevés. Le chiffre d’affaires logiciel récurrent représente une grande partie du chiffre d’affaires logiciel, soit environ 71% au premier semestre 2012, contre 72% au premier semestre 2011.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel PLM (IFRS et non-IFRS) a progressé de 9%, la plus forte augmentation provenant d’ENOVIA. Les autres solutions PLM s’inscrivent en hausse de 12% en non-IFRS. Enfin, le chiffre d’affaires logiciel non-IFRS CATIA progresse de 7%, avec un chiffre d’affaires nouvelles licences bénéficiant d’une croissance à deux chiffres.
• Le chiffre d’affaires de SOLIDWORKS progresse de 14% à taux de change constants, avec une croissance à deux chiffres des ventes de nouvelles licences et du chiffre d’affaires logiciel récurrent. Le nombre de nouvelles licences est de 27 252 unités, en hausse de 13%.

Flux de trésorerie et autres chiffres clés

Pour le second trimestre 2012, les flux de trésorerie opérationnels s’établissent à 188,1 millions d’euros contre 147,6 millions d’euros au cours de la même période de l’année précédente, soit une hausse de 27%. Ils reflètent principalement la croissance du résultat net et l’amélioration du besoin en fonds de roulement. Les flux de trésorerie opérationnels en normes IFRS s’élèvent à 353,8 millions d’euros pour le premier semestre 2012, en hausse de 26% comparés à 281,3 millions d’euros pour le premier semestre 2011.

Au cours du deuxième trimestre 2012, la Société a versé des dividendes pour un montant total de 86,5 millions d’euros, reçu 41,5 millions d’euros provenant de l’exercice de stock options et procédé à des rachats d’actions pour un montant de 71,9 millions d’euros. Il a acquis des immobilisations corporelles et incorporelles pour 9,3 millions d’euros.

La trésorerie nette de la Société, constituée de la trésorerie et des placements à court terme, moins la dette à long terme et moins la dette de 200 millions d’euros passée en court terme au 31 décembre 2011, est de 1,39 milliard d’euros au 30 juin 2012, contre 1,15 milliard d’euros au 31 décembre 2011. La trésorerie et les placements à court terme totalisent 1,64 milliard d’euros au 30 juin 2012, pour une dette globale de 287,0 millions d’euros ; ils se comparent au 31 décembre 2011 respectivement à 1,42 milliard d’euros et 301,3 millions d’euros.

L’Assemblée Générale des actionnaires a approuvé une hausse de 30% du dividende versé

L’Assemblée Générale des actionnaires s’est tenue le 7 juin 2012. Au cours de celle-ci, les actionnaires ont approuvé le versement d’un dividende annuel de 0,70 euro par action au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2011, en hausse de 30% par rapport à celui versé l’année précédente. Depuis 2009, le dividende par action versé par Dassault Systèmes a connu une progression de 52%.Le dividende a été payé le 26 juin 2012.

Faits marquants

Dassault Systèmes finalise l’acquisition de Gemcom Software International (Gemcom), basé à Vancouver au Canada. Le 11 juillet, la Société a acquis la totalité du capital de Gemcom, éditeur de logiciels de modélisation et de simulation géologique, pour un montant d’environ 292 millions d’euros, moins les passifs repris, dans le cadre d’une transaction en numéraire. Gemcom est un élément clé du succès de la stratégie de modélisation des ressources naturelles définie par Dassault Systèmes, en étendant la 3DEXPERIENCE à la simulation de la nature, sous la responsabilité de Rick Moignard, ancien Directeur Général de Gemcom, nommé au poste de Directeur Général de GEOVIA, la nouvelle marque de Dassault Systèmes.

Dassault Systèmes cède Transcat PLM GmbH (Transcat). Dassault Systèmes, après le succès de son partenaire Keonys, cédé en 2008, a annoncé aujourd’hui la cession de Transcat, filiale du Groupe et partenaire de longue date chargé de développer les activités PLM et les services correspondants pour les clients de toutes tailles en Allemagne, dans le cadre d’une opération de « management buy-out » (MBO). L’opération s’inscrit dans la stratégie de Dassault Systèmes consistant à assurer le succès de ses partenaires dans chaque zone géographique afin d’atteindre une plus grande proximité entre partenaires, clients et utilisateurs. Etienne Droit, ancien Directeur Général de CATIA, devient l’un des dirigeants de Transcat, avec Gehrard Keller et Günther Öhlschläger.

Philippe Laufer est nommé Directeur Général de la marque CATIA. Actuellement responsable de la R&D de CATIA et fort d’une expérience de plus de 20 ans au sein du groupe Dassault Systèmes, Philippe, qui a joué un rôle-clé dans le succès de CATIA, dispose d’une connaissance approfondie des industries servies par la plateforme 3DEXPERIENCE, ainsi que de l’architecture V6.

Dassault Systèmes annonce la V6-Release-2013 de sa plate-forme 3DEXPERIENCE : une ouverture accrue et des solutions spécifiques par industries, au retour sur investissement rapide. La V6-Release-2013 de la plate-forme 3DEXPERIENCE a été lancée en juin. Cette version offre des améliorations dans tous les portefeuilles applicatifs de ses marques PLM. La V6-Release-2013 offre donc de nouvelles fonctionnalités à de nombreuses industries telles que l’Aéronautique et Défense, le Transport et Mobilité, la Marine et Offshore, les Biens de Consommation et les Produits de Grande Consommation.

Dassault Systèmes soutient l’engagement de l’industrie à l’égard du « Codex of PLM Openness »,« crucial pour la collaboration et l’innovation ». En juin, Dassault Systèmes a annoncé son engagement pour une ouverture accrue, en droite ligne avec son soutien affirmé aux prochaines étapes du « Codex of PLM Openness », à l’initiative de constructeurs, équipementiers automobiles et de l’association ProSTEP iViP. En tant que défenseur de longue date de l’ouverture, Dassault Systèmes a conçu sa plateforme 3DEXPERIENCE pour tirer pleinement parti de plus de 20 ans de recherche et développement en matière de protocoles d’infrastructure et d’interopérabilité. L’infrastructure de services Web de l’architecture V6 est compatible avec de nombreuses normes d’interfaçage et d’échanges telles que STEP, IGES, FMI, AUTOSAR et JT. Développée depuis sa création selon ce concept d’ouverture, la plate-forme 3DEXPERIENCE est interopérable, tant avec les systèmes concurrents de gestion des données produits (PDM) et de conception assistée par ordinateur (CAO), que des milliers d’API largement disponibles.

Dassault Systèmes poursuit sa diversification tant en termes de réseaux de vente que de croissance, tout en préparant ses partenaires à adopter la 3DEXPERIENCE. Le forum 3DEXPERIENCE PARTNERS, accueillant 220 des principaux partenaires de son réseau de ventes indirect PLM (Value Solutions) s’est tenu à Paris du 10 au 12 juillet. Cet événement mondial présente les meilleures pratiques de ces dernières années en matière de gestion efficace des réseaux de vente et de relais de croissance, et illustre comment la plateforme 3DEXPERIENCE révolutionne la façon dont les partenaires de Dassault peuvent aider leurs clients.

Dassault Systèmes lancela solution d’expérience sectorielle “Smart, Safe & Connected Car”. Le 11 juin, Dassault Systèmes a lancé une nouvelle solution dédiée à l’expérience du consommateur pour l’industrie automobile, “Smart, Safe & Connected Car”- une solution qui permet d’accélérer le développement de systèmes embarqués en conformité avec les normes ISO 26262 et AUTOSAR.

SIMULIA présente à sa conférence annuelle les nouvelles fonctionnalités offertes par la plateforme 3DEXPERIENCE, notamment une nouvelle communauté d’apprentissage en ligne, des solutions de dernière génération pour la multiphysique, l’optimisation de la conception et la gestion du cycle de vie de la simulation (SLM). Des intervenants parmi les plus grands industriels et les plus grands établissements de recherche du monde dont 3M, Caterpillar, General Motors, Tetra Pak, Goodrich, Halliburton, Hyundai, Medtronic, et la NASA, entre autres. Plusieurs sessions sectorielles étaient axées sur la résolution des défis propres à l’ingénierie grâce à l’utilisation des solutions évolutives et robustes de SIMULIA pour son environnement unifié d’analyse par éléments finis mais aussi ses solutions multiphysiques d’optimisation de la conception et de gestion du cycle de vie de la simulation.

Perspectives

Thibault de Tersant, Directeur Général Adjoint, Affaires Financières, a déclaré :

« Dans l’ensemble, nous avons réalisé une très belle performance au second trimestre avec une croissance à deux chiffres du bénéfice net par action et du chiffre d’affaires logiciel qui était purement organique. De plus, nous avons poursuivi une dynamique de croissance des ventes de nouvelles licences de très bon niveau, même si cela paraît moins évident à première vue. En effet, au-delà de la croissance du chiffre d’affaires nouvelles licences, notre chiffre d’affaires de location de licences a progressé de plus de 20% sur le trimestre, à taux de change constants. Notre dynamique de vente provient de diverses industries, notamment l’Aéronautique, l’Energie, les Hautes Technologies, les Equipements Industriels, les Sciences de la Vie et le Transport & Mobilité.

Sur le plan des marques, SIMULIA a réalisé des résultats exceptionnels qui reflètent une forte demande pour son analyse par éléments finis mais aussi pour ses solutions multiphysiques et de gestion du cycle de vie de la simulation, tirant parti d’ENOVIA V6. D’un point de vue géographique, les résultats en Europe sont particulièrement satisfaisants avec une croissance du chiffre d’affaires logiciel de 19% à taux de change constants au second trimestre.

Nous relevons nos objectifs financiers de l’année, pour prendre en compte la surperformance réalisée au second trimestre, l’amélioration des perspectives au troisième trimestre par rapport à nos prévisions précédentes et l’évolution des taux de change. Notre périmètre s’élargit avec Gemcom, et nous prenons en compte la cession de Transcat PLM, notre activité de revente de logiciels PLM et de services en Allemagne. Enfin, nous maintenons inchangées nos estimations pour le quatrième trimestre, car nous considérons que la prudence dont nous avons fait preuve au début de 2012 reste appropriée. »

Les objectifs de la Société pour 2012, incluant Gemcom, sont les suivants :

• Pour le troisième trimestre 2012 : objectif de chiffre d’affaires non-IFRS d’environ 480 à 490 millions d’euros, en croissance de 8 à 10% hors effet de change, de marge opérationnelle non-IFRS d’environ 31% à 32% et de BNPA non-IFRS d’environ 0,78 à 0,82 euro ;
• Pour l’année 2012 : objectif de croissance du chiffre d’affaires non-IFRS 2012 d’environ 8% à 9% à taux de change constants (soit 1,99 à 2,01 milliards d’euros sur la base des hypothèses de taux de change 2012 présentées ci-dessous) ;
• Objectif de marge opérationnelle non-IFRS 2012 d’environ 31% ;
• Objectif de BNPA non-IFRS 2012 compris dans une fourchette de 3,20 euros à 3,30 euros, correspondant à une croissance d’environ 10% à 13% ;
• Les objectifs sont fondés sur des hypothèses de taux de change de 1,30 dollar US pour 1,00 euro et de 110 JPY pour 1,00 euro pour le troisième trimestre, et de 1,30 dollar US pour 1,00 euro et de 107 JPY pour 1,00 euro pour l’année 2012.

Les objectifs de la Société sont uniquement établis et communiqués sur une base non-IFRS et font l’objet des précautions détaillées ci-après.

Les objectifs non-IFRS décrits ci-dessus ne prennent pas en compte les éléments comptables suivants et sont estimés sur la base des taux de change 2012 indiqués précédemment : les charges relatives à l’attribution d’actions gratuites et de stock-options sont estimées à environ 20 millions d’euros et l’amortissement des dépenses liées à l’acquisition d’actifs incorporels à environ 85 millions d’euros. Les objectifs ci-dessus ne prennent pas en compte l’impact des autres produits et charges opérationnels, nets, liés aux acquisitions, intégration et restructuration, qui constituent un gain de 4,1 millions d’euros enregistrés au 1er semestre 2012. Les ajustements ci-dessus ne prennent pas en compte l’impact non-IFRS de l’acquisition de Gemcom, qui sera finalisée dans les comptes du troisième trimestre. Ces estimations n’incluent pas d’éventuelles nouvelles attributions de stock-options ou d’actions, ni de nouvelles acquisitions ou restructurations survenant après le 26 juillet 2012.

Réunion retransmise en webcast et conférence téléphonique

Dassault Systèmes organise une réunion à Londres retransmise en webcast puis une conférence téléphonique aujourd’hui, jeudi 26 juillet 2012. Le management tiendra une réunion retransmise en webcast à 9h30 heure de Londres / 10h30 heure de Paris et une conférence téléphonique à 09h00 heure de New York / 14h00 heure de Londres / 15h00 heure de Paris. Cette réunion retransmise en webcast et cette conférence sont accessibles par Internet sur le site . Veuillez vous rendre sur le site au moins 15 minutes avant le début de la réunion retransmise en webcast ou de la conférence pour vous enregistrer, télécharger et installer tout logiciel audio nécessaire. Les enregistrements de la réunion retransmise en webcast et de la conférence seront disponibles pendant 30 jours.

Les informations complémentaires destinées aux investisseurs sont accessibles sur le site http://www.3ds.com/company/finance/ ou en téléphonant au service Relations Investisseurs de Dassault Systèmes au +33 (0) 1.61.62.69.24.

Calendrier Relations Investisseurs 2012

Résultats du troisième trimestre, 25 octobre 2012

Avertissement concernant les déclarations relatives aux perspectives d’avenir de la Société

Ce document présente des informations qui ne sont pas de nature historique mais expriment des attentes ou des objectifs pour le futur, notamment, de façon non limitative, les déclarations concernant les objectifs non-IFRS de performance financière de la Société. Ce sont des informations relatives aux perspectives d’avenir de la Société.

Ces perspectives d’avenir sont fondées sur les avis et hypothèses actuellement retenus par la Direction de la Société et prennent en compte un certain nombre d’incertitudes et de risques connus et non connus. En conséquence, les résultats ou les performances qui seront réalisés sont susceptibles d’être substantiellement différents des résultats et des performances anticipés, du fait de plusieurs facteurs. Si l’environnement économique et des conditions de marché restent volatiles ou se dégradent, les résultats de la Société pourraient ne pas être conformes aux objectifs actuels et rester en dessous de leurs niveaux antérieurs pour une plus longue période. De plus, de par la présence de facteurs impactant les ventes des produits et services de la Société, le délai entre un changement de l’environnement économique et des conditions de marché et celle des résultats de la Société pourrait être important.

Pour fixer ces perspectives, la Société a pris l’hypothèse de taux de change moyens de 1,30 dollar U.S. pour 1,00 euro et de 110 JPY pour 1,00 euro pour le troisième trimestre 2012, et des taux de change moyens de 1,30 dollar U.S. pour 1,00 euro et de 107 JPY pour 1,00 euro pour l’année 2012. Cependant, les cours des devises varient et peuvent affecter significativement les résultats de la Société. Les résultats et performance de la Société peuvent également être affectés par les évolutions de la conjoncture, les difficultés ou changements défavorables affectant ses partenaires ou les rapports avec ses partenaires ; les variations de taux de change ; le développement de nouveaux produits et les évolutions technologiques ; les erreurs ou défauts des produits de la Société ; la croissance des parts de marché des concurrents de la Société ; et l’occurrence de tout risque lié à l’intégration de toute société nouvellement acquise, en particulier ceux liés à l’intégration de Gemcom Software International, ou à toute réorganisation interne. Des évolutions défavorables de ces facteurs ainsi que d’autres événements tels que décrits dans l’information réglementaire de la Société, notamment le Rapport annuel 2011 - Document de référence déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 29 mars 2012, pourraient sensiblement affecter la situation financière de la Société ou ses résultats.

Information financière complémentaire non-IFRS

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Rapport annuel de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2011, inclus dans le Document de référence 2011 déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 29 mars 2012.

Les tableaux accompagnant ce communiqué détaillent en non-IFRS, le chiffre d’affaires, le résultat opérationnel, la marge opérationnelle, le résultat net et le résultat net dilué par action, qui excluent, le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options, les amortissements des actifs incorporels acquis, les autres produits et charges, nets, certains gains financiers non-récurrents, ainsi que l’effet d’impôts des ajustements non-IFRS. Les tableaux présentent aussi les données financières les plus comparables en normes IFRS et une réconciliation des données non-IFRS.

Information financière complémentaire à taux de change constants

Lorsque la Direction de la Société considère que cela peut être utile à la compréhension des tendances de l’activité, la Société met à disposition des pourcentages de variation de son chiffre d’affaires (en normes IFRS aussi bien qu’en non-IFRS) pour éliminer l’impact de la variation des taux de change, en particulier l’euro / U.S. Dollar et l’euro / JPY. Dans le cas où l’information est susnommée « à taux de change constants », les données de la période « précédente » ont été recalculées sur la base des taux de change moyens de la même période de l’année actuelle, puis comparées aux données de la même période de l’année en cours.

A propos de Dassault Systèmes

Dassault Systèmes, « The 3DEXPERIENCE Company », offre aux entreprises et aux particuliers les univers virtuels nécessaires à la conception d’innovations durables. Ses solutions leaders sur le marché transforment pour ses clients, la conception, la fabrication et la maintenance de leurs produits. Les solutions collaboratives de Dassault Systèmes permettent de promouvoir l’innovation sociale et offrent de nouvelles possibilités d’améliorer le monde réel grâce aux univers virtuels. Avec des ventes dans 80 pays, le Groupe apporte de la valeur à plus de 150 000 entreprises de toutes tailles dans toutes les industries. Pour plus d’informations : www.3ds.com.

CATIA, SOLIDWORKS, ENOVIA, SIMULIA, DELMIA, 3DVIA, 3DSwYm, EXALEAD et Netvibes sont des marques déposées de Dassault Systèmes ou de ses filiales aux USA et/ou dans d'autres pays.

(Tableaux ci-après)

TABLE DES MATIERES

Chiffres clés non-IFRS

Compte de résultat consolidé

Bilan consolidé

Tableau de flux de trésorerie consolidés

Réconciliation IFRS - non-IFRS

DASSAULT SYSTEMES
CHIFFRES CLES non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action, effectif de clôture et taux de change)

Les chiffres clés non-IFRS excluent les amortissements des actifs incorporels acquis, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options, le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, les autres produits et charges opérationnels, nets, certains éléments financiers non-récurrents ainsi que l’impact fiscal sur ces retraitements non-IFRS.

Les données en normes IFRS et la réconciliation des données en normes IFRS et non-IFRS sont présentées dans les tableaux présentés séparément.

DASSAULT SYSTEMES
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2011 du Groupe déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 29 mars 2012. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

(1) Dans le tableau de rapprochement ci-dessus, (i) tous les retraitements des données de chiffre d’affaires IFRS correspondent à l’exclusion du traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, (ii) tous les retraitements des données de charges opérationnelles IFRS correspondent à l’exclusion de l’amortissement des incorporels acquis, des coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock options et des autres produits et charges opérationnels, nets, (iii) tous les retraitements des données de produits financiers et autres, net IFRS correspondent à l’exclusion de certains éléments financiers non récurrents, (iv) tous les retraitements des données de résultat net IFRS correspondent à l’impact combiné de ces différents ajustements, plus, en ce qui concerne le résultat net et le résultat net par action, l’impact fiscal des retraitements. Ci-dessus.

(2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 125,9 millions d’actions diluées pour le T2 2012 et de 124,2 millions d’actions diluées pour le T1 2011.

DASSAULT SYSTEMES
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2011 du Groupe déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 29 mars 2012. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

(1) Dans le tableau de rapprochement ci-dessus, (i) tous les retraitements des données de chiffre d’affaires IFRS correspondent à l’exclusion du traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, (ii) tous les retraitements des données de charges opérationnelles IFRS correspondent à l’exclusion de l’amortissement des incorporels acquis, des coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock options et des autres produits et charges opérationnels, nets, (iii) tous les retraitements des données de produits financiers et autres, net IFRS correspondent à l’exclusion de certains éléments financiers non récurrents, (iv) tous les retraitements des données de résultat net IFRS correspondent à l’impact combiné de ces différents ajustements, plus, en ce qui concerne le résultat net et le résultat net par action, l’impact fiscal des retraitements. Ci-dessus.

(2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 125,5 millions d’actions diluées pour le S1 2012 et de 124,0 millions d’actions diluées pour le S1 2011.