Dassault Systèmes annonce un chiffre d’affaires et des résultats 2011 record L’adoption du PLM entraîne une croissance de 20% des ventes de licences à taux de change constants

Regulatory News:

Dassault Systèmes (Paris:DSY) publie ses résultats financiers non-audités en normes IFRS pour le quatrième trimestre et l’exercice clos le 31 décembre 2011. Ces résultats ont été revus par le Conseil d’administration de la Société le 8 février 2012.

Résultats financiers
(données non auditées)

• Chiffre d’affaires et bénéfice du quatrième trimestre supérieurs aux objectifs
• Croissance à deux chiffres des ventes de nouvelles licences, du chiffre d’affaires logiciel récurrent et des services en 2011 à taux de change constants
• Progression du BNPA 2011 de 28% à 2,33 euros en IFRS, et de 17% à 2,92 euros en non-IFRS
• Objectif de marge opérationnelle de 30% en non-IFRS atteint en avance sur le calendrier annoncé
• Forte croissance des ventes dans les secteurs Automobile et Aéronautique, portée par CATIA, ENOVIA, SIMULIA & DELMIA
• 1 000 clients ont adopté la V6 comme système de gestion 3D PLM
• 18 000 nouveaux clients ont choisi la 3D en 2011

Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes, a déclaré :

« 2011 aura été une magnifique année pour Dassault Systèmes – avec des ventes, des résultats et des flux de trésorerie records, et se terminant remarquablement, avec pour la première fois, le franchissement du seuil de cinq cent millions d’euros de chiffre d’affaires trimestriel. Grâce à l’adoption du PLM, les nouvelles licences, l’ensemble de nos marques et les zones géographiques ont connu une croissance à deux chiffres en 2011. Cette performance est d’autant plus significative que la base de comparaison de 2010 était élevée. Mais au delà de nos très bons résultats financiers, 2011 a été une année gratifiante car elle a très clairement mis en évidence la réussite de nos clients, qui font progresser l’innovation, en se posant les bonnes questions et en remettant en cause les idées reçues.

Notre plateforme V6 a accompagné l’évolution de nos clients au cours des dernières années. En y ajoutant de nouvelles technologies de recherche et de mise en valeur de l’information, des capacités d’innovation sociale et d’expériences virtuelles réalistes, nous sommes devenus les pionniers d’une nouvelle vague technologique : la plateforme dédiée à l’Expérience 3D au service de « l’Entreprise Sociale » du 21^ème siècle. Nous allons offrir aux entreprises et aux particuliers des expériences 3D holistiques, afin de changer la façon selon laquelle ils imaginent les innovations durables, seules capables d’harmoniser les produits, la nature et la vie. »

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires du quatrième trimestre est en hausse de 10% en normes IFRS et de 9% en non-IFRS, reflétant la croissance du chiffre d’affaires logiciel et celle des services. Le chiffre d’affaires logiciel est en hausse de 9% en normes IFRS et de 8% en non-IFRS. Le chiffre d’affaires services progresse de 11% ce trimestre pour atteindre son plus haut niveau dans l’année, grâce à l’augmentation des signatures de contrats pour la plateforme V6.

• L’Europe a été la région connaissant la plus forte croissance du chiffre d’affaires, notamment grâce à la signature de plusieurs contrats multimarques, à un secteur automobile particulièrement dynamique et à de bonnes performances commerciales en Allemagne et en France.
• A taux de change constants, en normes IFRS et non-IFRS, les ventes de nouvelles licences sont en hausse de 13%.
• Le chiffre d’affaires logiciel récurrent est en hausse de 8% en normes IFRS et de 6% en non-IFRS à taux de change constants. Cette progression s’explique essentiellement par la croissance de la maintenance, qui intègre un niveau élevé de nouvelles licences, un très bon taux de renouvellement des contrats et une forte activité de location de licences.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires PLM a progressé de 10% en normes IFRS et de 8% en non-IFRS, avec un chiffre d’affaires logiciel CATIA en hausse de 7% par rapport au quatrième trimestre 2010. ENOVIA bénéficie d’un intérêt marqué pour la plateforme V6. Son chiffre d’affaires progresse de 3%, mais cette performance est atténuée par l’importance du chiffre d’affaires différé, lié aux projets de développement de logiciels dans les nouvelles industries. Les autres solutions PLM sont quant à elles en hausse de 14%, grâce principalement à SIMULIA.
• Le chiffre d’affaires de SolidWorks (conception mécanique 3D), progresse de 9% à taux de change constants et s’élève à 91,1 millions d’euros, pour un nombre de nouvelles licences atteignant 12 136 unités.
• Le résultat opérationnel IFRS a augmenté de 8,8%, pour atteindre 135,7 millions d’euros, et la marge opérationnelle s’est élevée à 26,5% contre 27% au quatrième trimestre 2010. En non-IFRS, la croissance du résultat opérationnel a été de 5,9%, à 167,9 millions d’euros et la marge opérationnelle s’est établie à 32,8% contre 33,9% au cours de la même période de l’année précédente.
• Le BNPA en normes IFRS a augmenté de 6% à 0,68 euro et de 5% à 0,87 euro en non-IFRS.

Résultats financiers de l’année 2011
(données non auditées)

Suite à leur acquisition par Dassault Systèmes, les opérations d’IBM PLM ont été intégrées à l’activité PLM depuis le 1^eravril 2010. Comme cela a été précédemment indiqué, la part d’IBM PLM dans le chiffre d’affaires logiciel de Dassault Systèmes est estimée à environ 50 millions d’euros au premier trimestre 2010.

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires est en hausse de 16% en normes IFRS et de 14% en non-IFRS, reflétant principalement la croissance du chiffre d’affaires logiciel de 16% et 15% respectivement, ainsi que celle du chiffre d’affaires services de 10%.
• A taux de change constants, l’ensemble des zones géographiques bénéficie d’une croissance à deux chiffres en 2011. L’Europe montre une très bonne dynamique dans ses principaux marchés, comme l’Allemagne, et dans de nombreuses industries telles que l’automobile. L’Amérique bénéficie de la bonne santé du PLM dans les nouvelles industries comme l’énergie. L’Asie bénéficie, quant à elle, du dynamisme des pays à forte croissance et des très solides performances du marché chinois notamment.
• A taux de change constants, en normes IFRS et non-IFRS, les ventes de nouvelles licences sont en hausse de 20%, reflétant une forte demande au sein des trois réseaux de vente de la Société, tant de la part des grands comptes que du marché des PMI. La Société a notamment bénéficié d’une croissance importante de ses secteurs clés, et plus particulièrement l’automobile et l’aéronautique, pour lesquels la Société enregistre une croissance de plus de 20% des ventes de nouvelles licences aux utilisateurs finaux.
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel récurrent est en hausse de 15% en normes IFRS et de 13% en non-IFRS, grâce au développement de la maintenance liée aux nouvelles licences, aux taux de renouvellement élevés, à l’acquisition d’IBM PLM et à la progression des activités de location de licences. Le chiffre d’affaires logiciel récurrent représente 71% du chiffre d’affaires logiciel total en 2011.
• En normes IFRS, le chiffre d’affaires logiciel PLM a progressé de 17% à taux de change constants. En non-IFRS, il a augmenté de 16% pour CATIA, de 14% pour ENOVIA et de 18% pour les autres solutions PLM, essentiellement SIMULIA et DELMIA.
• Le chiffre d’affaires logiciel de SolidWorks a augmenté de 12% à taux de change constants, bénéficiant notamment des fortes ventes de ses solutions logicielles pour la conception, la gestion des données produits et la simulation. En hausse de 14%, le nombre de nouvelles licences SolidWorks s’élève à 47 905 unités en 2011. Le nombre total de licences SolidWorks vendues, tant pour les entreprises que dans le monde de l’éducation, a dépassé 1,7 million en 2011.
• Le résultat opérationnel en normes IFRS progresse de 32,9% à 427,9 millions d’euros, et la marge opérationnelle s’établit à 24,0%, contre 20,6% en 2010. En non-IFRS, le résultat opérationnel est en hausse de 20,1% à 542,6 millions d’euros, la marge opérationnelle s’appréciant de 180 points de base pour atteindre 30,4%.
• Le BNPA en normes IFRS est en hausse de 28,0% à 2,33 euros et de 16,8% à 2,92 euros en non-IFRS, en raison de la forte hausse du résultat opérationnel.

Flux de trésorerie et autres chiffres clés

Les flux de trésorerie opérationnels s’établissent à 450,9 millions d’euros en 2011, en hausse par rapport aux 408,3 millions d’euros enregistrés en 2010.

En 2011 la Société a reçu 233,4 millions d’euros provenant de l’exercice de stock options et a procédé à des rachats d’actions pour un montant de 226,7 millions d’euros. L’objectif était de compenser la dilution provoquée par l’exercice d’options d’achat d’actions, avec l’expiration en 2011 de plusieurs programmes majeurs de stock options dont la durée était de 10 ans. Au cours de l’année, la société a également versé pour 65,8 millions d’euros de dividendes, acquis des immobilisations corporelles et incorporelles pour 71,4 millions d’euros et réalisé des acquisitions pour un montant de 39,7 millions d’euros (nettes de la trésorerie acquise).

La trésorerie nette de la Société, constituée de la trésorerie et des placements à court terme, moins la dette à long terme et moins la dette de 200 millions d’euros passée en court terme au 31 décembre 2011, est de 1,15 milliard d’euros au 31 décembre 2011, comparée à 845,7 millions d’euros au 31 décembre 2010. La trésorerie et les placements à court terme totalisent 1,42 milliard d’euros au 31 décembre 2011, pour une dette à court et à long terme de respectivement 228,9 millions d’euros et 72,4 millions d’euros ; ils se comparent au 31 décembre 2010 respectivement à 1,14 milliard d’euros, 26,7 millions d’euros et 293,4 millions d’euros.

Faits marquants

Dassault Systèmes lance une solution unique permettant de modéliser en 3D des croquis. CATIA Natural Sketch constitue une avancée notable dans le croquis informatique grâce à son outil de création 3D aussi intuitif que l'esquisse sur papier. CATIA Natural Sketch permet de réaliser des croquis de produits sans être confrontés aux obstacles de leur modélisation 3D.

Lefabricant de dispositifs médicaux Lumenis a choisi d’unifier son ingénierie et ses processus grâce à la plateforme ENOVIA V6 de Dassault Systèmes. Lumenis, le plus grand fabricant de lasers médicaux au monde, a opté pour ENOVIA V6 afin d’avoir la parfaite maîtrise de ses informations d’ingénierie et de ses processus. Grâce à sa solution Life Science Accelerators, ENOVIA permettra de répondre aux besoins esthétiques, ophtalmologiques et chirurgicaux de l’ensemble du Groupe Lumenis.

Les Laboratoires Pierre Fabre adoptent la plate-forme V6 de Dassault Systèmes. Les Laboratoires Pierre Fabre ont choisi la solution ENOVIA V6 Life Sciences Solutions afin de réduire les délais de mise sur le marché et de renforcer la traçabilité de leurs produits.

Le groupe japonais Nikon adopte la V6 de Dassault Systèmes pour promouvoir la créativité de ses designers. Le département de design industriel de Nikon a choisi la V6 comme plateforme collaborative pour la conception de ses produits. L’objectif du Groupe est de faire de CATIA V6 pour ses designers le support de création et le vecteur d’amélioration continue de la qualité du processus de conception grâce à une plus grande précision du design. La plateforme collaborative ENOVIA V6 sera également utilisée pour rationaliser le partage des données produits et promouvoir une gestion plus efficace de celles-ci dans un contexte de sécurité renforcée.

Le groupe américain Fisker Automotive remporte des succès dans les véhicules électriques grâce aux solutions PLM de Dassault Systèmes. Fisker Automotive imagine et conçoit la première gamme au monde de véhicules hybrides rechargeables haut de gamme, correspondant à une conviction profonde selon laquelle les voitures écologiques peuvent être belles, élégantes et performantes. Fisker Automotive s’est appuyé sur la solution CATIA pour la conception virtuelle et ENOVIA pour la gestion des données produits, dans le cadre du développement des modèles Karma et Surf. Fisker a également recours aux solutions 3DVIA et SIMULIA pour le processus de développement de ses produits.

Capgemini devient intégrateur des solutions PLM de Dassault Systèmes. Capgemini, un des leaders mondiaux du conseil, des services informatiques et de l’infogérance, et Dassault Systèmes ont signé une alliance portant sur l'intégration des solutions PLM V6 de Dassault Systèmes.

Perspectives

Thibault de Tersant, Directeur Général Adjoint, Affaires Financières, a déclaré :

« Nous avons connu une excellente fin d’année 2011, grâce à la performance de CATIA et un niveau d’activité élevé de nos clients en Allemagne et en France, ainsi qu’en Chine.

Nos ventes de nouvelles licences progressent de 20% sur l’année, à taux de change constants. Elles bénéficient, sur nos principaux marchés, de l’excellente dynamique de nos solutions dans l’automobile et l’aéronautique, ainsi que pour les nouvelles industries que nous ciblons, dans l’énergie, la construction et les services. Nous avons largement bénéficié de l’adoption du PLM en tant que logiciel d’entreprise, grâce à l’utilisation accrue qu’en font nos clients pour innover et gérer leur portefeuille de produits. Notre objectif de marge opérationnelle de 30% a été atteint en avance sur notre calendrier, et nous avons pu réaliser une croissance du bénéfice net par action non-IFRS de 17%.

Nous abordons 2012 en observant un intérêt soutenu de nos clients pour nos produits et les indicateurs de marché que nous suivons viennent confirmer cette tendance favorable. Cependant, nous considérons qu’il faut envisager l’éventualité d’une dégradation de l’environnement économique mondial et d’un resserrement des marchés du crédit. C’est pourquoi nous avons pris en compte ces facteurs de risque dans nos prévisions et objectifs initiaux de chiffre d’affaires. Nous visons une marge opérationnelle stable par rapport à 2011, et poursuivrons donc nos efforts d’optimisation de notre rentabilité organique afin de continuer à investir et de compenser une dilution potentielle liée à nos futures acquisitions. Globalement, nous anticipons une année de croissance, et ce malgré notre hypothèse de conditions économiques moins favorables. »

Les objectifs de la Société pour 2012 sont les suivants :

• Pour le premier trimestre 2012 : objectif initial de chiffre d’affaires non-IFRS d’environ 425 à 435 millions d’euros, de marge opérationnelle non-IFRS d’environ 28% et de BNPA non-IFRS d’environ 0,63 à 0,68 euro ;
• Objectif initial de croissance du chiffre d’affaires non-IFRS 2012 de 5% à 7% à taux de change constants (soit 1,86 à 1,89 milliard d’euros sur la base des hypothèses de taux de change 2012 présentées ci-dessous) ;
• Objectif de marge opérationnelle non-IFRS 2012 d’environ 30% ;
• Objectif initial de BNPA non-IFRS 2012 compris dans une fourchette de 3,00 euros à 3,10 euros, équivalent à une croissance d’environ 3% à 6% ;
• Les objectifs sont fondés sur des hypothèses de taux de change pour le premier trimestre et l’année 2012 de 1,40 dollar US pour 1,00 euro et de 115 JPY pour 1,00 euro.

Les objectifs de la Société sont uniquement établis et communiqués sur une base non-IFRS et font l’objet des précautions détaillées ci-après.

Les objectifs non-IFRS décrits ci-dessus ne prennent pas en compte les éléments comptables suivants et sont estimés sur la base des taux de change 2012 indiqués précédemment : les charges relatives à l’attribution d’actions gratuites et de stock-options sont estimées à environ 20 millions d’euros pour 2012 et l’amortissement des dépenses liées à l’acquisition d’actifs incorporels à environ 80 millions d’euros pour 2012. Les objectifs ci-dessus ne prennent pas en compte l’impact des autres produits et charges opérationnels, nets, notamment liés aux dépenses d’acquisition, d’intégration, et de restructuration. Ces estimations n’incluent pas d’éventuelles nouvelles attributions de stock-options ou d’actions, ni de nouvelles acquisitions ou restructurations survenant après le 9 février 2012.

Réunion retransmise en webcast et conférence téléphonique

Dassault Systèmes organise une réunion à Paris retransmise en webcast puis une conférence téléphonique aujourd’hui, jeudi 9 février 2012. Le management tiendra une réunion retransmise en webcast à 10h00 heure de Londres / 11h00 heure de Paris et une conférence téléphonique à 09h00 heure de New York / 14h00 heure de Londres / 15h00 heure de Paris. Cette réunion retransmise en webcast et cette conférence sont accessibles par Internet sur le site . Veuillez vous rendre sur le site au moins 15 minutes avant le début de la réunion retransmise en webcast ou de la conférence pour vous enregistrer, télécharger et installer tout logiciel audio nécessaire. Les enregistrements de la réunion retransmise en webcast et de la conférence seront disponibles pendant 30 jours.

Les informations complémentaires destinées aux investisseurs sont accessibles sur le site http://www.3ds.com/company/finance/ ou en téléphonant au service Relations Investisseurs de Dassault Systèmes au +33 (0) 1.61.62.69.24.

Calendrier Relations Investisseurs 2012

Résultats du premier trimestre, 26 avril 2012
Résultats du second trimestre, 26 juillet 2012
Résultats du troisième trimestre, 25 octobre 2012

Avertissement concernant les déclarations relatives aux perspectives d’avenir de la Société

Ce document présente des informations qui ne sont pas de nature historique mais expriment des attentes ou des objectifs pour le futur, notamment, de façon non limitative, les déclarations concernant les objectifs non-IFRS de performance financière de la Société. Ce sont des informations relatives aux perspectives d’avenir de la Société.

Ces perspectives d’avenir sont fondées sur les avis et hypothèses actuellement retenus par la Direction de la Société et prennent en compte un certain nombre d’incertitudes et de risques connus et non connus. En conséquence, les résultats ou les performances qui seront réalisés sont susceptibles d’être substantiellement différents des résultats et des performances anticipés, du fait de plusieurs facteurs. Si l’environnement économique et des conditions de marché restent volatiles ou se dégradent, les résultats de la Société pourraient ne pas être conformes aux objectifs actuels et rester en dessous de leurs niveaux antérieurs pour une plus longue période. De plus, de par la présence de facteurs impactant les ventes des produits et services de la Société, le délai entre un changement de l’environnement économique et des conditions de marché et celle des résultats de la Société pourrait être important.

Pour fixer ces perspectives, la Société a pris l’hypothèse de taux de change moyens de 1,40 dollar U.S. pour 1,00 euro et de 115 JPY pour 1,00 euro pour l’année 2012. Cependant, les cours des devises varient et peuvent affecter significativement les résultats de la Société. Les résultats et performance de la Société peuvent également être affectés par les évolutions de la conjoncture, les difficultés ou changements défavorables affectant ses partenaires ou les rapports avec ses partenaires ; les variations de taux de change ; le développement de nouveaux produits et les évolutions technologiques ; les erreurs ou défauts des produits de la Société ; la croissance des parts de marché des concurrents de la Société ; et l’occurrence de tout risque lié à l’intégration de toute société nouvellement acquise ou à toute réorganisation interne. Des évolutions défavorables de ces facteurs ainsi que d’autres événements tels que décrits dans l’information réglementaire de la Société, notamment le Document de référence 2010 et le Rapport financier semestriel 2011 déposés auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril et le 29 juillet 2011 respectivement, pourraient sensiblement affecter la situation financière de la Société ou ses résultats.

Information financière complémentaire non-IFRS

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Rapport annuel de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2010, inclus dans le Document de référence 2010 et le Rapport financier semestriel 2011 déposés auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril et le 29 juillet 2011 respectivement.

Les tableaux accompagnant ce communiqué détaillent en non-IFRS, le chiffre d’affaires, le résultat opérationnel, la marge opérationnelle, le résultat net et le résultat net dilué par action, qui excluent, le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options, les amortissements des actifs incorporels acquis, les autres produits et charges, nets, certains gains financiers non-récurrents, ainsi que l’effet d’impôts des ajustements non-IFRS et certains effets fiscaux exceptionnels en 2010. Les tableaux présentent aussi les données financières les plus comparables en normes IFRS et une réconciliation des données non-IFRS.

Information financière complémentaire à taux de change constants

Lorsque la Direction de la Société considère que cela peut être utile à la compréhension des tendances de l’activité, la Société met à disposition des pourcentages de variation de son chiffre d’affaires (en normes IFRS aussi bien qu’en non-IFRS) pour éliminer l’impact de la variation des taux de change, en particulier l’euro / U.S. Dollar et l’euro / JPY. Dans le cas où l’information est susnommée « à taux de change constants », les données de la période « actuelle » ont été recalculées sur la base des taux de change moyens de la même période de l’année précédente, puis comparées aux données de la même période de l’année précédente.

A propos de Dassault Systèmes

Dassault Systèmes, « The 3D Experience Company », offre aux entreprises et aux particuliers les univers virtuels nécessaires à la conception d’innovations durables. Ses solutions leaders sur le marché transforment pour nos clients, la conception, la fabrication et la maintenance de leurs produits. Les solutions collaboratives de Dassault Systèmes permettent de promouvoir l’innovation sociale et offrent de nouvelles possibilités d’améliorer le monde réel grâce aux univers virtuels. Avec des ventes dans 80 pays, le Groupe apporte de la valeur à plus de 150 000 entreprises de toutes tailles dans tous les secteurs. Pour plus d’informations : www.3ds.com.

CATIA, SolidWORKS, ENOVIA, SIMULIA, DELMIA, 3DVIA, 3DSwYm, EXALEAD et NetVibes sont des marques déposées de Dassault Systèmes ou de ses filiales aux USA et/ou dans d'autres pays.

(Tableaux ci-après)

TABLE DES MATIERES

Chiffres clés non-IFRS

Compte de résultat consolidé

Bilan consolidé

Tableau de flux de trésorerie consolidés

Réconciliation IFRS - non-IFRS

DASSAULT SYSTEMES

CHIFFRES CLES non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action, effectif de clôture et taux de change)

Les chiffres clés non-IFRS excluent les amortissements des actifs incorporels acquis, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options, le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, les autres produits et charges opérationnels, nets, certains éléments financiers non-récurrents ainsi que l’impact fiscal sur ces retraitements non-IFRS en 2010.

Les données en normes IFRS et la réconciliation des données en normes IFRS et non-IFRS sont présentées dans les tableaux présentés séparément.

DASSAULT SYSTEMES
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2010 du Groupe déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2011 et le Rapport financier semestriel 2011 déposé le 29 juillet 2011. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 124,0 millions d’actions diluées pour le T4 2011 et de 123,0 millions d’actions diluées pour le T4 2010.

DASSAULT SYSTEMES
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2010 du Groupe déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2011 et le Rapport financier semestriel 2011 déposé le 29 juillet 2011. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 124,0 millions d’actions diluées en 2011 et de 121,2 millions d’actions diluées en 2010.