Dassault Systèmes annonce une progression de 36% des ventes de licences au 2ème trimestre à taux de change constants

Regulatory News:

Dassault Systèmes (Paris:DSY) (Euronext Paris: #13065, DSY.PA) publie ses résultats financiers non-audités en normes IFRS pour le second trimestre et le premier semestre clos le 30 juin 2011. Ces résultats ont été revus par le Conseil d’administration de la Société le 27 juillet 2011.

Résultats financiers du second trimestre
(données non auditées)

• Chiffre d’affaires logiciel en hausse de 18% en normes IFRS et de 16% en non-IFRS, à taux de change constants
• Flux de trésorerie opérationnels de 148 millions d’euros
• Nombreux déploiements de la Version 6 et signature de contrats notamment avec Jaguar Land-Rover, Cessna, Alstom Transport et le groupe Benetton
• Lancement de la première offre de Dassault Systèmes dans le domaine du « Cloud »
• Dassault Systèmes relève ses objectifs 2011 compte tenu des bons résultats du 2ème trimestre

Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes a déclaré :

« Dassault Systèmes a réalisé un excellent second trimestre. Les ventes de nouvelles licences ont augmenté de 36%, avec en particulier une progression de 49% des licences ENOVIA, grâce à une bonne dynamique dans les pays à forte croissance. CATIA a réalisé un trimestre remarquable avec un chiffre d’affaires logiciel en hausse de 13% à taux de change constants, marqué par des déploiements de la Version 6, une bonne dynamique des marchés de l’aéronautique et de l’automobile et une solide performance sur le marché des PMI.

Le mois de juin a été très actif, avec le lancement de nouveaux produits, dont notre Version 6 Release 2012, et l’introduction des premiers services « Cloud » procurant à un coût abordable une utilisation flexible du PLM quelle que soit la taille des organisations et des projets. Grâce à son architecture ouverte, la Version 6 Release 2012 permet à nos clients d’atteindre un niveau d’interopérabilité sûr et efficace entre leurs différents systèmes d’information. Exalead, acquis il y a un an, renforce cette interopérabilité par sa capacité à localiser, intégrer et analyser des données où qu’elles soient, d’une façon simple, rapide et rentable, grâce à ses puissantes capacités de recherche. »

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires du second trimestre est en hausse de 17% en normes IFRS et de 15% en non-IFRS, reflétant principalement la forte augmentation du chiffre d’affaires logiciel et dans une moindre mesure celle des services. Par zone géographique, la croissance en Asie a été la plus dynamique, suivie de l’Amérique et de l’Europe.
• En normes IFRS et non-IFRS, le chiffre d’affaires logiciel est en hausse, respectivement, de 18% et de 16%, grâce à la croissance de 36% des ventes de nouvelles licences. ENOVIA, en augmentation de 49%, représente la plus importante progression. (A taux de change constants).
• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel récurrent est en hausse de 12% en IFRS et de 9% en non-IFRS. Cette progression s’explique par le niveau élevé des renouvellements de contrats de maintenance, la croissance des nouvelles licences et une bonne dynamique des activités de location de licences.
• En normes IFRS, le chiffre d’affaires logiciel PLM a progressé de 20% à taux de change constants. En non-IFRS, il a augmenté de 17%, avec un chiffre d’affaires logiciel en hausse de 13% pour CATIA, de 22% pour ENOVIA et de 22% pour les autres solutions PLM qui incluent SIMULIA, DELMIA, Exalead et 3DVIA. La croissance du chiffre d’affaires logiciel PLM a bénéficié de la forte hausse des ventes de nouvelles licences, de contrats de taille plus importante et d’une forte activité du réseau de ventes indirect PLM (Value Solutions).
• Grâce à la solide performance des ventes de nouvelles licences et la croissance du chiffre d’affaires récurrent, le chiffre d’affaires IFRS et non-IFRS de conception mécanique 3D a augmenté de 11% à taux de change constants. Le nombre de nouvelles licences SolidWorks s’élève au second trimestre à 11 893 unités, en hausse de 22%.
• L’efficacité opérationnelle a contribué à la progression du résultat, malgré le fort impact des variations de changes. Le BNPA en normes IFRS a progressé de 30% à 0,52 euro. Le BNPA non-IFRS a progressé de 10% à 0,64 euro, ce qui correspond à 16% à taux de change constants. La marge opérationnelle IFRS au second trimestre 2011 s’établit à 21,7%, et à 28,0% en non-IFRS.

Résultats financiers du premier semestre 2011

Suite à leur acquisition par Dassault Systèmes, les opérations d’IBM PLM ont été intégrées à l’activité PLM depuis le 1er avril 2010. Comme cela a été précédemment indiqué, la part d’IBM PLM dans le chiffre d’affaires logiciel de Dassault Systèmes est estimée à environ 50 millions d’euros au premier trimestre 2010.

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires du premier semestre est en hausse de 22% en normes IFRS et de 21% en non-IFRS, reflétant essentiellement la croissance du chiffre d’affaires logiciel de 23% et 22% respectivement et celle du chiffre d’affaires services de 10%. Par zone géographique, l’Asie représente la région la plus dynamique, suivie de l’Amérique et de l’Europe.
• Les ventes de nouvelles licences ont augmenté de 32% à taux de change constants, le Groupe ayant bénéficié d’une croissance importante de son activité au cours du premier semestre 2011.

• A taux de change constants, le chiffre d’affaires logiciel récurrent a poursuivi sa progression. Il est ainsi en hausse de 20% en normes IFRS et de 19% en non-IFRS pour le premier semestre 2011, grâce à des taux élevés de renouvellement des contrats de maintenance, à la progression des locations de licences et à la croissance des ventes de nouvelles licences.
• Les tendances observées dans les ventes de nouvelles licences et la croissance du chiffre d’affaires logiciel récurrent (ainsi que l’importante contribution de l’acquisition d’IBM PLM au segment PLM) se sont traduites dans les résultats financiers des différentes branches d’activités du Groupe, PLM et conception mécanique 3D. En normes IFRS, le chiffre d’affaires logiciel PLM a ainsi progressé de 26% à taux de change constants. En non-IFRS, il a augmenté de 25%, avec un chiffre d’affaires logiciel en hausse de 26% pour CATIA, de 25% pour ENOVIA et de 21% pour les autres solutions PLM (à taux de change constants). Le chiffre d’affaires de conception mécanique 3D a augmenté de 14% à taux de change constants. Le nombre de nouvelles licences SolidWorks s’élève à 24 021 unités, en hausse de 22% au premier semestre 2011.
• Reflétant la croissance du chiffre d’affaires, la gestion des coûts, et la progression de la marge opérationnelle, le résultat net dilué par action est en hausse de 43,1% à 1,03 euro en IFRS, et de 26,7% à 1,28 euro en non-IFRS. Le résultat opérationnel en IFRS est en hausse de 51,4% à 184,0 millions, avec une marge opérationnelle de 22,0%. En non-IFRS, le résultat opérationnel croît de 32,3% à 236,3 millions d’euros, avec une marge en hausse de 280 points de base à 28,2%.

Flux de trésorerie et autres chiffres clés

Pour le second trimestre 2011, les flux de trésorerie opérationnels s’établissent à 147,6 millions d’euros contre 132,3 millions d’euros au cours de la même période de l’année précédente. Les flux de trésorerie opérationnels en normes IFRS s’élèvent à 281,3 millions d’euros pour le premier semestre 2011, comparés à 265,6 millions d’euros pour le premier semestre 2010. Au cours du deuxième trimestre 2011, la Société a reçu 98,9 millions d’euros provenant de l’exercice de stock options, procédé à des rachats d’actions pour un montant de 61,2 millions d’euros, et versé des dividendes pour un montant total de 65,8 millions d’euros. Les stock options ont été principalement exercées en raison de l’expiration en 2011 de plusieurs programmes de stock options majeurs dont la durée était de 10 ans.

La trésorerie nette de la Société est de 973,1 millions d’euros au 30 juin 2011, comparée à 845,7 millions d’euros au 31 décembre 2010. Elle est constituée de la trésorerie et placements à court terme pour 1,25 milliard d’euros, nets d’une dette à long terme de 274,8 millions d’euros au 30 juin 2011. Au 31 décembre 2010, trésorerie et placements à court terme s’élevaient à 1,14 milliard d’euros et la dette à long terme à 293,4 millions d’euros.

L’Assemblée Générale des actionnaires a approuvé une hausse de 17% du dividende versé

L’Assemblée Générale des actionnaires s’est tenue le 26 mai 2011. Au cours de celle-ci, les actionnaires ont approuvé le versement d’un dividende annuel de 0,54 euro par action au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2010, en hausse de 17% par rapport à celui versé l’année précédente. Le dividende a été payé le 16 juin 2010.

Faits marquants

Lockheed Martin, l’une des principales entreprises du secteur de la Défense, améliore l’efficacité de ses processus d’assemblage, d’intégration et de test grâce aux solutions de simulation DELMIA de Dassault Systèmes. Les solutions DELMIA de Dassault Systèmes sont utilisées pour simuler la conception de matériels et de procédés de fabrication par la Société Lockheed Martin Space Systems. Les solutions DELMIA sont par ailleurs un élément important du logiciel utilisé par le nouveau Lockheed Martin « Collaborative Human Immersive Lab » (CHIL), un laboratoire de simulation et de technologie de réalité virtuelle de pointe qui offre une solution plus intelligente, plus économique et moins risquée pour construire des systèmes spatiaux, tels que satellites, engins spatiaux d'exploration, lanceurs et systèmes de défense antimissile.

Alstom, leader mondial dans les infrastructures de transport ferroviaire, de production et de transmission d'électricité, a choisi la plate-forme PLM Version 6 de Dassault Systèmes pour améliorer l’intégralité de ses processus. Au cours de la première étape de cette profonde transformation, Alstom Transport va s’appuyer sur la solution ENOVIA Version 6 de Dassault Systèmes pour unifier ses différents sites au sein d’une plate-forme unique et globale, afin de permettre à ses équipes de collaborer efficacement aux projets clients. Alstom consolide son système PLM dans le but de rationaliser le partage de l’information, de renforcer sa capacité de production et de réduire les délais de mise sur le marché de ses produits.

Le groupe Benetton choisit la solution PLM V6 de Dassault Systèmes pour accroître l’efficacité de ses processus de développement produits et d’approvisionnement. La plateforme ENOVIA Version 6 de Dassault Systèmes va fournir à Benetton des fonctionnalités avancées spécifiques à la conception et à la production de vêtements, ainsi qu’une solution leader sur le marché de gestion globale de ses approvisionnements. Grâce à ces fonctionnalités adaptées à la diversité du portefeuille produits de la marque, Benetton va pouvoir réduire ses délais de réalisation, optimiser l’approvisionnement, rationaliser la complexité de ses gammes de produits et accroître la collaboration.

Embraer SA, quatrième constructeur aéronautique mondial, a déployé une solution 3D complète pour la conception et la fabrication de ses avions d’affaires Phenom et Legacy 500, sur ses sites de Melbourne (Floride, Etats-Unis) et de São José dos Campos (Brésil). La solution Digital Factory est une source d’informations produit en 3D permettant de réduire les coûts de conception et de fabrication en créant une base unique de plans et de maquettes, mais aussi de consignes de travail et de produits ; le tout intégré au sein d’une plate-forme collaborative sécurisée.

Dassault Systèmes fait son entrée sur le marché du "cloud computing" avec sa Version 6. En juin, Dassault Systèmes a annoncé le lancement de sa plateforme Version 6 en ligne, la création d’une boutique en ligne (swym.3ds.com/#3DStore), proposant des expériences et des applications virtuelles réalistes, ainsi que plusieurs services professionnels accessibles pour la première fois en mode "cloud". Dassault Systèmes a par ailleurs annoncé la réalisation d'un investissement stratégique dans Outscale, une start-up spécialisée dans les services de « logiciels en tant que services » (SaaS). Avec les solutions Version 6 en ligne, les utilisateurs peuvent obtenir quand ils le souhaitent ce qui leur est nécessaire. Disponibles sous une forme flexible d'abonnement et ne nécessitant pas d'investissement initial dans des infrastructures, les solutions Version 6 en ligne sont conçues pour s'adapter aux besoins des entreprises ou à des projets de toutes dimensions, en évitant de s'engager à long terme sur d'importants volumes ou de supporter des charges administratives.

Dassault Systèmes s’allie à Amazon Web Services sur le marché du « cloud computing ». Dassault Systèmes et Amazon Web Services (AWS), une filiale d’Amazon.com, leader dans le domaine des infrastructures élastiques « cloud », vont collaborer en vue de permettre aux entreprises, quelle que soit leur taille, d'utiliser prochainement les solutions Version 6 de Dassault Systèmes sur AWS.

Dassault Systèmes lance la Version 6 Release 2012, offrant ainsi un niveau d’ouverture et d’expérience virtuelle réaliste inédit. Ce lancement illustre la volonté de Dassault Systèmes d'offrir à ses utilisateurs des fonctionnalités facilitant toujours plus la collaboration. La Release 2012 présente de nouvelles solutions en matière d’interopérabilité entre la Version 6 et d’autres systèmes de gestion de données ainsi que des niveaux d’intégration inédits avec les solutions de progiciels de gestion intégrés. Elle renforce la valeur des actifs numériques dans de nouveaux domaines, tels que les expériences de shopping virtuelles immersives et la planification des systèmes de production au sein d’un réseau global grâce aux solutions 3DVIA Shopper et DELMIA Global Production System Planning.

Perspectives

Thibault de Tersant, Directeur Général Adjoint, Affaires Financières a déclaré :

« Avec une forte demande de nos solutions logicielles, marquée par la progression tant des ventes de nouvelles licences que du chiffre d’affaires récurrent, les résultats du deuxième trimestre ont dépassé nos attentes. La croissance du BNPA non-IFRS a ainsi atteint 10%, et aurait été de 16% à taux de change constants.

Nous relevons nos perspectives 2011 compte tenu du dépassement de nos objectifs au deuxième trimestre avec un chiffre d’affaires supérieur aux prévisions de 20 millions d’euros. Nous visons ainsi une croissance du chiffre d’affaires annuel d’environ 11 à 12% à taux de change constants, et une croissance du bénéfice net par action d’environ 8 à 12% malgré l’effet négatif des variations de changes.

En ce qui concerne la croissance du deuxième semestre, je vous rappelle qu’en 2010,nous avions connu un troisième trimestre bien supérieur à la saisonnalité habituelle. Nos objectifs pour le troisième trimestre et le deuxième semestre 2011 visentune croissance du chiffre d’affaires cohérente avec la saisonnalité historique de notre chiffre d’affaires. Enfin, concernant le chiffre d’affaires récurrent, comme nous l’avions indiqué l’année dernière, nous avions bénéficié au cours du second semestre 2010 d’importants rattrapages de maintenance, parnature non récurrents.

Globalement, nous abordons le second semestre en position favorable, et en dépit des incertitudes liées à l’environnement économique mondial,nous sommes confiants dans notre capacité à atteindre nos objectifs 2011, grâce à nos résultats du deuxième trimestre. »

Les objectifs de la Société sont les suivants :

• Pour le troisième trimestre 2011 : objectif de chiffre d’affaires non-IFRS d’environ 405 à 415 millions d’euros, de marge opérationnelle non-IFRS d’environ 27% et objectif de BNPA non-IFRS d’environ 0,60 à 0,65 euro ;
• Révision à la hausse de l’objectif de croissance du chiffre d’affaires non-IFRS 2011 qui devient 11% à 12% à taux de change constants (1,70 à 1,72 milliard d’euros contre 1,67 à 1,70 milliard d’euros précédemment) ;
• Confirmation d’un objectif de marge opérationnelle non-IFRS 2011 dépassant légèrement 29% ;
• Révision à la hausse de l’objectif de BNPA non-IFRS 2011 compris dans une fourchette de 2,69 euros à 2,80 euros contre 2,64 euros à 2,75 euros précédemment, équivalent à une croissance d’environ 8% à 12% (contre 6% à 10% précédemment) ;
• Les objectifs sont fondés sur des hypothèses de taux de change pour le troisième trimestre 2011 de 1,45 dollar US pour 1,00 euro et de 120 JPY pour 1,00 euro, et pour l’année 2011 de 1,43 dollar US pour 1,00 euro et de 117 JPY pour 1,00 euro en moyenne.

Les objectifs de la Société sont uniquement établis et communiqués sur une base non-IFRS et font l’objet des précautions détaillées ci-après.

Les objectifs non-IFRS décrits ci-dessus ne prennent pas en compte les éléments comptables suivants et sont estimés sur la base des taux de change 2011 indiqués précédemment : le traitement comptable des produits constatés d’avance estimés à environ 1 million d’euros pour 2011 ; les charges relatives à l’attribution d’actions gratuites et de stock-options estimées à environ 15 millions d’euros pour 2011 et l’amortissement des dépenses liées à l’acquisition d’actifs incorporels estimé à environ 82 millions d’euros pour 2011. Les objectifs ci-dessus ne prennent pas en compte l’impact des autres produits et charges opérationnels, nets, notamment liés aux dépenses d’acquisition, d’intégration, de restructuration et de relocalisation, et à certains revenus financiers non-récurrents (et autres), nets.. Ces estimations n’incluent pas d’éventuelles nouvelles attributions de stock-options ou d’actions, ni de nouvelles acquisitions ou restructurations après le 28 juillet 2011.

Réunion retransmise en webcast et conférence téléphonique

Dassault Systèmes organise une réunion à Londres retransmise en webcast puis une conférence téléphonique aujourd’hui, jeudi 28 juillet 2011. Le management tiendra une réunion retransmise en webcast à 9h30 heure de Londres / 10h30 heure de Paris et une conférence téléphonique à 14h00 heure de Londres / 15h00 heure de Paris / 09h00 heure de New York. Cette réunion retransmise en webcast et cette conférence sont accessibles par Internet sur le site . Veuillez vous rendre sur le site au moins 15 minutes avant le début de la réunion retransmise en webcast ou de la conférence pour vous enregistrer, télécharger et installer tout logiciel audio nécessaire. Les enregistrements de la réunion retransmise en webcast et de la conférence seront disponibles pendant 30 jours.

Les informations complémentaires destinées aux investisseurs sont accessibles sur le site http://www.3ds.com/company/finance/ ou en téléphonant au service Relations Investisseurs de Dassault Systèmes au +33 (0) 1.61.62.69.24.

Avertissement concernant les déclarations relatives aux perspectives d’avenir de la Société

Ce document présente des informations qui ne sont pas de nature historique mais qui expriment des attentes ou des objectifs pour le futur, notamment, de façon non limitative, les déclarations concernant les objectifs non-IFRS de performance financière de la Société. Ce sont des informations relatives aux perspectives d’avenir de la Société.

Ces perspectives d’avenir sont fondées sur les avis et hypothèses actuellement retenus par la Direction de la Société et prennent en compte un certain nombre d’incertitudes et de risques connus et non connus. En conséquence, les résultats ou les performances qui seront réalisés sont susceptibles d’être substantiellement différents des résultats et des performances anticipés, du fait de plusieurs facteurs. Les perspectives 2011 actuelles de la Société prennent en compte comme hypothèse que la reprise économique mondiale devrait être lente, mais si l’amélioration de l’environnement économique et des conditions de marché était plus lente que prévu, ou si ces conditions restaient stables ou se dégradaient, les résultats de la Société pourraient ne pas être conformes aux objectifs actuels et rester en dessous de leurs niveaux antérieurs pour une plus longue période. A cet égard, l’impact du tremblement de terre du 11 mars 2011 au Japon reste difficile à évaluer, mais il pourrait être négatif sur la reprise économique dans ce pays. De plus, de par la présence de facteurs impactant les ventes des produits et services de la Société, le délai entre l’amélioration de l’environnement économique et des conditions de marché et celle des résultats de la Société pourrait être important.

Pour fixer ces perspectives, la Société a pris l’hypothèse de taux de change moyens de 1,43 dollar U.S. pour 1,00 euro et de 117 JPY pour 1,00 euro pour l’année 2011. Cependant, les cours des devises varient et peuvent affecter significativement les résultats de la Société. Les résultats et performance de la Société peuvent également être affectés par les évolutions de la conjoncture, les difficultés ou changements défavorables affectant ses partenaires ou les rapports avec ses partenaires ; les variations de taux de change ; le développement de nouveaux produits et les évolutions technologiques ; les erreurs ou défauts des produits de la Société ; la croissance des parts de marché des concurrents de la Société ; et l’occurrence de tout risque lié à l’intégration de toute société nouvellement acquise ou à toute réorganisation interne. Des évolutions défavorables de ces facteurs ainsi que d’autres événements tels que décrits dans l’information réglementaire de la Société, notamment le Document de référence 2010 déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2011, pourraient sensiblement affecter la situation financière de la Société ou ses résultats.

Information financière complémentaire non-IFRS

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Rapport annuel de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2010, inclus dans le Document de référence 2010 déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2011.

Les tableaux accompagnant ce communiqué détaillent en non-IFRS, le chiffre d’affaires, le résultat opérationnel, la marge opérationnelle, le résultat net et le résultat net dilué par action, qui excluent, le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options, les amortissements des actifs incorporels acquis, les autres produits et charges, nets, certains gains financiers non-récurrents, ainsi que l’effet d’impôts des ajustements non-IFRS. Les tableaux présentent aussi les données financières les plus comparables en normes IFRS et une réconciliation des données non-IFRS.

Information financière complémentaire à taux de change constants

Lorsque la Direction de la Société considère que cela peut être utile à la compréhension des tendances de l’activité, la Société met à disposition des pourcentages de variation de son chiffre d’affaires (en normes IFRS aussi bien qu’en non-IFRS) pour éliminer l’impact de la variation des taux de change, en particulier l’euro / U.S. Dollar et l’euro / JPY. Dans le cas où l’information est susnommée « à taux de change constants », les données de la période « actuelle » ont été recalculées sur la base des taux de change moyens de la même période de l’année précédente, puis comparées aux données de la même période de l’année précédente.

A propos de Dassault Systèmes

Leader mondial des solutions 3D et de gestion du cycle de vie des produits (Product Lifecycle Management ou PLM), Dassault Systèmes apporte de la valeur ajoutée à 130 000 clients, répartis dans 80 pays. Pionnier du marché du logiciel en 3D depuis 1981, Dassault Systèmes développe et commercialise des logiciels d'application PLM et des services qui anticipent les processus industriels de demain et offrent une vision 3D de l'ensemble du cycle de vie d'un produit, de sa conception à sa maintenance. L’offre de Dassault Systèmes se compose de CATIA pour la conception virtuelle de produits, SolidWorks pour la conception mécanique en 3D, DELMIA pour la production virtuelle, SIMULIA pour la simulation et les tests virtuels, ENOVIA pour la gestion collaborative et globale du cycle de vie, EXALEAD pour les « search-based applications » et 3DVIA pour des expériences 3D virtuelles réalistes. Pour plus d’informations : http://www.3ds.com.

CATIA, DELMIA, ENOVIA, EXALEAD, SIMULIA, SolidWorks et 3DVIA sont des marques déposées de Dassault Systèmes ou de ses filiales aux USA et/ou dans d'autres pays.

(Tableaux ci-après)

TABLE DES MATIERES

Chiffres clés non-IFRS

Compte de résultat consolidé

Bilan consolidé

Tableau de flux de trésorerie consolidés

Réconciliation IFRS - non-IFRS

DASSAULT SYSTEMES

CHIFFRES CLES non-IFRS

(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action, effectif de clôture et taux de change)

Les chiffres clés non-IFRS excluent les amortissements des actifs incorporels acquis, les coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock-options, le traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, les autres produits et charges opérationnels, nets, certains gains financiers non-récurrents ainsi que l’impact fiscal sur ces retraitements non-IFRS.

Les données en normes IFRS et la réconciliation des données en normes IFRS et non-IFRS sont présentées dans les tableaux présentés séparément.

DASSAULT SYSTEMES

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2010 du Groupe déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2011. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

(1) Dans le tableau de rapprochement ci-dessus, (i) tous les retraitements des données de chiffre d’affaires IFRS correspondent à l’exclusion du traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, (ii) tous les retraitements des données de charges opérationnelles IFRS correspondent à l’exclusion de l’amortissement des incorporels acquis, des coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock options et des autres produits et charges opérationnels, nets, et (iii) tous les retraitements des données de produits financiers et autres, net IFRS correspondent à l’exclusion de certains gains financiers non récurrents en 2011 (iv) tous les retraitements des données de résultat net IFRS correspondent à l’impact combiné de ces différents ajustements, plus, en ce qui concerne le résultat net et le résultat net par action, l’impact fiscal des retraitements ci-dessus.

2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 124,2 millions d’actions diluées pour le T2 2011 et de 120.7 millions d’actions diluées pour le T2 2010.

DASSAULT SYSTEMES

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES non-IFRS
RECONCILIATION IFRS – non-IFRS
(données non auditées ; en millions d’euros sauf données par action)

Les données complémentaires non-IFRS présentées dans ce communiqué de presse comportent des limites inhérentes à leur nature. Ces données ne sont basées sur aucun ensemble de normes ou de principes comptables et ne doivent pas être considérées comme un substitut aux éléments comptables en normes IFRS. En outre, les données financières complémentaires non-IFRS de la Société peuvent ne pas être comparables à d’autres données également intitulées non-IFRS et utilisées par d’autres sociétés. Un certain nombre de limitations spécifiques relatives à ces mesures non-IFRS et les raisons de présenter une information financière en non-IFRS sont détaillées dans le Document de référence pour l’exercice clos le 31 décembre 2010 du Groupe déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) le 1^er avril 2011. Pour pallier cette difficulté d’utilisation, les données financières complémentaires non-IFRS ne doivent pas être lues indépendamment, mais toujours associées aux éléments de comptes consolidés préparés selon les normes IFRS.

(1) Dans le tableau de rapprochement ci-dessus, (i) tous les retraitements des données de chiffre d’affaires IFRS correspondent à l’exclusion du traitement comptable des produits constatés d’avance liés aux acquisitions, (ii) tous les retraitements des données de charges opérationnelles IFRS correspondent à l’exclusion de l’amortissement des incorporels acquis, des coûts d’attribution d’actions gratuites et de stock options et des autres produits et charges opérationnels, nets, et (iii) tous les retraitements des données de produits financiers et autres, net IFRS correspondent à l’exclusion de certains gains financiers non récurrents en 2011 (iv) tous les retraitements des données de résultat net IFRS correspondent à l’impact combiné de ces différents ajustements, plus, en ce qui concerne le résultat net et le résultat net par action, l’impact fiscal des retraitements ci-dessus.

2) Le pourcentage d’augmentation (diminution) non-IFRS compare les données non-IFRS pour les deux exercices. Dans le cas où les ajustements non-IFRS relatifs à une donnée ne concernent qu’un des deux exercices, l’augmentation (diminution) non-IFRS compare la donnée non-IFRS à la donnée en normes IFRS correspondante.

(3) Sur la base d’une moyenne pondérée de 124,0 millions d’actions diluées pour le S1 2011 et de 120.2 millions d’actions diluées pour le S1 2010.