OK
Accueil > Communauté > Forum Auplata Mining Gr

Le monde minier se tourne vers l'argent. Tout sauf la Chine - Page 3

Cours temps réel: 0,0015  0,00%



cool13 cool13
21/12/2024 11:07:11
0

Bientôt à paraitre dans le Livre Guinness des records des publication

Communiqué de presse Le 20 décembre 2024 – 08 h 00
Obtention du report de la tenue de l’Assemblée
Générale au plus tard le 28 février 2025
Auplata Mining Group - AMG (Euronext Growth - FR0013410370 - ALAMG) informe le marché
du report de la tenue de son assemblée générale annuelle.
REPORT DE L'ASSEMBLÉE D'AMG DU 30 DÉCEMBRE 2024
Comme mentionné dans le Communiqué de presse du 16 décembre 2024 (voir
Communiqué de Presse du 16 décembre 2024), AMG a présenté une requête auprès du
Tribunal Mixte de Commerce de Cayenne afin d'obtenir un délai jusqu'au 28 février 2025
pour la tenue de son assemblée générale annuelle.
Le Tribunal Mixte de Cayenne a accordé la prorogation de la tenue de l'assemblée
d’AMG au plus tard le 28 février 2025 par ordonnance du 18 décembre 2024

Bientôt à paraitre dans le Livre Guinness des records des publication


https://ml-eu.globenewswire.com/Resource/Download/eddfef0d-5783-42db-b061-32af1107fca4

  
Répondre
cool13 cool13
19/12/2024 10:59:00
0

On ne pourra plus dire, nous n’étions pas informées, un champ de bataille clé dans la guerre commerciale !!!

Chronique : Les métaux critiques seront un champ de bataille clé dans la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine
Reuters | 17 décembre 2024 | 9h55 Batteries Métaux Énergie Intelligence Marchés Chine États-Unis Minéraux spécialisés

Il est clair que les minéraux critiques seront l’arme de choix de la Chine dans sa guerre commerciale croissante avec les États-Unis.

Chaque fois que Washington impose de nouvelles restrictions sur les exportations de puces semi-conductrices avancées vers la Chine, Pékin répond en renforçant les contrôles sur les exportations de ces intrants essentiels pour les fabricants de puces.

Une troisième mesure de répression contre l'industrie chinoise des semi-conducteurs a suscité une réponse rapide sous la forme d'une interdiction totale des exportations de gallium et de germanium chinois vers les États-Unis.

Les exportations d’antimoine, utilisé dans le verre photovoltaïque, sont désormais également interdites , ce qui semble être une riposte aux tarifs douaniers américains sur les panneaux solaires chinois.

Il s’agit d’une escalade soigneusement calibrée, la Chine utilisant sa domination sur les métaux critiques pour porter des coups de représailles du même ordre aux attaques américaines contre ses capacités de haute technologie.

Toutefois, les règles du jeu sont sur le point de changer avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump qui menace d’imposer des droits de douane sur tous les produits chinois.

La grande question est de savoir dans quelle mesure les États-Unis peuvent résister à la réponse potentielle de la Chine en matière de métal.

Perturbation du marché

L'année dernière, les États-Unis dépendaient à 100 % des importations de gallium, la Chine représentant 21 % des importations de métaux, selon l'United States Geological Survey (USGS).

La dépendance des États-Unis aux importations était de 82 % pour l’antimoine et de plus de 50 % pour le germanium, les produits chinois représentant respectivement 63 % et 26 % des importations totales.

Les flux de gallium et de germanium chinois vers les États-Unis se sont taris cette année après que Pékin a renforcé les contrôles à l'exportation en août 2023.

L'interdiction du germanium et du gallium en Chine pourrait coûter 3,4 milliards de dollars aux États-Unis

L’interdiction de ce mois-ci n’est qu’une confirmation officielle que le ministère chinois du Commerce (MOFCOM) avait déjà cessé d’approuver les exportations vers les États-Unis.

Les chaînes d’approvisionnement des trois métaux ont été massivement perturbées, les acheteurs s’efforçant de trouver des sources d’approvisionnement non chinoises.

Le prix de l'antimoine a grimpé de 13 000 dollars la tonne au début de l'année à 38 000 dollars après que la Chine a annoncé de nouvelles restrictions à l'exportation. Le prix du germanium a bondi de 1 650 dollars à 2 862 dollars sur la même période.

Course à la construction

L’administration Biden a investi des milliards de dollars dans la reconstruction des capacités nationales de production de minéraux critiques, mais les progrès peuvent être lents, en particulier lorsqu’il s’agit d’autoriser de nouvelles mines.

Le Pentagone soutient les projets de Perpetua Resources de rouvrir la mine d'antimoine Stibnite dans l'Idaho, mais la première production n'est attendue qu'en 2028.

Le seul transformateur du pays, United States Antimony, prévoit d'augmenter sa production en réponse à la flambée actuelle des prix, mais doit sécuriser suffisamment de matières premières tierces non chinoises pour le faire.

Les États-Unis n’ont plus produit de gallium primaire depuis 1987.

Rio Tinto croit pouvoir produire ce métal à son usine d'alumine du Saguenay–Lac-Saint-Jean, au Canada. L'entreprise prévoit construire une usine de démonstration avec l'appui du gouvernement du Québec.

Rio Tinto a déjà réussi à trouver des minéraux critiques dans ses flux de déchets de fonderie. L'entreprise produit déjà du scandium dans ses usines de titane au Canada et du tellure dans sa fonderie de cuivre dans l'Utah.

Toutefois, la contribution de Rio au gallium de l'industrie américaine dépendra au moins en partie de la mise à exécution par Trump de sa menace d'imposer des tarifs douaniers à son voisin canadien.

Liste des biens à double usage

Le principal problème auquel sont confrontés les États-Unis est l’ampleur de la domination de la Chine sur la chaîne d’approvisionnement dans le secteur des minéraux critiques.

La Chine est la plus grande source d'approvisionnement pour 26 des 50 minéraux actuellement classés comme critiques par l'USGS, selon le groupe de réflexion Center for Strategic and International Studies.

Beaucoup d’entre eux figurent sur la même liste de contrôle des exportations à double usage militaire et civil du MOFCOM que le gallium, le germanium et l’antimoine.

La Chine dispose de multiples canaux d’attaque en cas de nouvelles sanctions contre ses industries de haute technologie.

Des restrictions plus strictes sur les exportations de graphite, annoncées en même temps que l'interdiction d'exportation américaine, sont un signe inquiétant que le jeu du coup pour coup se répand dans le secteur des métaux pour batteries.

Bien que le graphite ne fasse pas l’objet des mêmes gros titres que d’autres métaux de batterie tels que le lithium et le cobalt, il constitue un élément essentiel de la batterie sous la forme de l’anode.

Cela en fait un choix évident pour riposter aux taxes américaines sur les véhicules électriques chinois.

Le tungstène, également sur la liste, est un autre métal sous le feu des projecteurs après que les États-Unis ont annoncé leur intention d'imposer des droits de douane de 25 % sur certains produits chinois à partir de début 2025.

Découplage

Le tungstène montre comment le découplage métallique fonctionne dans les deux sens.

Plus la Chine fait valoir ses atouts en matière de minéraux essentiels, plus les États-Unis utilisent les tarifs douaniers pour créer une incitation en matière de prix pour les producteurs nationaux.

Les droits d’importation sur l’aluminium et l’acier chinois ont été augmentés à 25 % cette année. Les droits de douane sur les importations chinoises de graphite naturel augmenteront à un niveau similaire en 2026.

C’est-à-dire, si la Chine n’y parvient pas en interdisant d’abord les exportations vers les États-Unis, comme elle l’a fait avec le gallium, le germanium et l’antimoine.

Les États-Unis marchent sur un fil fin entre l’utilisation des tarifs douaniers pour réduire leur dépendance aux importations chinoises et la crainte d’une interdiction commerciale totale en guise de représailles avant d’avoir pu construire leur propre capacité de remplacement.

Il s’agit d’une tâche à multiples facettes étant donné que chaque métal critique possède son propre profil d’approvisionnement unique.

Le thème commun, cependant, est le contrôle de l'offre mondiale par la Chine et la seule question est de savoir quel composant du tableau périodique sera le prochain à être jeté dans la guerre commerciale qui s'intensifie.

(Les opinions exprimées ici sont celles de l’auteur, Andy Home, chroniqueur pour Reuters.)
(Édition de Mark Potter)


  
Répondre
cool13 cool13
16/12/2024 10:04:21
0

Vous attendiez des nouvelles. Quand on dit, Auplata, Luc Gerard Nyafe ; du haut niveau, sous toutes les latitudes économiques. Victor Kasongo Shomary débouté partout

7 décembre 2024 Auteur : La rédaction Economie de scoop media RDC

RDC – Secteur minier : Malgré son obstination téméraire à s’accaparer de Kamituga Mining, Namoya Mining, Lugushwa Mining et Banro Congo Mining, Victor Kasongo Shomary débouté partout

Le patron de Shomka Resources ne désarme pas dans sa lutte acharnée de s’accaparer, comme dans une loterie et sans avoir payé le prix, les sociétés Kamituga Mining, Namoya Mining, Lugushwa Mining et Banro Congo Mining qui font partie de la société Strategos Group LLC.

Déboutée par le Guichet unique de création d’entreprises (GUCE) qui a annulé et radié l’immatriculation modificative ou complémentaire pour absence de justifications et des pièces concordantes de soubassement aux modifications de l’actionnariat des sociétés susvisées en rétablissant par la même occasion l’immatriculation desdites sociétés au statu quo ante, notamment en ce qui concerne l’actionnariat, la direction et le siège social, Victor Kasongo Shomary s’est amené au Tribunal de commerce de Kinshasa-Gombe où il a, le 25 octobre dernier, déposé une requête en référé commercial.

La démarche du numéro 1 de Shomka Resources était d’obtenir de cette juridiction « la cessation des troubles manifestement illicites et la suspension de l’exploitation aurifère des sites de Kamitunga mining S.A, Banron Congo S.A, Lugushwa Mining S.A et Namoya Mining S.A par la société Strategos Group LLC ». Mais aussi pour que le Tricom de Kinshasa-Gombe dise que « la société Strategos Group LLC n’a pas droit de procéder à l’exploitation aurifère des sites de Kamitunga mining S.A, Banron Congo S.A, Lugushwa Mining S.A et Namoya Mining S.A, propriété exclusive de de la société Shomka Resources Limited Liability compagny ».

Mais après le procès de cette affaire inscrite sous RC.046, le tribunal a tranché le 18 novembre dernier en faveur la société Strategos Group LLC qui ne n’était même pas atteinte par une notification d’audience et avait accepté de comparaître volontairement, en disant recevables et fondés les moyens d’irrecevabilité soulevés par cette dernière tout en décrétant l’irrecevabilité de l’action de Shomka Resources pour violation de l’article 21 bis al. 3 et 4 de la loi portant création, organisation et fonctionnement des tribunaux de commerce. Et l’ordonnance a été signifiée le 28 novembre au patron de Shomka Resources par Maître Mungumbi Albert, Huissier de justice assermenté, officier public et ministériel près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe. La situation est vérifiable par toute personne intéressée.

Courbettes chez Vital Kamerhe

En date du 26 novembre 2024, Victor Kasongo Shomary a saisi le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, à travers une correspondance de 14 pages dans laquelle il se plaint à fond en accusant la société Strategos Group LLC d’exploiter sans qualité ni titre ses concessions d’or sans être inquiétée. Au finish, l’ancien vice-ministre des mines et ancien PDG du CEEC mais aussi ancien DG de Sokimo implore l’implication de V.K dans cette affaire qui contient déjà des décisions judiciaires le déboutant en vue de saper l’image de l’Assemblée Nationale.

« Nous supplions très respectueusement l’Autorité de peser de son poids pour Shomka soit autorisée à reprendre et démarrer la mine de Namoya immédiatement afin de soulager la souffrance des 600 employés et fournisseurs ex-Banro, impayés pas Strategos depuis 2021 », peut-on lire dans la chute de cette correspondance.

Mais du côté de l’accusée Strategos, la lettre de Shomka adressée au président de l’Assemblée nationale, contenant d’ailleurs de nombreuses fautes d’orthographe, est pleine de mensonges. « Shomka ne dit pas pourquoi plus personne ne croit à ce qu’elle fait et à ses forfaitures. Elle fait figurer l’affaire du Tribunal du commerce dans sa lettre sans dire au président de l’Assemblée nationale qu’elle avait déjà perdu ce procès par exemple. Elle cite une plainte déposée au Parquet Général de Kinshasa/Gombe sans avouer que depuis deux semaines, elle esquive la confrontation. Elle dit avoir injecté des millions de USD pour acheter des actions mais elle est incapable d’en fournir la moindre preuve partout où la procédure est menée de manière contradictoire », déclare-t-on dans le camp de Strategos.

Dossier à suivre.

https://scooprdc.net/2024/12/07/rdc-secteur-minier-malgre-son-obstination-temeraire-a-saccaparer-de-kamituga-mining-namoya-mining-lugushwa-mining-et-banro-congo-mining-victor-kasongo-shomary-deboute-partout/

Message complété le 16/12/2024 10:20:19 par son auteur.

Suivre la file forum Auplata, Avec les réserves habituelles, la prudence est de mise, je ne suis pas Conseiller Financier, sans valeur.

  
Répondre
cool13 cool13
16/12/2024 08:56:45
0

Une sacrée aventure auplata

Communiqué de presse du16 décembre 2024 – 8 h

Dans mon post du 22/10/2024 17:06:52 j’avais signaler la situation AMG Pérou

SITUATION AMG PERÚ
SITUATION Compagnie Minière de Touissit
TENUE DE L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE D'AMG
REPORT DE LA PUBLICATION DES COMPTES SEMESTRIELS 2024
PRODUCTION TROISIÈME TRIMESTRE 2024
DÉCISION DE l'AMF

https://ml-eu.globenewswire.com/Resource/Download/7b893144-a0cf-4981-95b1-9fd3c01d093c

  
Répondre
cool13 cool13
16/12/2024 08:44:56
0

12 décembre 2024


La Commission des sanctions de l'AMF prononce des sanctions pour un montant global de 4 150 000 euros à l’égard de 4 personnes morales et 3 personnes physiques pour diffusion d’informations fausses ou trompeuses et manipulation de cours

Dans sa décision du 11 décembre 2024, la Commission des sanctions a infligé à la société Auplata et à M. Didier Tamagno, son ancien président directeur général, ainsi qu’à la société RSM Paris et à M. Stéphane Marie, les commissaires aux comptes ayant certifié les comptes d’Auplata, des sanctions comprises entre 50 000 et 300 000 euros pour manipulation de marché par diffusion d’informations fausses ou trompeuses. Elle a prononcé à l’encontre de M. Pierre Vannineuse et des sociétés European High Growth Opportunities Manco SA et Alpha Blue Ocean Inc. des sanctions comprises entre 1 000 0000 et 1 500 000 euros pour manipulation du cours du titre Auplata.

Le 30 octobre 2017, la société Auplata a conclu, avec le fonds EHGO SF, un contrat de financement par émission d’obligations à durée indéterminée à option de remboursement en numéraire et/ou en actions nouvelles et/ou existantes (ODIRNANE) avec bons de souscription d’actions (BSA).

La Commission a retenu qu’Auplata avait diffusé des informations fausses ou trompeuses, dans le communiqué de presse du 30 octobre 2017 relatif à ce contrat, dans la mesure où sa présentation ne mentionnait pas l’existence d’une clause essentielle, ce qui donnait aux investisseurs une perception inexacte du coût du financement.

La Commission a également considéré qu’en ne décrivant pas le mécanisme de cette clause, en ne mentionnant pas les compléments de prix versés à la suite de sa mise en œuvre et en ne la présentant pas dans une analyse des risques pour sa continuité d’exploitation, Auplata avait diffusé des informations fausses ou trompeuses dans l’annexe de ses comptes consolidés 2017, publiée le 27 avril 2018. La Commission a considéré que ces manquements étaient imputables à M. Tamagno, en sa qualité de dirigeant d’Auplata.

La Commission a, par ailleurs, sanctionné la société RSM Paris, en sa qualité de commissaire aux comptes d’Auplata, pour avoir diffusé des informations fausses ou trompeuses en certifiant sans réserve les comptes consolidés 2017 d’Auplata. La Commission a considéré que ce manquement était imputable à M. Marie, en sa qualité de commissaire aux comptes associé de RSM Paris en charge de la mission d’audit, et signataire du rapport des commissaires aux comptes sur les comptes consolidés 2017 d’Auplata.

Enfin, la Commission a retenu que le fonds EHGO SF, qui avait conclu avec Auplata le contrat de financement du 30 octobre 2017, avait cédé un nombre important d’actions Auplata en méconnaissance de ses engagements de conservation et de limite du volume quotidien de vente communiqués au public. Elle a considéré que ce comportement était constitutif d’une manipulation de cours caractérisée à l’égard des sociétés European High Growth Opportunities Manco SA et Alpha Blue Ocean Inc., qui disposaient de pouvoirs pour gérer le fonds, ainsi qu’à l’égard de M. Pierre Vannineuse, leur dirigeant.

Cette décision peut faire l’objet d’un recours.

Message complété le 07/01/2025 09:12:06 par son auteur.

AMF
La Commission
des sanctions
COMMISSION DES SANCTIONS
Décision n°11 du 11 décembre 2024
https:// www.amf-france.org/sites/institutionnel/files/private/2024-12/san-2024-11.pdf

  
Répondre
cool13 cool13
06/12/2024 10:19:32
0


Kawtar Johrati prend les rênes de la CMT après une ...
Boursenews

https://boursenews.ma › Marchés

il y a 44 minutes — Marchés. Vendredi 06 Decembre 2024. Kawtar Johrati prend les rênes de la CMT après une Assemblée générale très attendue. marché ...

  
Répondre
cool13 cool13
30/11/2024 15:47:03
0

En date du 17 octobre 2024 Auteur : Owandi Economie Scoop-RDC
Si vous attendiez des nouvelles, du dossier banro Congo les voilà.

Banro Congo Mining. Économiquement, comment se faire plumer légalement

Pour ceux qui ne connaissent pas Victor Kasongo Shomary,

Secteur minier : Par faux et usage de faux, Victor Kasongo Shomary veut usurper les sociétés Kamituga Mining SAU, Namoya Mining SAU, Lugushwa Mining SAU et Banro Congo Mining SAU

c’est un ancien vice-ministre aux Mines dans les gouvernements Gisenga et Muzito 1. Mais bien avant, il était l’administrateur-délégué général de l’Office des mines d’or de Kilo Mota (OKIMO), du CEEC (Centre d’expertise des matières précieuses). Il était aussi directeur des risques à Ernst et Young Afrique du Sud et directeur des projets à Iscor Limited. Il est fondateur et PDG du groupe Congo Premier Sarl, groupe de négoce et de raffinage des métaux stratégiques. Victor Kasongo est aussi administrateur de BCDC, Shomka Capital Ltd et ancien administrateur de BGFI Bank-RDC, Alliance Bank SA, BIC SA et AMICONGO.

Copie intégrale de l’article ci-dessous

L’affaire se passe comme dans un film tourné à Hollywood, pourtant la scène est réelle et se déroule au Guichet unique de la RDC, où un individu, Victor Kasongo Shomary, pour ne pas le citer, s’est donné le culot d’usurper quatre sociétés minières précitées.

Pathétique !

Tenez, en date du 11 septembre 2024, il dépose au Guichet unique de création d’entreprises (GUCE), quatre dossiers de demande d’inscriptions modificatives ou complémentaires pour des sociétés Kamituga Mining, Namoya Mining, Lugushwa Mining et Banro Congo Mining et obtient le jour suivant le registre du commerce et du crédit mobilier (RCCM M2) pour les quatre sociétés.

Mises au parfum de cette supercherie, les quatre sociétés par le biais de leur avocat-conseil, Me Patient Matuka Kabakisa, saisissent le GUCE le 30 septembre 2024 pour solliciter le retrait d’actes frauduleux d’inscriptions complémentaires posés en leur nom le 12 septembre 2024 par un inconnu usurpateur.

« …monsieur Kasongo Shomary Victor qui mène actuellement la barque de la fraude était aussi candidat à l’achat des mêmes actions, il n’a pas pu faire face à ce marché pour cause d’incapacité financière comme l’indique, par écrit, l’ancien représentant légal des sociétés », mentionne Me Patient Matuka Kabakisa dans sa lettre adressée au professeur Amisi Herady, responsable numéro 1 du GUCE.

Et de faire remarquer qu’en date du 14 septembre 2024, sous la houlette de monsieur Victor Kasongo Shomary, les personnes étrangères à l’actionnariat, à l’administration et à la direction des sociétés susvisées ont frauduleusement convoqué et tenu des assemblées générales extraordinaires au nom de ces quatre sociétés, en prenant les résolutions de révoquer tous les administrateurs et directeurs généraux, de nommer deux administrateurs-directeurs généraux, de changer le siège social et de changer la dénomination en ce qui concerne particulièrement Banro Congo Mining, alors que tous les vrais animateurs de ces quatre sociétés sont officiellement connus par le GUCE comme l’atteste la signature du professeur Amisi Herady lui-même.

Ayant reconnu cette supercherie due à la sérénité dont le GUCE est soumis dans le traitement des dossiers, le responsable de ce service a écrit à Victor Kasongo Shomary pour lui démontrer les « graves incohérences dans les pièces par lui déposées » au GUCE.

Le professeur Amisi Herady lui fait savoir que premièrement toutes les sociétés concernées sont unipersonnelles, alors que les procès-verbaux par lui déposés font état des sociétés pluripersonnelles. Deuxièmement, l’absence totale de l’actionnaire unique de toutes les sociétés concernées aux Assemblées générales extraordinaires tenues. Troisièmement, aucune pièce dans les dossiers n’établit la régularité du passage de sociétés unipersonnelles en sociétés pluripersonnelles. Quatrièmement, l’existence non justifiée et non soutenue par aucun acte, de la société Shomka Ressources Limited comme actionnaire unique. Cinquièmement enfin, l’inexistence dans les dossiers des pièces établissant que le cédant dans l’acte de cession du 16 août 2024 fait bel et bien partie de l’actionnariat.

Pour toutes incohérences, le professeur Amisi Herady a du exiger de Victor Kasongo Shomary de lui apporter des explications plausibles et pièces justificatives y relatives, faute de quoi, il sera dans l’obligation d’anéantir carrément les immatriculations ou inscriptions complémentaires ou modificatives réalisées, en restaurant ipso facto la situation de toutes les sociétés concernées au statu quo ante.

Mais au lieu d’aller présenter les documents lui exigés, Victor Kasongo Shomary se refugierait derrière des jugements concordataires rendus par le Tribunal de commerce de Kinshasa-Gombe sous RFC 125, 126, 127 et 128.

Pour Me Patient Matuka Kabakisa, tous ces jugements fallacieux n’ont juridiquement aucun sens. « Aucun jugement concordataire n’a pour vocation de céder les actions d’une société à une autre… la société Shomka Ressources, comme tant d’autres sociétés, était candidat au rachat d’actions au sein des filiales de Baron Corporation que sont Kamituga Mining SAU, Namoya Mining SAU, Lugushwa Mining SAU et Banro Congo Mining SAU avec promesse d’injecter un nouvel apport en capital de l’ordre moyen de 30 millions USD par filiale, elle ne l’a pas fait jusqu’aujourd’hui.

Et les conséquences de son incapacité financière ont été tirées dans la lettre du 4 septembre 2020 qui mettait fin aux discussions entre la firme internationale Banro Corporation LTD qui représentait les 4 sociétés filiales précitées et la société Shomka Ressources Limeted, lettre à laquelle cette dernière avait par ailleurs répondu en prenant acte », fait remarquer Me Patient Matuka Kabakisa au numéro 1 du GUCE en annexe cette lettre de Shomka.

Pour ceux qui ne connaissent pas Victor Kasongo Shomary, c’est un ancien vice-ministre aux Mines dans les gouvernements Gisenga et Muzito 1. Mais bien avant, il était l’administrateur-délégué général de l’Office des mines d’or de Kilo Mota (OKIMO), du CEEC (Centre d’expertise des matières précieuses). Il était aussi directeur des risques à Ernst et Young Afrique du Sud et directeur des projets à Iscor Limited. Il est fondateur et PDG du groupe Congo Premier Sarl, groupe de négoce et de raffinage des métaux stratégiques. Victor Kasongo est aussi administrateur de BCDC, Shomka Capital Ltd et ancien administrateur de BGFI Bank-RDC, Alliance Bank SA, BIC SA et AMICONGO.

avec ce dossier, il risque d’être poursuivi pénalement pour faux et usage de faux, mais également pour tentative d’usurpation de biens d’autrui. Dossier à suivre !

https://scooprdc.net/2024/10/17/secteur-minier-par-faux-et-usage-de-faux-victor-kasongo-shomary-veut-usurper-les-societes-kamituga-mining-sau-namoya-mining-sau-lugushwa-mining-sau-et-banro-congo-mining-sau/

  
Répondre
cool13 cool13
30/11/2024 12:22:33
0

Du coté du Maroc ok, pour le reste, en hibernation !!!

CMT COMMUNIQUÉ DE PRESSE

INDICATEURS TRIMESTRIELS AU 30 SEPTEMBRE 2024

Casablanca, le 29 novembre 2024

https://www.cmt.ma/wp-content/uploads/2024/11/CP-CMT-T3_24-27-11-2024-WEB.pdf

  
Répondre
cool13 cool13
29/11/2024 10:00:54
0

Et pendant ce temps-là, AMG en hibernation pour une durée indéterminée.


Les plus gros acheteurs d'or au monde se trouvent désormais parmi les banques centrales d'Europe de l'Est

Bloomberg News | 28 novembre 2024 | 07:48 Intelligence Europe Gold

Plus tôt cette année, le président de la banque centrale de la République tchèque s'est rendu à Londres pour examiner une pile de lingots d'or stockée dans les coffres en béton de la Banque d'Angleterre, sous Threadneedle Street.

La mission d'Ales Michl visant à inspecter le métal précieux détenu par la Banque nationale tchèque s'inscrivait dans le cadre de l'ambition affichée par le gouverneur de doubler les réserves du pays à 100 tonnes dans les trois prochaines années. Elles ont été multipliées par cinq depuis son entrée en fonction en 2022, dans le but de diversifier les réserves de la banque.

« Nous devons réduire la volatilité », a déclaré Michl, qui s’est énervé lorsqu’on l’a interrogé sur le sujet, à Bloomberg Television au début du mois. « Et pour cela, nous avons besoin d’un actif sans corrélation avec les actions, et cet actif est l’or. »

Le dirigeant tchèque n'est pas le seul à accélérer ses achats de lingots. De Varsovie à Belgrade, d'autres pays se joignent à la ruée vers l'or pour diversifier leurs investissements et parier sur les futures hausses de prix, faisant de l'Europe de l'Est l'un des plus gros acheteurs de métal précieux et contribuant à la hausse du cours de l'or.

Les banques centrales du monde entier accumulent des réserves d'or pour se protéger des chocs extérieurs, comme les guerres commerciales qui pourraient survenir en raison de la deuxième présidence de Donald Trump ou les tensions géopolitiques en Ukraine et au Moyen-Orient. Mais les gardiens monétaires d'Europe de l'Est ont particulièrement fait montre de leur capacité à accroître leurs réserves d'or.

Outre la visite de Michl à Londres, son homologue de Varsovie a écrit un scénario de film sur l'histoire de l'or polonais. Les autorités serbes ont rapatrié leurs réserves d'or détenues à l'étranger pour les mettre en sécurité à Belgrade et réduire les coûts de stockage.
La recherche d’un sentiment de sécurité est une motivation puissante dans une région qui a été ravagée par les guerres passées en Europe – et qui se trouve désormais à côté du conflit le plus meurtrier du continent depuis la Seconde Guerre mondiale.

« Un club exclusif »

La Pologne, qui partage une frontière avec l'Ukraine et soutient avec ferveur les objectifs de guerre de Kiev, a été le plus gros acheteur d'or au monde au deuxième trimestre, selon les dernières données du World Gold Council.

Le gouverneur de la banque centrale polonaise, Adam Glapinski, a déclaré que les réserves d'or et de devises étaient essentielles pour protéger l'économie contre les événements catastrophiques. Il a augmenté ses réserves d'or à environ 420 tonnes en septembre, soit environ la moitié des réserves de l'Inde ou du Japon.

« Nous entrons dans le club exclusif des plus grands propriétaires d'or du monde », s'est réjoui Glapinski lors d'une conférence de presse le mois dernier, renforçant son objectif de porter la part de l'or à 20 % de toutes les réserves.

Le directeur de la Banque nationale de Pologne a déploré ne pas avoir eu le temps de travailler sur son projet de scénario. Une vidéo YouTube produite par la banque centrale en février montre Glapinski se prélassant dans un coffre-fort rempli de boîtes scellées contenant six mille lingots d'or, entonnant que le trésor « est la propriété de tous les Polonais ».

Les Tchèques sont également des candidats potentiels à l'adhésion au club. La banque centrale de Prague dispose d'environ 150 milliards de dollars de réserves de change, soit près de la moitié du produit intérieur brut, ce qui en fait l'une des plus importantes au monde.

Michl, dont la politique de diversification comprend des achats d'actions américaines, a été critiqué pour ses achats d'or, alors que le marché a atteint un record cette année. Les responsables monétaires ont réagi en insistant sur le fait que les achats à long terme sont progressifs, réduisant l'impact de la volatilité des prix.

Dans un contexte géopolitique en constante évolution, les achats d'or sont un pari gagnant pour les responsables de la politique monétaire. Goldman Sachs Group Inc. a classé le métal parmi les principales matières premières à négocier pour 2025, affirmant que les prix pourraient prolonger leurs gains pendant la présidence de Trump et atteindre 3 000 dollars l'once d'ici décembre prochain.

« La fragmentation géopolitique est favorable à l'or, tandis que l'affaiblissement progressif du dollar devrait constituer un autre vent arrière », a déclaré la Banque J. Safra Sarasin dans un rapport du 10 novembre.

Pour les dirigeants d'Europe de l'Est, l'or est considéré comme un refuge et un argument politique, alors qu'ils doivent maintenir un équilibre souvent complexe entre l'Occident, la Russie et la Chine. La banque centrale hongroise a augmenté ses réserves d'or de plus d'un dixième pour atteindre 110 tonnes cette année.

Le Premier ministre du pays, Viktor Orban, se réjouit d'être le principal perturbateur de l'UE en raison de ses liens avec le Kremlin et Trump.

La Banque centrale de Budapest a également salué le métal précieux comme valeur refuge. Mais l'or joue un rôle dans l'identité historique du pays.

Le Musée de l'argent, situé dans l'un des palais appartenant à la Banque nationale hongroise, présente une locomotive à vapeur façonnée à partir de barres jaunes. La sculpture, intitulée « Le grondement », représente le personnel de la banque centrale, qui a fui l'armée soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans un train chargé de réserves d'or pour éviter que celui-ci ne tombe entre des mains étrangères.

Les associations ne sont pas moins présentes en Serbie, où le président Aleksandar Vucic, qui, comme Orban, détient une solide emprise sur le pouvoir, a fait rapatrier en 2021 les stocks d'or du pays détenus à l'étranger. Cette année, il a promis d'acheter des lingots avec « chaque excédent d'argent » qui reste dans les caisses de l'État « pour être en sécurité dans les moments difficiles ».

La gouverneure de la banque centrale de Serbie, Jorgovanka Tabakovic, a supervisé un triplement des réserves d'or à 48 tonnes depuis sa prise de fonction en 2012. L'accumulation a été gérée en étroite collaboration avec Vucic, qui a fourni la « réflexion stratégique, la connaissance des relations géopolitiques mondiales et les informations » pour soutenir les achats d'or, a-t-elle déclaré.

« L’or gagne en valeur et en importance en période de turbulences mondiales, notamment en période de conflits géopolitiques et de forte inflation », a déclaré Tabakovic dans une réponse envoyée par courriel à des questions. « Malheureusement, ces dernières années, nous avons vu ces deux facteurs entrer en jeu. »

(Par Peter Laca, Agnieszka Barteczko et Misha Savic)

  
Répondre
cool13 cool13
26/11/2024 16:49:40
0


Le dossier s'épaissit info du jour, a prendre avec réserve

SCOOP RDC économie 26 novembre 2024 Auteur : Owandi Economie

Secteur minier : Les institutions marocaines suspectées de discrimination envers les investisseurs d’Afrique Sub-Saharienne

Le climat des affaires est secoué au Maroc dans le secteur minier par cette affaire qui oppose un groupe d’hommes d’affaires marocains cachés derrière l’Office des Changes et de l’Administration des Douanes à l’homme d’affaires et opérateur économique congolais Luc Gerard Nyafé. Ce dernier qui est un proche du président Félix Tshisekedi pour qui il a servi comme ambassadeur itinérant, actif depuis 2008 dans le secteur des mines dans 6 pays, a investi en 2022 au Maroc en prenant une participation importante dans la Compagnie Minière de Touissit (CMT) ; Entreprise importante du secteur minier marocain mais au potentiel mal exploité, selon l’investisseur.

52 ans, né dans la province de l’Equateur d’un père belge et d’une mère congolaise, Luc Gerard Nyafé est patron depuis 2003 de la holding multi-métiers Strategos Group qui est présente en Amérique latine dans la Santé, les fintech, les infrastructures, les brasseries, le secteur pétrolier et financier.

Depuis 2019, Il pilote aussi Auplata Mining Group (AMG), cotée à la Bourse de Paris. Au Maroc, il atterrit avec ses investissements pour des projets cuprifères et pour l’attrait apparent de ce pays comme plateforme de transformation pour son pôle minier qui s étale du Pérou à la Guyane française et à la Note roads la RDC. C’est ainsi qu’en 2020, son groupe fait l’acquisition indirecte par Auplata Mining Group d’une participation contrôlante de 37,4 % dans la Compagnie minière de Touissit (CMT) finalisée pour un montant total de 83 millions d’euros. Dans cette société, la CIMR détient 14 % du capital, tandis que le reste des parts est détenu par d’autres investisseurs institutionnels et des petits porteurs.

D’après l’influent magazine marocain Le Desk, Luc Gérard s’est dit alors convaincu que le Royaume offrait toutes les conditions politico-économiques pour consolider un groupe minier tel que CMT qui bénéficie d’une capitalisation boursière confortable et d’actifs à développer pouvant fournir des métaux stratégiques aux industries de la transition énergétique. Son management a fait que CMT qui était en baisse, remonte la pente.

En effet, depuis sa prise de participation, CMT a vu son chiffre d’affaires croitre tout comme ses résultats financiers donnant des couleurs à son cours en bourse. Si en 2020, le chiffre d’affaires à fin décembre s’élevait à 430 millions de dirhams (43 millions USD), en baisse de 81 millions de dirhams, soit 8,1 millions USD (-16 %) par rapport à 2019 et que le résultat net était également réduit à 30,32 millions de dirhams (3.020.000USD), le chiffre d’affaires est passé en 2022 à 624 millions de dirhams (62.400.000 USD), tandis que le résultat net dépassait les 209 millions de dirhams (20.900.000 USD). Cette performance, de l’avis partagé des analystes, est consécutive à la restructuration entamée et à une reprise en main du management de Luc Gérard Nyafé.

Tout en fournissant tous ses efforts, l’ancien ambassadeur itinérant du président Tshisekedi ne s’attendait pas à des coups bas des anciens managers de CMT et d’autres concurrents jaloux de son succès, qui ont utilisé sans doute l’Office des changes et de l’Administration des Douanes pour le neutraliser.

En effet, tout part en décembre 2022 lorsque, contre toute attente, l’Office des changes a notifié à CMT un avis de contrôle portant sur six opérations, dont cinq qui remontent à plus de 10 ans avant sa prise de contrôle et liées à l’ancienne gestion de l’entreprise qui elle, n’avait jamais été inquiétée alors que certaines de ces opérations sont prescrites au titre de la réglementation et des lois en vigueur au Maroc.

Dans le détail, l’Office de change pointe un transfert datant de 2013 équivalent à environ 17,34 millions de dirhams (1.734.000USD) au motif de « dépassement du plafond autorisé pour les investissements marocains en dehors de l’Afrique » ; un « non rapatriement en 2015 des recettes de la vente d’actions d’AMG à une société étrangère » pour un montant d’environ 10,4 millions d’euros « avec des paiements supplémentaires non autorisés par la législation en vigueur » ; un autre qui a suivi en 2016 portant sur 91.450 euros « correspondant aux intérêts sur des prêts accordés à une société étrangère avant leur conversion en capital » ; une opération sur 4,4 millions d’euros dont l’utilisation dans le cadre d’un partenariat avec une autre société est jugée « incertaine » et enfin, une sixième opération datant de 2022 portant sur un peu plus de 5 millions de dirhams (500.000USD) relative « aux frais de gestion au bénéfice de la société Osead Gestion », « nécessitant une autorisation préalable de l’Office des Changes ».

De plus, l’Office reproche au nouveau management de CMT le transfert à l’étranger d’un montant de près de 18,7 millions d’euros en faveur d’une société qui, selon lui, « n’opère pas dans le secteur minier » alors qu’il s’agit de financer l’acquisition et le développement des filiales Banro en RDC un fleuron de l’industrie minière aurifère dans notre pays.

Au titre de ses griefs, l’Office des changes a réclamé à l’entreprise un peu plus de 271,7 millions de dirhams (27.170.000USD) au titre des transferts irréguliers et environ 115,65 millions de dirhams (11.565.000USD) pour défaut de rapatriement.

Bien que la CMT ait argumenté et documenté ses réponses pour chacune des opérations et proposé des accords transactionnels, le dossier a été transmis à la Douane, qui a invité la CMT à faire une proposition de transaction avec un délai de 15 jours conformément aux textes en vigueur.

Cependant, et sans attendre l’expiration du délai, la Douane a transmis le dossier au Procureur du Roi près le tribunal de première instance le même jour, soit immédiatement à l’ouverture du délai imparti. Des demandes civiles ont été déposées pour réclamer la somme de plus de 2,3 milliards de dirhams, soit 230 millions USD.

Par voie de presse, CMT apprendra qu’une saisie conservatoire a été placée sur son fonds de commerce pour ce même montant.

Après enquête de la police judiciaire à la demande du procureur, ce dernier a cependant pris des décisions favorables à l’entreprise : les opérations effectuées en 2013, 2015 et 2016 sont prescrites en raison de l’écoulement du délai de quatre ans depuis la commission des infractions. Celles réalisées en 2020 et 2022 ne constituent pas des infractions et sont classées et enfin, seule l’opération réalisée en mars 2022, d’un montant d’environ 5 millions de dirhams (500.000 USD), fait l’objet de poursuite devant le tribunal correctionnel.

A la demande du cabinet Bassamat & Laraqui, conseil de CMT, le procureur du Roi a remis une attestation confirmant ces décisions sur lesquelles CMT a communiqué conformément aux exigences règlementaires imposées.

Contre toute attente, le lendemain, la Douane déposera une demande de déclassement des plaintes et des poursuites arguant du défaut de prescription des infractions en les qualifiant « d’infractions continues » sans discuter les deux autres opérations que le procureur avait considéré non délictuelles.

Sans en être formellement notifiée, CMT va apprendre de canaux informels mais également de l’autorité des marchés financiers que le parquet avait déclassé toutes les infractions et décidé de poursuivre la société, non seulement pour les infractions prescrites, mais également pour celles pour lesquelles il avait considéré qu’aucune infraction n’était reprochée à l’entreprise.

Politique de « Qui veut noyer son chien… »

Pour plusieurs analyste du Droit OHADA, le diktat de l’Office des changes sur des opérations datant pour la plupart de plusieurs années, doublé d’une requête expresse de la Douane visant l’obtention du déclassement des plaintes et des poursuites sur la base d’arguties contestables, en contradiction avec la première décision du parquet, témoigne, non seulement la politique de « qui veut noyer son chien, l’accuse de rage », mais aussi démontre un acharnement raciste des institutions marocaines qui manifestent la volonté concertée d’étouffer une société d’un entrepreneur étranger.

Non sans raison, car pendant toutes les années que CMT n’était pas dirigée par Luc Gerard Nyafé, aucune alerte significative ne venait des analystes boursiers et encore moins de l’Autorité des marchés financiers (AMF) ou de l’Office des changes qui, pendant une décennie, ne posaient aucune interrogation sur les comptes annuels exposés publiquement par l’entreprise.

Il s’avère que l’Office des changes et de l’Administration des Douanes sont instrumentalisés dans cette affaire et font le paravent des anciens managers de CMT qui en veulent au Congolais pour le déposséder de la société et l’éloigner de celle-ci.

Et ce qui est grave, Luc Gerard Nyafé et sa société CMT ont été condamnés le 15 octobre dernier en première instance dans un procès où la tenue des audiences ne leur a jamais été signifiée. Poursuivis pour « défaut de rapatriement de 13,5 millions USD », suite à la plainte pénale de la Douane du 5 juin 2024, le PDG de CMT s’est vu infliger une peine de six mois de prison avec sursis tandis que sa société devait verser 827 millions de dirhams d’amende, soit 82,7 millions USD.

Plainte au parquet financier de Paris

Victime de l’injustice des instances marocaines, Luc Gerard Nyafé a saisi le 4 juin dernier le Parquet financier du Tribunal judiciaire de Paris pour « tentative d’extorsion en bande organisée ». Sa plainte est dirigée beaucoup plus contre ses anciens collaborateurs dans AMG, CMT, OMM et Osead Gestion, qui veulent noyer le groupe par une guérilla judiciaire, des menaces et des campagnes de diffamation dans la presse pour dévisser le cours en bourse, tout ça pour faire valoir de nouvelles offres de reprise au plus bas du marché.

On parle également d’une plainte auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), où le Maroc apparaît comme un des pays qui compte le plus de plaintes déposées.

La question légitime qui se pose en haut lieu à Kinshasa est celle de savoir pourquoi le tapis rouge est déroulé aux investisseurs marocains en RDC comme Managem dans le secteur minier, Royal air Maroc dans le secteur aérien ? Et malgré les beaux discours de Rabat sur l’ouverture à l’Afrique, cette ouverture semble à sens unique car l’Afrique sub-saharienne est vue une fois de plus comme un marché où l’on vient se servir mais on ferme la porte aux seuls investisseurs congolais au Maroc.

Ces investisseurs congolais espèrent que le président Tshisekedi qui a mis en avant le développement économique du milieu des affaires congolais ne saurait rester indifférent à cette situation.

Dossier à suivre !

  
Répondre
cool13 cool13
22/11/2024 17:11:36
0

Recherche comptable très, très, très, très expérimenté, ayant les moyens de travailler très, très, très, très rapidement !!! dédommager en lingots d'or

gardon les bonne vieille habitude

Communiqué de presse
21 nov 2024 – 18 h 00

Tenue de l'assemblée générale d'AMG

AMG annonce que le Tribunal Mixte de Commerce de Cayenne a rendu une ordonnance le
20 novembre 2024 accordant la prorogation de la tenue de l'assemblée au plus tard le 31
décembre 2024.

Du fait des différents reports de la tenue de l'assemblée générale d'approbation des
comptes de l'exercice clos le 31 décembre 2023, AMG est contrainte de reporter la
publication de ses comptes semestriels 2024.

La Société tiendra informé le marché du calendrier.

https://auplatamininggroup.com/wp-content/uploads/2024/11/CP-Report-AG-21.11.2024.pdf

  
Répondre
cool13 cool13
25/10/2024 10:55:52
0

Pendent Qu’Auplata ce débat, dans une ambiance pétaudières
( https://www.youtube.com/watch?v=l_9PJHZgkuY ) dédicace.

Bon restons sérieux ; 25 octobre 2024 Par : Bloomberg

Les mineurs d'or paralysés par les coûts risquent de perdre le boom des lingots

Les prix de l'or sont à des niveaux records. Mais les résultats décevants du plus grand producteur mondial de signaux de métaux jaunes ont peut-être du mal à tirer parti de la demande.

Les actions de Newmont ont plongé le plus en plus de 25 ans, a chuté de 15 % après que la société basée à Denver a enregistré des bénéfices, des revenus et des marges bénéficiaires qui ont échoué aux estimations des analystes au troisième trimestre, entraînés par des coûts plus élevés pour la main-d'œuvre, le diesel et d'autres dépenses d'exploitation. Les principaux rivaux de Barrick Gold et d'Agnico Eagle Mines ont également vu leurs parts chuter.

Les analystes avaient de grands espoirs pour l'industrie, l'or étant l'un des produits de base les plus performants cette année, dépassant plus de 30 % des perspectives de baisse des taux d'intérêt et des turbulences géopolitiques. Mais les résultats de Newmont ont révélé que les grands producteurs d'or sont toujours aux prises avec des pressions inflationnistes, en particulier en ce qui concerne les coûts de main-d'œuvre, qui ont duré plus longtemps que prévu.

« Il y a ici une lecture potentielle, en supposant que les points de vue de Newmont sont exacts, qu’il s’agit d’un facteur de risque pour l’industrie », a déclaré Josh Wolfson, analyste des mines chez Royal Bank of Canada.

Newmont a gagné 80 cents par action, bien en deçà de l'estimation moyenne de 89 cents parmi les analystes interrogés par Bloomberg. Les recettes, qui ont également dépassé les estimations, ont également suivi les estimations, de même que sa marge bénéficiaire brute, qui est tombée en dessous de 50 %.

La société a déclaré qu'elle avait dépensé plus pour déterrer le métal précieux dans ses mines en Australie, au Canada, au Pérou et en Papouasie-Nouvelle-Guinée qu'au cours du trimestre précédent. Les dépenses de capital ont augmenté de 10 % en raison de projets d'expansion en Australie et en Argentine, tandis que certaines des dépenses les plus élevées de l'entreprise provenaient d'actifs majeurs qu'elle a repris par la prise de contrôle de Newcrest Mining de 15 milliards de dollars l'année dernière.

Certaines de ces questions de coût sont spécifiques à l'entreprise, et ne sont pas nécessairement indicatives d'une tendance plus large de l'industrie. Newmont entreprend des travaux d'entretien coûteux dans sa mine de Lihir en Papouasie-Nouvelle-Guinée - une opération notoirement complexe dans une région reculée - et il a dépensé plus pour relancer sa mine de Cerro Negro en Argentine après l'arrêt des opérations en raison de la mort de deux travailleurs en avril.

Mais les coûts croissants de l'entreprise pour les travailleurs pourraient signaler des problèmes dans l'ensemble de l'industrie.
« C’est le coût de la main-d’œuvre où nous assistons à cette escalade », a déclaré le PDG Tom Palmer aux analystes lors d’une conférence téléphonique jeudi.

« Que ce soit des arrêts de maintenance, des services d’entretien que vous utilisez pour compléter votre main-d’œuvre, des coûts de fonctionnement des camps, des coûts de vol pour les personnes à destination et en provenance des camps – c’est là que nous voyons une escalade au-delà de ce que nous avions supposé au début de l’année. »

Les actions des sociétés minières ont toujours été considérées comme offrant de meilleurs rendements que la possession du métal, en partie en raison d'options d'investissement plus importantes et de paiements d'actionnaires, mais cette relation s'est effondrée au cours des 15 dernières années, les grandes extensions ayant laissé les producteurs avec de grandes dettes et des actionnaires en colère.
Les revenus de Newmont servent également de prévisualisation pour le Canadien Barrick, qui partage un complexe minier géant avec Newmont dans le Nevada. Les mines du Nevada produisaient moins d'or par rapport au trimestre précédent.

Malgré la déception des investisseurs, les mineurs d'or sont toujours aidés par le boom des lingots : Newmont a affiché son plus grand bénéfice trimestriel en cinq ans, ragoûtant de 922 millions de dollars. Les analystes s'attendent à ce que Newmont soit en bonne voie pour réaliser 3,2 milliards de dollars de bénéfices cette année, ce qui serait un record pour la société.

Même après le plongeon d’aujourd’hui, les parts de Newmont ont augmenté de 19% cette année.

Barrick, Agnico et d'autres grands producteurs, dont AngloGold Ashanti et Gold Fields, devraient également faire des bénéfices exceptionnels d'ici la fin de l'année.
« Les attentes de la rue étaient trop élevées », a déclaré Carey MacRury, analyste des mines chez Canaccord Genuity qui recommande aux investisseurs d’acheter les actions. « C’était négatif, sans aucun doute, mais je ne pense pas que ce soit aussi négatif que ce que le marché nous dit aujourd’hui. »

  
Répondre
cool13 cool13
22/10/2024 17:13:27
0

Casablanca, le 22 octobre 2024
Responsable communication financière

À propos de CMT
La Compagnie Minière de Touissit (CMT) est leader au Maroc dans la production des concentrés
de plomb argentifère de haute qualité. Elle produit en outre des concentrés de zinc argentifère.
CMT dispose de 4 sites de production et emploie 486 personnes à travers le Maroc. Ses ressources
techniques et humaines lui permettent de produire des métaux utiles au développement
économique et technologique à travers le monde. CMT est une filiale d’Auplata Mining Group -
AMG, un groupe minier polymétallique d’exploration et d’exploitation minières coté à la Bourse de
Paris - Euronext Growth, présent également en Guyane française et au Pérou.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

La Compagnie Minière de Touissit (CMT) annonce apprendre hier par les réseaux
sociaux et la presse que le tribunal a condamné M. Luc Gérard à une peine
d’emprisonnement avec sursis et à une amende conjointement avec CMT.

Bien que le jugement rendu mentionne « que la CMT et M. Luc Gerard ont été
régulièrement convoqués à l’audience du 8 octobre 2024 et n’ont pas comparu », la
société tient à préciser qu’elle n’a jamais reçu une quelconque convocation et qu’il
en est de même pour M. Luc Gérard.

CMT a d’ailleurs pu retirer copie du dossier du tribunal et il est établi qu’aucune
convocation n’a été ni adressée ni reçue, ce qui soulève des questions sérieuses
quant à la validité de la procédure et donc du jugement.

Ce jugement fait suite à une plainte de la Douane du 5 juin 2024 basée sur un non-
rapatriement de fonds d’un montant de 13.717.041,98 USD. La CMT précise que lesdits
fonds ont été intégralement rapatriés entre le 12 juin et le 12 août 2024, et qu’elle a
tenu régulièrement informée l’Office des changes desdits rapatriements.

Face à ces circonstances, CMT et M. Luc Gerard ont pris la décision d’exercer toutes
les voies de recours contre cette décision judiciaire, qu’ils considèrent comme une
transgression des règles procédurales et des droits de la défense.

Dans le contexte actuel, pour protéger l’intégrité et la réputation de la CMT et
permettre à M. Luc Gerard de se consacrer pleinement à sa défense, ce dernier a
choisi de se retirer de ses fonctions de Président du Conseil d’Administration et de
Directeur Général, ainsi que de son poste d’administrateur, dès la nomination d’un
nouveau Président Directeur Général, et au plus tard lors de la prochaine assemblée
générale des actionnaires.

La CMT réaffirme son engagement à maintenir les plus hauts standards de
conformité réglementaire.

https://www.cmt.ma/wp-content/uploads/2024/10/CP-CMT-Oct.-2024.pdf

  
Répondre
cool13 cool13
22/10/2024 17:06:52
0

avec réserve Origine et publication, traduction non garantie.


Informatif sur les procédures de faillite et les sorties de marché | 21 octobre 2024

Après une longue et fructueuse relation professionnelle, en novembre 2012, Estudio Echecopar a décidé de s'associer au prestigieux cabinet mondial Baker & McKenzie International. Cette association a démontré le leadership d'Estudio Echecopar, au niveau national et régional, en devenant le premier cabinet d'avocats mondial au Pérou et une référence internationale. Grâce à cette étape importante dans son développement institutionnel, Estudio Echecopar est devenu une entreprise leader dans la fourniture de services répondant aux normes internationales les plus élevées, avec des professionnels expérimentés possédant le plus haut niveau académique et pleinement intégrés au monde. De même, l'association avec Baker McKenzie nous permet de fournir des services juridiques à partir de plateformes technologiques de pointe et différenciées de manière compétitive.

https://www-echecopar-com-pe.translate.goog/publicaciones-informativo-de-procedimientos-concursales-y-salidas-del-mercado-21-de-octubre-2024.html?_x_tr_sl=es&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc


Avec les réserves habituelles, la prudence est de mise, je ne suis pas Conseiller Financier, sans valeur.

  
Répondre
cool13 cool13
22/10/2024 11:24:01
0

AUCUN COMMUNIQUÉ DE PRESSE PUBLIER, DE LA PART DE CMT MAROC POUR L’INSTANT

sa viens de tomber

boursenews.ma
CMT : Luc Gerard se retire de ses fonctions de Président et de DG pour se consacrer à sa défense
2–3 minutes

Dans un communiqué publié ce 22 octobre, la société indique que bien que le jugement rendu mentionne "que la CMT et Luc Gerard ont été régulièrement convoqués à l'audience du 8 octobre 2024 et n'ont pas comparu", la société tient à préciser qu'elle n'a jamais reçu une quelconque convocation et qu'il en est de même pour M. Luc Gérard.

CMT a d'ailleurs pu retirer copie du dossier du tribunal et il est établi qu'aucune convocation n'a été ni adressée ni reçue, ce qui soulève des questions sérieuses quant à la validité de la procédure et donc du jugement. Ce jugement fait suite à une plainte de la Douane du 5 juin 2024 basée sur un non- rapatriement de fonds d'un montant de 13.717.041,98 USD. La CMT précise que lesdits fonds ont été intégralement rapatriés entre le 12 juin et le 12 août 2024, et qu'elle a tenu régulièrement informée l'Office des changes desdits rapatriements.

Face à ces circonstances, CMT et M. Luc Gerard ont pris la décision d'exercer toutes les voies de recours contre cette décision judiciaire, qu'ils considèrent comme une transgression des règles procédurales et des droits de la défense.

Dans le contexte actuel, pour protéger l'intégrité et la réputation de la CMT et permettre à M. Luc Gerard de se consacrer pleinement à sa défense, ce dernier a choisi de se retirer de ses fonctions de Président du Conseil d'Administration et de Directeur Général, ainsi que de son poste d'administrateur, dès la nomination d'un nouveau Président Directeur Général, et au plus tard lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires. La CMT réaffirme son engagement à maintenir les plus hauts standards de conformité réglementaire.

https://boursenews.ma/article/alaune/CMT-luc-gerard-defense

  
Répondre
cool13 cool13
22/10/2024 09:32:06
0

Faute de résultat comptable, pour Auplata ; sacrée ambiance du côté du Maroc !!!

Media Maroc le desk publier le 21.10.2024 à 17h57

Exclusif ; affaire CMT : Luc Gerard Nyafe (condamné sans avoir été convoqué par la justice)

Suite à une plainte pénale des douanes datant du 5 juin, la compagnie minière de touissit (CMT) et de son PDG Luc Gerard Nyafe ont été condamnes en premier instance le 15 octobre pour (défaut de rapatriement) de 13,7 M$. Ni ce dernier, qui a écoper d’une peine de six mois de prison avec sursis et a verser une amande de 827MDH, ni sa société n’avaient été notifier de leurs convocation, détail exclusifs sur ledesk.ma


https://ledesk.ma/2024/10/21/affaire-cmt-luc-gerard-condamne-sans-avoir-ete-convoque- par-la-justice/

Sur différends media marocaine ;

Media24

https://medias24.com/2024/10/21/luc-gerard-nyafe-pdg-de-la-cmt-condamne-a-la-prison-avec-sursis-et-a-une- amende-de-827-mdh/

la vieeco

https://www.lavieeco.com/affaires/le-pdg-de-cmt-condamne-a-6-mois-de-prison-avec-sursis-et-827- mdh-damende/


A priori sur le portail du ministère de la justice (MAHAKIM.MA), qui ne précise pas le nom de la société en question

Avec les réserves habituelles, la prudence est de mise, je ne suis pas Conseiller Financier, sans valeur.

Message complété le 22/10/2024 09:50:36 par son auteur.

premiers commentaires

https://boursenews.ma/article/marches/Affaire-Luc-Gerard-Nyafe-CMT-Les-premiers-commentaires

Message complété le 22/10/2024 11:00:22 par son auteur.

Maroc
Déjà condamné, l'homme d'affaires Luc Gérard Nyafé face à un deuxième procès
Le patron de la Compagnie minière de Touissit a écopé de 827 millions de dirhams et six mois de prison avec sursis au début du mois. Il attend un deuxième procès prévu pour le 25 octobre. [...]
Publié le 22/10/2024 à 4h40 GMT Par AFRICA intelligence

  
Répondre
cool13 cool13
07/10/2024 08:07:27
0

TotalEnergies envisage une incursion dans le négoce du cuivre, la chine ne vas pas apprécier, partager le gâteau !!!

Reuters | 6 octobre 2024 | 9h39 Marchés Cuivre Pétrole et gaz

TotalEnergies envisage une incursion dans le négoce du cuivre

Le groupe français TotalEnergies envisage de se lancer dans le négoce du cuivre, en étendant ses activités de négoce de pétrole aux métaux pour capitaliser sur la transition énergétique mondiale, a rapporté dimanche le Financial Times .

Le géant pétrolier « étudie la possibilité » de négocier du cuivre, a déclaré Rahim Azouni, vice-président senior du trading de brut, de carburant et de produits dérivés, lors d'une conférence à huis clos à Londres mercredi, a indiqué le FT .

Azouni a déclaré que la société n'avait pas encore décidé si elle allait procéder à une telle opération, a indiqué le journal, citant des personnes qui avaient entendu ses propos.

TotalEnergies n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire de Reuters .

L'entreprise suivrait ainsi Vitol, le premier négociant mondial en énergie, qui s'est diversifié cette année dans le négoce de métaux.
La transition énergétique, qui comprend les véhicules électriques et les technologies d’énergie renouvelable, nécessitera de grands volumes de métaux, notamment l’aluminium, le cuivre, le nickel et le cobalt, offrant des opportunités lucratives pour les négociants.
(Par Shivani Tanna ; édité par William Mallard)

  
Répondre
cool13 cool13
04/10/2024 11:18:56
0

L’écologie, devra intégrer les futurs projets miniers, le circuit de l’extraction aux recyclages, nouvelle aventure économique du futur.

en complément

  
Répondre
cool13 cool13
04/10/2024 11:16:49
0

L’écologie, devra intégrer les futurs projets miniers, le circuit de l’extraction aux recyclages, nouvelle aventure économique du futur.

L'industrie minière a besoin de 2,1 billions de dollars de nouveaux investissements d'ici 2050 pour répondre à la demande nette zéro de matières premières, selon un nouveau rapport de BloombergNEF

Le rapport Transition Metals Outlook 2024 révèle que le coût des technologies énergétiques propres pourrait augmenter sans un investissement urgent dans l’approvisionnement en métaux pour remédier aux déficits imminents.

NEW YORK – 3 octobre 2024 – Malgré la croissance de l’offre de métaux au cours de la dernière décennie, le rapport annuel Transition Metals Outlook de BloombergNEF (BNEF) révèle qu’il n’y a toujours pas assez de matières premières pour répondre à la demande croissante. Cette restriction de l’offre pourrait ralentir l’adoption de technologies énergétiques propres. Afin de répondre aux exigences d’un monde à zéro émission nette, BNEF estime que 2,1 billions de dollars sont nécessaires en nouveaux investissements miniers d’ici 2050.

Le rapport indique que les métaux clés de la transition énergétique, tels que l’aluminium, le cuivre et le lithium, pourraient être confrontés à des déficits d’approvisionnement primaire au cours de cette décennie, voire dès cette année pour certains d’entre eux. Selon le scénario de transition économique (ETS) du BNEF, qui repose sur la compétitivité des coûts des technologies et ne suppose aucun nouveau soutien politique, le monde pourrait avoir besoin de 3 milliards de tonnes de métaux entre 2024 et 2050 pour développer correctement des solutions à faible émission de carbone, telles que les véhicules électriques, les éoliennes et les électrolyseurs. Ce chiffre s’élève à 6 milliards de tonnes pour atteindre la neutralité carbone en 2050.

Kwasi Ampofo, responsable des métaux et des mines à la BNEF et auteur principal du rapport, a déclaré : « Le déficit prolongé de ces métaux entraînera une hausse des prix des matières premières, ce qui augmentera le coût des technologies énergétiques propres. Des coûts élevés pourraient ralentir leur adoption et la transition énergétique dans son ensemble ».

Le recyclage pourrait contribuer à alléger la pression, BNEF s’attendant à ce que la production de sources secondaires devienne partie intégrante de la chaîne d’approvisionnement des métaux de transition énergétique. Il présente en outre l’avantage de réduire les émissions du cycle de vie de l’approvisionnement.

Selon Allan Ray Restauro, associé en métaux et mines chez BNEF, « de bonnes politiques gouvernementales sont essentielles au succès de l’industrie. Pour les batteries et le stockage stationnaire, les gouvernements doivent établir des réseaux de collecte, définir les exigences en matière de taux de récupération, développer les cadres de traçabilité des cellules individuelles et fournir les principes de gestion des batteries de seconde vie. Ces actions peuvent permettre de créer un système robuste qui supervise l’ensemble du cycle de vie des métaux des batteries. »

Le rythme de croissance de la demande variera selon les régions. En Chine, par exemple, la consommation a dépassé la moyenne mondiale entre 2020 et 2023, mais l'utilisation des métaux de transition énergétique dans le pays devrait culminer en 2030. Selon l'ETS de BNEF, l'Asie du Sud-Est devrait devenir le marché qui connaîtra la croissance la plus rapide pour les métaux de transition énergétique dans les années 2030. L'ajout de valeur à l'industrie minière en amont à grande échelle de la région, pour répondre à cette demande, pourrait accélérer son industrialisation, tout en contribuant à réduire les émissions mondiales.

  
Répondre
cool13 cool13
02/10/2024 10:15:04
0

Traduction non garantie, extrait sans valeur;

Les actions aurifères progressent !!!!!!!
Adam Hamilton 27 septembre 2024 ZEAL SPECULATION AND INVESTMENT

À la mi-août, les résultats stupéfiants du deuxième trimestre 2024 des 25 plus grandes sociétés minières d'or du GDX. Le prix moyen trimestriel record de l'or de 2 337 $ au deuxième trimestre a alimenté des bénéfices record de 1 099 $ l'once parmi les principales sociétés minières d'or ! Ce chiffre a grimpé en flèche de 83,7 % sur un an, s'appuyant sur les magnifiques croissances annuelles des bénéfices unitaires des trois trimestres précédents de 93,8 %, 42,3 % et 34,9 % ! Les nouveaux résultats du troisième trimestre, publiés principalement début novembre, accéléreront cette tendance.

Alors que le troisième trimestre est presque terminé, l'or a atteint en moyenne un nouveau record épique de 2 469 $ l'once jusqu'à présent ! Ce prix a grimpé de 28,2 % en glissement annuel, soit la plus forte hausse du prix de l'or depuis le troisième trimestre 2020. Dans le même temps, les principaux mineurs d'or prévoient généralement une production plus élevée et donc des coûts d'extraction plus faibles au cours du second semestre de cette année. Les coûts de maintien tout compris des 25 principaux producteurs d'or du GDX se sont élevés en moyenne à 1 258 $ l'once au premier semestre 2024, donc 1 250 $ au troisième trimestre serait très conservateur.

Cela implique que les bénéfices unitaires du secteur grimpent à un autre record de 1 219 $+ au cours de ce troisième trimestre presque terminé ! Cela donnerait lieu à une croissance stupéfiante des bénéfices de plus de 96 % en glissement annuel, ce qui serait la plus élevée observée au cours des 33 trimestres pendant lesquels j'ai fait avancer ce fil de recherche approfondi ! Les résultats à succès des sociétés minières aurifères devraient vraiment attirer l'attention des investisseurs professionnels. Les bénéfices énormes feront également baisser encore davantage les valorisations, ce qui laissera plus de bonnes affaires.

La psychologie des actions aurifères dépend de l'engagement des traders, qui va augmenter à mesure que l'or continue de grimper et que les actions aurifères publient les meilleurs résultats trimestriels de l'ensemble des marchés boursiers. Cela remplacera l'apathie par une hausse croissante, qui finira par se transformer en cupidité puis en euphorie. À mesure que les investisseurs et les spéculateurs seront de plus en plus motivés à rechercher l'or et la hausse des actions aurifères, leurs entrées de capitaux accéléreront ces gains

.
Avec les réserves habituelles, la prudence est de mise, je ne suis pas Conseiller Financier, sans valeur.

  
Répondre

Forum de discussion Auplata Mining Gr

202412211107 992382
logiciel chart 365 Suivez les marchés avec des outils de pros !

Chart365 par ABC Bourse, est une application pour suivre les marchés et vos valeurs favorites dans un environnement pensé pour vous.
Mes valeurs