Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Société | Historiques | Vie du titre | Secteur | Forum |
MAJ
Répondre
|
En attendant le miracle force est de voir que le titre ne bouge plus que dans un canal étroit entre 13 et 14 euros depuis le 10 Octobre dernier.
Alors maintenant il va falloir attendre de nouveau des "chiffres" ou au moins une communication importante pour vraiment bouger dans un sens ou dans l'autre.
Répondre
|
Il ne tombe toujours pas de neige
mais noël approche
alors pourquoi pas croire à un miracle ?
oui je sais, c'est un peu léger comme argument !
Répondre
|
Résultats publiés :
Répondre
|
en forme avant les résultats
Par Jean-Baptiste André Publié le 29/10/2024 à 13h58
(Boursier.com) — Ubisoft prend 3,7% à 13,9 euros à la veille de sa publication semestrielle. Le consensus 'Bloomberg' attend des net bookings de 655,6 millions d'euros sur la période avec une perte opérationnelle ajustée de 125,5 ME pour des revenus de 685,3 ME.
L'éditeur de jeux vidéo sera particulièrement suivi après son avertissement de fin septembre. Les investisseurs seront désireux de savoir à quel point les pressions sont fortes et quel impact les sorties retardées de jeux pourraient avoir sur les bénéfices en 2025 et au-delà. Le groupe vise sur l'exercice 2024-2025 un 'net bookings' d'environ 1,95 milliard d'euros, ainsi qu'un résultat opérationnel non-IFRS et un flux de trésorerie libre proches de l'équilibre. La question d'un éventuel rachat de Tencent devrait également être évoquée.
Citi ('achat') déclare que la récente réduction des prévisions a matérialisé ses "pires craintes" concernant les performances du dernier 'Star Wars'. Citée par 'Bloomberg', la banque affirme que le lancement d'une révision formelle du modèle opérationnel du groupe en mettant l'accent sur l'efficacité est encourageant et la firme pourrait annoncer davantage d'économies de coûts.
'Bloomberg Intelligence' explique de son côté que le report du jeu Assassin's Creed Shadows de novembre à février signifie que la société manquera la saison des fêtes de fin d'année, c'est pourquoi elle s'attend à ce que les réservations nettes de l'exercice 2025 chutent de 16% par rapport à ce qui aurait pu être une augmentation à un seul chiffre auparavant, selon les estimations du consensus. La sous-performance des titres 'Star Wars — Outlaws' et 'XDefiant' récemment sortis pose des risques supplémentaires, bien que ceux-ci puissent être atténués dans une certaine mesure par un engagement continu dans des titres du catalogue précédent tels que 'Rainbow Six Siege', 'Assassin's Creed Mirage et Valhalla'. BI estime par ailleurs qu'un rachat potentiel par Tencent risque d'échouer en raison de la réglementation française.
Répondre
|
Bonjour
Décompte Bull
MM 20 : 12.07
Répondre
|
RUMEURS DE RACHAT, GRÈVE, VENTES EN BERNE: L'AVENIR D'UBISOFT EN QUESTION
13/10/2024
"Que se passe-t-il chez Ubisoft ?" La question agite l'industrie du jeu vidéo alors que le géant français vacille en Bourse et fait face à une nouvelle grève à partir de mardi, sur fond de rumeurs de rachat.
- Dégringolade boursière
L'éditeur de franchises comme "Assassin's Creed" et "Just Dance" a connu une période faste à la fin des années 2000 puis au tournant des années 2020, rivalisant avec les géants américains et japonais.
Mais en quelques années, son cours de Bourse s'est effondré jusqu'à atteindre en septembre son plus bas niveau en 10 ans.
"Ubisoft souffre d'un enchaînement de sorties qui n'atteignent pas le succès escompté", estime Oscar Lemaire, du site spécialisé Ludostrie, citant notamment le jeu de pirates "Skull and Bones" et le nouvel épisode de "Prince of Persia".
Fin septembre, le fondateur et PDG d'Ubisoft, Yves Guillemot, a admis que les premières ventes de "Star Wars Outlaws", sorti fin août, étaient "plus faibles que prévu", forçant Ubisoft à revoir à la baisse ses objectifs financiers.
Et la sortie du prochain épisode de sa série la plus populaire, "Assassin's Creed", a été repoussée de trois mois pour permettre aux équipes de le peaufiner.
"Ils savent qu'ils ne peuvent pas rater leur coup", anticipe Oscar Lemaire. Un nouvel échec serait désastreux pour Ubisoft.
- Formule "vieillotte"
Si sa formule de jeu "en monde ouvert" - où le joueur peut explorer à sa guise un univers virtuel - faisait autorité dans les années 2010, "elle commence à être un peu vieillotte", souligne le créateur de Ludostrie.
"Ce qui freine Ubisoft, c'est son manque d'adaptation à l'évolution de l'industrie", renchérit Martin Szumski, analyste financier chez Morningstar.
Depuis le succès de jeux en ligne comme "Fortnite", qui génèrent d'importants revenus chaque mois grâce à du contenu vendu dans le jeu, tous les gros éditeurs essayent de copier cette recette dite de "jeu service".
Ubisoft a fait ce pari en mai avec le jeu de tir "XDefiant" mais le titre n'a pas répondu aux "attentes", selon Yves Guillemot.
En ratant ce coche, Martin Szumski estime qu'Ubisoft se retrouve "en retard par rapport au reste de l'industrie".
- Grogne sociale
Avec près de 45 studios en France et à l'étranger (Canada, Italie, Chine...) et environ 19.000 employés, Ubisoft est l'une des plus grandes entreprises du secteur.
Mais elle n'a pas été imperméable à la crise que traverse l'industrie du jeu vidéo depuis deux ans. Annoncé en janvier 2023, son plan de réduction des coûts s'est traduit par le départ de 1.700 personnes en 18 mois.
En France, où Ubisoft emploie 4.000 personnes, la grogne monte autour des conditions de travail et des salaires.
Après un premier mouvement de grève qui a mobilisé près de 700 personnes en février - l'un des plus importants dans le secteur -, plusieurs syndicats appellent à un débrayage de trois jours à partir de mardi pour protester contre la décision d'imposer au moins trois jours par semaine de travail en présentiel.
"Nous examinons actuellement comment affiner (notre modèle) pour mieux équilibrer les avantages du travail à distance et au bureau", a indiqué Ubisoft après une rencontre avec les syndicats mardi dernier.
- Vers un rachat?
Le 4 octobre, l'agence Bloomberg faisait état d'un potentiel rachat d'Ubisoft par le géant chinois de la tech Tencent et la famille Guillemot, actionnaire principal du groupe, pour le sortir de la Bourse.
Ubisoft "examine régulièrement toutes ses options stratégiques" et "informera le marché en temps voulu, si nécessaire", a réagi l'entreprise.
Tencent, avec qui les frères Guillemot ont scellé une union en 2022 pour garder la main sur l'entreprise, détient près de 10% du capital - seuil qu'il n'a pas le droit de franchir avant 2030, selon l'accord -, tandis que la famille Guillemot en possède autour de 14%.
"Si un rachat a lieu, Tencent va probablement faire pression pour avoir plus de contrôle qu'auparavant", juge Martin Szumski, "même si la famille Guillemot veut conserver autant que possible la gestion de l'entreprise".
"Tencent est très fort sur le marché chinois, surtout dans le domaine des jeux mobiles et les +free-to-play+ (jeux gratuits)", explique Oscar Lemaire. Un rachat lui permettrait de mettre un pied dans le marché occidental et les jeux à gros budgets dont Ubisoft est spécialiste.
Sortir de la Bourse ne serait pas nécessairement négatif pour Ubisoft, "pour mettre en ?uvre sa stratégie sans être constamment surveillé par les marchés", affirme Michael Hodel, analyste pour Morningstar.
"A court terme, c'est un moyen pour les Guillemot d'être tranquilles. Mais ça laisse une épée de Damoclès au-dessus de leur tête", conclut Oscar Lemaire.
Répondre
|
Retour dans le gap
Répondre
|
Rachat d’Ubisoft : le studio réagit aux rumeurs, et confirme que tout est possible
8 octobre 2024
Rachat d'Ubisoft : le studio reconnaît envisager toutes les options pour se sortir de la crise
Alors que tout le monde parle d’un potentiel rachat d’Ubisoft pour sortir de la crise, le studio a décidé de réagir.
Le feuilleton de la crise d’Ubisoft continue et il n’est pas prêt de s’arrêter. Après avoir encaissé le crash de Star Wars : Outlaws, le studio cherche des solutions pour ne pas poursuivre son piqué en bourse. La première de ses tactiques a été de repousser la sortie d’Assassin’s Creed Shadows (qui est désormais prévu pour février 2025) et de repenser toute sa stratégie commerciale.
Dans un deuxième temps, Yves Guillemot (patron d’Ubisoft) a lancé une enquête dans sa propre compagnie pour découvrir ce qui peut bien causer tant de soucis dans le développement de ses jeux (un sacré mystère). Enfin, il serait en discussion avec ses plus importants partenaires pour réfléchir à quelques options d’urgence pour sauver son entreprise du naufrage. L’une d’elles serait le retrait en bourse d’Ubisoft et son rachat par le géant chinois Tencent.
D’après un rapport de Bloomberg datant du 4 octobre, Tencent, qui détient déjà environ 10 % des actions d’Ubisoft, aurait engagé le dialogue avec la famille Guillemot pour réfléchir à comment stabiliser la situation de l’entreprise. Il n’est pas étonnant que l’investisseur chinois se mette enfin à bouger après un an de chute constante dans la bourse. Un effondrement qui s’est accéléré ces dernières semaines.
L’idée de rendre Ubisoft privé (c’est-à-dire qu’elle retire ses actions de la bourse pour en reprendre un contrôle total) serait l’une des pistes explorées. Tencent pourrait alors racheter entièrement l’éditeur. Cependant, les discussions en sont encore à un stade préliminaire, et aucune décision définitive n’a été prise.
Répondre
|
https://www.abcbourse.com/graphes/temp/p1ugm51w.d4y.png
Qq soit le niveau de retracement 14.38-14.64 pour viser + haut je pense refermer gap a 18€ sans casser 12.50-12.99
Répondre
|
Bonjour,
Retracement en cours
cible 12.20
le 5 bleu serait à 18,57
Répondre
|
Ce ne sera pas une montée vertigineuse c'est sûr !!! Il risque même d'y avoir des à-coups brutaux avec ceux qui vont vite prendre leurs bénéfices. Ceci dit, il faudra bien que la situation se décante car Tencent le vrai maître des horloges ne veut bien entendu pas risquer de perdre l'avantage qu'il s'est octroyé en aidant la famille Guillemot à sortir des risques d'OPA.
Et une sortie de la bourse avant que le titre ne remonte un peu trop (si le nouvel opus d'Assassin's Creed fait mieux qu'attendu) n'est pas dans les choses impossibles. Tencent a payé ses 10% au prix fort (plus de 70 euros) et reprendre le tout entre 18 et 20 euros devrait être pour lui une bonne affaire.
Répondre
|
La Mm40 et un gap comme obstacle !
Si le marché veut être gourmand, on pourra aller se casser les dents sur d'autres résistances
qui se trouvent entre 18 et 19.8€.
Espérons que tout cela ne soit pas un coup d'épée dans l'eau !
Répondre
|
Gros accès de fièvre sur Ubisoft qui s'envole soudainement de 25% à 13,4 euros. Selon les indiscrétions de 'Bloomberg', la famille Guillemot et Tencent, soit les deux premiers actionnaires de l'éditeur de jeux vidéo, pourraient racheter la société. Les deux parties ont discuté avec des conseillers pour les aider à explorer les moyens de stabiliser Ubisoft et de renforcer sa valeur, selon les sources de l'agence. L'une des possibilités évoquées consisterait en une association entre les deux actionnaires en vue de sortir l'entreprise de la cote.
Cette information intervient alors qu'Ubisoft a perdu la moitié de sa valeur depuis le début de l'année et ne pèse plus qu'environ 1,4 milliard d'euros en Bourse (avant l'envolée actuelle). Les réflexions en sont à un stade précoce et il n'y a aucune certitude qu'elles aboutiront sur une transaction. Tencent et la famille Guillemot envisagent également d'autres alternatives, selon les sources.
Le mois dernier, le titre Ubisoft est tombé au plus bas niveau depuis plus d'une décennie après que la société a réduit ses perspectives en raison de ventes plus faibles que prévu et d'un retard sur le très attendu 'Assassin's Creed Shadows'. Plusieurs actionnaires minoritaires sont depuis montés au créneau dont le fonds spéculatif slovène AJ Investments. Ce dernier a exprimé son "profond mécontentement quant aux performances actuelles et à l'orientation stratégique de l'entreprise" et a évoqué la possibilité de lancer une " lutte par procuration " pour recueillir le soutien d'autres actionnaires minoritaires afin de pousser à une vente si l'entreprise ne répondait pas à ses demandes.
Répondre
|
Ubisoft s'enfonce encore davantage en fin de matinée, avec un titre qui s'effondre désormais de près de 20% à 9,2 euros. Dans la foulée du nouvel avertissement lancé par le groupe de la famille Guillemot, le fonds spéculatif slovène AJ Investments, qui détient moins de 1% du capital de l'éditeur de jeux vidéo, refait parler de lui. Selon une lettre que s'est procurée 'Reuters', AJ Investments serait en pourparlers avec des sociétés de capital-investissement concernant une potentielle vente d'Ubisoft. Le fonds aurait le soutien de 10% des actionnaires. "Nous appelons la direction d'Ubisoft à autoriser la vente de l'entreprise à des tiers ou à des sociétés de capital-investissement à un prix équitable", peut-on lire dans la lettre. AJ Investments a précisé à l'agence qu'il s'entretiendrait avec la direction d'Ubisoft pour discuter de ses propositions...
Début septembre, AJ Investments était sorti du bois en publiant une lettre ouverte au conseil d'administration de la société et à l'actionnaire majoritaire Tencent Holdings. Le fonds avait alors exprimé son "profond mécontentement quant aux performances actuelles et à l'orientation stratégique de l'entreprise". Il évoquait la possibilité de lancer une " lutte par procuration " pour recueillir le soutien d'autres actionnaires minoritaires afin de pousser à une vente si l'entreprise ne répondait pas à ses demandes.
Répondre
|
Oddo BHF divise son objectif de cours
Actualité publiée le 26/09/24 09:37
(CercleFinance.com) - Tout en maintenant son opinion 'neutre' sur Ubisoft, Oddo BHF divise son objectif de cours par deux, à 11,5 euros, sur la base de ses prévisions de résultats fortement revues à la baisse (-64% pour les ROC ajustés et -90% pour les BPA, en moyenne sur trois ans).
Selon l'analyste, le profit warning confirme les difficultés d'Ubisoft à sortir des jeux à succès depuis plusieurs années avec le risque de perdre la confiance de sa communauté de joueurs. 'Le mal semble profond et la visibilité est problématique', prévient-il.
Malgré la chute du cours de Bourse (-51% depuis le début de l'année dont -34% sur un mois - retour sur les plus bas de 10 ans), Oddo BHF reste donc à l'écart du dossier, 'd'autant que le bilan commence à devenir tendu'.
Répondre
|
26/09/2024
Ubisoft plonge de près de 14% à 9,9 euros à l'ouverture du marché parisien, logiquement sanctionné après son nouveau 'warning'. L'éditeur de jeux vidéo, qui évolue au plus bas en Bourse, a révisé ses objectifs à la baisse après avoir décidé de repousser la sortie d''Assassin's Creed Shadows' tandis que le lancement de 'Star Wars Outlaws' s'avère plus faible que prévu.
'Assassin's Creed Shadows' est désormais attendu le 14 février 2025 contre un lancement initialement prévu en novembre. "Bien que le jeu soit finalisé, les enseignements tirés de la sortie de 'Star Wars Outlaws' nous ont amenés à accorder plus de temps au polish du titre. Cela permettra à l'opus le plus important de la franchise d'être à la hauteur de ses ambitions, notamment en délivrant la promesse de notre aventure à double protagonistes, Naoe et Yasuke, apportant deux styles de jeu très différents", explique Ubisoft.
Le Groupe prévoit désormais un 'net bookings' annuel d'environ 1,95 milliard d'euros, ainsi qu'un résultat opérationnel non-IFRS et un flux de trésorerie libre proches de l'équilibre. Il prévoyait auparavant "une croissance solide du 'net bookings', une légère progression du résultat opérationnel non-FRS et une hausse de la capacité d'autofinancement non-IFRS conduisant à un flux de trésorerie libre positif". Le net bookings pour le 2e trimestre 2024-2025 devrait s'élever à environ 350-370 millions d'euros contre environ 550 ME visés précédemment.
Citi ('acheter') coupe sa cible de 45 à 30 euros. La banque explique que le "triple coup dur" provenant du démarrage décevant de 'Star Wars Outlaws', du retard d''Assassin's Creed Shadows' et de la révision des prévisions confirme les "pires craintes" du marché. Bien que la chute de 51% du cours de l'action depuis le début de l'année intègre probablement une partie de cette nouvelle, elle sape encore davantage la confiance dans l'exécution de l'entreprise... TD Cowen ('conserver') ramène son objectif de 23 à 15 euros. Le broker affirme que "les six dernières années ont été un défilé presque ininterrompu de retards de jeux, suivis de lancements de jeux qui ne sont toujours pas prêts". Malgré une forte augmentation de la consommation de jeux au cours des dernières années, Ubisoft n'a généré en moyenne que 135 millions d'euros d'Ebit sur les exercices 2020 à 2025 (en supposant que les nouvelles prévisions puissent être atteintes)...
Répondre
|
Révise ses objectifs financiers pour 2024-25
Aujourd'hui à 18:02
(CercleFinance.com) - Ubisoft révise ses objectifs financiers pour l'exercice 2024-25. Le Groupe prévoit désormais un net bookings d'environ 1,95 milliard d'euros, ainsi qu'un résultat opérationnel non-IFRS et un flux de trésorerie libre proches de l'équilibre.
Le net bookings pour le deuxième trimestre de l'exercice 2024-25 devrait s'élever à environ 350-370 millions d'euros.
'Les objectifs révisés sont principalement le reflet de décisions prises pour Assassin's Creed Shadows et d'un lancement plus faible que prévu de Star Wars Outlaws' indique le groupe.
Yves Guillemot, co-fondateur et Président directeur général, a déclaré : ' La performance de notre deuxième trimestre n'a pas été à la hauteur de nos attentes, et nous sommes déterminés à y remédier rapidement et fermement, en mettant encore plus l'accent sur une approche centrée sur le joueur et axée sur le gameplay, ainsi qu'un engagement constant à la valeur à long terme de nos marques'.
Répondre
|
J'ai vu dans certains commentaires qu'un "Bashing organisé" sévit contre Ubisoft parmi des réseaux sociaux dans le domaine des jeux vidéos. Certains critiquent le jeu sans même l'avoir essayé et d'autres qui l'ont pratiqué s'étonnent de critiques selon eux infondées.
Il y a donc une très grosse pression bien avant la sortie du nouveau jeu dit de "la dernière chance" pour Ubisoft. C'est sans doute ce qui l'a poussé à annuler la présentation. Mais ce faisant, il se met en position de faiblesse face aux critiques et sans aucun doute cela signe le déclin du PDG Guillemot qui n'aurait jamais agi de la sorte il y a quelques années.
Maintenant ce sont les publications qui donneront la mesure réelle de ce qui ressemble à un déclin.
Répondre
|
Forum de discussion Ubisoft Entertainment
202411211643 910444