Donald Trump permet à l'automobile de se redresser

Non rapatrier une usine ne prend pas des années , avec toutes les délocalisations on sait aller très vite le matériel ça peut se faire en quelques mois et une usine peut très bien opérationnelle en 1 an .

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outre atlantique les politiques souverainistes bossent ici les politiques mondialistes communistes éveillés se paluchent !

les uns veulent le retour aux valeurs qui font une nation forte les autres veulent le chaos pour prendre in contrôle totalitaire

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kripton

« « je vois mal comment rapatrier des usines aux USA en quelques mois... il faut des années pour faire cela ! » »

En fait, c’est pas compliqué. Ils laissent les usines sur place, et les vendent. Ça ne devrait pas poser de problème,... BLM et macron ont affirmé que la France se ré-industrialise, que la France est attractive.

Donc, les bâtiments vont se vendre comme des petits pains.

S’ils ne trouvent pas acquéreur, ils les laisseront pourrir sur place. C’est les politiciens Français qui se feront engueuler. Qu’est-ce qu’il fout le gouvernement ! qu’on va dire.

Et puis, on n’est pas à 1 euro près : on peut payer le démantèlement et la dépollution des sites. C’est pas le gringalet macron qui va aller mettre des baffes à Trompe.

Pour construire sur le sol US, Trompe fera appel à la Chine, qui sait construire de très grands bâtiments, dans un temps record ( 100 fois plus vite qu’en France, et sans zadistes). Plus vite que pour obtenir un permis de construire pour un abri de jardin de 15 m2 en France.
Et pis . C’est bien connu, de la main-d’œuvre qualifiée, on en trouve à la pelleteuse Caterpillar, plein les godets.
Et si on en trouve pas plus que ça, Trompe fera appel aux mexicains.
Fastoche ! Tout baigne !

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je vois mal comment rapatrier des usines aux USA en quelques mois... il faut des années pour faire cela !

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(AOF) - Les valeurs du secteur automobile se distinguent parmi les principales hausses après de nouvelles déclarations de Donald Trump. Lundi soir, le président américain a évoqué la possibilité de mettre en pause la taxation sur les constructeurs et les équipementiers automobiles, dont la plupart des pièces détachées proviennent de deux pays frontaliers (le Mexique et le Canada).

Le but pour l'exécutif américain n'est pas d'éviter un envenimement de la guerre commerciale, mais ce répit doit principalement permettre aux sociétés américaines de s'organiser pour mieux rapatrier et relocaliser leur production. A titre d'exemple, les États-Unis importent 60 % de leurs pneus, et sur ce total, 60 % arrivent de pays asiatiques.

Pour rappel, les droits de douanes s'élèvent actuellement à 25 % sur les importations de véhicules étrangers, et 25 % de taxes sont censées entrer en vigueur le 3 mai prochain pour les équipementiers automobiles.

En attendant une décision du président des États-Unis, des titres comme Stellantis, Renault, Michelin ou encore Forvia sont particulièrement entourés. La veille à Wall Street, les actions de grands groupes comme Ford ou General Motors avaient également profité de ces déclarations.

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