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SCOR SE : Les signaux haussiers sont intacts
information fournie par TEC•06/03/2023
Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette configuration confirme la bonne orientation du titre. On constate que le potentiel de hausse du RSI n'est pas épuisé. Les stochastiques ne sont pas surachetés, ce qui laisse intact le potentiel de hausse à moyen terme. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 20.44 EUR, puis à 19.19 EUR et la résistance est à 26.11 EUR, puis à 27.36 EUR.
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SCOR - J.P. Morgan relève son objectif de cours à 20 euros contre 18 euros.
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21/02/2023 L'AGEFI Quotidien
Le groupe de réassurance français devrait voir le départ du directeur des ressources humaines et de la directrice de la communication et du marketing.
Les départs surprises s’enchaînent chez Scor. Quelques semaines après l’annonce de la démission de Laurent Rousseau alors au poste de directeur général du groupe de réassurance français, deux autres membres importants s’apprêtent à quitter le navire. Emmanuel Joffre, directeur des ressources humaines du groupe, et Nathalie Mikaeloff, directrice groupe de la communication et du marketing, devraient quitter leurs fonctions, est en mesure de confirmer L’Agefi après des révélations de L’Argus de l’assurance. Contacté, Scor ne commente pas.
Emmanuel Joffre, qui a rejoint Scor en 2017 en provenance d’AIG, a été nommé directeur des ressources humaines du groupe en avril 2020. Nathalie Mikaeloff, qui a rejoint la société en 2014 en tant que responsable mondiale du marketing pour la branche dommages et responsabilité, occupe le poste de directrice groupe de la communication et du marketing depuis janvier 2022.
En interne, où leur absence a été remarquée depuis quelques jours, les conditions précises de ces deux départs laissent peu de place au doute. «Denis Kessler continue de faire place nette pour s’assurer les pleins pouvoirs. Sans s’être opposés frontalement au président de Scor, les deux dirigeants avaient marqué le début d’un nouveau paradigme en interne en opposition au style pratiqué auparavant», rapporte une source. En outre, plusieurs voix rappellent que Nathalie Mikaeloff et Emmanuel Joffre entretenaient de bonnes relations avec Laurent Rousseau.
Brona Magee a quitté Scor fin janvier
L’ancien directeur général de Scor, poussé vers la sortie par Denis Kessler, a depuis été remplacé de façon temporaire par un très proche du président historique, François de Varenne. Thierry Léger, directeur de la souscription du réassureur suisse Swiss Re, doit ensuite prendre la direction générale à compter du 1er mai 2023 et serait déjà en train de travailler sur un plan stratégique pour remettre sur les rails le groupe qui a accumulé plus de 500 millions d’euros de pertes depuis le début d’année et vu ses capitaux propres fondre de 15%, à 5,43 milliards d’euros.
Si le profil du franco-suisse a plutôt tendance à rassurer les analystes et les salariés, la situation commence à inquiéter. «Cela donne la sensation de se retrouver deux ans en arrière», décrit une autre source. Président-directeur général de Scor depuis 19 ans, Denis Kessler avait alors entamé la dissociation des fonctions de directeur général et de président et annoncé confier la direction générale à l’ancien directeur de cabinet d'Edouard Philippe à Matignon Benoît Ribadeau-Dumas, avant de revenir en arrière et de nommer Laurent Rousseau.
Les lignes directrice de Thierry Léger, qui seront esquissées lors de l’Assemblée générale de 2023, sont très attendues par le marché mais aussi les salariés. D’autant que certains collaborateurs, pourtant en charge de la transformation, regardent déjà ailleurs. Myriam Moufakkir, directrice de la transformation des activités de Scor Global P&C, aurait par exemple remis sa démission. Brona Magee, qui avait rejoint le comité exécutif de Scor en septembre 2018 lors de sa nomination en tant que directrice générale adjointe de Scor Global Life, a aussi quitté le groupe fin janvier. Elle avait été reconduite dans ses prérogatives en septembre 2021, sur proposition de Laurent Rousseau, lors de la refonte du Comité exécutif reflétant «l’importance de la transformation et du développement durable» au cours de la prochaine phase du développement stratégique de Scor.
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE | 8 février 2023 N° 02 – 2023
Atropos franchit les 2 milliards de dollars sous gestion confirmant le positionnement de SCOR Investment Partners comme un acteur de premier plan sur le segment des ILS.
SCOR Investment Partners, la société de gestion de portefeuilles du groupe SCOR, est fière d’annoncer que SCOR ILS Fund – Atropos (« Atropos »), son fonds phare en gestion sur le marché des titres adossés aux risques d’assurance, ou Insurance-Linked Securities (« ILS »), dépasse les 2 milliards de dollars d’actifs sous gestion.
Les encours sous gestion du fonds ont progressé significativement sur l’année écoulée preuve d’excellents résultats de gestion dans un contexte marqué par le passage de l’ouragan Ian, la deuxième catastrophe naturelle la plus coûteuse de l’histoire de l’industrie de l’assurance, qui a causé des dégâts considérables en Floride. Notre philosophie d’investissement fondée sur la transparence, la maitrise des risques et leur diversification a ainsi pu être éprouvée, confirmant à nouveau la robustesse de notre approche.
SCOR Investment Partners confirme ainsi sa position d’acteur de premier plan sur le segment des ILS. Sous la responsabilité de Sidney Rostan, la plateforme ILS de SCOR Investment Partners, totalise désormais près de 3,2 milliards de dollars d’encours sous gestion. Au côté d’Atropos, SCOR ILS Fund – Atropos Catbond Fund, le second fonds phare de la plateforme investit uniquement dans les obligations catastrophes et représente plus de 790 millions de dollars d’actifs sous gestion.
Les conditions sur le marché des ILS continuent d’être porteuses en ce début d’année 2023, que ce soit sur le segment des obligations catastrophes ou celui des transactions de réassurance privées. Le marché primaire reste très actif. Il est porté par une demande de protection soutenue, et les rendements sont historiquement attractifs. Ces conditions favorables permettent d’améliorer la performance attendue tout en réduisant les risques des portefeuilles.
Fabrice Rossary, Président du Directoire de SCOR Investment Partners, déclare : « Franchir ce seuil après une année marquée par l’ouragan Ian, deuxième événement naturel assuré le plus onéreux de l’histoire derrière l’ouragan Katrina survenu en 2005, démontre une nouvelle fois la confiance de nos clients dans notre approche. Cela nous honore, nous oblige et nous engage à poursuivre nos efforts. »
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Scor : les investisseurs changent d'avis sur les renouvellements de janvier
07/02/2023 16:50 | AOF
En baisse à l'ouverture, Scor progresse désormais de 5,68% à 22,33 euros. La première réaction des investisseurs avait consisté à sanctionner la baisse plus forte que prévu des primes de réassurance P&C (Dommages) lors des renouvellements de janvier 2023 en dépit d'une hausse de 9% des prix. La plus grande sélectivité du réassureur aura toutefois un impact positif sur sa rentabilité. Il avait d'ailleurs annoncé la couleur à la mi-novembre.
Scor avait alors indiqué que ces renouvellements seraient " placés entièrement sous le signe de la rentabilité technique ".
Le réassureur a connu une année 2022 difficile, affichant une perte nette de 509 millions d'euros sur les neuf premiers mois en raison des catastrophes naturelles. Cette contreperformance est l'une des raisons du remplacement du directeur général, Laurent Rousseau, par Thierry Léger.
Scor a ainsi enregistré une baisse de 12,1% à taux de change constants de ses primes de réassurance P&C alors qu'un repli de 8% était anticipé, selon le consensus Visible Alpha. Elles ont ainsi atteint les 3,655 milliards d'euros. Environ 67 % des primes de réassurance P&C, soit 47 % du total des primes P&C de Scor, sont renouvelées en janvier.
" Ces renouvellements ont été marqués par une contraction de l'offre de réassurance et une demande de protection soutenue des cédantes ", a commenté le réassureur.
Lors de ces renouvellements, le réassureur a notamment réduit son exposition aux risques de catastrophes naturelles et ajusté son portefeuille en réduisant les branches les plus sensibles à l'inflation économique et sociale (Responsabilité civile et Automobile, notamment).
Ce dernier souligne qu'il " améliore significativement la rentabilité technique attendue et le profil rendement / risque de son portefeuille de risques de dommages et de responsabilité renouvelé au 1er janvier 2023 ". Les actions prises par le groupe devraient se traduire par une amélioration du ratio net de souscription attendu du portefeuille de l'ordre de 2,5 à 3 points.
Jefferies rappelle que le consensus pour le ratio combiné - une mesure très surveillée de la rentabilité dans le secteur - s'élève à 95%, en ligne avec l'objectif du groupe. Un ratio supérieur à 100% implique une activité déficitaire et inférieur à 100%, bénéficiaire.
Les principales augmentations de tarif ont été observées sur les traités couvrant les catastrophes naturelles par évènement, et ce, plus particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, respectivement +71% et +44% d'augmentation.
Scor s'est dit confiant dans la poursuite du cycle actuel en réassurance de dommages et de responsabilité. Le groupe prépare activement les prochains renouvellements en avril, juin et juillet 2023 dans un marché porteur.
Points clés
- Quatrième réassureur mondial né en 1970, leader du marché américain de la réassurance-vie avec le tiers des parts de marché ;
- Profil de risque très sûr : réassureur le plus diversifié géographiquement et répartition équitable entre réassurance-vie sous la marque Scor Global Life (plus de la moitié des primes) et réassurance non-vie sous la marque Scor PC ;
- Primes brutes d’un montant de 17,6 Mds€ et diversification réussie dans la gestion d’actifs avec un portefeuille de 20,3 Mds€, investi aux 8/10èmes en obligataire ;
- Modèle d’affaires organisé en 3 « hubs » autonomes de gestion (les Amérique, l’Asie-Pacifique et l’EMEA), la souscription et la gestion des sinistres dépendant des divisions vie et non-vie;
- Capital ouvert, les premiers actionnaires étant Covea (8,44 %) devant les salariés (4,60 %), Denis Kessler étant président non-exécutif, jusqu’en 2022, du conseil d’administration de 16 membres et Laurent Rousseau directeur général ;
- Situation financière exceptionnellement solide, avec une dette notée AA, des capitaux propres de 5,5 Mds€, un ratio d’endettement de 30,6 % et un ratio de solvabilité de 240 %.
Défis
- Avant le lancement d’un nouveau plan présenté le 9 novembre, stratégie de remaniement du portefeuille d’assurance au dépens du secteur de catastrophes naturelles, montée à 10 % des actifs de valeur, tels les emprunts privés et réduction des liquidités dans le portefeuille d’investissements ;
- Stratégie d’innovation visant à prévenir l’arrivée d’une nouvelle concurrence, les technologies liées à l’intelligence artificielle rendant le travail de prédiction et de probabilité des assureurs accessible à d’autres acteurs, d’où le recours à l’acquisition, le traitement et la sécurité des data et l’intégration de l’intelligence artificielle dans les opérations de réassurance / le lancement de la plateforme hELIOS et le partenariat avec start-up et Insurtech / l’utilisation de clouds publics / 250 ME d’investissements dans les technologies ;
- Stratégie environnementale au cœur de la stratégie, les réassureurs étant très exposés aux risques climatiques : portefeuille d'investissement neutre en CO2 en 2050 / soutien à la recherche sur les risques climatiques / création d’offres spécifiques -FEEL, BAM ou VITAE- en réassurance-vie / recours aux crédits carbone et lancement d’une facilité de crédit « verte »;
- Réduction du niveau de perte maximale probable à 21% pour l’année 2022, opérée lors des renouvellements en réassurance dommages et responsabilité au 1er juin et au 1er juillet et montée du taux de réinvestissement à 4,1 % à fin juin.
Défis
- Sensibilité aux catastrophes naturelles, et aux grands sinistres industriels, financiers et de cybersécurité dans les pays développés et à la parité euro contre dollar et livre sterling, monnaies de libellé de l’essentiel des revenus ;
- Evolution de l’actif net comptable par action, de 31,21 € par action à fin juin ;
- Impacts de la guerre russo-ukrainienne, des catastrophes naturelles et de la sécheresse au Brésil : perte nette au 1er semestre, d’où une révision complète du portefeuille avec une réduction de 50 % de l’exposition agricole en 2023 ;
- Après une hausse de 8,3 % des primes brutes émises et une dégradation des chiffres financiers au 30 juin, gestion active des réserves, maintien d’une duration courte des actifs en portefeuille et recherche d’opportunités notamment en santé.
Une belle dynamique de développement pour l'assurance-vie française
La progression de l'assurance-vie se poursuit au fil des mois. Sur les quatre premiers mois de l'année, les cotisations ont atteint 53,7 milliards d'euros, un niveau inégalé depuis plus de dix ans. A 10,5 milliards d'euros, la collecte nette retrouve elle aussi son niveau le plus élevé depuis 2011 sur une période similaire. Au final, à fin avril 2022, les encours des contrats d'assurance vie ont atteint 1.847 milliards d'euros, en croissance de 1,1% sur un an. Ces bonnes performances sont en partie liées au succès croissant du PER (Plan d'Epargne Retraite). Depuis le début de l'année 2022, les PER commercialisés par un assureur ont affiché 592.000 assurés supplémentaires et 9,3 milliards d'euros de versements. Fin avril 2022, 3,2 millions d'assurés détenaient un PER, ce qui représentait un encours de 39 milliards d'euros. Sans tenir compte des transferts, 87 % des nouveaux titulaires d'un PER (à fin décembre 2021) l'avaient souscrit auprès d'un assureur.
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L'action du réassureur Scor réalise une des plus fortes progressions de l'indice SBF 120 mercredi, alors que Berenberg considère que la valeur "est mûre pour rebondir en 2023", après un millésime 2022 peu reluisant.
Le titre Scor progresse de 3,4%, à 23,07 euros. Berenberg a confirmé son objectif de cours de 28 euros.
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Scor annonce le renouvellement, pour trois ans, d'un mécanisme de capital contingent susceptible de lui apporter des capitaux supplémentaires pour jusqu'à 300 millions d'euros en cas de survenance d'événements extrêmes ou de baisse importante du cours.
Cette solution, introduite en janvier 2011, vise à protéger ses capitaux propres et donc sa solvabilité dans de tels cas. Elle repose sur des BSA, émis par Scor et souscrits par J.P. Morgan, qui seront exercés automatiquement dans les cas visés dans le contrat.
'Le dispositif de capital contingent offre une alternative très compétitive en termes de coût aux rétrocessions traditionnelles ainsi qu'aux titres assurantiels ILS, et améliore la résilience du bilan de Scor', explique la compagnie de réassurance.
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L'agence de notation financière Fitch Ratings a dégradé mardi la note de crédit du réassureur français Scor à "A+", contre "AA-" précédemment. La perspective est stable. Cette décision reflète la faiblesse persistante de la performance financière de Scor, qui a déçu les attentes de Fitch durant cinq années et s'est même aggravée en 2022. "Tant que Scor ne sera pas en mesure de montrer des preuves de réussite dans son redressement, ce niveau de rentabilité ne correspondra plus à nos attentes pour une notation 'AA-'", a souligné Fitch.
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Scor : au défi de renforcer sa rentabilité
Publié le 28/11/2022
L’agence de notation Standard & Poor's a mis Scor au défi d’accroître sa rentabilité alors que les sinistres s’accumulent et que les pertes se creusent.
Son actualité. L’agence de notation Standard & Poor's a baissé les notes de crédit du réassureur français, le 16 novembre, de AA- à A+, avec une perspective stable. Une dégradation motivée par «les déceptions récurrentes sur ses résultats et son niveau de rentabilité».
Deux jours après, le groupe présidé par Denis Kessler publiait un communiqué intitulé «Scor met tout en œuvre pour améliorer sa rentabilité». Il affirme préparer activement les renouvellements de janvier 2023 afin d’améliorer sa rentabilité technique.
Une semaine plus tôt, le groupe avait publié une perte nette de 509 millions d’euros pour les neuf premiers mois de 2022 sous l’effet des catastrophes naturelles (sinistres de 517 millions au troisième trimestre et 907 millions sur neuf mois) et de l’accroissement des dommages industriels et commerciaux.
Le groupe précisait que les moins-values sur le portefeuille obligataire se réduiront rapidement avec l’arrivée à maturité des titres tandis que les nouveaux placements font remonter le taux moyen du rendement des actifs à 2,3% au troisième trimestre (soit 1,9% sur les neuf premiers mois). Il soulignait que son ratio de solvabilité de 217%, s’inscrit dans le «haut de la plage de solvabilité optimale», identifiant 125 millions d’économies potentielles qu’il faudra donc accélérer.
Notre analyse (BD)
En Bourse, le titre perd 35,3% depuis le début de l’année. La direction va devoir démontrer sa capacité à rémunérer ses actionnaires. Après un coupon de 1,80 euro en 2022, un maintien du dividende à ce niveau est attendu l'an prochain, soit un rendement de 10,1%.
Par ailleurs, après le départ en juillet de Kory Sorenson, une nouvelle administratrice, Martine Gerow, directrice financière d’American Express Business Travel intègre le conseil d’administration et trois de ses comités (stratégie, comptes, développement durable).
Prochain rendez-vous : résultats annuels, le 2 mars 2023.
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J’ai de la mémoire 😊
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SCOR c’est bien l’entreprise dont le PDG s’est battu contre une offre à 48€ par action ? 🤔
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Les Échos du jour, extrait :
La tension est montée d'un cran chez SCOR. Le réassureur français, cinquième acteur mondial, a annoncé la semaine dernière une troisième perte trimestrielle d'affilée, portant le total à 500 millions d'euros depuis le début de l'année. Et face aux chocs de l'inflation, des sinistres climatiques et de la remontée des taux, il a renoncé à présenter un plan d'action à trois ans.
En interne, ces décisions ont donné lieu à un intense bras de fer entre le président du conseil d'administration, Denis Kessler, et son directeur général, Laurent Rousseau. En cause notamment, de sources concordantes, l'annonce de mesures de court terme pour faciliter le retour à la rentabilité. Mais aussi l'augmentation des réserves de 485 millions d'euros, en réassurance dommages. Une façon d'amortir le choc de l'inflation, mais aussi de solder le passé.
Complément :
Chacun veut éviter une nouvelle crise de gouvernance. « SCOR ne peut pas se permettre de changer de patron pour la troisième fois, après la tragicomédie du choix du nouveau DG », estime une source proche des autorités. « Le problème, c'est que Denis ne veut pas lâcher 'sa' boîte, comme a su le faire Henri de Castries, l'ancien patron d'AXA », ajoute un autre. Il faut dire que Denis Kessler est plus connu que l'entreprise elle-même.
Mais les dernières années ont laissé des traces. Tous ont en mémoire l'homérique bataille de Denis Kessler contre l'offre d'achat de Covéa , à 43 euros l'action. Désormais, la société cote à 17 euros. Et jeudi soir, l'agence S&P a dégradé la notation de crédit de SCOR, de AA- à A+, en raison de sa «sous-performance persistante».
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Oddo BHF maintient son opinion 'surperformance' sur Scor, mais abaisse son objectif de cours de 32 à 26 euros pour prendre en compte une perte attendue pour le troisième trimestre avec les effets de l'ouragan Ian, et une hausse du coût du capital.
Alors que le réassureur doit publier ses trimestriels le 9 novembre, jour où il devrait présenter son nouveau plan stratégique à trois ans, le bureau d'études abaisse sa prévision de résultat net du trimestre écoulé, qu'il prévoit désormais en perte de 162 millions d'euros.
'Le niveau de résultat du second semestre reste encore très incertain. Le groupe devrait toutefois bénéficier d'un rebond de sa rentabilité à partir de l'année prochaine dans un contexte de hausse des prix en dommages et de hausse des taux d'intérêt', nuance-t-il.
CERCLE FINANCE•19/10/2022
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Scor : refranchit les 16,5E, pourrait viser 17,7E
information fournie par CERCLE FINANCE•25/08/2022 à 09:04
(CercleFinance.com) - Au lendemain de l'inscription d'un plus bas annuel et historique (12 ans) de 15,72E, Scor refranchit les 16,5E (ex-plancher du 3 août) et pourrait se hisser au contact de la grosse résistance des 17,7E du 12 août.
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Catastrophes annoncées...
Les actionnaires des compagnies d’assurance sont bien placés pour savoir que les catastrophes naturelles coûtent cher. Pour le réassureur Scor, le coût de la garantie des récoltes de maïs et de soja au Brésil s’est élevé à 193 millions d’euros au premier semestre, en raison de la pire sécheresse que le pays ait connue depuis 91 ans. Scor a d’ailleurs décidé de réduire de 50% son exposition à ce type de risque. Car on n’a encore rien vu !
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Actualité publiée le 02/08/22
(CercleFinance.com) - Scor subit un pullback sous 17,15E (ex-plancher historique du 18 mars 2020), preuve d'une grande vulnérabilité après son plongeon de -19% du 28 juillet vers 16,66E.
La situation est graphiquement critique sous les 17E avec un 'plus bas' historique de plus de 12 ans, le risque de chute vers 14,5E est bien réel.
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Scor : S&P confirme la note AA-
01/08/2022
" L’agence S&P a affirmé la note de solidité financière et de crédit émetteur à long terme ' AA- ' de Scor SE et de ses filiales et a maintenu sa perspective ' négative ' le vendredi 29 juillet ", a indiqué le réassureur. Il précise qu'elle " reflète le niveau élevé de solvabilité du groupe, estimé à 240% au 30 juin 2022 ". Scor ajoute qu'il " met en œuvre les actions nécessaires au redressement de sa rentabilité technique, à la réduction de la volatilité de ses résultats, tout en développant son fonds de commerce ".
Le titre Scor a chuté de près de 19% jeudi dernier. Les impacts de la guerre en Ukraine, des catastrophes naturelles et de la grave sécheresse au Brésil ont dégradé ses comptes semestriels dans des proportions plus importantes que prévu.
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Scor : mouvements au conseil d'administration
28/07/2022
Scor annonce des évolutions au conseil d'administration. A compter du 28 juillet 2022, Bruno Pfister, administrateur indépendant et actuellement président du comité des risques, prend la présidence du comité des comptes et de l'audit. Il succède à Kory Sorenson, qui, après de nombreuses années passées au sein du conseil d'administration de Scor, a souhaité démissionner pour des raisons personnelles. Bruno Pfister est remplacé à la présidence du comité des risques par Adrien Couret, administrateur indépendant. L'organisation des comités du conseil d'administration de Scor reste par ailleurs inchangée : Fields Wicker-Miurin reste présidente du comité des rémunérations, Fabrice Brégier, président du comité des nominations et Augustin de Romanet, président du comité développement durable. Denis Kessler conserve quant à lui la présidence du comité stratégique ainsi que du comité de gestion de crise. Le conseil d'administration procèdera dans les prochaines semaines à la cooptation d'une nouvelle administratrice.
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Scor dévisse ...la correction pourrait se prolonger en direction de 16E, son plancher du 20/03/2020.
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Citigroup voudrait surtout lui appuyer pour qu'elle prenne l'eau : c'est un titre d'un excellent rendement au tarif actuel, ça couvre largement l'inflation.
Et pour ceux qui douteraient du modèle, je note : " Maîtrise de la souscription et des coûts, avec, pour 2022, une hausse de 19 % des primes d’assurance dommages "
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