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SCOR: finalisation d'une acquisition

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gars d1 gars d1
05/03/2025 09:55:35
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SCOR SE Résultats du quatrième trimestre 2024

Résultat net de EUR 233 millions au quatrième trimestre 2024
Proposition d’un dividende courant de EUR 1,8 par action


[ PDF] Communiqué de presse | 5 mars 2025 - N° 03

https://www.scor.com/en/download/file?token=def50200a05731c623449e402929aa306d66a26f9cf79411f563d4723e28fe81fc2aaefda70547f39f9d0cdbd6e19584eed1d28f63ea022adc41423110497f3399faa89b5cefdc3ac148ca84237386261bdb88d973dda74e59db479f7d95cc7030fdb976dcbeed5445cc1a3351a6c29e670e2eb475a84824b0953d37fd3599d5388ef5ba10

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• Résultat net du Groupe de EUR 233 millions au T4 2024, porté par toutes les activités (EUR 235 millions ajusté1)
- Ratio combiné P&C de 83,1 % au T4 2024 comprenant un ratio de charge lié aux catastrophes naturelles faible et permettant la poursuite d’une politique de provisionnement disciplinée
- Résultat des activités d’assurance L&H2 de EUR 119 millions au T4 2024
- Taux de rendement courant des investissements à 3,6 % au T4 2024
• Valeur Économique par action de EUR 48 (contre EUR 51 au 31 décembre 2023)
• Valeur Économique du Groupe 3 mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17 de EUR 8,6 milliards au 31 décembre 2024, en baisse de -6,3 % à hypothèses économiques constantes . La croissance de la Valeur Économique ajustée des éléments exceptionnels
s’établie à +9,8 % à hypothèses économiques constantes
• Ratio de solvabilité estimé du Groupe de 210 %6 au 31 décembre 2024, dans la partie haute de la plage de solvabilité optimale de 185 % à 220 %, absorbant la totalité de l’impact de la revue 2024 des hypothèses L&H
• Proposition d’un dividende courant de EUR 1,8 par action au titre de l’exercice 2024
• Rendement annualisé des capitaux propres (RoE) de 22,8 % (23,0 % ajusté1 ) au T4 2024.

Pour l’exercice 2024, le RoE ressort à 0,1 % (0,2 % ajusté ). Ajusté des éléments non récurrents ,le ROE serait de 14,9 % pour l’année 2024

  
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gars d1 gars d1
10/11/2023 09:39:30
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Résultats du troisième trimestre 2023 SCOR dégage un résultat net de EUR 147 millions au troisième trimestre 2023,contribuant à une forte performance sur 9 mois avec un résultat net de EUR 650 millions

https://www.scor.com/en/download/file?token=def5020096e9384b4f49454c4499fb01d9d710f38e0fac1486e25e5260df4f9b7e4a5d11549fc70bca719db84547be8856d4c15b345cf3506ae558715bcd521bb3d48c33026c2a4470073519298c75d9e2801086ca78a4c83105494839d7ee06cdbf5d7bdce6638f6b16d1bd0244de2bb71f82d927c4f9db3a0dc3f3c5bdfec4430b5373d7


Mes comptes à la con


Bilan Comptable de résultat net à 9 mois

• Le réassureur Scor annonce un résultat net de 311 millions d'euros au titre du premier trimestre 2023, comparé à une perte nette de 35 millions un an auparavant,

• Le réassureur Scor indique avoir dégagé un résultat net de 192 millions d'euros au deuxième trimestre 2023, à comparer à une perte de 240 millions un an auparavant

• Le réassureur Scor publie un résultat net de 147 millions d'euros pour le troisième trimestre 2023, à comparer à une perte de 752 millions un an auparavant


Soit un Total de bénéfice net à 9 mois de 650 Md'€

Et donc un BNPA réalisé à 9 mois de 3,62 € pour 179 362 195 titres de capital


On reste donc un niveau bas de PER annuel : Certains secouent vivement l'arbre à la baisse pour mettre en portefeuille à faible prix une valeur généreuse et régulière en distribution de dividende.

La baisse au glissant du résulat trimestriel par rapport au 1 et 2 est désormais un classique avec les risques accrus d'indemnisation à débourser à trimestre 3, et 4 (suivant les dossiers et les évènements climatiques)

Les hausse de tarifs jouent les effets escomptés sur la rentabilité du groupe qui redresse nettement la barre comme prévu.


Peu d'intérêt à moyen et long terme de lâcher le titre vu la rentabilité selon moi.


  
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Tounus Tounus
15/09/2023 10:18:50
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Et si je demande gentiment un plus haut de 3 ans ? 🤔

  
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Tounus Tounus
12/09/2023 08:17:01
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30.40 joli scor ! 🍾

  
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Tounus Tounus
07/09/2023 11:12:15
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Tradez bourrés !

Ce nouveau plus haut d'un an vous est gracieusement offert pour l'apéro.

  
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Tounus Tounus
07/09/2023 10:06:10
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JD1976 JD1976
29/06/2023 10:48:22
1

Oups ! pris mă plus value 👏🏻

  
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JD1976 JD1976
28/06/2023 16:07:51
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Mais : ...


L'assurance est en train de vivre la parfaite «tempête inflationniste» dont le l'iconique patron du groupe de réassurance Scor, Denis Kessler, qui vient de nous quitter, prédisait l'occurrence et dont il avait très finement analysé les caractéristiques dans une brillante conférence au Centre des Professions Financières.

Il est important de souligner que, pour l'assurance, les conséquences d'un retour de l'inflation sont essentiellement liées au changement de régime, c'est-à-dire à la période de passage d'une inflation faible à une inflation rapide, et non au fait que l'inflation soit durablement élevée ou basse. Dans l'hypothèse du changement de régime, toutes les anticipations de coûts par les assureurs et leurs clients sont en effet prises de court par les faits.

Dans cette hypothèse, un retour inflationniste impacte les assureurs par deux canaux différents. D'une part, la tarification des contrats, qui sont négociés bien avant l'occurrence des sinistres, sous-estime ex-post le coût réel des sinistres en non-vie et en santé, avec pour conséquence que les dépenses d'indemnisations ainsi que les provisions (les passifs) vont finalement être plus élevées que prévues initialement. D'autre part, les taux d'intérêt ont tendance à augmenter avec l'inflation, ce qui déprime a priori la valeur des actifs, notamment obligataires et immobiliers, mais qui modère aussi l'augmentation de la valeur des passifs mentionnée précédemment. Au total, l'effet combiné de ces deux canaux est clairement négatif sur l'actif net de l'assurance non-vie et de la réassurance, et incertain sur l'actif net de l'assurance-vie.


L'inflation va rester durablement élevée

Pourquoi parler d'une parfaite «tempête inflationniste» aujourd'hui ? Tout simplement parce qu'au caractère soudain du choc inflationniste, et imprévu par la majorité des acteurs du marché, s'est ajouté la timidité des banques centrales qui ont hésité à combattre énergiquement le choc inflationniste dès le début, sous le prétexte que ce choc serait temporaire, lié à la sortie du COVID et à une brève guerre en Ukraine. Il n'en a rien été. Le choc inflationniste s'est révélé beaucoup plus durable et résilient que prévu, avec pour conséquence que nous assistons à une « course-poursuite » entre l'inflation et les taux d'intérêt, et que les augmentations de salaire se négocient maintenant sur des bases totalement incompatibles avec une inflation à 2%, même si elles sont insuffisantes pour préserver le pouvoir d'achat des salariés.

C'est à peine si les taux d'intérêt réels de la politique monétaire atteignent aujourd'hui en Europe et aux Etats-Unis des niveaux compatibles avec une lutte «soft» contre l'inflation et si la rémunération des actifs couvre l'inflation. Ce qui veut dire que l'inflation va rester durablement élevée et ne revenir que très lentement vers 2%, et que les taux d'intérêt vont devoir augmenter bien au-delà des niveaux qui étaient, il y a encore peu, anticipés par les marchés. Au total, le choc inflationniste est beaucoup plus violent que prévu.


Une situation qui pourrait se révéler bien plus préoccupante

Dans ces conditions, les effets négatifs des deux canaux de transmission du choc inflationniste sur les assureurs et les réassureurs vont très largement l'emporter sur les effets positifs qui vont rester marginaux. Ce qui veut dire que l'actif net des assureurs non-vie comme des assureurs-vie va être affecté négativement dans des proportions très importantes. Certaines entreprises d'assurance ou de réassurance, plus fragiles que la moyenne du marché, aux Etats-Unis mais aussi en Europe, devraient être sous stress financier et certaines d'entre elles pourraient même rencontrer des difficultés de solvabilité.

Et la situation pourrait se révéler bien plus préoccupante au niveau de l'ensemble du marché si nos économies devaient être à nouveau frappées par des chocs catastrophiques, d'origine pandémique ou géopolitique (multiplication des sanctions économiques par exemple) ou si les prix de l'énergie, ainsi que de nombreuses matières premières, et / ou des produits alimentaires, devait s'envoler.


Avis donc de tempête sur l'assurance et la réassurance pour les mois à venir.

Les assureurs et les réassureurs ont intérêt à anticiper des prix plus élevés que le marché ou à gonfler leurs primes de risque pour calculer leurs tarifs et à préserver un bon niveau de liquidité de leurs actifs… un thème de réflexion qui devrait s'imposer aux Rencontres Économiques d'Aix-en-Provence, les 7, 8 et 9 juillet 2023, organisées comme chaque année par le Cercle des économistes.



  
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JD1976 JD1976
26/06/2023 09:44:19
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26/06/2023 09:13 | AOF


Le conseil d’administration de SCOR, réuni le 25 juin, a décidé à l’unanimité de nommer Fabrice Brégier président non exécutif, avec effet immédiat. Il est administrateur de SCOR depuis 2019. Diplômé de l'École polytechnique et Ingénieur en chef au corps des mines, il a débuté sa carrière en 1986 au sein du ministère du Redéploiement industriel et du Commerce extérieur avant d'être nommé sous-directeur à la direction générale de l'Alimentation du ministère de l'Agriculture en 1989.

Après plusieurs nominations de conseiller auprès de différents ministres de 1991 à 1993, Fabrice Brégier rejoint Matra Défense, et devient le directeur général de MBD/MBDA en 1998. Il est ensuite nommé président et directeur général d'Eurocopter de 2003 à 2006, avant de rejoindre Airbus (commercial aircraft) comme directeur général délégué fin 2006 puis directeur général de 2012 à 2018.

Fabrice Brégier est président de Palantir France depuis octobre 2018.

Il a rejoint le conseil d'administration de SCOR en 2019.


  
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JD1976 JD1976
20/06/2023 10:44:24
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SCOR SE : L'indécision domine

Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le repli des cours pourrait se poursuivre. Les indicateurs de puissance, comme le RSI, ne nous donnent pas d'indications particulières à court terme. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont supérieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.


MOUVEMENTS ET NIVEAUX

Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 22.42 EUR, puis à 21.31 EUR et la résistance est à 26.13 EUR, puis à 27.24 EUR.

  
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JD1976 JD1976
13/06/2023 11:03:34
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Scor : quel avenir après Denis Kessler ?


La disparition du capitaine d’industrie fait planer de nombreuses incertitudes et relance les spéculations sur sa succession et l’avenir du groupe.

L'intérim de la présidence de Scor est assuré par Augustin de Romanet, vice-président du conseil d'administration, jusqu'à la nomination d'un nouveau président.


L’annonce par le groupe Scor, vendredi 9 juin, du décès, à 71 ans, de son président non exécutif, Denis Kessler, a été accueillie par une pluie d’hommages à la personnalité visionnaire du dirigeant, mais aussi … par un bond de 6,13% de l’action du groupe, en Bourse.

Des réactions paradoxales, à l’image de la carrière et de la gouvernance de Denis Kessler. Arrivé en novembre 2002 dans le groupe comme PDG, alors que Scor se trouvait au bord de la faillite après les attentats de septembre 2001, Denis Kessler fut l’artisan de son redressement spectaculaire, pendant plus de deux décennies. Il parvint à hisser le groupe français parmi les plus grands réassureurs internationaux. Mais ces dernières années laisseront aussi le souvenir d’un patron refusant de lâcher les rênes de son groupe, parfois envers et contre tous.


Scor de nouveau exposé aux OPA

L’action Scor, le jour même de l’annonce de la disparition du charismatique dirigeant, a réalisé la deuxième plus forte hausse de l'indice SBF 120, venant s’établir à 24,93 euros. L’une des causes de cette remontée en flèche tient à la nouvelle exposition du groupe aux OPA (offres publiques d'achat). L’épisode de la proposition de rachat de Scor par Covéa, en 2018, resté dans les mémoires, avait donné lieu à un affrontement de près de trois ans entre les deux groupes.


Avant même cet épisode, l’assureur japonais Sompo avait acquis 7,8 % du capital et 8,1 % des droits de vote en 2015, et annoncé vouloir porter cette participation à 15% du capital. Un objectif qui lui aurait permis de prendre une place au Conseil d'administration et d’effectuer ainsi une prise de contrôle. Mais c’était sans bien connaître Denis Kessler, qui, déjà, choisissait ses administrateurs. Celui-ci s’est donc opposé de manière virulente à l’opération. « La participation de Sompo n’a aucune conséquence ni sur le développement stratégique de Scor, qui poursuit activement la mise en œuvre de son plan stratégique Optimal Dynamics, ni sur sa gouvernance et sa gestion », indiquait un communiqué de mars 2015. « Cela avait en réalité déjà coûté à Scor la perte d’un client important au Japon, qui était l’un de ses deux plus gros assureurs », souligne un observateur.


Quand Covéa, au capital de Scor depuis 2003 et premier actionnaire depuis 2016, a fait part en août 2018 de son souhait d'entrer en discussions « en vue d’un rapprochement amical au moyen d’une offre publique an numéraire à 43 euros par action », Denis Kessler avait là encore bloqué d’emblée le processus, refusant d'examiner l’offre et de faire une contre-proposition … alors que l’action Scor valait en Bourse un peu plus d’une trentaine d’euros. Le titre du réassureur français a atteint son plus bas niveau à 13,30 euros récemment, fin octobre 2022. Bien en-deçà de l'offre publique d'achat déposée par Covéa en août 2018. Mais les candidats avaient compris la leçon : quiconque osait s’attaquer désormais à Scor, s’exposait à l’ire de son président. Sa disparition ouvre la voie à de possibles discussions avec d’éventuels initiateurs d’OPA, jusqu’à présent obérées par l’omniprésent Denis Kessler, défenseur acharné de l'indépendance du groupe.


Une succession retardée jusqu’au bout

Fermement accroché à la barre du navire, Denis Kessler avait aussi une conception très personnelle de la gouvernance de son entreprise. Pourtant, depuis le 30 juin 2021, ses fonctions de président du conseil et de directeur général, qu’il cumulait depuis dix-neuf ans, avaient été dissociées, sous la ferme pression de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), mais aussi de l’Association française de de gestion financière (AFG) et des agences de conseils de conseil de vote. Il devait rester président du conseil d’administration du réassureur jusqu'en 2024… non sans avoir obtenu un report de la limite d’âge de deux ans.

Depuis, en quatre ans, le groupe a vu défiler trois directeurs généraux. La soudaine mise à l’écart, le 27 janvier dernier, de Laurent Rousseau, après 19 mois à la direction générale, en raison des tensions entre les instances dirigeantes, avait suscité l’inquiétude des marchés.

« Mais ce que le marché lui a vraiment reproché, c’est de ne pas avoir organisé sa succession, estime une source proche du groupe. C’est même ce qui a obligé le Conseil d'administration à demander le report de deux ans de la limite d'âge du mandat de président, passée de 70 à 72 ans ! » Le conseil d’administration n’a mandaté qu’en novembre 2022 le cabinet Egon Zehnder, afin de désigner un candidat à sa succession, pour fin 2023.

« Le calendrier de désignation du président ne pouvait pas être tout à fait synchrone avec la disparition de Denis Kessler, estime Christophe Lefèvre, délégué syndical central CFE-CFGC chez Scor. Mais il est en cours. Il est possible que le marché donne une crédibilité plus forte à l'entreprise désormais, car elle a la possibilité de se doter d’une gouvernance plus conforme à celle qu’il attend. Aujourd’hui, Thierry Léger, en poste depuis le 1er mai et très apprécié des investisseurs comme des salariés, et Augustin de Romanet sont à même de pouvoir gérer une situation où Scor ferait de nouveau l’objet d’une OPA. »


Conformément au règlement intérieur du conseil d'administration, a indiqué le groupe dans le communiqué annonçant le décès du président, l'intérim de la présidence de Scor est en effet assuré par Augustin de Romanet, vice-président du conseil d'administration, jusqu'à la nomination d'un nouveau président dans le cadre du processus en cours. Le cabinet Egon Zehnder aurait approché quatre personnes en externe à ce jour, dont trois auraient décliné la proposition. Le cabinet devait approcher tous les membres du conseil d’administration pour leur demander de se prononcer sur d’éventuels candidats. En interne, le président du comité des nominations lui-même, Fabrice Brégier, se serait porté candidat à la succession de Denis Kessler.


  
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JD1976 JD1976
09/06/2023 15:42:46
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...Ancien professeur de sciences sociales, il était devenu, en 1990, président de la Fédération française des sociétés d'assurance. Il avait été, par la suite, numéro 2 du Medef de 1998 à 2002, avant de devenir le PDG de Scor. S'il avait cédé la direction générale de réassureur en juin 2021, il en avait conservé la présidence.


Le sauveur du Scor

« C'était une personnalité exceptionnelle, au leadership visionnaire, d'une incroyable intelligence. Nous avons perdu un ami. Nous saluons la mémoire d'un grand homme et dirigeant hors normes, passionné par l'assurance et la réassurance, par leurs techniques, par leurs valeurs et par leur philosophie », ont témoigné les administrateurs de Scor.

Cet amoureux des mots, des jeux de mots et surtout un des meilleurs orateurs du monde des affaires français avait opéré un redressement spectaculaire du groupe durant plus de deux décennies. Il avait permis au Scor, alors au bord de la faillite, de se hisser « au premier rang des réassureurs de dimension globale », avance le Scor. « Sa passion pour la réassurance était sans pareille, et son ambition de faire de Scor un leader de l'industrie ne l'a jamais quitté », a conclu Thierry Léger, directeur général de Scor.



  
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gars d1 gars d1
30/05/2023 10:19:37
1

Si c'est une blague comptable, c'est pas la meilleure de l'année; hein ...

: (

Venant de votre part, on s'étonne plus de grand chose...


Bilan annuel 2022 – à lire PAGE 180 & 181 (Rapport annuel 2022)

https://www.scor.com/en/download/file?token=def50200fe14436c9cd9e2a90a93eff318e31c61ebb07a743ecbc9e6eb373ef869c5240f222b5342c4ca09f2cee7d97d3f1bd2026e9ffabd0488e46fee73776395032ffc20842b10a8f13d514956b81f00b000bdc7163fdcfe42abc9e2c3e1c4b47946f657f493ef0708840925396ad1a97a552bdc159b9342a18788b3c660635c6f8c3520


C'est donc lisible et en principe le bilan est le même pour toutes les entreprises (normes comptables et leur respect est certifié par des commissaire aux comptes, des comptables professionnels )


Le mieux reste de s'acheter un manuel de compta et /ou le "Memento pratique | Comptable 2023 (éditions Françis Lefèvre) "

±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±±


Détachement du dividende de 1,40 ce jour.


  
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lionelcamy lionelcamy
30/05/2023 09:52:11
0

le bilan comptable reste illisible sur ce titre

  
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JD1976 JD1976
30/05/2023 09:09:42
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30/05/2023 | 08:41


François de Varenne, Directeur général par intérim de Scor du 26 janvier 2023 au 30 avril 2023, et membre du Comité Exécutif en charge des Investissements, des Technologies, de la Transformation et de la Corporate Finance pour le Groupe, est nommé Directeur financier et Directeur général adjoint. Il conserve le périmètre de ses anciennes fonctions, auxquelles s’ajoute, à effet immédiat, la direction financière du Groupe. Ian Kelly, qui occupait jusqu’alors le poste de Directeur financier de SCOR, quitte le Groupe pour poursuivre de nouvelles opportunités professionnelles.

  
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JD1976 JD1976
26/05/2023 08:25:08
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LE RÉASSUREUR SCOR, PREMIER GROUPE FRANÇAIS À QUITTER L'ALLIANCE DES ASSUREURS POUR LE CLIMAT

Le 25/05/2023


Le réassureur affirme que cette sortie "ne change rien à (ses) engagements" et annonce de nouvelles mesures pour limiter son impact sur le réchauffement climatique.

Le réassureur français Scor a annoncé ce jeudi sa sortie de l'alliance mondiale des assureurs pour l'objectif zéro carbone (NZIA), qui vise un objectif de neutralité carbone des portefeuilles d'ici 2050, tout en annonçant de nouvelles mesures destinées à limiter son impact sur le réchauffement climatique.

"Nous avons aujourd'hui décidé de quitter la NZIA. Cela ne change rien à nos engagements, ni à notre feuille de route" en matière de lutte contre le réchauffement climatique, a déclaré devant les actionnaires réunis en assemblée générale le nouveau directeur général de Scor, Thierry Léger.


Membre fondateur de la Net zero insurance alliance (NZIA) en juillet 2021, placée sous l'égide de l'ONU, Scor est le premier français à claquer la porte de l'alliance. Quatre autres poids lourds de l'industrie en Europe l'ont précédé ces derniers mois en annonçant leur départ: Munich Re, Zurich Re, Hannover Re et Swiss Re. Le réassureur, dont l'activité consiste à assurer les assureurs, n'a pas détaillé les raisons de cette décision. Fin mars, Munich Re avait mis en avant des risques d'entrave à la libre concurrence inhérents à ce type d'alliance.


Exclusion de soutiens aux nouveaux projets pétroliers

Scor a cependant insisté sur l'importance des mesures prises par le passé contre le réchauffement climatique, dont certaines ont été renforcées jeudi. Thierry Léger a ainsi évoqué "de nouvelles exclusions sur le pétrole, le gaz, notamment en Arctique, sur les sables bitumineux et sur le charbon thermique". Scor étend par exemple son engagement d'exclusion de soutiens de nouveaux projets pétroliers pris l'an dernier aux nouveaux champs gaziers.

La société assure qu'elle ne fournira plus "de nouvelles couvertures d'assurance ni de réassurance facultative spécifiquement dédiées à des opérations liées aux sables bitumeux", ni n'augmentera non plus les couvertures déjà existantes. Des exceptions pourront être accordées si le client présente une "stratégie vérifiée et alignée avec un plan de transition Net Zero crédible", précise néanmoins le réassureur.


Fort d'une trentaine de membres, la NZIA a été fondée par AXA, Allianz, Aviva, Generali, SCOR, Swiss Re et Zurich Insurance Group. Après une année 2022 marquée par une forte sinistralité entraînant une perte nette de 301 millions d'euros, Scor a retrouvé le chemin des bénéfices au premier trimestre 2023, avec un résultat net de 311 millions d'euros, salué dans la foulée en Bourse.

  
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JD1976 JD1976
08/05/2023 17:25:56
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08/05/2023 | 17:17


Scor progresse de près de 1,6% en fin de journée avant la publication de ses résultats du 1er trimestre 2023 le 12 mai prochain.


Oddo BHF s'attend à un résultat net (RN) de 161 ME au 1er trimestre 2023, en ligne avec le consensus (et contre une perte en IFRS 4 de 80 ME au 1er trimestre 2022).

' Pour rappel, nous prévoyons pour notre part un RN de 679 ME en année pleine 2023, avec notamment un rendement des investissements que nous attendons dans le haut de la fourchette cible du groupe ' indique le bureau d'analyses.


Oddo BHF confirme sa recommandation Surperformance sur le titre avec un objectif de cours de 28 E.

' Nous estimons toujours que le groupe devrait redresser sa rentabilité sous-jacente, notamment grâce aux hausses tarifaires en dommages et à la hausse des taux d'intérêt, avec un profil de risque réduit ' rajoute l'analyste.

  
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JD1976 JD1976
21/04/2023 11:45:52
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SCOR enregistre une croissance de ses primes brutes de 17%

Publié le 21/04/2023 à 10h54

(AOF) - Lors des renouvellements d'avril, SCOR annonce que ses primes brutes renouvelées hors Agriculture s’élèvent à 724 millions d'euros, en hausse de 17% à taux de change constants. En incluant la branche Agriculture (pour laquelle les renouvellements sont toujours en cours), les primes brutes renouvelées atteignent 928 millions d'euros, en hausse de 5% à taux de change constants. Sur les lignes dommages, responsabilité civile et automobile, les primes brutes sont en hausse de 12% (à taux de change constants).

Sur les lignes dites " Global Lines " (hors Agriculture), les primes brutes sont en hausse de 28% (à taux de change constants).

SCOR réduit son PML ("Probable Maximum Loss ") en Agriculture de 50% comme annoncé au second trimestre 2022. Ceci se traduit par une baisse attendue de 23% des primes brutes pour cette branche, essentiellement au Brésil.

En déployant son capital dans les segments les plus attractifs, SCOR améliore significativement la rentabilité technique attendue de son portefeuille de risques, avec une augmentation moyenne des tarifs de 7% lors des renouvellements au 1er avril 2023.

La marge sur services contractuels brute (" Contractual Service Margin " ou CSM) liée aux affaires renouvelées (" New Business CSM ") au 1er avril 2023, hors Agriculture, est en augmentation d'environ 25% par rapport à l'année précédente, à hypothèses économiques constantes.

Cette augmentation de la création nette de valeur associée aux renouvellements du 1er avril 2023 contribue positivement à la croissance de la valeur économique du groupe. Avec les fonds propres, la CSM est l'une des deux composantes de la valeur économique du groupe.



  
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JD1976 JD1976
14/04/2023 08:59:40
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Scor compte tirer parti du nouveau référentiel comptable IFRS 17

Selon le réassureur français, la nouvelle norme comptable entrée en vigueur le 1er janvier dernier devrait lui permettre de mettre en évidence la croissance de sa valeur économique.

13 Avril 2023 \ 17h03

Le réassureur français veut voir une « opportunité » dans la norme nouvelle norme comptable IFRS 17, pour « dévoiler la pleine valeur de son portefeuille de risques ».

Un mois avant la présentation de ses premiers résultats trimestriels selon la norme IFRS 17, la direction du groupe Scor a fait part de sa satisfaction concernant les changements apportés par le nouveau référentiel comptable. « Le passage à la nouvelle norme comptable IFRS 17 constitue un véritable saut quantique pour l’industrie de la réassurance en général et pour Scor en particulier, a déclaré Denis Kessler, président du groupe. Ce nouveau référentiel reflète plus précisément et plus fidèlement la valeur économique du portefeuille de risques du Groupe, tout particulièrement en matière de réassurance vie. Cette valeur économique est désormais pleinement reconnue dans les comptes du groupe. » Le réassureur français veut y voir une « opportunité » pour « dévoiler la pleine valeur de son portefeuille de risques, en particulier en réassurance vie, grâce à l’introduction de la marge sur services contractuels (« Contractual Service Margin » ou CSM) qui reflète la valeur actualisée des profits futurs attendus en se fondant sur des règles strictes et auditées ».


Scor présentera pour la première fois le 12 mai prochain ses résultats trimestriels selon la norme IFRS 17. Le groupe devra alors indiquer l’évolution de sa valeur économique ainsi que sa décomposition en fonds propres et CSM.

La nouvelle norme comptable internationale IFRS 17, entrée en vigueur le 1er janvier dernier pour les exercices comptables débutant à partir de cette date, remplace la norme IFRS 4 qui prévalait jusqu’alors. Applicable aux éléments du passif, IFRS 17 introduit deux changements majeurs : une évaluation des passifs en valeur de marché et l’introduction de la CSM (ou marge de services contractuels). Ce nouvel indicateur représente la réserve des profits futurs et se calcule selon des modèles de projection sur un horizon de calcul de cinquante ans. En parallèle, deux autres indicateurs ont été créés avec cette norme comptable : le RA (« risk adjustment » ou marge pour incertitudes, assimilée à une provision pour aléas permettant d’absorber les chocs sur les hypothèses techniques) et la marge d’assurance (MA). La CSM est l'une des deux composantes, avec les fonds propres (« equity »), de la valeur économique du groupe, mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17.


La promesse d’un dividende résilient

Au 31 décembre 2022, la valeur économique du groupe mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17 s’élevait à 8,7 milliards d’euros, soit une valeur économique par action d’environ 48 euros. A la même date, le ratio de solvabilité du groupe s’établissait à 219 %, mais tombait à 213 % après la prise en compte du dividende. Avec le passage à IFRS 17, Scor se donne deux objectifs pour l’année 2023 : un taux de croissance de sa valeur économique entre le 31 décembre 2022 et le 31 décembre 2023, selon le référentiel comptable IFRS 17, de 700 points de base au-dessus du taux sans risque à hypothèses économiques de taux d’intérêt et taux de change constantes ; et un objectif de solvabilité (rapport entre les fonds propres éligibles et le capital de solvabilité requis) dans la plage optimale de 185 % à 220 %.

La direction de Scor profite de ces projections pour réitérer sa promesse de distribuer à ses actionnaires « un dividende résilient, prévisible et prédictible », correspondant à « une part significative de la valeur économique créée au cours du cycle ». Le 2 mars dernier, lors de la présentation traditionnelle des résultats 2022, Scor avait déjà annoncé, malgré une perte nette de 301 millions d'euros sur l’année 2022, la « poursuite d’une politique de dividende attractive, avec un dividende de 1,40 euros par action », qui doit encore être soumis à l’approbation des actionnaires réunis lors de l’assemblée générale de 2023, le 25 mai prochain.


Lors de cette assemblée générale seront dévoilées les grandes lignes du nouveau plan stratégique s’inscrivant dans le nouveau référentiel comptable IFRS 17, avant d’être présenté lors de la Journée Investisseurs de Scor, le 7 septembre 2023. L’élaboration de ce plan stratégique a été annoncée comme la priorité de Thierry Léger, qui prendra ses fonctions de directeur général de Scor le 1er mai prochain, en remplacement de Laurent Rousseau, écarté le 26 janvier dernier.



  
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JD1976 JD1976
12/04/2023 09:13:25
1

A suivre aujourd'hui... SCOR

12/04/2023


Pour l’année 2023, SCOR se donne deux objectifs d’égale importance. Le premier est un objectif financier : un taux de croissance de sa Valeur Économique mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17, entre le 31 décembre 2022 et le 31 décembre 2023, de 700 points de base au-dessus du taux sans risque à hypothèses économiques de taux d’intérêt et taux de change constantes. Le second est un objectif de solvabilité : un ratio de solvabilité dans la plage optimale de 185% à 220%. En 2023, le ratio de solvabilité devrait se maintenir dans le haut de la plage optimale.

À partir du premier trimestre 2023, le Groupe publiera ses résultats financiers selon la nouvelle norme comptable IFRS 17. Cette transition permet notamment à SCOR de dévoiler la pleine valeur de son portefeuille de risques, en particulier en réassurance vie, grâce à l'introduction de la marge sur services contractuels (" Contractual Service Margin " ou CSM) qui reflète la valeur actualisée des profits futurs attendus en se fondant sur des règles strictes et auditées.

Avec les fonds propres (" Equity "), la CSM est l'une des deux composantes de la Valeur Économique du Groupe mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17.

La croissance de la Valeur Économique reflète non seulement le résultat de l'exercice courant mais aussi la création nette de valeur associée à l'activité de souscription de l'année, via la génération de CSM sur les nouvelles affaires.

La Valeur Économique du Groupe au 31 décembre 2022 mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17 est estimée à 8,7 milliards d'euros. Cela représente une Valeur Économique par action d'environ 48 euros.

SCOR publiera chaque trimestre l'évolution de sa Valeur Économique ainsi que sa décomposition en fonds propres et CSM.


Autre info :

Pour l'année 2023, SCOR se donne deux objectifs d'égale importance. Le premier est un objectif financier : un taux de croissance de sa Valeur Économique mesurée selon le référentiel comptable IFRS 17, entre le 31 décembre 2022 et le 31 décembre 2023, de 700 points de base au-dessus du taux sans risque à hypothèses économiques de taux d'intérêt et taux de change constantes. Le second est un objectif de solvabilité : un ratio de solvabilité dans la plage optimale de 185% à 220%. En 2023, le ratio de solvabilité devrait se maintenir dans le haut de la plage optimale.


  
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