Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Société | Historiques | Vie du titre | Secteur | Forum |
Passé inaperçu...
Alstom met à jour un système de contrôle à Wuppertal
Actualité publiée le 04/09/19 16:32
Le groupe Alstom annonce ce mercredi que la nouvelle version du système de contrôle des trains Atlas ETCS d'Alstom vient d'entrer en service sur le train suspendu de Wuppertal, situé dans l'ouest de l'Allemagne.
La mise en service du système marque l'achèvement du tout premier contrat de signalisation et de contrôle des trains d'Alstom en Allemagne. Le contrat inclut l'équipement latéral, tel que l'enclenchement, l'ordinateur central (Radio Block Center - RBC) et les éléments de ligne nécessaires via les systèmes de contrôle de trains, ainsi qu'une interface avec le système de contrôle des opérations par ordinateur, explique Alstom.
Répondre
|
Bouygues a cédé 13% du capital social d'Alstom au prix de 37 euros par action
Répondre
|
Bouygues annonce son intention de céder 13% d'Alstom
Et le reste sans doute à suivre mais pas encore au programme officiellement
Message complété le 11/09/2019 17:57:18 par son auteur.
L'opération est réalisée dans le cadre d'un placement par voie de construction accélérée d'un livre d'ordres réservé aux investisseurs institutionnels.
A l'issue de ce placement, Bouygues conservera 14,7% du capital social d'Alstom
"Bouygues s'est engagé envers les banques en charge du placement à conserver pendant une période de 180 jours le solde de sa participation dans Alstom, sous réserve des exceptions d'usage", a souligné le groupe.
Répondre
|
L'affaire GE qui éclabousse les " petites mains " de l'Elysées ...
- Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "prise illégale d'intérêt" visant le directeur général de General Electric France, Hugh Bailey, a-t-on appris mardi de source judiciaire, confirmant une information de L'Obs.
Un porte-parole de GE a déclaré à Reuters que ces accusations étaient "totalement infondées".
L'enquête, menée par l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (OCLICCF), a été ouverte la semaine dernière, à la suite d'un signalement de l'ancienne ministre de l'Ecologie Delphine Batho, a précisé la source judiciaire.
Les policiers s'intéresseraient au parcours de Hugh Bailey au sein de l'administration française entre août 2014 et septembre 2016, alors qu'il faisait partie du cabinet d'Emmanuel Macron, ministre de l'Economie et des Finances à l'époque, rapporte L'Obs.
Il conseillait son ministre sur les garanties financières apportée par la France sur les contrats internationaux, garanties qui ont profité à plusieurs reprises à General Electric durant cette période, précise l'hebdomadaire.
Or, ce haut fonctionnaire était recruté un an plus tard par le conglomérat américain en tant que lobbyiste, puis comme directeur général en avril 2019.
General Electric a annoncé au printemps dernier la suppression de 1.000 emplois en France, principalement dans le Territoire de Belfort, suscitant une vague d'indignation de la part des syndicats qui estiment que GE n'a pas respecté ses engagements envers l'Etat.
En rachetant, en 2015, le pôle énergie d'Alstom pour 9,7 milliards d'euros, le conglomérat américain s'était engagé à maintenir les emplois en France pendant au moins trois ans.
"Il convient de rappeler que la nomination de Monsieur Bailey chez GE France a été autorisée par la Commission de déontologie de la fonction publique. Il respecte par ailleurs toutes les réserves imposées par celle-ci. Nous restons à la disposition des autorités sur ce dossier", déclare un porte-parole de GE dans un communiqué.
Selon l'avocat du directeur général, Me Benjamin Van Gaver, "l’ouverture de l’enquête va permettre d’offrir à Monsieur Bailey la possibilité d’apporter tous les éléments nécessaires aux autorités afin de réfuter fermement les allégations portées à son encontre".
Répondre
|
Encore une occasion qui part en Chine
La division locomotive de Vossloh serait vendue pour quelques millions au géant chinois CRRC , épouvantail dans le ferroviaire
Histoire de mieux concurrencer encore ce qu'il reste chez Alstom et Siemens !
Répondre
|
Ce sont bien les politiques qui n'ont pas l'envergure ni l'envie de faire front aux méthodes iniques des USA . Pourtant , les moyens existent mais nullement les responsabilités .
Message complété le 25/07/2019 00:15:29 par son auteur.
Tout le monde devrait regarder cette vidéo (post Accar ci dessous ) pour comprendre la guerre économique , bien expliquée avec l'ancien haut cadre d'Alstom (notamment 37ème minute et suivantes)
Répondre
|
Les tentatives de corruption pour obtenir des contrats ont bon dos dans cette affaire alors que l'ensemble des acteurs industriels se livrent à des pratiques similaires , directement ou par contournement
Rappelons à cet effet la manoeuvre allemande pour faire accepter un marché illégal dévolu à Siemens en fonction de normes de sécurité non respectées : ils ont simplement pris le pouvoir dans l'institution qui fixait les normes pour les modifier .Un exemple parmi tant d'autres
Ici , nous sommes face à un autre échelon
Il s'agit de guerre économique destinée à supprimer les concurrents gênants des USA par tous les moyens , l'extraterritorialité juridique américaine (qu'on s'empresse d'adouber) en constituant l'outil principal
" Tu me cèdes ton industrie compétitive et stratégique ou je mets en taule tes dirigeants " + amende colossale à la clé
Cet élément représente le déclencheur de l'affaire .
Que la mafia politico -industrielle s'en soit emparé pour en absorber les miettes relève de l'opportunité captée à leurs fins
Au final , Alstom est décapitée et c'était un des buts recherchés , avec la complicité politique nationale
Des affaires identiques , il en existe bien d'autres et les plus belles entreprises françaises restantes sont toujours dans le viseur US , banques en tête (SG , BNP ...) , suivies de près par les Airbus et autres industries concurrentielles
Répondre
|
Dommage pour le groupe qui n'en finit pas de solder l'époque "Kron" assez préjudiciable ....
-----------------------------------------------------
Anticor dépose une nouvelle plainte dans l'affaire Alstom
Actualité AFP publiée le 22/07/19 08:57
Une plainte pour corruption et détournement de fonds publics a été déposée à Paris concernant le dossier Alstom, après la vente du pôle énergie du groupe à l'américain GE et la fusion ratée avec l'allemand Siemens, a-t-on appris lundi auprès de l'association Anticor.
Dans cette plainte, déposée au pôle financier du tribunal de Paris, l'association demande que des personnes physiques, notamment l'ex-PDG du groupe Patrick Kron, soient poursuivies en France pour corruption dans ce dossier.
"Si la personne morale Alstom a, par un plaider-coupable, reconnu des faits de corruption qui se sont pérennisés pendant de longues années et si un lampiste a fait un long séjour dans une prison américaine, les personnes physiques coupables de la corruption n'ont pas été poursuivies, ni en France ni ailleurs", déclare Anticor dans un communiqué.
En décembre 2014, le groupe français avait payé une amende record de 772 millions de dollars aux Etats-Unis pour des faits de corruption dans plusieurs pays. Un haut cadre de l'entreprise, Frédéric Pierucci, avait été arrêté le 14 avril 2013 à son arrivée à l'aéroport de New York pour une affaire de corruption en Indonésie, et écopé d'une peine de 30 mois de prison.
Par ailleurs, Anticor demande qu'une enquête soit menée sur la décision de l'Etat de renoncer à son droit d'acheter 20% d'actions Alstom, détenues par le groupe de construction Bouygues, lors du rapprochement entre le groupe ferroviaire Alstom et le conglomérat allemand, "renonçant à un gain de l'ordre de 350 millions d'euros".
Anticor avait déjà déposé en janvier 2018 une plainte du chef de "négligence par personne dépositaire de l'autorité publique" concernant ces faits. Mais elle avait été rapidement classée sans suite par le parquet de Paris.
Dans sa nouvelle plainte, l'association anticorruption estime, se fondant notamment sur le rapport parlementaire de 2018 de l'ex-président de la commission d'enquête à l'Assemblée sur la politique industrielle de la France, Olivier Marleix, que l'Etat a perdu "consciemment" 500 millions d'euros, "si l'on prend en compte les dividendes et la plus-value perdus", au "profit de la société Bouygues".
Olivier Marleix (LR) avait pour sa part saisi le parquet de Paris en janvier pour qu'il enquête sur les circonstances de la vente du pôle énergie d'Alstom à GE, soupçonnant un "pacte de corruption".
Après ce signalement, le député a été entendu par les enquêteurs de l'Office anticorruption de la police judiciaire, à la demande du parquet de Paris qui s'est ensuite dessaisi de la procédure au profit du parquet national financier (PNF).
Répondre
|
ta petite fait des siennes entre corruption et détournement de fonds public, voilà le résultat !
ce qui t'explique le pourquoi ( qui fait que je n'ai pas cette valeur en porte-feuille )
---
Avalement baissier
L'avalement baissier ou Bearish engulfing pattern est une structure de renversement de sommet majeur en trend haussier. Une bougie blanche se fait totalement envelopper par une bougie noire qui marque le début d'un mouvement de retournement de marché.
Cours de référence : 37.14
Répondre
|
Alstom vient pas ailleurs de mettre en service l'ERTMS 2 (signalisation européenne) sur une ligne à grande vitesse espagnole
Répondre
|
15/07/2019 : Détachement du dividende de 5.50 € ce matin.
Contrairement aux -11,44% affichés sur abcbourse pour le titre, on termine la journée en hausse de +1,35% donc car :
• Vendredi on avait clôturé à 42,50 euros
• Dividende détaché, le cours tombait à 37 euros.
Belle prouesse après un tel détachement : certains attendaient le titre au tournant prétextant une chûte. Vu l'état du carnet de commande, je pense pas que ce soit la direction qui sera retenu.
Dans l'immédiat, on devrait consolider sur les niveaux actuels entre 36 et 38...
Répondre
|
Il est particulièrement intéressant de constater qu'après coup , tout le monde (ou presque ) s'aperçoit que la fusion n'avait rien de très positif pour Alstom , l'effet taille n'étant que leurre lorsqu'il joue de manière relative dans les contrats .Seule la puissance financière qui en découle peut jouer un rôle mais on peut aussi se passer de fusion tout en apportant au groupe les solutions idoines .
On trouve ainsi dans les diverses analyses produits ces deux derniers jours les montages bien plus pertinents pour renforcer l'entreprise qui peut donc assurer son autonomie pour de longues années encore .
Le regroupement des signalisations avec la branche de Thalès serait de loin la meilleure formule pour un "Airbus " de l'équipement ferroviaire hors mobilité que pourrait rejoindre la division dédiée de Siemens bien que la concurrence soit à ce niveau assez peu fournie pour la CE . Mais ce sera sans aucun doute le domaine critique à l'avenir et le plus rémunérateur
Une crainte toutefois : qu'Alstom dilapide son cash en dividendes totalement contre productifs
Message complété le 09/02/2019 13:59:35 par son auteur.
analyses produites
Répondre
|
Mauvaise posture est un bien grand mot à mon sens .
Pour rappel , en TGV les contrats Marocains voire US et italiens assurent une certaine charge
J'ai lu sur un site , émanant de Dow Jones , qu'Alstom n'en exportait pas ... ?????
Et ce n'est pas Siemens qui va aider dans le domaine .
Quant aux rames régionales , là aussi le comparatif ne leur est guère favorable
Répondre
|
Certes, mais Alstom sans les commandes de l'2tat français était en mauvaise posture : ce qui a changé depuis par un afflux de commandes records, et je pense aussi que l'annonce de fusion a catalysé des projets à concrétiser en direction du nouvel ensemble...
En tout état de cause actuellement, Alstom est commercialement et comptablement en position favorable, c'est tout de même bon, pour les gens qui y travaillent d'avoir un vrai carnet de commandes...
Répondre
|
L'annonce favorable pour l'entreprise n'est sans doute pas celle attendue par les financiers qui n'y voient que le dividende à en tirer , autrement mieux utilisé dans des alliances bien plus pertinentes que l'imposture Siemens .
Ce n'est pas parce que le Président exècre le ferroviaire que l'on doit mettre à mort les entreprises du secteur
Répondre
|
Latéralisation et synchronisation des indicateurs dans l'attente d'une annonce favorable...
Revenons sur les dernières semaines boursières du titre...
On aurait voulu faire chûter l'une des seules qui n'a pas perdu de terrain en 2018 que l'on ne s'y serait pas pris autrement...
Dans mon point graphique précédent, je parlait d'un triple top baissier sur 36,81 euros qui aurait du conduire à une reprise haussière. On n'en a bien pris le chemin, mais certains ont jugés utile de profiter de l'arrivée au sommet de la MM 200 pour jeter le trouble et l'anathème sur la fusion avec Siemens...
La spéculation est démontré par la sortie à la baisse de la bande de Keltner basse.
Cela a eu pour effet direct de permettre à la MM 200 haussière d'entrer en domination baissière en passant dans un très court laps de temps les 3 MM 20 rouge, 60 orange et 100 bleue stagnantes.
L'effet est immédiat : à compter du 18 Décembre le titre commence à perdre du terrain puis chute et laisse un Gap baissier sous 36,81 euros.
On retourne directement de fait sur 33,80 pour tester le support du précédent cartouche de latéralisation avant la hausse et les annonces potientielles de distribution des réserves liées à au projet de fusion...
On constate actuellement que le support des 33,80 a tenu et que l'on s'appuie sur ce niveau solide pour latéraliser en attendant d'avoir le vrai avis de commision européenne sur le projet de Fusion...
Coté indicateurs, si la DM- est encore dominante baissière, elle comme à perdre du terrain sur son point haut et surtout, le MACD encore a amorcé une reprise, soutenu par un RSI qui revient en position d'attente. Tous les indicateurs actuellement se synchronisent vers un niveau propice à bondir en cas d'annonce favorable...
A suivre !...
.
Message complété le 24/01/2019 09:40:18 par son auteur.
NB : le croisement haussier de la MM 200 verte Dominante est matérialisé dans un carré bleu sur le graphe...
.
Répondre
|
A l’heure où les chinois, amerloques, indiens,….bâtissent des empires industriels, l’E..U. n’a de cesse que de saucissonner les regroupements et/ou fusions en cours. Ce qui a pour conséquence d’affaiblir les futures sociétés, de désarmer certains secteurs. Exactement le contraire de ce qu’annonce vouloir l’E.U.
Est-ce raisonnable ?
C’est à se demander de quel côté penche l’E.U.
Répondre
|
Rebond en "V" sur échec du triple enfoncement baissier des 36.81 euros.
Ce triple échec figure en pastilles rouge sur 36,81. et on voit nettement se dessiner le "V3 de reprise pour revenir autour du support à 38,37. Pour l'heure on bute sur les MM 200 (verte) à 39,20 et 100 (bleue) à 38,26.
Même si on a cassé le mouvement haussier en pointillés verts, le support à 38,26 a tenu bon de sorte qu'actuellement en plus long terme on établit une figure de Mât haussier au départ du "W" noté sur le graphe et la consolidation actuelle prend l'aspect d'un lon fanion de condolidation latérale "à suivre"...
On se retrouve donc encore pour un certain temps dans cette zone de latéralisation au dessus de 38,26 et sous 41,00 qui tient pour l'instant en terme de positions. Suite aux proposition de cessions des 2 groupe, on attends maintenant la réponse des autorités européennes.
.
Répondre
|
En cette fin d'année difficile, l'analyse automatique des indicateurs reste nettement au dessus du marché pour Alstom malgré la baisse temporaire.
On reste pour l'instant à "Achat". Et cette baisse vient d'ailleurs d'être mise en échec comme le montre le graphe dans mon post prochain.
https://www.abcbourse.com/analyses/conseil?s=ALOp
.
Répondre
|
ALSTOM décroche un contrat de plus de 100 millions d’euros en Inde
10/12/2018 | Communiqué de presse
Alstom a été choisi par Mumbai Metro Rail Corporation Limited (MMRCL) pour fournir un système de signalisation CBTC destiné à la ligne 3 du Métro de Mumbai (Inde). Le contrat, qui s'ajoute à d’autres contrats de matériel roulant et d’alimentation électrique remportés plus tôt dans l'année pour la même ligne, s’élève à plus de 100 millions d`euros.
Alstom équipera la ligne 3 d'Urbalis 400, sa dernière génération de la technologie de signalisation CBTC. Le contrat prévoit notamment des systèmes de pilotage automatique (UTO), d'enclenchement automatisé et de contrôle centralisé des trains, des portes palières, ainsi que le système de surveillance et d'acquisition de données électriques et mécaniques (E&M SCADA).
Répondre
|