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On va continuer à jeter l’argent public en Ukraine, dans la construction de l’"Europe de la défense" qui n’est autre que l’Europe de la guerre, dans le financement de la submersion migratoire et dans tous les autres projets des mondialistes.
Les mondialistes donnent les instructions aux US qui donnent les instruction à Bruxelles qui donnent les instructions aux pro consuls.
Les peuples se serrent la ceinture pour que les usuriers s’enrichissent. Pas besoin de décennies pour comprendre ça
Si ! Tu peux faire une barricade et monter dessus. Fallait te réveiller lors du coup d’état démocratique de 2008
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« Tout est dit »
???
Mais encore ? On ne fait rien ?
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Cher Ronald, en tout cas je ne perds pas mon temps en lisant ta prose, je m’instruis….😜😜😜
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Il y a 5,7 millions de demandeurs d'emplois, pour 27 millions de travailleurs, et 17 millions de retraités.
Tout est dit.
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Nous continuerons à suivre les directives de Bruxelles. Point barre !
Arrête de perdre ton temps, ça fait des décennies que tu ne comprends rien
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Nous ne devrions pas nous réjouir en accusant Pierre, Paul ou Jacques mais plutôt nous demander sérieusement comment nous en sortir, ce qui signifie au delà des mots et des belles paroles, quels efforts sommes-nous prêts à fournir en fonction de nos situations respectives.
Efforts ? Quand le français lambda entend « effort » il répond : bloquons tout.
En 2027 nous aurons le choix entre :
- il faut se serrer la ceinture
ou
- la dette n’est pas un problème, taxons et surtaxons « les riches ».
Le tout est de savoir OÙ sera située la frontière entre le « riche » et le « pas riche ».
Quelle tendance l’emportera ?
Pour moi qui ait le triste privilège de suivre depuis des décennies le comportement des français, il n’y a pas de doute… Nous suivrons le chant des sirènes.
En attendant faisant semblant de nous intéresser à la question du jour : Qui entrera dans le gouvernement ?
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C'est tout bon pour les usuriers. Vont pouvoir remonter d'un cran leur taux d'usure à l'égard de la France
Pou pou pidou...
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Parmi ceux qui ont peur, il y en a qui se sauvent ! B LEMAIRE et BAYROU ont eu le nez fin ; ils se sont "barré" à temps et en premier ! C'est quand les rats quittent le navire, que les capitaines éclairés fuient le navire !
L'un a tenu les comptes pendant des années et savait!
L' autre a exigé d'être nommé premier ministre puis a tout fait pour se "faire jeter" avec en prime une meilleure retraite !
CONCLUSION : S LECORNU doit la fermer et se taper l'Himalaya en premier de cordée !
Bon courage Gamin ! il n'y a plus qu'à espérer que "la valeur n'attend pas le nombre des années" !
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Tous.
Tous coupables.
Une déliquescence sociale, societale, morale, économique, financière, politique
Etc …
Le chemin va être long, ardu, extrêmement difficile, tout un système de pseudo valeurs à détruire et à reconstruire.
Comment disait Churchill ?
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La France vient de subir une dégradation notable de sa note de crédit par l'agence de notation Fitch, qui a rétrogradé sa notation de « AA- » à « A+ ». Cette décision marque un moment symbolique dans l'évaluation de la santé financière du pays, soulignant non seulement un déficit budgétaire persistant, mais aussi une instabilité politique qui complique la mise en œuvre de réformes budgétaires nécessaires.
Le paysage économique français est marqué par une dette publique en hausse constante, avec un déficit qui, malgré une légère réduction prévue cette année, reste le plus élevé de la zone euro. Le déficit devrait passer de 5,8 % à 5,4 % du PIB, mais la route vers une stabilisation à 3 % semble semée d'embûches. Cette situation économique précaire est exacerbée par une scène politique fragmentée, qui n'a pas réussi à produire une majorité claire au Parlement depuis l'échec de la dissolution en 2024. Deux Premiers ministres ont déjà échoué à aborder cette question cruciale, et le nouveau chef du gouvernement, Sébastien Lecornu, doit maintenant affronter ce que beaucoup appellent un « Himalaya budgétaire ».
Malgré quelques signaux macro-économiques positifs, tels qu'une croissance légèrement supérieure aux prévisions, les blocages politiques continuent de compromettre les perspectives de redressement budgétaire. Selon les simulations de Natixis, la dette publique française pourrait continuer d'augmenter jusqu'en 2030, dépassant potentiellement 120 % du PIB. La seule échappatoire serait un choc de croissance positif, un scénario auquel les experts ne croient pas à court terme.
Dans ce contexte, les investisseurs ont déjà commencé à ajuster leur perception de la dette française. Bien que la note officielle soit toujours élevée, les marchés perçoivent la France à un niveau de risque comparable à des notations inférieures. Le coût de financement de la dette française est désormais similaire à celui de pays comme l'Espagne et le Portugal, notés « A- », et même l'Italie, notée « BBB+ », bénéficie de conditions de financement comparables.
Les implications de cette dégradation sont multiples. À court terme, la réaction des marchés obligataires a été modérée, la dette française étant encore considérée comme de bonne qualité. Cependant, sur le long terme, l'évolution négative de la perception du risque pourrait entraîner une augmentation des coûts d'emprunt pour l'État français, limitant ainsi sa capacité d'investissement. Les charges d'intérêt sur la dette devraient s'alourdir, approchant les 67 milliards d'euros cette année et dépassant potentiellement 100 milliards d'ici 2029.
Face à cette situation, le gouvernement de Sébastien Lecornu est sous pression pour trouver des solutions viables à la crise budgétaire. La décision de Fitch pourrait servir d'électrochoc, incitant l'exécutif à s'engager résolument dans des réformes malgré l'absence de majorité parlementaire. La capacité de l'État à honorer ses engagements financiers sans compromettre la confiance des marchés deviendra un enjeu crucial dans les années à venir.
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