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Les frais de succession c'est déjà du vol :
https://www.economie.gouv.fr/particuliers/droits-succession-simulateur
45 % entre frères et sœurs et 60 % si aucun lien de parenté avec des abattements dérisoires
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Dubaisan
« « Ok pour: - réduire drastiquement ..//.. et une très forte imposition sur les successions. » »
Donc, j’ai bossé comme un con , avec doubles journées parfois , me suis privé de vacances et de menus plaisirs de la vie pendant des décennies pour laisser qq chose après moi, j’ai accumulé des sommes taxées jusqu’à 3 fois , pour me faire voler en plus par l’état ?
Et tout ça, pour entretenir des gens qui n'ont jamais rien foutu ? Des parasites ?
Si j’aurais su, je me serais pas fait chier à bosser comme un con.
J’aurais claqué mon fric dans des croisières de rêve, dans des pays aux paysages de cartes postales, loin de la France arnaqueuse.
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Ok pour:
- réduire drastiquement les dépenses publiques
et
- une très forte imposition sur les successions.
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Toujours pareil !
Taxes, taxes, taxes,…c’est tout ce qu’ils savent dire. Par contre, saisie des biens des vrais responsables de la dette, de la faillite de la France …….connait pas !
Réduction des dépenses – coupes sombres dans le Nb de parlementaires et leurs avantages princiers, des ministères réduits au régalien, les fauteuils en or massif, obliger les énarques à créer leur entreprise avec nombreux salariés, ….pas question !!!
Il y a un filon à exploiter, là. Avec tout le reste .....
On commence par les gros , mais on leur met des niches plein plein plein, pour s’apercevoir que ça rapporte rien et que ça fait de gros mécontents.
Alors, on abaisse la barre , pour y coller la moyenne classe., puis les soit-disant « aisés » de la classe populaire.
Allez, on connaît la musique.
A quand un grand coup de pied dans la fourmilière ? Format XXL le coup de pied
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Eric Lombard (ministre de l'Économie) et Amelie De Montchalin (Ministre du Budget)
Les gros patrimoines sous la loupe du gouvernement : dans le cadre des discussions sur le budget 2025, l’idée d’une taxation accrue des plus riches refait surface. Entre pistes fiscales et tensions politiques, le projet suscite déjà de vifs débats.
Lors d’une réunion avec des représentants socialistes, communistes et écologistes le 8 janvier, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a proposé une éventuelle taxation des patrimoines les plus élevés, selon des informations rapportées par L'Opinion. Cette initiative s’inscrit dans les efforts budgétaires visant à réduire le déficit de l’État, fixé à environ 50 milliards d’euros pour cette année.
Actuellement, l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) cible les biens immobiliers, mais la question de taxer le patrimoine financier, non inclus dans l’IFI, est sur la table. Un retour à une fiscalité plus large, comme l’ex-impôt de solidarité sur la fortune (ISF), pourrait être envisagé, bien que cela ne soit pas explicitement mentionné.
Parallèlement, un durcissement de la fiscalité sur les successions fait également partie des hypothèses avancées. Une récente étude de la Fondation Jean Jaurès et du think tank Hémisphère Gauche met en avant un potentiel colossal : une réforme de l’impôt sur les grandes transmissions pourrait générer 400 milliards d’euros entre 2025 et 2040, en ciblant uniquement le Top 1 % des plus riches.
Un collectif de plus de 100 entrepreneurs, dans https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-taxez-nos-successions-plus-de-100-entrepreneurs-prennent-position-2141555" target="_blank">une tribune publiée dans Les Échos, a récemment soutenu cette réforme en déclarant : « Taxez nos successions ! » Ils plaident pour un meilleur partage des richesses, en orientant les recettes vers des domaines clés comme la transition écologique ou l’éducation.
Autre proposition évoquée par L’Opinion : une taxe spécifique sur les très gros patrimoines, dépassant 100 millions d’euros. Inspirée des idées de l’économiste Gabriel Zucman, cette mesure viserait une petite minorité d’ultra-riches. Le rendement potentiel permettrait de remplacer d’autres contributions prévues dans le budget initial, mais non applicables en 2025 sans une loi de finances rectificative.
Cependant, Bercy reste prudent et hésite à relancer un tel projet. Le précédent gouvernement de Michel Barnier avait tenté d’introduire une contribution similaire, mais celle-ci avait été bloquée en raison d’un vote de censure.
Lire aussi : Réduire le déficit sans toucher à la classe moyenne, le défi du gouvernement
Les échanges autour de ces pistes fiscales s’inscrivent dans un contexte de négociations tendues. Depuis le 8 janvier, Amélie de Montchalin et Eric Lombard, ministre de l’Économie, rencontrent les forces politiques pour trouver un compromis avant la déclaration de politique générale du Premier ministre François Bayrou prévue le 14 janvier.
Les Républicains, par la voix de Laurent Wauquiez, ont réaffirmé leur opposition à toute hausse d’impôts et exigent une baisse drastique des dépenses publiques. À l’inverse, la gauche milite pour une contribution plus importante des plus aisés.
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