Michel Barnier risque de ne pas mener très longtemps la bataille si jamais l'intervention qu'il a subie ce week-end s'avère moins bénigne qu'annoncé. Et de toute façon vu la façon dont les LR et les Macronistes se comportent il n'aura guère d'autre choix que le 49-3, avec les votes de censure qui pourraient suivre.
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V.E. et/ou Budget
Baisse de la distribution des subventions sur les V.E.
Ah enfin !
De vraies économies là où il faute en faire : sur des « investissements » qui ne seront rentables , peut-être, que dans ?….100 ans ?
Et maintenant, Barnier serait bien inspiré de couper dans l’enveloppe d’une autre dépense absurde et inutile : la transition énergétique (les énergies dites vertes)
Mais…..
Pour les subventions aux V.E., à voir s’il n’y a pas un loup caché entre les mots de cette annonce journalistique.
Pour les deux secteurs ici nommés, les décisions sont soumises au véto de Bruxelles.
Si Bruxelles dit NEIN, se sera NEIN.
Et Barnier, sera obligé de serrer les boulons encore plus sur le social des petits français.
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Faudrait surtout que les habitants, n'attendent pas tout de l'Etat et se prennent eux-mêmes en charge...Mais là, il n'y a plus grand monde...
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@papygaga
C'est un peu le serpent qui se mord la queue.
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Notre budget futur est bien dans cette situation !!!
Il faut à tout prix réduire les dépenses des collectivités territoriales, mais maintenant avec les dégâts considérables causés par les intempéries un peu partout il va falloir au contraire aller leur fournir les Aides à la reconstruction des routes, des ponts, etc ... qui est bien entendu urgente sous peine de bloquer la vie quotidienne de pas mal de communes. Les biens publics ne sont pas assurés !!!
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"Fini les avantages fiscaux pour l’assurance-vie ?"
Le Problème, c'est que les assurances-vie fournissent une contrepartie aux OAT de l'Etat français.
Donc, plus de souscription aux assurances-vie et l'Etat doit trouver de novelles sources de financement....
Donc le spread de taux souverain français par rapport à l'Allemagne ira en augmentant, du fait du rééquilibrage entre les émissions de dettes et les preneurs.
C'est un peu le serpent qui se mord la queue.
Reste maintenant une (mauvaise) solution : geler "temporairement" les remboursements (rachats) sur les assurances-vie.
Tiens, au fait... La Loi sapin II permet déjà de le faire...
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Prendre l'Epargne qui dort - La tentation est forte
Fini les avantages fiscaux pour l’assurance-vie ?
Et oui. Selon nos législateurs, l’avantage dont bénéficie l’assurance-vie n’a pas lieu d’être, donc il faut taxer les sommes sur les assurances au barème des droits de succession !
Autant vous dire que le seul intérêt de ce placement était justement de pouvoir alléger la rapine fiscale de Bercy.
Sans intérêt fiscal au moment de la succession, aucun intérêt de garder des sommes qui ne rapportent pas grand-chose bloquées sur ces contrats d’assurance-vie.
Avant que la BCE ne rachète 25 % de la dette de la France soit plusieurs centaines de milliards d’euros. Le problème n’est plus de lever de l’argent sur les marchés.
La BCE s’en chargera.
Le problème c’est d’assurer la solvabilité de la France.
L’assurance-vie sera donc taxée.
Il faut percevoir les changements pour comprendre et anticiper ce qu’il va se passer.
Reste à savoir, si nos rapaces voraces de l’Assemblée Nationale rendront cette rapine rétroactive ou si cela ne s’appliquera qu’aux nouveaux versements ? Peu probable. Il est fort à parier que cela s’appliquera aux nouvelles successions ouvertes en 2025… même si les sommes ont été déposées avant. Restera à voir la position du Conseil Constitutionnel.
Autrefois, cet avantage avait été donné pour aider justement à financer la dette de la France, puisque les fonds en euros, c’est de la dette française !
Enfin ça c’était le monde d’avant.
Avant l’épargne des Français finançait les déficits de l’Etat.
Mais c’était avant.
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Croissance continue de l'endettement
2 950 milliards d'euros fin 2022, 3 013,4 milliards le 31 mars 2023. La dette publique. française au sens de Maastricht des administrations publiques continue sa croissance.
À la fin du deuxième trimestre 2024, la dette publique s'établit à 3 228,4 Md€ indique l'Insee dans sa dernière publication du 27 septembre 2024 toujours en croissance.
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Les recettes ont été plus faibles que prévues, avec notamment celles de la TVA faute à une croissance plus faible que prévue. Par contre les dépenses sont toujours globalement plus fortes en dépit de quelques exceptions. Et l'Etat accuse les collectivités territoriales de creuser les déficits mais il ne montre pas l'exemple.
La bataille pour 2025 n'annonce rien de sensiblement meilleur.
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Pour prendre des coups il vaut mieux être en fin de carrière comme Michel Barnier !!!
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