Quand le collectif ne marche pas, on joue l'individuel et puis basta!
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@moicmoi
C'est vrai que depuis maintenant plus de 50 ans et le dernier budget en équilibre avec Raymond Barre il n'y a pas eu beaucoup d'embellies sur les finances du pays dont la dette n'a fait que gonfler. Mais je note qu'en 2002 elle était déjà de 1000 milliards d'euros.
Ensuite elle a augmenté pour s'établir selon l'INSEE à la fin du quatrième trimestre 2019 à 2 380,1 Md€ quand Emmanuel Macron venait de prendre la présidence de la République.
La dette française, en route vers de nouveaux sommets a atteint 3 305 milliards à la fin de 2024. L'endettement public est monté à 113 % du PIB à la fin de 2024, a annoncé l'Insee.
Mais ce n'est malheureusement pas la seule faute des "politicards" car les citoyens qui les ont élu et ceux qui de plus en plus nombreux s'abstiennent en sont aussi responsables. Les difficultés à affronter la montée des "Trafics en tous genre", des Incivilités et des Communautarismes qui aboutissent à la perte d'autorité constatée et déplorée aujourd'hui n'arrangent rien. Quand on voit cela arriver jusque dans les petites communes avec la contestation des maires et une sorte d'abandon de l'Etat au plan financier je me demande bien si l'on trouvera l'homme ** providentiel capable de nous sortir de nos mauvaises habitudes.
** ou la femme (je ne veux pas être accusé de sexisme) !!!
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ses 4 grandes orientations, ? Mouais. Depuis qu’on les entretient, ces politicards, on les connait.
Du bla bla la, jamais suivis d’actes.
Bayrou est en politique depuis 1979, et donc, il est en partie responsable de la situation catastrophique de la France.
Ecarter le recours à l’emprunt ? Alors que la France est obligée d’emprunter massivement pour payer les seul intérêts ? Impossible.
Pas touche aux impôts ?
Alors quoi ?
Augmentation et nouvelles taxes partout, coupes sombres dans le social (remboursement santé, prestations chomage, retraite, baisse des salaires (sans toucher à celui des z’élites), surtaxer l’épargne, etc….
Vous voila prévenus, alors, si vous en avez, mettez votre pognon à l’abri de ces rapetouts.
Si bayrou veut des pistes, il en trouvera tout plein en parcourant les divers forums et réseaux sociaux.
Ou en demandant l’avis du Peuple en lançant une consultation publique. Et en respectant cet avis.
En écoutant les économistes indépendants .
Première mesure : virer toute cette racaille maffieuse, et confisquer tous leurs avoirs. Je dis bien TOUS !
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Personnellement, tout à fait d'accord avec ses 4 grandes orientations, reste à en connaître le contenu concret....
Il appartient également à chaque français de se poser la question: Qu'est ce que je peux faire pour mon pays?
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Budget 2026 – La France joue sa crédibilité
A l'issue de la réunion du comité d'alerte du budget, le Premier ministre a décrit la situation économique préoccupante de la France qui nécessite de nouvelles "grandes orientations" dès le prochain budget.
"Il est des rendez-vous cruciaux dans l'agenda politique du gouvernement, des heures de vérité décisives et ceci en est une." C'est par cette phrase sur un ton solennel que François Bayrou a commencé sa présentation à l'issue de la réunion du comité d'alerte du budget ce 15 avril.
Après avoir comparé les enjeux géopolitiques actuels à des phénomènes météorologiques, le chef du gouvernement a entamé un diagnostic de la situation économique de la France pour justifier les "grands choix" qui s'imposeront dans le prochain budget à l'automne.
"Nous devons mesurer la gravité de la situation en écartant la peur et la tentation du découragement. Ce temps de constat, loin d'être un frein à l'action, est le temps de la mobilisation."
En ce qui concerne le calendrier, François Bayrou souhaite que le diagnostic, auquel la démocratie sociale prendra sa part, permette "de proposer des orientations et des solutions avant le 14 juillet", avec en ligne de mire les futures discussions sur le Budget 2026.
Une production et un taux d'emploi trop faibles
Face à de nombreux Français qui déplorent un manque de moyens pour leur quotidien ou encore les services publics, le Premier ministre a notamment donné deux explications majeures.
"Nous n'avons pas assez de ressources parce que notre pays ne produit pas assez, a-t-il d'abord insisté, mettant en avant la différence de PIB par habitant entre la France et ses voisins [...] Nous ne produisons pas assez et il n'y a aucune raison acceptable pour un tel retard."
"Si notre production par habitant était dans la même gamme que celle de nos voisins européens, nous n'aurions pas de déficit budgétaire et nos concitoyens qui gagnent quelque 2.000 euros par mois approcheraient des 2.500 euros", a affirmé François Bayrou.
Pour François Bayrou, "il est impératif de réduire nos dépendances agricoles, industrielles et intellectuelles soit en produisant davantage ce que nous consommons ou en modifiant nos modes de consommation." Et le Premier ministre considère que la France a "toutes les capacités de produire les réussites les plus exigeantes".
Outre le niveau de production, le chef du gouvernement a pointé du doigt l'enjeu du travail dont l'exclusion "se concentre sur les plus jeunes et les plus âgés": "le taux d'emploi des jeunes Français et des seniors est plus faible que chez nos voisins européens."
Une hausse des prélèvements "intenable"
Le Premier ministre est ensuite entré dans le vif de sujet en rappelant que la France dépense trop par rapport à ses recettes mais est pourtant "loin d'être au sommet des classements de l'OCDE pour le niveau de vie, le taux de chômage, les inégalités". Face à ce constat, François Bayrou invite à s'inspirer du Canada, de la Suède ou encore des Pays-bas qui ont fortement réduit leurs dépenses publiques ces dernières années tandis que leurs habitants "sont précisément ceux qui se déclarent les plus heureux dans les comparaisons internationales."
"Nos dépenses sont les plus lourdes de tous les pays du monde mais elles n'ont pas l'efficacité à laquelle nos concitoyens devraient avoir le droit. Ils n'en ont pas pour leur argent", déplore le Premier ministre.
Pour réduire le déficit, le chef du gouvernement écarte les deux solutions "de facilité" auxquelles la France a recours depuis plusieurs décennies. Il juge "intenable" une hausse des impôts alors que le taux de prélèvements obligatoires français atteint déjà 43% du PIB. "Plus l'impôt est lourd, plus les contribuables se dérobent", souligne-t-il. De même, le recours à l'emprunt n'est plus envisageable alors que la dette française dépasse les 110% du PIB: "c'est comme si chaque Français, quel que soit son âge, devait à sa banque près de 50.000 euros."
Ecarter le recours à l'emprunt
Le recours à l'emprunt est d'autant plus préjudiciable que dans un contexte de hausse des taux d'intérêt, la charge de la dette pèse de plus en plus lourd sur les finances publiques: actuellement autour de 60 milliards d'euros, elle pourrait atteindre 100 milliards d'euros dès 2029. "Tout abaissement de la note de la France entrainerait une augmentation des taux d'intérêt et donc de la charge de remboursement que cette dette impose au pays, rappelle le chef du gouvernement. C'est un cercle vicieux, un piège dangereux et potentiellement irréversible qu'il convient d'identifier et dont nous devons partager la connaissance avec les Français."
"Les salariés d'aujourd'hui sont en première ligne dans cette charge de la dette. Il est moralement insoutenable de faire supporter aux travailleurs nos dépenses de tous les jours."
Pour autant, François Bayrou n'est pas fermement opposé au principe de l'endettement tant que ce dernier finance des dépenses pertinentes : "il y a une bonne dette à côté d'une mauvaise. La dette légitime et utile permet de financer des investissements d'avenir mais ce n'est pas cette dette que nous avons privilégié. Nous avons préféré la dette de facilité qui finance les dépenses courantes."
Quatre grandes orientations
Face à ce constat, François Bayrou appelle à agir tout en respectant "notre modèle social et notre République décentralisée". S'il rappelle que le système social "est une part de notre identité", il estime que celui-ci doit évoluer "afin d'affronter le défi démographique, l'effondrement de la natalité et le vieillissement de notre population." Le Premier ministre a également salué l'action des collectivités locales qui portent 70% de l'investissement en France dans des secteurs indispensables comme la santé, le logement ou les transports.
Et le chef du gouvernement décline son action en quatre orientations : l'indépendance en matière de sécurité et de défense avec un effort européen partagé, le refus du surendettement pour que le déficit revienne sous les 3%, la refondation de l'action publique et la vitalité économique de la France afin que le pays soit "une terre attractive" grâce au chantier de la simplification entre autres.
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Constance dans le discours
François Bayrou est constant sur le sujet car si l'on se rappelle qu'il a été 3 fois candidat à la présidentielle en 2002, en 2007 et en 2012, il avait chaque fois tenu un même discours avec les mêmes arguments qu'aujourd'hui sur la nécessité de réduire la dette de la France. Aujourd'hui il souligne que la dette pèse à raison de 50.000 euros sur chaque français.
Mais en 2002, on avait 1000 milliards d'euros de dettes et Bayrou disait déjà « C’est un chiffre tellement astronomique qu’on se dit qu’il n’a pas de réalité. Si on divise cette dette par le nombre des Français, ça fait 100.000 francs, 15.000 euros par tête. Si vous avez une famille de 5 personnes, elle va devoir rembourser 500.000 francs sur les années qui viennent ».
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Déficit public : les erreurs majeures sont sur les dépenses
Année après année, la France sous-estime dans ses prévisions le dérapage de ses dépenses publiques. Agnès Verdier-Molinié cherche toujours un pilote dans l'avion.
La Cour des comptes vient de rendre son rapport sur les retraites: il ne prend pas en compte le déficit des pensions de l’État et anticipe une dégradation de la situation financière des régimes d’ici à 2045. Ne serait-il pas temps, enfin, d’associer public- privé pour connaître la situation réelle des régimes en France? D’ailleurs, quelle est-elle ?
Le rapport de la Cour des comptes est très surprenant. La Cour reconnaît un déficit des régimes des agents territoriaux et hospitaliers à hauteur de 2,5 milliards d’euros en 2025 et un déficit des retraites à hauteur de 6,6 milliards tous régimes confondus. Mais la Cour refuse de reconnaître, sous des prétextes obscurs, qu’il y a aussi un déficit des pensions publiques de l’État. Peut-être tout simplement car les agents de la Cour sont aussi des agents de l’État? Le montant de ce déficit est très difficile à chiffrer, car il n'y a pas de caisse de retraite des agents de l’État et donc pas d'affichage transparent du déficit. Mais, contrairement à ce que dit la Cour, nous estimons à la Fondation IFRAP le déficit total des régimes publics à entre 10 et 15 milliards pour 2025. Soit environ deux fois plus que le déficit reconnu par la Cour tous régimes confondus! Et ce, alors qu’environ 4 millions d’agents publics sont actuellement retraités sur 18 millions de retraités. Le déficit des retraites publiques demeure l’éléphant dans la pièce que l’on ne veut pas voir.
Depuis quelques mois, les chiffres du chômage remontent, avec un taux particulièrement mauvais sur les populations jeunes et seniors. À quoi s’attendre en 2025 ? Ces chiffres reflètent ils la situation réelle ?
À la Fondation IFRAP, nous nous attendons à 7,8 % de chômage à la fin de l’année 2025. La tendance n’est pas bonne et les analyses officielles sont très parcellaires sur les raisons de cette remontée. Celle-ci est, certes, alimentée par l’instabilité politique, mais aussi par l’instabilité fiscale. Quand les chefs d’entreprise voient que leurs impôts vont monter à la fois sur leurs entreprises et sur leurs revenus personnels. Que les allégements de charges et les crédits d’impôts sont remis en question en permanence dans le débat public, qu’une proposition de loi a même été votée en première lecture à l’Assemblée nationale pour faire payer aux entrepreneurs de France (au-delà de 100 millions d’euros de leur patrimoine net)2 % de leur patrimoine tous les ans… Évidemment, cela n’incite pas à embaucher ou investir en France! Selon le baromètre Bpifrance de novembre 2024, 65 % des patrons de TPE et PME repoussent ou annulent leurs investissements, et 55 % font de même pour les embauches. J’évoque d’ailleurs dans le livre un potentiel mur des faillites, à plus de 70 000 défaillances d’entreprises.
Le climat des affaires s’améliore, nous dit l’Insee? Il est juste un peu moins mauvais! Plus de nouvelles taxes, de suppressions de niches fiscales ou de contraintes sur les entreprises et les entrepreneurs seront annoncées, plus le chômage montera. L’annonce par le gouvernement de la création d’un nouvel ISF pour l’an prohttps://www.ifrap.org/budget-et-fiscalite/deficit-public-nous-arrivons-face-au-mur-constate-agnes-verdier-moliniechain, à 0,5 % du patrimoine, va d’ailleurs dans la plus mauvaise direction. Cela va encore continuer à faire partir de France des entrepreneurs et tout ou partie de leurs entreprises.
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Toujours l'impossibilité de réduire notre "millefeuille administratif" !!!
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Dette : une montagne ? Un volcan !
Depuis vingt ans, Etats et entreprises ont emprunté massivement sans préparer la croissance qui permettra de rembourser. Il y aura fatalement de la casse.
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Tant que le gouvernement, de quelque bord qu'il soit, ne s'attaquera pas au millefeuille administratif, il n'y aura pas de réduction sensible du déficit.
Mais cela suppose des évolutions, des changements d'organisation profondes.
Et les français sont champion de la galaxie pour la résistance au changement, même si c'est dans leur intérêt (un comble)
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La dette publique de la France s’élève à +3 426 696 182 931 euros et continue de grimper.
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Ce matin un conseil des ministres exceptionnel à Matignon pour demander à chaque ministre de trouver si possible comment faire des économies, et de couper certaines dépenses non indispensables.
Les menaces contre le dérapage continu de nos dépenses pourraient finir très mal si nos ne donnons pas des signaux de changement d'attitude à tous les observateurs économiques européens et mondiaux.
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Budget : La Cour des comptes dénonce des dépenses publiques « hors de contrôle » et voit la France « au pied du mur »
Dans un rapport sur la situation des finances publiques, la Cour souligne que le dérapage de 2024 est principalement dû à la flambée de la dépense publique, là où les précédents gouvernements pointaient des recettes décevantes. Un nouveau dérapage en 2025 serait critique.
Derrière le trou observé en 2024 où le déficit doit atteindre les 6% du PIB au lieu de 4,4% prévu dans le budget initial la Cour pointe une forte augmentation des dépenses publiques qui serait la plus grave de ces 15 dernières années, alors que les discours des derniers gouvernements pointaient le manque de recettes.
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Notre dette de plus de 3 000 milliards d'euros aurait pu nous faire dégrader par les Agences de notation et ce n'est pas arrivé.
La raison est peut être ailleurs que celles invoquées le plus souvent. Elle réside dans le fait majeur que les Français contrairement à leurs gouvernements successifs sont économes et ont pour le moment réussi à économiser pour environ 6 000 milliards d'euros ce qui rend davantage de crédit au pays.
Mais c'est là que les épargnants peuvent aussi trembler pour leurs économies, car n'importe quel gouvernement peut avoir la tentation d'en "confisquer" une bonne partie afin de rétablir plus facilement les finances du pays sans serrer les dépenses ce qui est bien entendu impopulaire.
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Michel Barnier risque de ne pas mener très longtemps la bataille si jamais l'intervention qu'il a subie ce week-end s'avère moins bénigne qu'annoncé. Et de toute façon vu la façon dont les LR et les Macronistes se comportent il n'aura guère d'autre choix que le 49-3, avec les votes de censure qui pourraient suivre.
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V.E. et/ou Budget
Baisse de la distribution des subventions sur les V.E.
Ah enfin !
De vraies économies là où il faute en faire : sur des « investissements » qui ne seront rentables , peut-être, que dans ?….100 ans ?
Et maintenant, Barnier serait bien inspiré de couper dans l’enveloppe d’une autre dépense absurde et inutile : la transition énergétique (les énergies dites vertes)
Mais…..
Pour les subventions aux V.E., à voir s’il n’y a pas un loup caché entre les mots de cette annonce journalistique.
Pour les deux secteurs ici nommés, les décisions sont soumises au véto de Bruxelles.
Si Bruxelles dit NEIN, se sera NEIN.
Et Barnier, sera obligé de serrer les boulons encore plus sur le social des petits français.
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Faudrait surtout que les habitants, n'attendent pas tout de l'Etat et se prennent eux-mêmes en charge...Mais là, il n'y a plus grand monde...
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@papygaga
C'est un peu le serpent qui se mord la queue.
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Notre budget futur est bien dans cette situation !!!
Il faut à tout prix réduire les dépenses des collectivités territoriales, mais maintenant avec les dégâts considérables causés par les intempéries un peu partout il va falloir au contraire aller leur fournir les Aides à la reconstruction des routes, des ponts, etc ... qui est bien entendu urgente sous peine de bloquer la vie quotidienne de pas mal de communes. Les biens publics ne sont pas assurés !!!
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"Fini les avantages fiscaux pour l’assurance-vie ?"
Le Problème, c'est que les assurances-vie fournissent une contrepartie aux OAT de l'Etat français.
Donc, plus de souscription aux assurances-vie et l'Etat doit trouver de novelles sources de financement....
Donc le spread de taux souverain français par rapport à l'Allemagne ira en augmentant, du fait du rééquilibrage entre les émissions de dettes et les preneurs.
C'est un peu le serpent qui se mord la queue.
Reste maintenant une (mauvaise) solution : geler "temporairement" les remboursements (rachats) sur les assurances-vie.
Tiens, au fait... La Loi sapin II permet déjà de le faire...
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Prendre l'Epargne qui dort - La tentation est forte
Fini les avantages fiscaux pour l’assurance-vie ?
Et oui. Selon nos législateurs, l’avantage dont bénéficie l’assurance-vie n’a pas lieu d’être, donc il faut taxer les sommes sur les assurances au barème des droits de succession !
Autant vous dire que le seul intérêt de ce placement était justement de pouvoir alléger la rapine fiscale de Bercy.
Sans intérêt fiscal au moment de la succession, aucun intérêt de garder des sommes qui ne rapportent pas grand-chose bloquées sur ces contrats d’assurance-vie.
Avant que la BCE ne rachète 25 % de la dette de la France soit plusieurs centaines de milliards d’euros. Le problème n’est plus de lever de l’argent sur les marchés.
La BCE s’en chargera.
Le problème c’est d’assurer la solvabilité de la France.
L’assurance-vie sera donc taxée.
Il faut percevoir les changements pour comprendre et anticiper ce qu’il va se passer.
Reste à savoir, si nos rapaces voraces de l’Assemblée Nationale rendront cette rapine rétroactive ou si cela ne s’appliquera qu’aux nouveaux versements ? Peu probable. Il est fort à parier que cela s’appliquera aux nouvelles successions ouvertes en 2025… même si les sommes ont été déposées avant. Restera à voir la position du Conseil Constitutionnel.
Autrefois, cet avantage avait été donné pour aider justement à financer la dette de la France, puisque les fonds en euros, c’est de la dette française !
Enfin ça c’était le monde d’avant.
Avant l’épargne des Français finançait les déficits de l’Etat.
Mais c’était avant.
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Croissance continue de l'endettement
2 950 milliards d'euros fin 2022, 3 013,4 milliards le 31 mars 2023. La dette publique. française au sens de Maastricht des administrations publiques continue sa croissance.
À la fin du deuxième trimestre 2024, la dette publique s'établit à 3 228,4 Md€ indique l'Insee dans sa dernière publication du 27 septembre 2024 toujours en croissance.
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Les recettes ont été plus faibles que prévues, avec notamment celles de la TVA faute à une croissance plus faible que prévue. Par contre les dépenses sont toujours globalement plus fortes en dépit de quelques exceptions. Et l'Etat accuse les collectivités territoriales de creuser les déficits mais il ne montre pas l'exemple.
La bataille pour 2025 n'annonce rien de sensiblement meilleur.
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Pour prendre des coups il vaut mieux être en fin de carrière comme Michel Barnier !!!
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