Oui Chabl, d'autant plus que notre dette est détenue à 60%* par des pays étrangers qui ne sont pas forcément disposer à nous faire des cadeaux.
Il y a un manque de transparence dans notre pays qui est inimaginable. Tous les citoyens français devraient connaitre tous les pays qui nous prêtent. Tout le monde devrait connaître combien on emprunte à chaque pays, sur combien de temps et à quel taux....La Banque de France devrait publier ces données. Mais il ne faut pas affoler le petit peuple....
Alors tout le monde vote sans avoir la moindre connaissance des problèmes, des dossiers, des enjeux....et s'ils en ont, par miracle, connaissance, sans les comprendre...
Voilà ce qu'on appelle la démocratie...
Si l'après Bayrou voit la gauche arriver au pouvoir, je pense que l'on va assister à une fuite des capitaux comme on ne l'a jamais connue.
* appris de la bouche même de notre 1 er ministre
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Quand on parle de Dettes et de Déficit alourdi l'horloge de la dette me dit aujourd'hui 5 Septembre que notre dette a augmenté depuis le 26 Août de 4,5 milliards d'euros ce qui peut sembler invraisemblable à chacun d'entre nous.
Alors quand j'entends certains commentateurs prétendre que ce n'est finalement pas si grave parce que nos épargnants accumulent de plus en plus au point de dépasser une somme représentant plus de 2 fois la dette je vois venir la solution rapide pour remettre les choses au point. Si aucun gouvernement n'ose le faire les ingérences extérieures nous contraindront à raboter cette épargne si les solutions d'économies dans un service public rempli de "Comités Théodule" à tous les échelons du "Millefeuille administratif" ne sont pas trouvées.
Bayrou n'a évidemment rien dit sur le ménage à faire, lui qui a profité depuis pas mal de temps d'un Service National du Plan dont à ma connaissance il n'est pas sorti grand chose pour préparer les 25 ans à venir. En 1958 le Général de Gaulle avait bénéficié d'une aide prévisionnelle grâce à la concurrence complémentaire du "Commissariat au Plan" et de la "DATAR" (Délégation interministérielle à l'aménagement du territoire) mais c'était nécessaire pour mieux organiser un développement équilibré d'après-guerre.
Aujourd'hui on ne sait plus malgré les moyens bien plus importants dont nous disposons empêcher un gaspillage énorme de nos services publics.
La semaine prochaine avec les manifestations prévues précipitera encore davantage le tic-tac de l'horloge des déficits !!!!
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Obywan
« « La commune dans laquelle je vis c'est une cousinade à ciel ouvert…//..Bref sur 36000 communes y en a combien comme ça ?
400 habitants répartis sur 15 hameaux, lieux dits, village, mais tous cousins alors voter oui, mais là c'est peine perdu » »
Encore une bonne raison pour faire ce que certains préconisent : ne rien changer, pour garder le typhus , le sur-endettement , les magouilles de toutes sortes, les cousins, et tous les politiciens véreux aux mains pleines de confiture.
Et des cas comme celui-ci, il en existe des centaines, voire des milliers. Bien plus graves.
A lire : Ph. Pascot : Pilleurs d’état – Ed. Max Milo – (2 volumes)
Et, du même auteur : Du goudron et des plumes – Max Milo – 2016
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Il n'y a pas besoin de monter au sommet de l'Etat pour se poser la question de la droiture.
A tous les niveaux d'élus, il y a des abus de pouvoir, des détournements, des décisions orientées.
Les appels d'offres non respectés, des terrains de la concurrence classés zone verte (donc qui perdent 99% de leur valeur) ou des terrains reclassés en zone constructible (les terrains des amis). etc.
Comment voulez vous que les français aient confiance dans leur classe politique ?
Un élu condamné pour détournement de fond public devrait être inéligible à vie pour tout mandat.
C'est un peu comme si un instituteur condamné pour violences sexuelles sur mineur, retrouvait sa place d'instituteur après avoir purger sa peine.
Ca fait froid dans le dos.
Vous lui donneriez votre enfant à instruire ?
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@alioche
La commune dans laquelle je vis c'est une cousinade à ciel ouvert.
Ancien Maire jugé pour détournement de fond et réélu, nouveau Maire c'est l'ancien président de la communauté des communes.
Les terres et les bâtis sont tous donnés (vendu à prix cassé) aux familles, les postes municipaux aux familles, notre PM anciens gendarmes virés pour des affaires conjugales..
Les travaux publiques normalement sous appels d'offres sont pour les entreprises familiales (travaux bâclés), entretien des voix privés et ++ par les services techniques..
Les jeux pour enfants non entretenus seront encore dans 10 ans payés par les impôts locaux et l'état...
Bref sur 36000 communes y en a combien comme ça ?
400 habitants répartis sur 15 hameaux, lieux dits, village, mais tous cousins alors voter oui, mais là c'est peine perdu (pour cet exemple)
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On a un exemple criant dans notre département.
Le président du département veut se faire élire sénateur, (ce sont les maires qui votent)
Depuis deux ans il jette l'argent des contribuables par les fenêtres pour satisfaire les maires de toute confession.
- Réfection luxueuse d'un réseau routier pour 4 voitures par jour (mais c'est la famille du maire)
- Piscine communale dans une commune de 200 habitants (elle n'est encore qu'en construction et le maire n'a pas encore évalué le coût d'entretien d'une piscine. Il va être surpris)
- Salle des fêtes de 400 places pour une commune de 150 habitants.
Mais un maire c'est un vote, quel que soit la taille de la commune.
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La dette c'est aussi et surtout un problème de copinage qui commence dans nos communes et amplifié au niveau de l'état.
Le calcul électoral à des fins privés...
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Horloge de la dette française
D'ici au 8 Septembre et sans doute tout au long du mois de Septembre après que les Agences de Notation auront revu leur note pour la dette de la France il faudra consulter cette fameuse horloge de la dette pour bien mesurer dans quel gouffre financier nous sommes entraînés.
https://horloge-de-la-dette-publique.com/
Le marqueur de ce jour est déjà édifiant.
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Quand le collectif ne marche pas, on joue l'individuel et puis basta!
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@moicmoi
C'est vrai que depuis maintenant plus de 50 ans et le dernier budget en équilibre avec Raymond Barre il n'y a pas eu beaucoup d'embellies sur les finances du pays dont la dette n'a fait que gonfler. Mais je note qu'en 2002 elle était déjà de 1000 milliards d'euros.
Ensuite elle a augmenté pour s'établir selon l'INSEE à la fin du quatrième trimestre 2019 à 2 380,1 Md€ quand Emmanuel Macron venait de prendre la présidence de la République.
La dette française, en route vers de nouveaux sommets a atteint 3 305 milliards à la fin de 2024. L'endettement public est monté à 113 % du PIB à la fin de 2024, a annoncé l'Insee.
Mais ce n'est malheureusement pas la seule faute des "politicards" car les citoyens qui les ont élu et ceux qui de plus en plus nombreux s'abstiennent en sont aussi responsables. Les difficultés à affronter la montée des "Trafics en tous genre", des Incivilités et des Communautarismes qui aboutissent à la perte d'autorité constatée et déplorée aujourd'hui n'arrangent rien. Quand on voit cela arriver jusque dans les petites communes avec la contestation des maires et une sorte d'abandon de l'Etat au plan financier je me demande bien si l'on trouvera l'homme ** providentiel capable de nous sortir de nos mauvaises habitudes.
** ou la femme (je ne veux pas être accusé de sexisme) !!!
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ses 4 grandes orientations, ? Mouais. Depuis qu’on les entretient, ces politicards, on les connait.
Du bla bla la, jamais suivis d’actes.
Bayrou est en politique depuis 1979, et donc, il est en partie responsable de la situation catastrophique de la France.
Ecarter le recours à l’emprunt ? Alors que la France est obligée d’emprunter massivement pour payer les seul intérêts ? Impossible.
Pas touche aux impôts ?
Alors quoi ?
Augmentation et nouvelles taxes partout, coupes sombres dans le social (remboursement santé, prestations chomage, retraite, baisse des salaires (sans toucher à celui des z’élites), surtaxer l’épargne, etc….
Vous voila prévenus, alors, si vous en avez, mettez votre pognon à l’abri de ces rapetouts.
Si bayrou veut des pistes, il en trouvera tout plein en parcourant les divers forums et réseaux sociaux.
Ou en demandant l’avis du Peuple en lançant une consultation publique. Et en respectant cet avis.
En écoutant les économistes indépendants .
Première mesure : virer toute cette racaille maffieuse, et confisquer tous leurs avoirs. Je dis bien TOUS !
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Personnellement, tout à fait d'accord avec ses 4 grandes orientations, reste à en connaître le contenu concret....
Il appartient également à chaque français de se poser la question: Qu'est ce que je peux faire pour mon pays?
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Budget 2026 – La France joue sa crédibilité
A l'issue de la réunion du comité d'alerte du budget, le Premier ministre a décrit la situation économique préoccupante de la France qui nécessite de nouvelles "grandes orientations" dès le prochain budget.
"Il est des rendez-vous cruciaux dans l'agenda politique du gouvernement, des heures de vérité décisives et ceci en est une." C'est par cette phrase sur un ton solennel que François Bayrou a commencé sa présentation à l'issue de la réunion du comité d'alerte du budget ce 15 avril.
Après avoir comparé les enjeux géopolitiques actuels à des phénomènes météorologiques, le chef du gouvernement a entamé un diagnostic de la situation économique de la France pour justifier les "grands choix" qui s'imposeront dans le prochain budget à l'automne.
"Nous devons mesurer la gravité de la situation en écartant la peur et la tentation du découragement. Ce temps de constat, loin d'être un frein à l'action, est le temps de la mobilisation."
En ce qui concerne le calendrier, François Bayrou souhaite que le diagnostic, auquel la démocratie sociale prendra sa part, permette "de proposer des orientations et des solutions avant le 14 juillet", avec en ligne de mire les futures discussions sur le Budget 2026.
Une production et un taux d'emploi trop faibles
Face à de nombreux Français qui déplorent un manque de moyens pour leur quotidien ou encore les services publics, le Premier ministre a notamment donné deux explications majeures.
"Nous n'avons pas assez de ressources parce que notre pays ne produit pas assez, a-t-il d'abord insisté, mettant en avant la différence de PIB par habitant entre la France et ses voisins [...] Nous ne produisons pas assez et il n'y a aucune raison acceptable pour un tel retard."
"Si notre production par habitant était dans la même gamme que celle de nos voisins européens, nous n'aurions pas de déficit budgétaire et nos concitoyens qui gagnent quelque 2.000 euros par mois approcheraient des 2.500 euros", a affirmé François Bayrou.
Pour François Bayrou, "il est impératif de réduire nos dépendances agricoles, industrielles et intellectuelles soit en produisant davantage ce que nous consommons ou en modifiant nos modes de consommation." Et le Premier ministre considère que la France a "toutes les capacités de produire les réussites les plus exigeantes".
Outre le niveau de production, le chef du gouvernement a pointé du doigt l'enjeu du travail dont l'exclusion "se concentre sur les plus jeunes et les plus âgés": "le taux d'emploi des jeunes Français et des seniors est plus faible que chez nos voisins européens."
Une hausse des prélèvements "intenable"
Le Premier ministre est ensuite entré dans le vif de sujet en rappelant que la France dépense trop par rapport à ses recettes mais est pourtant "loin d'être au sommet des classements de l'OCDE pour le niveau de vie, le taux de chômage, les inégalités". Face à ce constat, François Bayrou invite à s'inspirer du Canada, de la Suède ou encore des Pays-bas qui ont fortement réduit leurs dépenses publiques ces dernières années tandis que leurs habitants "sont précisément ceux qui se déclarent les plus heureux dans les comparaisons internationales."
"Nos dépenses sont les plus lourdes de tous les pays du monde mais elles n'ont pas l'efficacité à laquelle nos concitoyens devraient avoir le droit. Ils n'en ont pas pour leur argent", déplore le Premier ministre.
Pour réduire le déficit, le chef du gouvernement écarte les deux solutions "de facilité" auxquelles la France a recours depuis plusieurs décennies. Il juge "intenable" une hausse des impôts alors que le taux de prélèvements obligatoires français atteint déjà 43% du PIB. "Plus l'impôt est lourd, plus les contribuables se dérobent", souligne-t-il. De même, le recours à l'emprunt n'est plus envisageable alors que la dette française dépasse les 110% du PIB: "c'est comme si chaque Français, quel que soit son âge, devait à sa banque près de 50.000 euros."
Ecarter le recours à l'emprunt
Le recours à l'emprunt est d'autant plus préjudiciable que dans un contexte de hausse des taux d'intérêt, la charge de la dette pèse de plus en plus lourd sur les finances publiques: actuellement autour de 60 milliards d'euros, elle pourrait atteindre 100 milliards d'euros dès 2029. "Tout abaissement de la note de la France entrainerait une augmentation des taux d'intérêt et donc de la charge de remboursement que cette dette impose au pays, rappelle le chef du gouvernement. C'est un cercle vicieux, un piège dangereux et potentiellement irréversible qu'il convient d'identifier et dont nous devons partager la connaissance avec les Français."
"Les salariés d'aujourd'hui sont en première ligne dans cette charge de la dette. Il est moralement insoutenable de faire supporter aux travailleurs nos dépenses de tous les jours."
Pour autant, François Bayrou n'est pas fermement opposé au principe de l'endettement tant que ce dernier finance des dépenses pertinentes : "il y a une bonne dette à côté d'une mauvaise. La dette légitime et utile permet de financer des investissements d'avenir mais ce n'est pas cette dette que nous avons privilégié. Nous avons préféré la dette de facilité qui finance les dépenses courantes."
Quatre grandes orientations
Face à ce constat, François Bayrou appelle à agir tout en respectant "notre modèle social et notre République décentralisée". S'il rappelle que le système social "est une part de notre identité", il estime que celui-ci doit évoluer "afin d'affronter le défi démographique, l'effondrement de la natalité et le vieillissement de notre population." Le Premier ministre a également salué l'action des collectivités locales qui portent 70% de l'investissement en France dans des secteurs indispensables comme la santé, le logement ou les transports.
Et le chef du gouvernement décline son action en quatre orientations : l'indépendance en matière de sécurité et de défense avec un effort européen partagé, le refus du surendettement pour que le déficit revienne sous les 3%, la refondation de l'action publique et la vitalité économique de la France afin que le pays soit "une terre attractive" grâce au chantier de la simplification entre autres.
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Constance dans le discours
François Bayrou est constant sur le sujet car si l'on se rappelle qu'il a été 3 fois candidat à la présidentielle en 2002, en 2007 et en 2012, il avait chaque fois tenu un même discours avec les mêmes arguments qu'aujourd'hui sur la nécessité de réduire la dette de la France. Aujourd'hui il souligne que la dette pèse à raison de 50.000 euros sur chaque français.
Mais en 2002, on avait 1000 milliards d'euros de dettes et Bayrou disait déjà « C’est un chiffre tellement astronomique qu’on se dit qu’il n’a pas de réalité. Si on divise cette dette par le nombre des Français, ça fait 100.000 francs, 15.000 euros par tête. Si vous avez une famille de 5 personnes, elle va devoir rembourser 500.000 francs sur les années qui viennent ».
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Déficit public : les erreurs majeures sont sur les dépenses
Année après année, la France sous-estime dans ses prévisions le dérapage de ses dépenses publiques. Agnès Verdier-Molinié cherche toujours un pilote dans l'avion.
La Cour des comptes vient de rendre son rapport sur les retraites: il ne prend pas en compte le déficit des pensions de l’État et anticipe une dégradation de la situation financière des régimes d’ici à 2045. Ne serait-il pas temps, enfin, d’associer public- privé pour connaître la situation réelle des régimes en France? D’ailleurs, quelle est-elle ?
Le rapport de la Cour des comptes est très surprenant. La Cour reconnaît un déficit des régimes des agents territoriaux et hospitaliers à hauteur de 2,5 milliards d’euros en 2025 et un déficit des retraites à hauteur de 6,6 milliards tous régimes confondus. Mais la Cour refuse de reconnaître, sous des prétextes obscurs, qu’il y a aussi un déficit des pensions publiques de l’État. Peut-être tout simplement car les agents de la Cour sont aussi des agents de l’État? Le montant de ce déficit est très difficile à chiffrer, car il n'y a pas de caisse de retraite des agents de l’État et donc pas d'affichage transparent du déficit. Mais, contrairement à ce que dit la Cour, nous estimons à la Fondation IFRAP le déficit total des régimes publics à entre 10 et 15 milliards pour 2025. Soit environ deux fois plus que le déficit reconnu par la Cour tous régimes confondus! Et ce, alors qu’environ 4 millions d’agents publics sont actuellement retraités sur 18 millions de retraités. Le déficit des retraites publiques demeure l’éléphant dans la pièce que l’on ne veut pas voir.
Depuis quelques mois, les chiffres du chômage remontent, avec un taux particulièrement mauvais sur les populations jeunes et seniors. À quoi s’attendre en 2025 ? Ces chiffres reflètent ils la situation réelle ?
À la Fondation IFRAP, nous nous attendons à 7,8 % de chômage à la fin de l’année 2025. La tendance n’est pas bonne et les analyses officielles sont très parcellaires sur les raisons de cette remontée. Celle-ci est, certes, alimentée par l’instabilité politique, mais aussi par l’instabilité fiscale. Quand les chefs d’entreprise voient que leurs impôts vont monter à la fois sur leurs entreprises et sur leurs revenus personnels. Que les allégements de charges et les crédits d’impôts sont remis en question en permanence dans le débat public, qu’une proposition de loi a même été votée en première lecture à l’Assemblée nationale pour faire payer aux entrepreneurs de France (au-delà de 100 millions d’euros de leur patrimoine net)2 % de leur patrimoine tous les ans… Évidemment, cela n’incite pas à embaucher ou investir en France! Selon le baromètre Bpifrance de novembre 2024, 65 % des patrons de TPE et PME repoussent ou annulent leurs investissements, et 55 % font de même pour les embauches. J’évoque d’ailleurs dans le livre un potentiel mur des faillites, à plus de 70 000 défaillances d’entreprises.
Le climat des affaires s’améliore, nous dit l’Insee? Il est juste un peu moins mauvais! Plus de nouvelles taxes, de suppressions de niches fiscales ou de contraintes sur les entreprises et les entrepreneurs seront annoncées, plus le chômage montera. L’annonce par le gouvernement de la création d’un nouvel ISF pour l’an prohttps://www.ifrap.org/budget-et-fiscalite/deficit-public-nous-arrivons-face-au-mur-constate-agnes-verdier-moliniechain, à 0,5 % du patrimoine, va d’ailleurs dans la plus mauvaise direction. Cela va encore continuer à faire partir de France des entrepreneurs et tout ou partie de leurs entreprises.
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Toujours l'impossibilité de réduire notre "millefeuille administratif" !!!
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Dette : une montagne ? Un volcan !
Depuis vingt ans, Etats et entreprises ont emprunté massivement sans préparer la croissance qui permettra de rembourser. Il y aura fatalement de la casse.
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Tant que le gouvernement, de quelque bord qu'il soit, ne s'attaquera pas au millefeuille administratif, il n'y aura pas de réduction sensible du déficit.
Mais cela suppose des évolutions, des changements d'organisation profondes.
Et les français sont champion de la galaxie pour la résistance au changement, même si c'est dans leur intérêt (un comble)
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La dette publique de la France s’élève à +3 426 696 182 931 euros et continue de grimper.
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Ce matin un conseil des ministres exceptionnel à Matignon pour demander à chaque ministre de trouver si possible comment faire des économies, et de couper certaines dépenses non indispensables.
Les menaces contre le dérapage continu de nos dépenses pourraient finir très mal si nos ne donnons pas des signaux de changement d'attitude à tous les observateurs économiques européens et mondiaux.
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Budget : La Cour des comptes dénonce des dépenses publiques « hors de contrôle » et voit la France « au pied du mur »
Dans un rapport sur la situation des finances publiques, la Cour souligne que le dérapage de 2024 est principalement dû à la flambée de la dépense publique, là où les précédents gouvernements pointaient des recettes décevantes. Un nouveau dérapage en 2025 serait critique.
Derrière le trou observé en 2024 où le déficit doit atteindre les 6% du PIB au lieu de 4,4% prévu dans le budget initial la Cour pointe une forte augmentation des dépenses publiques qui serait la plus grave de ces 15 dernières années, alors que les discours des derniers gouvernements pointaient le manque de recettes.
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Notre dette de plus de 3 000 milliards d'euros aurait pu nous faire dégrader par les Agences de notation et ce n'est pas arrivé.
La raison est peut être ailleurs que celles invoquées le plus souvent. Elle réside dans le fait majeur que les Français contrairement à leurs gouvernements successifs sont économes et ont pour le moment réussi à économiser pour environ 6 000 milliards d'euros ce qui rend davantage de crédit au pays.
Mais c'est là que les épargnants peuvent aussi trembler pour leurs économies, car n'importe quel gouvernement peut avoir la tentation d'en "confisquer" une bonne partie afin de rétablir plus facilement les finances du pays sans serrer les dépenses ce qui est bien entendu impopulaire.
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