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JD1976 JD1976
17/10/2025 15:05:34
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La Poste accusée de "dérouler le tapis rouge" à Temu


17/10/2025


L'Alliance du commerce et la fédération Procos appellent le gouvernement à une "action forte" après la signature d'un partenariat renforcé entre La Poste et la plateforme chinoise Temu.


Le commerce français s'indigne... Alors que Bruxelles avait déjà placé Temu sous surveillance pour non-respect du règlement sur les services numériques, la plateforme chinoise suscite désormais la controverse en France. L'Alliance du commerce et la fédération Procos ont exprimé jeudi leur "profonde incompréhension et inquiétude" après l'annonce d'un accord logistique entre La Poste, via sa filiale Colissimo, et Temu visant à "renforcer leur collaboration et à soutenir les vendeurs français", comme l'a indiqué mercredi la plateforme de vente en ligne appartenant au groupe chinois PDD Holdings.

Les deux organisations, qui représentent de nombreuses enseignes de distribution et de commerce spécialisé, dénoncent un partenariat "incompréhensible au regard des faits". Elles rappellent que Temu a été "accusé par la Commission européenne le 28 juillet 2025 de non-respect des obligations issues du règlement sur les services numériques (DSA)", notamment sur la transparence et la sécurité des produits. La plateforme bénéficierait en outre "de tarifs postaux favorables et d'exemptions douanières" lui permettant d'échapper aux taxes et contrôles imposés aux acteurs français et européens.


Selon l'Alliance du commerce et Procos, le partenariat avec La Poste "renforce la concurrence déloyale subie par les enseignes implantées en France" et "accentue le risque de déstructuration du tissu commercial local", alors que la vacance commerciale atteint déjà 11% en moyenne en 2025 (et 17% dans les galeries marchandes). Les consommateurs seraient également "fragilisés face à des produits non contrôlés".


"Quelle est la cohérence de l'action publique ?"

La signature de ce protocole d'accord entre Colissimo et Temu doit permettre à la plateforme chinoise d'améliorer la fiabilité de ses livraisons et de proposer à ses vendeurs tiers des solutions plus efficaces de stockage et d'expédition un peu partout dans le monde. Elle intervient alors que le gouvernement prévoit d'instaurer une taxe de 2 euros sur les petits colis importés de plateformes étrangères. Une mesure jugée largement insuffisante par les deux fédérations, qui la comparent à celle mise en place temporairement aux Etats-Unis, où le montant peut atteindre 100 euros. "Quelle est la cohérence de l'action publique ?" s'interrogent-elles, soulignant le paradoxe d'une "entreprise publique" qui, en parallèle, facilite l'expansion d'un acteur étranger accusé de contournement des règles.

Face à ce qu'elles qualifient de "signal désastreux pour le commerce français", l'Alliance du commerce et Procos exhortent le gouvernement à une réponse rapide "au niveau français et européen". Parmi les mesures demandées figurent la mise en place immédiate de "droits de douane pour les colis de moins de 150 euros", "l'instauration de véritables frais de gestion" à l'échelle européenne, "la dénonciation de la convention postale universelle" accordant des tarifs préférentiels aux vendeurs chinois, ainsi que "le renforcement des contrôles et des sanctions" à l'encontre des plateformes non conformes.

"La Poste ne peut pas être le cheval de Troie de Temu. Ce partenariat envoie un signal désastreux aux acteurs du commerce implantés en France", a affirmé Yohann Petiot, directeur général de l'Alliance du commerce. Et d'ajouter : "Le double discours des responsables politiques n'est plus supportable : on ne peut pas, d'un côté, vouloir sauver le commerce implanté en France et, de l'autre, laisser une entreprise publique dérouler le tapis rouge à des acteurs étrangers qui contournent les règles". Selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), Temu s'impose déjà comme le troisième site de e-commerce le plus visité en France, avec plus de 22 millions de visiteurs uniques par mois.

  
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JD1976 JD1976
17/10/2025 11:58:06
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MARCHÉS : LES AVIS DIVERGENT SUR LE POTENTIEL DES ACTIONS EUROPÉENNES À COURT TERME

17/10/2025


Plus grand-chose à espérer sur les actions européennes ? Une enquête 'Bloomberg' menée auprès de 18 stratèges indique que l'indice Stoxx Europe 600 devrait s'échanger en moyenne à 560 points d'ici la fin de l'année. Ce niveau est inchangé par rapport à l'enquête du mois dernier et implique une baisse d'environ 1% par rapport à la clôture de mercredi. Société Générale estime que l'indice de référence pourrait chuter à 530 points, tandis que Citi table sur 570 points. Le Stoxx 600 a atteint un record ce mois-ci, mais peine à suivre le S&P 500 en monnaie locale.

"Nous ne prévoyons que des gains modestes pour l'Europe, car les dernières nouvelles en provenance de Chine, combinées à la saison des résultats, pourraient être une source de volatilité", indique à l'agence Beata Manthey, stratégiste chez Citi, ajoutant qu'elle est plus optimiste quant aux perspectives pour le milieu de l'année 2026. "La clé d'une hausse soutenue résidera dans la publication des bénéfices".

Le marché européen est particulièrement lié à la santé de l'économie mondiale, car ses industries, telles que les mines et les constructeurs automobiles, font partie de la chaîne d'approvisionnement. Son exposition relativement faible à l'intelligence artificielle signifie que la région a également largement manqué le rallye mondial alimenté par les technologies. Les analystes suivis par 'Bloomberg Intelligence' prévoient une légère baisse des bénéfices du Stoxx 600 en 2025, avant une hausse de 11% l'année prochaine.

Néanmoins, il existe des raisons d'être optimiste pour les marchés européens à court terme. Les perspectives politiques en France semblent se stabiliser, le Premier ministre Sébastien Lecornu ayant survécu à deux motions de censure jeudi. Le positionnement des investisseurs n'est en aucun cas tendu, tandis que les valorisations des actions sont globalement conformes à la moyenne à long terme.


Mislav Matejka, stratège chez JPMorgan, a relevé son opinion sur les actions de la zone euro plus tôt ce mois-ci. S'il a maintenu son objectif de fin d'année inchangé à 580 pts, ce qui implique des gains supplémentaires d'environ 2%, il s'est dit " heureux de profiter " de la stabilité des marchés boursiers régionaux. Les tendances saisonnières sont de bon augure pour une reprise de fin d'année. Les données compilées par 'Bloomberg' montrent que le Stoxx 600 a progressé en moyenne de 3,6% au cours des trois derniers mois de l'année, soit sa meilleure performance trimestrielle sur les dix dernières années.

"Nous entrevoyons un potentiel de rattrapage accru, car le positionnement est plus clair, les valorisations relatives sont revenues à leurs plus bas, l'effervescence en Allemagne s'est dissipée, l'euro s'est stabilisé et les fondamentaux des pays périphériques continuent de s'améliorer", déclare Emmanuel Cau, stratège chez Barclays. Néanmoins, son objectif de fin d'année de 570 pts laisserait l'indice inchangé par rapport à ses niveaux actuels. Les stratèges d'UBS Group conservent l'objectif le plus optimiste à 600 pts, impliquant une progression d'environ 6%.


D'autres stratèges restent prudents quant à une reprise en fin d'année. "Nous anticipons toujours une certaine pression sur le marché d'ici la fin de l'année, compte tenu des incertitudes politiques et géopolitiques, ainsi que de l'absence de dynamique positive des bénéfices", indique Roland Kaloyan, responsable de la stratégie actions européennes chez Société Générale. Son objectif de 530 pts implique une baisse de près de 7% du Stoxx 600. "Nous sommes toutefois plus optimistes pour 2026, car certaines mesures de relance budgétaire et une politique monétaire toujours accommodante pourraient soutenir les indices boursiers européens", ajoute le spécialiste.

  
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JD1976 JD1976
14/10/2025 08:55:02
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Après son alliance avec Shein, l'exploitant du BHV exclu de la fédération des grands magasins

14/10/2025 à 08:28


La fédération voit dans ce partenariat "une dérive préoccupante : la normalisation d'un modèle économique fondé sur l'évitement des règles communes".

Des répercussions qui n'en finissent pas : en plein tollé sur le "partenariat entre la plateforme Shein et le BHV", l'Union du grand commerce de centre-ville (UCV) a annoncé lundi 13 octobre exclure "à l'unanimité" la Société des grands magasins (SGM), la société qui exploite l'emblématique établissement parisien. La SGM a déjà été lâchée par la Caisse des dépôts dans leurs négociations pour le rachat de ses murs.

Le développement de Shein, géant asiatique de la mode ultra-éphémère , "repose sur un modèle de contournement des règles condamné à de multiples reprises par les autorités", justifie l'UCV (Le Bon Marché, Printemps, Monoprix, etc.), dans un communiqué commun avec l'Alliance du commerce, dont elle est membre.


La décision de l'UCV survient près de deux semaines après l'annonce de l'alliance entre la marque asiatique -jusqu'alors vendue uniquement en ligne et dans des boutiques éphémères- et la SGM, foncière commerciale co-créée par Frédéric Merlin en 2021. Ce partenariat prévoit le lancement, à partir de novembre, de six magasins pérennes aux couleurs de Shein, d'abord au BHV Marais, en plein coeur de Paris, puis dans des Galeries Lafayette, exploitées par la SGM à Dijon, Reims, Grenoble, Limoges et Angers.

L'UCV y voit "une dérive préoccupante : la normalisation d'un modèle économique fondé sur l'évitement des règles communes ", et appelle "solennellement les pouvoirs publics français et européens" à des "mesures urgentes" comme "l'instauration de droits de douane sur les produits de moins de 150 euros importés".


Les Galeries Lafayette montent au créneau

L'implantation de Shein au BHV a entraîné la semaine dernière une grève au sein du grand magasin, en difficulté, et le retrait de la Caisse des dépôts de négociations avec la SGM pour le rachat de ses murs.

Le groupe Galeries Lafayette a quant à lui promis d'empêcher l'arrivée de Shein dans des magasins à son nom. Dans un message interne révélé par Les Échos et consulté par l' AFP , le président du directoire des Galeries Lafayette, Nicolas Houzé, par ailleurs président de l'UCV, et le directeur général, Arthur Lemoine, ont annoncé jeudi avoir discuté avec "Frédéric Merlin et ses équipes afin de trouver une issue constructive". Il assurent que "le groupe SGM a pris la mesure des incompatibilités entre les positionnements des marques Shein et Galeries Lafayette", saluant une "étape importante", sans préciser les options envisagées.


Sollicités par l' AFP , la SGM a confirmé dialoguer avec Les Galeries Lafayette sans commenter son exclusion de l'UCV. Également contactées, Les Galeries Lafayette n'ont pas réagi.

En septembre, la Fédération des enseignes de l'habillement, autre membre de l'Alliance du commerce avec la Fédération des enseignes de la chaussure, avait annoncé exclure la française Pimkie, qui a elle aussi noué un accord avec Shein.



  
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JD1976 JD1976
07/10/2025 09:54:23
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UNE NOUVELLE CRISE POLITIQUE SYNONYME D'OPPORTUNITÉS SUR LE MARCHÉ FRANÇAIS ?


07/10/2025 08:54


Des opportunités à saisir sur le marché français ? Si le drama est encore loin d'être terminé, une grande partie des turbulences semble désormais intégrée dans les cours, selon les spécialistes. Preuve en est, le CAC 40 sous-performe depuis plus d'un an, les investisseurs appliquant une décote aux actions françaises. Si les valeurs très exposées à l'économie nationale et à la dette domestique semblent en première ligne, comme l'illustre la chute des valeurs bancaires et immobilières hier, les sociétés 'plus internationales' ont une carte à jouer. 'Bloomberg' note ainsi qu'un panier d'actions internationales françaises a progressé d'environ 6% depuis début septembre, pendant que leurs homologues plus nationales stagnent. Une rotation accrue amplifiant cette divergence pourrait se poursuivre.


"Je rechercherais une rotation sectorielle sur le marché actions français ; il y a une opportunité à saisir ", déclare à l'agence Ludovic Subran, CIO et économiste en chef chez Allianz. Les entreprises internationales affichent des attentes de bénéfices plus élevées que leurs homologues freinées par les événements sur le marché national. Le spécialiste recommande de s'intéresser aux entreprises issues de secteurs couverts par les accords commerciaux avec les Etats-Unis et qui bénéficient de l'assouplissement de la politique monétaire de la Fed. Quant aux banques, il affirme qu'elles sont prises dans une " spirale infernale " injustifiée, où un sentiment excessivement négatif conduit à de mauvais résultats, étant donné que le groupe est moins exposé à la dette souveraine que les prêteurs d'autres marchés. " Il s'agit d'un pari risqué ; ce n'est pas la première fois que nous constatons que les banques françaises sont particulièrement réactives à tout ce qui se passe du côté de l'incertitude politique ".


Avant la démission de Sebastien Lecornu, les stratèges de JP Morgan, dirigés par Mislav Matejka, écrivaient que l'exposition française était déjà faible depuis un certain temps et qu'en cas de hausse du risque, les investisseurs devraient acheter en cas de baisse. Ils considèrent les actions françaises comme une opération " contrarienne " intéressante. D'autant que le CAC 40 se négocie avec une décote nette par rapport à l'Euro Stoxx 50, une configuration qui n'a historiquement été le cas que lors des crises majeures. Avec l'amélioration des perspectives chinoises et la vigueur persistante de l'économie américaine, les arguments en faveur de la France deviennent plus convaincants. Il faut garder à l'esprit que les entreprises du CAC 40 ne génèrent que 15% de leur chiffre d'affaires sur leur territoire national, les États-Unis et la Chine représentant 46%, rappelle l'agence.


La prudence domine néanmoins toujours alors que l'issue de la crise politique reste très incertaine. "Bien qu'il soit encore réticent, le président pourrait être contraint d'annoncer une nouvelle dissolution dans les prochains jours, ce qui pourrait accentuer la pression à la hausse sur les taux d'intérêt français et la sous-performance du CAC 40, avec un risque important de propagation des tensions à d'autres actifs tels que les banques françaises, l'euro et les spreads périphériques", explique Michael Nizard, responsable multi-actifs chez Edmond de Rothschild Asset Management. "Ce scénario devient de plus en plus probable compte tenu de l'incapacité à trouver un compromis avec les forces actuellement en présence à l'Assemblée nationale". "Les marchés le prennent mal, car cela renforce la probabilité de scénarios négatifs tels qu'une dissolution de l'Assemblée nationale ou la démission de Macron, même si, personnellement, je ne crois pas que ce dernier se produise", ajoute Christophe Boucher, directeur des investissements chez ABN Amro Investment Solutions. "Globalement, la prime de risque pour la France s'élargit, mais à ce stade, on ne sait pas si elle va beaucoup se détériorer. Cela dépend des discussions politiques à venir".

  
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JD1976 JD1976
03/10/2025 11:26:57
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Les Galeries Lafayette s'opposent à l'installation prévue de Shein dans cinq magasins en France


La plateforme de vente en ligne Shein annonce ce mercredi son vouloir créer des magasins pérennes en France, une première mondiale. Six boutiques ouvriront à Paris puis aux Galeries Lafayette de Dijon, Reims, Grenoble, Angers et Limoges. Le Groupe Galeries Lafayette s'oppose à cette installation.

C'est une première mondiale : la plateforme de vente en ligne Shein annonce ce mercredi qu'elle compte ouvrir des boutiques pérennes en France. Ces magasins seront donc permanents, contrairement aux boutiques éphémères, qui ont ouvert leurs portes pour quelques jours notamment à Paris, Rouen ou encore Dijon. Au total, six boutiques "ouvriront à partir de novembre", d'abord au sein du BHV Marais à Paris, puis cinq autres s'ajouteront "progressivement" dans les Galeries Lafayette à Dijon, Reims, Grenoble, Angers et Limoges.


Le Groupe Galerie Lafayette "refuse l'installation" de Shein

La marque asiatique, enseigne phare de la fast-fashion s'est alliée avec la Société des Grands Magasins (SGM), qui détient et exploite notamment le BHV Marais et sept magasins des Galeries Lafayette en région. Le Groupe Galeries Lafayette n'est donc plus exploitant de ces établissements, et dénonce la décision de la SGM: "les Galeries Lafayette tiennent à exprimer leur profond désaccord avec cette décision [de SGM] au regard du positionnement et des pratiques de cette marque d'ultra fast fashion qui est en contradiction avec leur offre et leurs valeurs", écrit le groupe dans un communiqué.

Interrogé au micro d'ICI Gard-Lozère, Alexandre Liot, le directeur général adjoint des Galeries Lafayette assure que "Ce n'est pas la politique commerciale des Galeries Lafayette d'avoir une marque comme Shein d'ultra fast fashion dans nos magasins."

Dans un communiqué, les Galeries Lafayette estiment que ce projet "est contraire aux conditions contractuelles d'affiliation qui lient le groupe SGM aux Galeries Lafayette" et assurent qu'elles empêcheront la mise en œuvre du partenariat avec Shein. De son côté, SGM, interrogé par l'AFP, "réaffirme que ce partenariat est conforme aux conditions contractuelles liant SGM aux Galeries Lafayette", et assure que "le dialogue reste constant entre les deux pour lever ce malentendu".


"Un engagement pour revitaliser les centres-villes"

Dans un communiqué, publié ce mercredi après-midi, Shein et la SGM expliquent qu'avec l'ouverture de ces boutiques, les deux entreprises prennent*"un engagement pour revitaliser les centres-villes, restaurer les grands magasins, et développer des opportunités pour le prêt-à-porter français*". Elles promettent de créer 200 emplois directs et indirects en France avec ces boutiques.

"Ensemble, SGM et SHEIN ont pour ambition d’attirer une clientèle plus jeune et connectée, tout en préservant l’ADN historique des grands magasins : lieux de proximité, de découverte et de transmission, et de mixité sociale", expliquent les deux marques.


Une marque championne de la fast-fashion

Créée en Chine en 2012 et désormais basée à Singapour, Shein est, selon une étude de l'application de shopping Joko, l'enseigne de mode dans laquelle les Français ont dépensé le plus en 2024. La marque propose des vêtements et accessoires à des prix très bas, mais est accusée de participer à la pollution environnementale, en raison des volumes colossaux qu'elle produit.

Shein est aussi soupçonné d'avoir recours à des travailleurs dans des conditions de travail indignes (en raison de ses approvisionnements, principalement de Chine). Les secteurs de l'habillement français et européens reprochent aussi à la marque de créer une concurrence déloyale vis-à-vis de leurs entreprises en ne respectant pas les normes européennes en matière d'environnement, de droits sociaux ou de sécurité du consommateur. Il est aussi reproché à Shein de profiter d'une mesure européenne exemptant de droits de douane les petits colis, ce qui lui permet d'envoyer à peu de frais ses produits et complique le travail des douanes en matière de contrôles.


La Fédération nationale de l'habillement dénonce ce partenariat

De son côté, la Fédération nationale de l'habillement (FNH), qui regroupe 33.000 boutiques de mode indépendante en France exprime dans un communiqué "sa profonde désapprobation". "Après Pimkie (qui a signé un partenariat avec Shein, notamment pour vendre ses vêtements sur la plateforme), ce sont désormais le BHV, véritable institution parisienne depuis 1860, et les Galeries Lafayette en province, qui se tournent vers l’ultra fast-fashion", regrette la fédération, qui parle d'un "manque d’imagination et de professionnalisme alarmant" de la part de ces enseignes, qui ont "tant contribué" par le passé "au rayonnement et à la créativité de la France".

"Alors que le rôle de ces enseignes devrait être de soutenir la diversité, l’innovation et la responsabilité, elles font le choix d’un modèle qui tire l’ensemble du marché vers le bas et porte atteinte à l’image de nos grands magasins français", regrette Pierre Talamon, président de la FNH.



  
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Alioche Alioche
03/10/2025 10:32:28
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Suite à la perte de mon permis de conduire, je l'ai fait refaire le 20/05/2015.

Il est noté dessus une date de validité au 19/05/2030.

  
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blackleroc blackleroc
03/10/2025 10:03:44
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L’Union européenne a officiellement confirmé une évolution majeure : c’est la fin du permis de conduire à vie. Oublié, le fameux permis rose cartonné conservé depuis la majorité. Dès 2030, chaque conducteur devra effectuer le renouvellement du permis tous les 15 ans. Cette réforme du permis de conduire, pensée pour améliorer la sécurité routière, suscite déjà de nombreuses interrogations sur ses modalités concrètes et ses impacts au quotidien.

  
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ricoco01 ricoco01
01/10/2025 13:45:13
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Macron aiguise le couteau ."Nous sommes dans une confrontation avec la Russie"

La pression monte mais ce n'est pas la bière.

  
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JD1976 JD1976
29/09/2025 17:38:20
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Alioche Alioche
28/09/2025 16:20:44
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Lorsque l'on paie un objet ou un service très nettement moins cher que la concurrence, le bon sens ne devrait il pas demander où se cache l'entourloupe ?

Parce qu'il y a une entourloupe, c'est obligatoire.


J'avais un bagage à main de petite taille qui passait partout.

Pour la première fois, je prends l'avion sur RyanAir à Marseille. Ils mettent mon bagage dans leur gabarit et ils me disent que la poignée dépasse de 2 mm. Je m'approche de leur gabarit, il était complètement tordu, dans le sens réduction de volume, bien sûr. Ils m'ont dit qu'ils travaillaient avec les outils que leur donnait leur direction, sans se soucier de leur état. Dans ce gabarit tordu, ma valise était trop grande de 2mm. Dans les autres gabarits, elle rentrait, Mais ils n'ont rien voulu savoir.

On se rapproche de l'escroquerie.

Je n'ai jamais repris cette compagnie.

  
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JD1976 JD1976
28/09/2025 10:59:03
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Les bagages, nouvelle mine d’or des transporteurs low-cost


transport aérien


De 50 à 117,9 milliards de dollars : les revenus annexes des compagnies aériennes ont plus que doublé en neuf ans.

Dans le monde du voyage moderne, il existe une constante qui fait grogner même les globe-trotteurs les plus expérimentés : les frais de bagage. Ce supplément, souvent caché derrière les tarifs alléchants des billets low-cost, est devenu une source de tension dans de nombreux aéroports. «Les passagers sont stressés, frustrés, et nous en payons le prix alors que nous ne faisons qu’appliquer les règles» confie au Figaro une agente à l’enregistrement à l’aéroport d’Orly. Si toutes les compagnies facturent les surplus, ce sont souvent les compagnies à bas prix, qui ont bâti leur modèle économique sur la facturation «à la carte», qui sont pointées du doigt. Le billet seul est certes peu cher, mais tout le reste se monnaie : choix du siège, embarquement prioritaire, repas à bord, bagages… Autant de pratiques qui font gonfler la facture et représentent désormais une part importante des revenus des transporteurs.


+15 % en un an : l’explosion des frais de bagages

Selon le cabinet de conseil IdeaWorksCompany, spécialisé dans l’analyse du transport aérien, les revenus dits «accessoires» ont atteint un record de 148,4 milliards de dollars en 2024 dans le monde, dépassant le record de 2023 de près de 26 %.

Parmi eux, les suppléments liés aux bagages constituent la première source de profit. En 2023, ils ont généré 33,3 milliards de dollars contre 29 milliards l’année précédente, soit une progression de 15 % en un an.

À eux seuls, ils pèsent désormais près de 28 % de l’ensemble des revenus additionnels. Et cette montée en puissance ne date pas d’hier. En 2014, ces frais rapportaient déjà plus de 13 milliards de dollars d’après le cabinet de conseil. Moins de dix ans plus tard, ce montant a presque doublé, impactant directement le portefeuille des passagers : «en 2022, le supplément pour un excédent était de 29 €, aujourd’hui, il est de 64 €. L’aérien est de plus en plus cher et ça va continuer d’augmenter» assure l’agente de la compagnie anglaise EasyJet au Figaro.

Le phénomène n’est pas isolé : Ryanair facture aujourd’hui jusqu’à 60 € pour un bagage cabine excédentaire, tandis qu’Air France ou Lufthansa appliquent des tarifs variant selon le poids, la classe et la destination.


Une «prime de bagage non conforme» pour les employés ?

Certaines compagnies vont jusqu’à rémunérer le personnel pour intercepter les sacs et valises hors gabarit. «Nous versons une commission à nos agents qui identifient et facturent les bagages surdimensionnés», a indiqué la compagnie irlandaise Ryanair qui a d’ailleurs décidé d’augmenter le montant de ces primes dès le mois de novembre. Chaque bagage détecté rapportera désormais 2,50 €, contre 1,50 € auparavant, et le plafond mensuel de 80 € est supprimé. Une manière directe d’encourager les agents à faire respecter les dimensions strictes de la cabine, désormais limitées à 40 x 30 x 20 cm. Pour le voyageur qui tente de contourner la réglementation, la sanction est immédiate : il faudra débourser jusqu’à 75 € pour enregistrer son sac en soute, soit parfois plus du double du prix du billet.


Autre son de cloche chez EasyJet : derrière les contrôles stricts, pas de primes pour le personnel : «Nous sommes constamment surveillés, confie une agente de la compagnie au Figaro, si une valise non conforme passe, nous sommes convoqués et devons nous justifier.» Une absence de reconnaissance financière qui se heurte aux revendications des employés : «Nous avions réclamé une prime de 45 centimes par bagage, mais elle a été refusée. Pourtant, nous devons quotidiennement faire face à des clients mécontents qui nous accusent d’en profiter». Un rappel que, dans le monde des vols à bas prix, voyager léger n’est pas seulement une question de confort, mais une nécessité économique.



  
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JD1976 JD1976
27/09/2025 12:04:05
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« Restez calme et gardez de l’argent liquide chez vous » : pourquoi la Banque centrale européenne incite à garder des espèces chez soi

La Banque centrale européenne a publié une étude, en début de semaine, sur l’usage de l’argent liquide, en hausse par temps de crise. La pandémie de Covid-19 ou encore l’invasion de l’Ukraine ont engendré des « pics extrêmes d’acquisition et d’usage d’espèces », selon la Banque centrale européenne qui recommande alors de garder quelques billets… chez soi.

L’usage de l’argent liquide est en baisse constante depuis des années, sauf par temps de crise selon la BCE. Photo Sipa/Adil Benayache


« Restez calme et gardez de l’argent liquide chez vous ! » Une injonction que l’on croirait tout droit sortie d’un pays en guerre ou d’un réseau aux intentions douteuses, mais qui est pourtant le titre d’une étude publiée en début de semaine par la très sérieuse Banque centrale européenne (BCE). Les 150 pages de chiffres et d’analyses montrent que si la circulation d’espèces baisse depuis des années (54 % des transactions commerciales en magasin ont été faites avec de l’argent liquide en 2024 contre 72 % en 2019 selon cette même étude), leur utilisation et leur acquisition « connaissent un pic extrême en temps de crise », affirme la BCE.

Qu’il s’agisse des conséquences sur l’Europe de la crise des “subprimes” aux États-Unis en 2008, de la quasi-faillite de la Grèce en 2015, de la pandémie de Covid-19 en 2020 ou bien de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, « l’argent liquide en circulation augmente de 4 à 6 % durant toutes ces périodes, sur l’ensemble de pays de la zone euro », révèle l’étude de la BCE. De ces statistiques, l’institution tire la recommandation de garder de l’argent liquide chez soi. Et si elle ne va pas jusqu’à indiquer une somme à conserver sous son matelas, la BCE cite l’exemple de l’Autriche et de la Finlande qui incitent leurs habitants à conserver entre 70 et 100 euros à leur domicile.


Contre les défaillances du système

« Cela peut effectivement paraître contre-intuitif, mais aucun pays et aucun système bancaire n’est à l’abri d’une défaillance », commente Philippe Moati, professeur d’économie à Paris-Cité et cofondateur de l’observatoire sur la consommation ObSoCo. Cela a ainsi été le cas en Grèce à plusieurs reprises entre 2014 et 2015, lorsque les distributeurs de billets avaient été pris d’assaut et plus récemment en France, lorsqu’une panne de vérification numérique a entraîné un blocage des paiements par carte pour les clients des banques CIC - Crédit Mutuel, durant plusieurs heures le 30 août.

« Mais on ne parle que de défaillances des systèmes de paiement, pas de crises générales ou de faillites à l’échelle d’un pays. Dans ces cas-là, bas de laine ou pas… ça ne sert pas à grand-chose », prévient l’économiste. La BCE elle-même indique que l’argent liquide à conserver doit correspondre « aux besoins du foyer sur une période de 72 heures (trois jours) ».

Car si, pour Philippe Moati, garder un peu d’argent liquide chez soi « tombe sous le sens et c’est une précaution que beaucoup de gens prennent déjà », la recommandation de la BCE est, selon l’économiste, pour le moins surprenante. « Je ne suis pas convaincu que - par les temps qui courent - dire aux gens : "Restez calme, mais gardez de l’argent liquide !" soit vraiment de nature à apaiser les esprits. Cela ne me paraît pas très heureux d’ajouter de l’inquiétude à l’incertitude », reprend le cofondateur de l’ObSoco.« Cela pointe les risques de défaillance du système et je ne suis pas sûr que nous ayons besoin de ça en ce moment », conclut Philippe Moati.



  
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moicmoi moicmoi
27/09/2025 11:07:39
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Et moi, pôv con de balayeur en usine, quand je vous annonce une récession mondiale, ça vous fait rigoler.
C’est pas gentil, ça.
Pourtant, tous ces licenciements et faillites (à ne pas oublier), ça y ressemble beaucoup.

  
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gars d1 gars d1
27/09/2025 09:50:13
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Sans oublier la Lufthansa qui annonce aussi un plan de licenciement important…

  
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moicmoi moicmoi
27/09/2025 00:28:50
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Mais non;...notre Nono Le Maire a dit qu'il n'y aura pas de mur des faillites.

Et lui, s'était pas un con de balayeur en usine, mais un énarque, donc, un N'élite.

  
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JD1976 JD1976
25/09/2025 16:04:36
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Les entreprises européennes réduisent leurs effectifs face au ralentissement économique


25/09/2025 à 15:48


Un large éventail d'entreprises européennes ont gelé les embauches ou supprimé des emplois cette année, invoquant des conditions économiques difficiles aggravées par les droits de douane américains et une demande persistante faible pour de nombreux produits.


Voici les derniers plans de suppressions d'emplois annoncés depuis début avril :


CONSTRUCTEURS AUTOMOBILES ET ÉQUIPEMENTIERS

* BOSCH : Le groupe allemand va supprimer 13 000 postes alors qu'il doit faire face à un marché atone, des coûts élevés et la pression de la concurrence, a-t-il annoncé le 25 septembre.

* DAIMLER TRUCK : Le fabricant de poids lourds a confirmé le 1er août qu'il supprimerait 2 000 emplois dans ses usines aux États-Unis et au Mexique, en plus des 5 000 suppressions déjà annoncées en Allemagne.

* STELLANTIS : Le constructeur automobile a élargi son plan de départs volontaires en Italie, portant la réduction totale d'effectifs prévue à près de 2 500 en 2025, selon une annonce du 10 juin.

* VOLKSWAGEN : Le directeur financier du groupe a indiqué le 30 avril que l'entreprise avait réduit ses effectifs en Allemagne d'environ 7 000 personnes depuis le lancement de son plan d'économies fin 2023.

* VOLVO CARS : Le constructeur suédois va supprimer 3 000 postes, principalement dans les fonctions administratives, dans le cadre d'une vaste restructuration liée à la hausse des coûts, à la baisse de la demande de véhicules électriques et à l'incertitude concernant les droits de douane, selon une annonce du 26 mai.

Le 7 mai, Volvo Cars avait déjà annoncé la suppression de 5 % de ses effectifs dans son usine en Caroline du Sud.


BANQUES

* COMMERZBANK : La banque allemande a annoncé le 14 mai un accord avec le comité d'entreprise pour supprimer environ 3 900 postes d'ici 2028, dans le cadre d'une stratégie visant à atteindre des objectifs de rentabilité plus ambitieux.

* HSBC : L'établissement prévoit de supprimer 348 emplois en France via un plan de départs volontaires, soit environ 10 % de ses effectifs dans le pays, selon une annonce du 14 mai.

* LLOYDS : La banque britannique envisage de licencier environ la moitié des 3 000 salariés considérés comme faisant partie des 5 % les moins performants pour réduire ses coûts, a indiqué une source proche du dossier à Reuters le 4 septembre.

* UBS : La première banque suisse a informé les syndicats italiens le 1er avril de son intention de supprimer 180 emplois dans le pays, soit environ un tiers de ses effectifs locaux, selon des documents consultés par Reuters.


ÉNERGIE

* OMV : Le groupe pétrolier et gazier autrichien prévoit de supprimer 2 000 postes, soit un douzième de ses effectifs mondiaux, a rapporté le journal Kurier le 4 septembre.

* UNIPER : L'énergéticien public a annoncé le 3 juillet la suppression de 400 postes, soit environ 5 % de ses effectifs.


INDUSTRIE ET INGÉNIERIE

* STMICROELECTRONICS : Le PDG du fabricant franco-italien de semi-conducteurs a déclaré le 4 juin qu'il prévoyait le départ de 5 000 salariés sur trois ans, dont 2 800 suppressions de postes annoncées pour 2025.

* SYENSQO : Le chimiste belge accélère ses mesures de restructuration, incluant la suppression d'environ 200 emplois, en raison de l'incertitude sur la demande liée à la conjoncture économique mondiale, selon une annonce du 15 mai.


MÉDIAS

* PROSIEBENSAT.1 : Le groupe allemand des médias va supprimer 430 postes à temps plein dans le cadre de sa transformation numérique, selon une annonce du 7 mai.

* REACH : L'éditeur britannique du Daily Mirror va supprimer 321 emplois dans une restructuration qui créera par ailleurs 135 nouveaux postes, selon une note interne du 8 septembre.


DISTRIBUTION ET BIENS DE CONSOMMATION

* AUCHAN : Le groupe français de grande distribution va supprimer 710 postes et fermer 25 magasins en Espagne, selon une annonce du 8 mai.

* BURBERRY : La marque britannique de luxe va supprimer 1 700 emplois, soit environ un cinquième de ses effectifs mondiaux, pour réduire ses coûts et relancer ses performances, a-t-elle annoncé le 14 mai.

* LVMH : Selon le Financial Times du 1er mai, citant une vidéo interne, la division vins et spiritueux Moët Hennessy du groupe de luxe supprimerait environ 1 200 postes.


AUTRES SECTEURS

* ERICSSON : Le fabricant suédois d'équipements télécoms a supprimé 100 emplois techniques au Canada, a rapporté le Globe and Mail le 8 septembre, évoquant une rationalisation des coûts et une consolidation des effectifs.

* JUST EAT TAKEAWAY : La filiale allemande Lieferando du groupe de livraison de repas prévoit de supprimer 2 000 emplois à partir de fin 2025 pour optimiser son modèle de service, a indiqué l'entreprise le 17 juillet.

* NOVO NORDISK : Le laboratoire pharmaceutique danois va supprimer 9 000 emplois dans le monde dans le cadre d'une restructuration visant à économiser 8 milliards de couronnes danoises (1,25 milliard de dollars) par an, a-t-il annoncé le 10 septembre.



  
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JD1976 JD1976
12/09/2025 08:45:42
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BOURSE : DE NOMBREUSES MODIFICATIONS DANS LA COMPOSITION DES INDICES PARISIENS

12/09/2025 07:31


A l'issue de sa réunion de révision annuelle de la composition des indices de la famille CAC, le Conseil Scientifique des Indices a annoncé ses dernières décisions concernant les différents indices parisiens.

La principale modification intervient au CAC 40 où Euronext fait son entrée aux dépens de Teleperformance.


Le n°1 mondial des prestations de services externalisés et de conseil aux entreprises est en effet rétrogradé au CAC Next 20, aux côtés du promu Technip Energies, qui intègre aussi le CAC Large 60.

En intégrant le CAC 40, Euronext sort bien évidemment de son antichambre, le CAC Next 20. Eurazeo, qui est l'un des grands perdants de cette nouvelle sélection indicielle, sort la fois du CAC Next 20 et du CAC Large 60.


Déception également du côté d'Esso et OVH, qui sortent du SBF 120 et du CAC Mid 60. Abivax et Exail Technologies font en revanche partie des gagnants de cette sélection indicielle en intégrant le SBF 120 et le CAC Mid 60.

Eurazeo intègre aussi le CAC Mid 60 aux côté d'Abivax et Exail Technologies. Ces trois dossiers succèdent à Esso, OVH, et Technip Energies dans l'indice.


Les modifications du CAC Small sont très profondes...

Entrants : Abeo ; Aelis Farma ; Antin Infrastructure Partners ; Ateme ; Esso ; Groupe EPC ; Infotel ; Linedata Services ; Maat Pharma ; OVH ; TFF ; Totalenergies Ep Gabon ; Transgene ; Vetoquinol ; Viel et Compagnie ; etVranken-Pommery.

Sortants : Abivax ; Balyo, Boiron ; Compagnie Chargeurs Invest ; Dekuple ; Exail Technologies ; Haulotte Group.


Les rotations au CAC Mid & Small sont également assez nombreuses.

Entrants : Abeo ; Aelis Farma ; Antin Infrastructure Partners ; Ateme ; Eurazeo SE ; Groupe EPC ; Infotel ; Linedata Services ; Maat Pharma ; TFF Group ; Totalenergies Ep Gabon ; Transgene ; Vetoquinol ; Viel et Compagnie et Vranken-Pommery Monopole.

Sortants : Balyo ; Boiron ; Compagnie Chargeurs Invest ; Dekuple ; Haulotte Group ; Technip Energies N. V.


Le CAC All Tradable subit également d'importants évolutions...

Entrants : Abeo ; Aelis Farma ; Antin Infrastructure Partners ; Ateme ; Groupe EPC ; Infotel ; Linedata Services ; Maat Pharma ; TFF Group ; Totalenergies Ep Gabon ; Transgene ; Vetoquinol ; Viel Et Compagnie ; Vranken-Pommery Monopole.

Sortants : Balyo ; Boiron ; Compagnie Chargeurs Invest ; Dekuple ; Haulotte Group.


Ces décisions seront effectives à compter du lundi 22 septembre, à l'ouverture du marché.

  
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JD1976 JD1976
11/09/2025 16:56:55
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RYANAIR : MICHAEL O'LEARY ESTIME QUE LES DRONES RUSSES VONT PERTURBER L'ESPACE AÉRIEN EUROPÉEN PENDANT DES ANNÉES

11/09/2025


Ryanair se prépare à la poursuite d'incursions russes dans l'espace aérien européen, alors que la Pologne a déployé dans la nuit de mardi à mercredi ses défenses aériennes pour détruire des drones russes ayant pénétré son espace. "Ce sera un problème récurrent pour toutes les compagnies aériennes au cours des prochaines années", a déclaré Michael O'Leary lors de l'assemblée générale annuelle de la compagnie irlandaise à Dublin. Cité par 'Bloomberg', l'emblématique PDG a ajouté que l'Europe avait besoin d'une réponse ferme à ce qu'il a qualifié de "provocations russes".

Le dirigeant a salué la réaction rapide des responsables polonais de l'aviation et de l'Agence européenne de la sécurité aérienne après que des drones russes ont survolé l'Ukraine avant d'être abattus au-dessus de la Pologne. Il a déclaré que cet incident est un " signal d'alarme pour l'Europe et l'OTAN " qui a réduit la ponctualité de la compagnie aérienne à bas prix à 60%, les perturbations du trafic aérien s'étant propagées en Scandinavie, dans les États baltes et en Allemagne. Plusieurs aéroports polonais ont été temporairement fermés mercredi, le temps que le pays abatte des drones russes, avant que les vols ne reprennent quelques heures plus tard.

"Ce genre d'irritant, la Russie qui provoque l'ours, la Russie qui irrite l'Europe, la Russie qui joue avec l'Europe, va continuer", selon M O'Leary. "Nous ne considérons pas cela comme un problème de sécurité, mais c'est certainement un problème de perturbation continue". "Il y a une forte augmentation de l'activité aérienne de l'OTAN au-dessus du sud et de l'est de la Pologne, ce qui limite la disponibilité de l'espace aérien pour le trafic commercial", a également ajouté le patron du transporteur irlandais.

La Pologne a qualifié cette incursion d'" acte d'agression " et a sollicité des consultations avec l'OTAN.

  
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JD1976 JD1976
03/09/2025 17:06:31
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GESTION : LES 5 VALEURS PRÉFÉRÉES DE PORTZAMPARC...

BOURSIER.COM 03/09/2025 16:15

Le broker Portzamparc vient de présenter ses cinq valeurs favorites pour le mois de septembre.


Le fort repli enregistré récemment par 2CRSi constitue une opportunité selon l'analyste Maxence Dhoury. Le contexte de ce fabricant de serveurs est jugé durablement porteur avec les investissements autour de l'Intelligence Artificielle. L'objectif de cours est fixé à 13,7 Euros.


LNA Santé offrirait une valorisation très attractive à 10,3 fois le résultat net prévu cette année. Cela correspond à une décote de 50% par rapport à la moyenne historique des 10 dernières années.


Portzamparc recommande aussi Lumibird. Le news flow dans la défense et les perspectives sont jugées favorables. Le titre offrirait un point d'entrée intéressant après le repli de 24% depuis le dernier point haut atteint début août.


La medtech Median Technologies est mise en avant avec un objectif de cours à 9,9 Euros, soit un upside significatif de plus de 300%... Un deal est attendu avec un grand groupe de l'imagerie comme Siemens, Philips, General Electric ou Toshiba...


Enfin, le broker cite aussi Pierre et Vacances qui bénéficie d'une bonne visibilité pour la fin de saison touristique. Une prime spéculative non négligeable existe sur le dossier alors que les actionnaires de référence ont désormais mené à bien leur mission de redressement...

  
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JD1976 JD1976
02/09/2025 09:03:28
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02/09/2025 08:30

LA TENDANCE


Après une première séance de septembre sans relief d'hier (+0,05%), notamment en raison de la fermeture de Wall Street, la bourse de Paris devrait rester relativement atone d'ici lundi prochain et le vote de confiance au gouvernement. Ce matin, le CAC 40 est annoncé en légère progression.

La situation politique française demeure plus que jamais au centre des préoccupations des investisseurs, après que le Premier ministre François Bayrou a lui-même déclaré qu'il pourrait perdre le vote de confiance de la semaine prochaine, ce qui le conduirait à démissionner. Selon le site de paris en ligne Polymarket, l'hypothèse que François Bayrou ne soit plus Premier ministre au 30 septembre dépasse les 93%. Le sort du gouvernement semble scellé et les investisseurs vont guetter les futures propositions et négociations concernant le budget 2026. Elles dépendront logiquement de l'identité du remplaçant de François Bayrou.

  
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