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Argentine: Milei annonce une dérégulation massive de l'économie - Page 4

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Rollier1 Rollier1
21/12/2023 17:37:30
0

Je ne pense pas. Je constate les reculades. Les Argentins ont ce qu’ils méritent par leur vote ; personnellement, ça ne me fait ni chaud ni froid.

Juste que ça serve de leçon à ceux qui croient les discours populistes. Je sais, je rêve 😊

  
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mbuilder mbuilder
21/12/2023 17:31:27
1

"Un mois à peine après son élection, les Argentins sont déjà dans la rue."

c'est qui "LES" ? c'est 50% du pays ou les quelques perdants pleurnicheurs ? Genre les présidents de départements socialistes qui ne veulent pas appliquer la loi votée par le parlement ?

Rollier le guignol c'est toi, qui pense mieux que les argentins qui il leur faut comme président, ce qui est bon pour eux ou non. Mais ce sont tes amis culturels qui les ont mis dans cette situation de désespoir.

  
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Rollier1 Rollier1
21/12/2023 17:10:11
0

« En Argentine, le président Milei renonce à la dollarisation du pays faute de dollars dans les coffres de sa Banque centrale »


Comment veux-tu laisser sa chance à un tel produit ? Il a déjà démontré sa guignolitude… 🙄

  
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syjo syjo
21/12/2023 13:40:00
4

en partant du constat (de la palice) que les gens intelligents et sophistiqués sont moins nombreux que les neuneus, la démocratie c'est la raison des plus c... c'est malheureux mais c'est un fait.

  
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mbuilder mbuilder
21/12/2023 13:29:47
2

J'aurai tendance à laisser sa chance au produit. Le juger quelques semaines après l'élection me semble pas très honnête intellectuellement.

  
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Rollier1 Rollier1
21/12/2023 12:16:34
0

Il suffit de lire les reculades entre le discours pré-électoral et le discours actuel pour se rendre compte du populisme 😊

Macron est petit joueur à côté 🤣🤣🤣

  
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mbuilder mbuilder
21/12/2023 09:59:12
3

De tout ce qui est annoncé je ne vois pas le problème ni le populisme. L'économie argentine a été mise au tapis par des années de gauchisme, elle est étouffée par l'étatisme à outrance et les mesures sont plutôt de bon sens.

Attendons au moins quelques mois pour en tirer le premier bilan, mais ça le militant a bien du mal à le faire. La posture est facile.

  
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Rollier1 Rollier1
21/12/2023 09:25:03
1

Ce sont les Argentins qui ont écouté puis voté et enfin élu un guignol populiste. Ils en récoltent aujourd’hui tous les fruits et les savourent 🙄

On espère que leur expérience (!) profitera à ceux qui brûlent de succomber aux mêmes voix populistes qui, ici ou ailleurs, nous rebattent les oreilles de leurs chants mélodieux.

Ulysse avait eu l’intelligence de se faire attacher au mât. Ah ! La sagesse grecque ancienne… 😊

  
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philabs philabs
21/12/2023 08:58:21
1
vente à la découpe aux USA
  
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philabs philabs
21/12/2023 08:57:58
0
Concert de casseroles devant le Parlement argentin pour protester contre les mesures de dérégulation annoncées par le président Javier Milei, le 20 décembre 2023 à Buenis Aires
Concert de casseroles devant le Parlement argentin pour protester contre les mesures de dérégulation annoncées par le président Javier Milei, le 20 décembre 2023 à Buenis Aires (AFP/Luis ROBAYO)

Le président ultralibéral argentin Javier Milei a annoncé mercredi une dérégulation massive de la troisième économie d'Amérique latine et signé un décret destiné à modifier ou abroger plus de 300 normes dont celles sur les loyers, les privatisations et le droit du travail.

"L'objectif est d'entamer le chemin vers la reconstruction du pays, rendre la liberté et l'autonomie aux individus et commencer à désarmer l'énorme quantité de régulations qui ont retenu, entravé et empêché la croissance économique dans notre pays", a déclaré M. Milei dans une allocution diffusée à la radio et à la télévision.

Le décret doit toutefois encore passer par le Parlement, où le parti de M. Milei est minoritaire.

Parmi les mesures annoncées figurent l'abrogation de la loi encadrant les loyers "pour que le marché immobilier recommence à fonctionner sans problème", a expliqué le président, élu en novembre et qui a pris ses fonctions le 10 décembre.

Le président argentin Javier Milei prononce une allocution radiotélévisée depuis le palais présidentiel à Buenos Aires, le 20 décembre 2023
Le président argentin Javier Milei prononce une allocution radiotélévisée depuis le palais présidentiel à Buenos Aires, le 20 décembre 2023 (Argentina's Presidency Press Office/AFP/Handout)

Doivent également être abrogées les lois empêchant la privatisation d'entreprises publiques comme la compagnie aérienne Aerolineas Argentinas ou le groupe pétrolier YPF. Les sociétés publiques seront toutes transformées en sociétés anonymes en vue de leur privatisation, a affirmé Javier Milei.

Le chef de l'Etat a aussi annoncé une "modernisation du droit du travail" pour créer plus d'emplois, la modification de la loi sur les sociétés pour que les clubs de football puissent se transformer en sociétés anonymes, et une longue série d'autres mesures de dérégulation dans les secteurs du tourisme, de la santé, d'internet, du transport aérien, de la pharmacie, de la viticulture ou encore du commerce.

Le décret a été publié à minuit au journal officiel. Il devra être examiné dans les dix jours par une commission mixte composée de députés et de sénateurs, mais ne sera invalidé que s'il est rejeté par les deux chambres du Parlement, a expliqué à l'AFP l'avocat constitutionnaliste Emiliano Vitaliani.

Le parti d'extrême droite de M. Milei, La Libertad Avanza, ne compte que 40 sièges sur 257 à la Chambre basse et seulement sept sièges au Sénat sur 72. Il devra donc chercher des soutiens auprès de la coalition de centre-droit Juntos por el Cambio, partiellement alliée avec M. Milei et qui compte 81 députés et 24 sénateurs, et auprès des 26 députés et huit sénateurs indépendants. L'opposition péroniste, elle, compte 105 députés et 33 sénateurs, et la gauche cinq députés.

- Première manifestation -

"Ce message n'est pas surprenant car il n'y a rien que Milei n'ait pas dit qu'il allait faire pendant la campagne. Mais il est surprenant que la mesure ait été prise de cette manière, avec un décret d'urgence", a commenté auprès de l'AFP la politologue Lara Goyburu.

Le chef de l'organisation de gauche Polo Obrero, Eduardo Belliboni, tente de calmer des manifestants pendant une altercation avec la police, le 20 décembre 2023 à Buenos Aires
Le chef de l'organisation de gauche Polo Obrero, Eduardo Belliboni, tente de calmer des manifestants pendant une altercation avec la police, le 20 décembre 2023 à Buenos Aires (AFP/Luis ROBAYO)

Javier Milei avait annoncé le 12 décembre une première série de mesures, notamment une dévaluation choc de plus de 50% du peso et la réduction des subventions aux transports et à l'énergie.

Cet économiste de 53 ans a été élu sur un programme de "tronçonnage" de l'Etat, de dégagisme de la "caste politique" et de thérapie de choc pour redresser le pays où l'inflation dépasse les 160% sur un an et qui compte plus de 40% de pauvres.

M. Milei souhaite ramener les dépenses publiques à 5% du Produit intérieur brut (PIB). L'Argentine a été impliquée dans "une série de crises au cours des cent dernières années qui ont toutes la même origine: le déficit budgétaire", a-t-il justifié dans son discours.

Des manifestants se rassemblent sur la place de Mai à Buenos Aires pour protester contre la politique d'austérité du président Javier Milei, le 20 décembre 2023
Des manifestants se rassemblent sur la place de Mai à Buenos Aires pour protester contre la politique d'austérité du président Javier Milei, le 20 décembre 2023 (AFP/Juan MABROMATA)

L'allocution présidentielle a été accueillie par un concert de casseroles de protestation dans plusieurs quartiers de Buenos Aires, et des milliers de personnes sont spontanément descendues dans la rue près du Parlement pour exprimer leur rejet.

Quelques heures avant l'allocution présidentielle, des milliers de manifestants avaient déjà défilé dans la capitale à l'appel des organisations de gauche Polo Obrero et Movimiento Socialista. Il s'agissait de la première manifestation contre M. Milei depuis son arrivée au pouvoir.

"Il y a un ajustement brutal, il faut s'organiser et sortir pour résister", a déclaré à l'AFP Ezequiel Pretti, un employé de 34 ans, disant vouloir aussi "défendre les libertés démocratiques, la liberté de manifester".

L'ampleur du dispositif policier, supervisé par le président et sa ministre de la Sécurité Patricia Bullrich depuis le siège de la police fédérale, a été critiqué par les organisateurs. "Ca me rappelle la dictature", a commenté Eduardo Belliboni, dirigeant de Polo Obrero.

© 2023 AFP

  
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