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Paris, le 29 septembre 2022 – Suite à des rumeurs de marché, Atos confirme avoir reçu mardi 27 septembre 2022 une lettre d’intention non-sollicitée émanant de onepoint, associée au fonds d’investissement anglo-saxon ICG portant sur une acquisition potentielle du périmètre « Evidian » pour une valeur d’entreprise de 4,2 milliards €.
Après examen attentif de cette marque d’intérêt préliminaire et non engageante, et sur la recommandation de son comité ad hoc, le Conseil d’administration s’est réuni et a constaté à l’unanimité que celle-ci n’est pas dans l’intérêt de la société et de ses parties prenantes. Le Conseil d’administration a décidé par conséquent de ne pas y donner suite.
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D'où la reprise brutale avec un +12% au dessus des 8,75 euros dans de gros volumes qui vient de se produire. La valeur boursière est en effet inférieure à 1 milliard d'euros. Les fonds anglo-saxons ne peuvent pas acheter Atos avec un ETAT qui ne veut pas céder la société à des étrangers.
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On est revenu tout près du plus bas sur 7,31 euros et à -6% sur 7,35 euros à 14h45.
Donc la valeur reste sous pression et l'on ne voit toujours rien venir de la part des dirigeants.
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Le titre continue de remonter à la faveur d'un rebond du marché mais les volumes sont plutôt inférieurs à la normale.
Donc on n'en tirera aucune conclusion pour le moment.
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Apparemment ce n'est pas Siemens qui détient les titres mais l'organisme de Gestion des Retraites des Salariés de Siemens. Si c'est le cas c'est triste pour les futures pensions des retraités !!! Et là on comprendrait mal qu'ils vendent aussi tard s'ils ont acquis leurs titres il y a déjà plusieurs années en concrétisant ainsi une très mauvaise gestion de leur portefeuille.
Aujourd'hui la baisse semble enrayée mais c'est encore un rebond dont on ne sait pas s'il va continuer sur plusieurs jours ou seulement servir de tremplin à un nouveau plongeon.
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Voila ce que j'ai trouvé sur le Site du CA (fiche société Atos) par leur fournisseur de données Cofisem , mais leur fiche n'est pas plus à jour R Belmer étant toujours DG d'Atos....Enfin, c'est mieux que rien...
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https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Atos
La source c'est Wikipedia semble t il
Je continue mes recherches... Mais c'est pas très fiable de se fier à wiki... Pas pro en tout cas pour du journalisme
Je veux en avoir le cœur net
https://www.google.com/amp/s/investir.lesechos.fr/amp/1965940.php
On y fait mention dans cet article, Siemens vraiment actionnaire ? J'ai pas réussi à trouver sur le site de l amf
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Disons que mettre un "actionnaire de référence" - 10% ça pèse quand même - dans le "flottant", c'est problématique.
C'est un peu mélanger le fretin et les requins dans la même baignoire...!
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Je me suis fais la même réflexion concernant Siemens...
Elle commence à me faire penser à solocal pour l'actionnariat, à voir si cela mène quelque part 😒
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Merci Ettircs pour ce lien,
En français dans le texte:
"La question se pose aussi pour le premier actionnaire d’Atos, l’allemand Siemens (10%), silencieux depuis des années."
Question: Il y en a beaucoup d'autres comme ça bien planqués? où l' âne à listes de BFM Business s'est joyeusement planté sans vérifier?
Non mais, parce que des fois, on aimerait bien être correctement informé et pas manipulé !!!
Pour rappel:
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Un petit porteur a 9 chances sur 10 de perdre de l'argent.
Si tu pèses 500 millions tu es plus fort que le marché.
Si tu pèses 20 000 € tu n'as aucune chance de gagner sur Atos.
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Oui pour Atos il me semble que malheureusement seuls les bons Spéculateurs peuvent se permettre d'Acheter ou de Vendre car il n'y a plus aucun repère qui tienne.
Mais même, y a t-il un "Bon Spéculateur" pour ce titre ou seulement des Fonds Spécialisés et agissant avec des connivences ?
Les petits porteurs qui veulent intervenir doivent compter sur de la chance pour en profiter, ou alors sur la certitude qu'ils engrangent un Billet de Loterie pouvant rapporter gros sur le long terme.
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Si les arbres ne montent pas au ciel, les racines …. Euh… non plus. Donc, je préfère garder les mains dans le dos 🙄
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Pour résoudre l'injection de cette énorme masse financière liquide, et rembourser les emprunts dont elle est issue, le seul moyen est créer de l'inflation.....C'est basique et aboutit à la fin à un dollar fort... On a déjà vu ça dans le passé que John Bowden Connally a illustré en 1971 avec sa petite phrase:
"Le dollar , c'est notre monnaie et votre problème".(suspension à l'époque"
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Probablement une gestion à court terme : des seaux de liquidités pour éviter que les économies ne s'écroulent, permettant au passage un endettement à taux négatif des Etats. Qui avait intérêt à ce que cela cesse ? Le déni de l'inflation, dite "temporaire" a été grotesque.
Le moindre quidam de base se doutait qu'une telle inondation de liquidité se paierait tôt ou tard. par l'écroulement de l'économie réelle. Plutôt tôt que tard d'ailleurs.
Et je dis pas quand les entreprises vont devoir rembourser. Si ces gens là coduisent le camion en regardant à un mètre devant le capot, ils sont totalement incompétents. Mais je ne crois pas à leur seule incompétence
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Sur l'inflation, je situe son démarrage à la mi 2020, avec l'envol des prix de l'acier. Mais ce n'est qu'une réalité observée. De fait l'inflation a dû commencer avec la hausse du cours des minerais dès le début du Covid. La hausse des prix de l'énergie à suivi très vite et tout le reste après...
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Pour les banquiers centraux, chacun sa réponse.
Pour ma part, après la gestion calamiteuse du Covid19 par les états occidentaux, les gouffres budgétaires qui s'en sont suivis et les "emprunts" pour les combler il me semblait évident qu'il leur fallait de l'inflation pour amortir au plus vite ce choc financier.
L'inflation a été voulue par les états occidentaux et les banquiers centraux ont suivi en faisant les niais....
Donc oui machiavéliques....
@Rollier,
"regarder en gardant les mains derrière son dos".... on peut aussi vader. Dans une telle tendance baissière avec de courtes périodes de rebond, les opportunités sont très nombreuses...
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Banquiers centraux - Incompétents ou machiavéliques ?
Non, ils n'ont simplement pas voulu aggraver les désordres en pleine période de COVID puis de guerre et ils ont plutôt été "hésitants".
Maintenant par contre ils se montrent plus méchants que l'on ne l'avait pensé. Et on se demande si les potions renforcées vont soulager nos économies malades ou les plonger davantage dans la récession.
Pour Atos il faudra bien que l'on trouve quand même un plancher car avec une capitalisation tombée à 808 millions d'euros il ne reste plus grand chose à brader !!!
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Vu la courbe, une seule chose affaire regarder en gardant les mains derrière son dos 😊
Bons trades sur d’autres valeurs 😉
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Probablement une gestion à court terme : des seaux de liquidités pour éviter que les économies ne s'écroulent, permettant au passage un endettement à taux négatif des Etats. Qui avait intérêt à ce que cela cesse ? Le déni de l'inflation, dite "temporaire" a été grotesque. Désormais il va falloir passer à la caisse, il n'y a pas d'autres solutions.
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