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Je note "A", ça reste une très bonne note pour investir d'autant que dès que Total se sera refait la cerise, on lui remettra son A+...
Les européens avec leur bulle à verdir les sportifs oublient visiblement que le pétrole reste le principale moteur économique de l'économie mondiale et que pour beaucoup de pays, le pétrole est essentiel. On est très loin d'avoir un développement optimale de l'électricité dans beaucoup de pays du monde...
Bref, on surjoue des caprices de riches et de bobos exubérants qui veulent donner des leçons d'écologie à toute la planète alors que ce sont souvent ceux qui polluent le plus de part leur train de vie et ce qu'ils font de leur argent...
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TOTAL SE - Cours en temps réel : 18/02 17:37►36.575EUR / -1.06%
(aw p/a fp) - 18/02/2021 | 22:51►L'agence S&P abaisse les notes de Total et de Shell
L'agence de notation financière S&P Global Ratings a annoncé jeudi avoir abaissé les notes de Total et Royal Dutch Shell, après celles d'autres compagnies pétrolières, considérant que les risques pour les groupes pétroliers et gaziers avaient augmenté, en lien avec la transition énergétique et le changement climatique.
Cette décision n'est pas une surprise: S&P avait averti le 26 janvier que ces abaissements étaient probables dans l'industrie.
Et la semaine dernière, l'agence avait déjà abaissé les notes d'ExxonMobil, Chevron et ConocoPhillips.
La note de Total a été abaissée d'un cran, de "A+" à "A", tandis que celle de Royal Dutch Shell passe de "AA-" à "A+". Les deux notes sont assorties d'une perspective stable, a indiqué SP.
L'agence explique qu'elle voit "des risques à long terme pour la profitabilité de l'industrie pétrolière et gazière, en parallèle aux défis de la transition énergétique".
S'agissant de Total, S&P relève que le groupe, qui a adopté la semaine dernière le nouveau nom TotalEnergies, "transforme ses activités pour affronter ces défis" et possède "la plus importante capacité installée d'énergies renouvelables par rapport à ses homologues".
"Cependant, il reste fortement exposé, parce que le pétrole et le gaz devraient rester la principale source de trésorerie d'ici 2050", poursuit S&P.
Total a enregistré une perte nette de 7,2 milliards de dollars en 2020, contre un bénéfice de 11,2 milliards en 2019.
Quant à Shell, qui a aussi initié un virage vers les énergies renouvelables, il a subi une perte colossale de 21,7 milliards de dollars l'an dernier.
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37.23 EUR +2.29%
TOTAL, plus forte hausse du CAC 40 à la mi-séance du mercredi 17 février 2021
Le groupe pétrolier bénéficie de la bonne orientation des cours du pétrole. A la mi-journée, le baril de Brent progresse de 0,71% à plus de 64 dollars. L'action Total gagne plus de 7% sur une semaine et près de 6% depuis le début de l'année.
© AOF 2021
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Francis Perrin : « Le pétrole va rester encore longtemps la poule aux œufs d’or »
Les majors sont à un moment charnière : alors que leurs revenus chutent, certaines misent sur les énergies renouvelables. Le point de vue du chercheur.
Publié le 12/02/2021
Bonne lecture !
Cette semaine, Total a innové par deux fois. Le même jour, présentant les résultats de l'entreprise, son PDG Patrick Pouyanné a annoncé des pertes records de 7,2 milliards de dollars, les premières depuis 2015, et un nouveau nom pour l'entreprise. Elle s'appellera, si les actionnaires sont d'accord, TotalEnergies. Cette double annonce résume assez bien la situation des compagnies pétrolières : les temps sont durs, puisque le cours du baril s'est effondré en 2020, mais certaines ont changé leur fusil d'épaule en s'orientant vers les énergies renouvelables, comme le solaire et l'éolien. Faut-il pour autant annoncer l'acte de décès de l'or noir ? Francis Perrin, chercheur associé au Policy Center For The New South et directeur de recherches à l'Iris, explique que, malgré ces déconvenues, le pétrole a encore de beaux jours devant lui.
Le Point : Entre le Covid, les écologistes, les instances internationales et les gouvernements, on a l'impression que tout le monde veut la peau du pétrole !
Francis Perrin : Il est évident que les pressions s'accentuent de toutes parts sur l'industrie pétrolière. Il y a évidemment la crise sanitaire mondiale, qui a entraîné une baisse drastique de la consommation et, donc, des prix du pétrole. Mais le facteur essentiel est la lutte contre le réchauffement climatique. À cet égard, l'accord de Paris de la COP 21, en 2015, est un moment essentiel. Les signataires y reconnaissent la réalité du réchauffement en pointant ses causes essentielles, les énergies fossiles. C'est une vraie prise de conscience. Depuis, on constate une évolution assez forte des majors du pétrole et, dans une moindre mesure, des États pétroliers.
Quelle a été la réaction des compagnies ?
Le cas de Total est assez emblématique. Patrick Pouyanné, son PDG, proposera au conseil d'administration de changer le nom de l'entreprise, qui s'appellera alors TotalEnergies. Bien avant la pandémie, Total a changé pour devenir une entreprise multi-énergies, avec une vraie stratégie industrielle. Ce mouvement est partagé par d'autres majors, mais il faut souligner qu'elles sont toutes européennes. C'est le cas de BP, Royal Dutch Shell, ENI ou encore Total, donc. Toutes ces compagnies ont engagé depuis plusieurs années une diversification de leur portefeuille, sans jeter à la poubelle, bien entendu, ce qui a fait leur richesse depuis des décennies : le pétrole. Mais elles le remplacent au fur et à mesure par les énergies renouvelables, plus précisément l'éolien, le photovoltaïque et la biomasse. Le potentiel de l'hydraulique est à leurs yeux trop juste. Le nucléaire [qui n'est pas classé parmi les énergies renouvelables, NDLR] n'est pas non plus intéressant, même si Total et d'autres s'y sont penchés il y a quelques années : sa rentabilité est trop incertaine.
Ce mouvement ne touche donc pas les compagnies américaines ?
Beaucoup moins. Il y a plusieurs raisons. D'abord, le facteur culturel, bien entendu. Sans verser dans la caricature, le pétrole, c'est Dallas ! Ensuite, la richesse en hydrocarbures du territoire nord-américain. La mer du Nord, qu'exploite notamment BP, ce n'est pas les États-Unis ! Avec un potentiel aussi considérable, on ne voit pas les choses comme un concurrent européen. Enfin, la présidence Trump a été très favorable aux énergies fossiles, donc aux compagnies américaines. Elles n'ont évidemment pas été incitées à se tourner vers d'autres énergies que le pétrole et le gaz. Certes, Joe Biden a d'ores et déjà annoncé qu'il allait faire bouger les choses. Le nouveau président a fixé un objectif de neutralité carbone en 2050 et a évoqué un vaste programme de sortie des énergies fossiles, doté, sous réserve de confirmation, de 2 000 milliards de dollars. Mais Biden n'est là que pour quatre ans. La question est donc de savoir comment les compagnies pétrolières, comme ExxonMobil ou Chevron, vont apprécier ses positions. Vont-elles bouger et commencer à sortir des hydrocarbures, ou faire le dos rond en attendant la fin de ses quatre années de mandat ?
Elles doivent forcément bouger, puisque leurs pertes financières sont considérables !
Oui, ExxonMobil vient d'annoncer 22 milliards de dollars de pertes. C'est évidemment très spectaculaire, parce que ce secteur nous avait habitués à dégager de gros profits. Mais les majors américaines se disent : « Le Covid ne va pas durer, l'activité économique va reprendre, on a déjà connu des crises du pétrole, les prix se redressent toujours. » D'ailleurs, le prix du baril de Brent était à 68 dollars il y a un an, avant le début de la crise sanitaire, il a plongé à 18 dollars en avril avant de remonter à 61-62 dollars aujourd'hui.
Quelle est la position des États pétroliers et de leurs compagnies nationales ?
Ils sont beaucoup plus timides. Les Émirats arabes unis font figure d'exception. Ils n'abandonnent pas le pétrole ni le gaz, bien entendu, mais bien avant l'épidémie de Covid, ce pays avait commencé à diversifier son portefeuille. Il a lancé un programme nucléaire, avec quatre réacteurs, dont l'un vient d'entrer en service, et investit beaucoup dans l'énergie solaire. C'est sans doute, à cet égard, le pays le plus avancé parmi les gros producteurs de pétrole. Il n'a pourtant pas le couteau sous la gorge, car ses réserves sont encore importantes, mais c'est un pays doté d'une vision d'avenir. L'Arabie saoudite, sous l'impulsion du prince Mohammed ben Salmane, a aussi entrepris une diversification de son portefeuille avec le plan Vision Arabie saoudite 2030. Le pays investit dans le gaz naturel, l'énergie solaire et sans doute dans le nucléaire. Il y a donc des évolutions, mais bien moins importantes que celles des pétroliers Les dirigeants des majors sont lucides : ils bougent parce que le monde bouge et ne veut plus des énergies fossiles…
Oui, ils sont avant tout pragmatiques. Ces dirigeants s'adaptent aux évolutions du monde. Les contraintes sont de plus en plus nombreuses : l'évolution du prix du pétrole, les prises de position des gouvernements et des institutions internationales, les stratégies des financeurs, qui orientent leurs investissements vers les énergies vertes, et celles des actionnaires. Certains fonds d'investissement agissent pour forcer les majors à changer leur stratégie.
À force de désinvestir dans le pétrole, et notamment dans la recherche de nouveaux champs, les majors ne risquent-elles pas de jouer avec le feu en provoquant une pénurie ?
C'est le grand sujet, dont on mesurera l'impact au milieu de cette décennie. Les majors ont fortement réduit leurs investissements entre 2014 et 2016, lorsque le prix du baril a dégringolé, puis en 2020. Le problème, c'est que les champs de pétrole s'épuisent, il faut donc les remplacer. En parallèle, la demande va très certainement augmenter après la crise du Covid. Il y a de bonnes raisons de s'inquiéter à l'horizon 2025. Or le pétrole reste la seule source d'énergie irremplaçable et indispensable. Elle est nécessaire dans les transports routier, aérien, maritime, et dans l'industrie pétrochimique. On a beau vouer aux gémonies le plastique, issu du pétrole, il est indispensable à nos vies, par exemple lorsqu'il sert à fabriquer des masques contre le virus ! Pour les majors, le pétrole reste la poule aux œufs d'or, et encore pour longtemps.
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On chatouille les 34.5 depuis qq jours tt de mm, en dessous je serai patient pour rentrer un ligne
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LBBW passe à l''achat' sur Total en visant 39 euros
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La recommandation du broker UBS est inchangée.
L'analyste Jon Rigby demeure neutre sur le dossier. L'objectif de cours reste fixé à 40.50 EUR.
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Assuré ? À « priori » pour mars et juin selon la direction de TOTAL mais c’est le dividende de septembre 2021 qui sera le vrai juge de paix : soit continuité sur rendement à ce haut niveau soit réduction plus en rapport des résultats de l’exercice 2020. Les 4 derniers trimestres de dividendes cumulés versés se montent à un bon 7,5% brut. Très au-dessus en % de ceux versés les années précédentes.
Mais pour l’instant ça reste bon à prendre si l’action ne faiblit pas trop.
Enfin c’est juste un avis.
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Tout ce qu'on voit c'est un bon rendement dividende assuré sur ce prix.
Elle peut prendre 10% en très peu de temps.
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Hé oui, même avec cette ribambelle d'analystes, à chacun ses propres convictions ! 🔎🤷🏻♀️
Message complété le 11/02/2021 12:36:18 par son auteur.
Mister+ ???
Vous êtes un vrai mystère, aussitôt arrivé, aussitôt disparu ... pschitttt !!!
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Certaines recommandations sont à la hausse, certaines sont à la hausse et d’autre reste stable.
Tout ça dans une fourchette de 39 à 50€.
Est-ce que ce monde de « recommandeurs » est bien sérieux ?
Message complété le 11/02/2021 10:34:27 par son auteur.
certaines à la baisse
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Goldman Sachs reste à l'Achat avec un objectif relevé de 42 à 46€
Message complété le 10/02/2021 23:13:04 par son auteur.
Credit Suisse reste NEUTRE sur le titre.
L'objectif de cours est légèrement modifié et passe de 42.80 à 42.50 EUR.
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RBC conseille de s'intéresser au titre avec une opinion à l'achat.
L'objectif de cours est modifié à la baisse et désormais fixé à 42 EUR contre 44 EUR auparavant.
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La recommandation du broker Berenberg est inchangée.
L'objectif de cours est abaissé de 41 EUR à 39 EUR.
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Barclays continue de conseiller le titre à l'achat.
L'objectif de cours demeure inchangé à 50 EUR.
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@anjou, je ne suis pas dans la tête des investisseurs et encore moins initié, donc je n'explique pas, j'essaye de tirer parti des hauts et des bas, c'est tout.
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Total : l'avenir se prépare maintenant
09/02/2021 10:09 | Boursier
Focus sur le gaz, les renouvelables et l'électricité...
Résultat. De prime abord, les chiffres annuels de Total peuvent apparaître décevants avec un résultat net de -7,2 Mds$. En réalité, cette perte est liée à une dépréciation de certains actifs pétroliers dont l'attrait apparaît moins évident aujourd'hui. Il s'agit notamment des sables bitumineux au Canada dont les coûts de production sont élevés et qui suscitent des critiques pour leur atteinte à l'environnement. Les problématiques de la transition écologique et du réchauffement climatique incitent d'ailleurs le patron de Total Patrick Pouyanné a changé de cap. A horizon 2030, le poids du pétrole dans l'activité du groupe devrait revenir à 30% contre 55% aujourd'hui. En face, le gaz, les énergies renouvelables et l'électricité sont appelés à monter en puissance...
Investissements. En étant vigilant sur ses investissements dans l'amont pétrolier et en se serrant la ceinture, le point mort de Total compte parmi les plus bas des majors à seulement 26$ le baril. Avec des prix du pétrole qui se sont stabilisés au-dessus des 40$, le géant pétrolier dégage un important free cash-flow. Cette manne permet de financer les investissements dans les relais de croissance. Le groupe vient notamment de prendre 20% du capital de la firme indienne Adani Green Energy qui est le plus important développeur de fermes solaires au monde... La rémunération des actionnaires n'est pas oubliée avec un dividende qui doit être pérenne. Le coupon versé pour l'exercice 2020 représente un montant de 2,64 Euros, soit un rendement plus que correct de 7,5%.
Valorisation. L'environnement prévu par le top-management de Total sur le nouvel exercice devrait être meilleur qu'en 2020, année où le coronavirus et la chute des prix de l'or noir ont marqué les esprits. Avec une certaine discipline au sein des pays membres de l'OPEP pour maîtriser la production, les prix du pétrole sont appelés à se raffermir progressivement. Alors que le titre Total concède près de 20% sur les douze derniers mois, la valorisation est attractive avec un PE de 13 sur la base des prévisions 2021... En 2018-2019, le titre Total fluctuait autour des 45 Euros. Il ne serait pas étonnant que la valeur renoue avec ce seuil au cours des prochains mois ce qui nous conduit à maintenir une préconisation favorable...
Nous maintenons un avis positif sur l'entreprise de Patrick Pouyanné...
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Même si comparaison n’est pas raison, le même tableau pour la locomotive actuel du CAC 40 qu’est LVMH.
Il y aurait donc une spéculation qui ferait baisser TOTAL et une spéculation qui ferait monter LVMH ?
Tu peux m’expliquer ?
Les variations
..........................Plus haut.......... Plus bas ..........Vol. moyen .........Variation
1 semaine ..........541,10 .............520,30 ..............338 348 ..............2,21%
1 mois ................541,10 .............489,05 ..............448 327.............. 2,13%
1er janvier.......... 541,10 .............489,05 ..............428 456.............. 5,01%
1 an ....................541,10 .............278,70 ..............630 878 ..............30,54%
3 ans .........,.........541,10 ............234,75 ...............621 026........... 124,95%
5 ans ...................541,10 ............130,55 ...............649 691........... 262,50%
10 ans .................541,10 ..............94,16 ...............1 246 871....... 354,47%
Extrêmes 541,10 17,21
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On sera tous morts que l'on utilisera encore le pétrole !
Message complété le 10/02/2021 10:31:04 par son auteur.
Après la spéculation c'est autre chose.
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Peut-on faire abstraction de ce tableau (cf. ABCBourse) et rester optimiste pour cette société
dont les généreux dividendes ne pourront éternellement masquer un déclin certain ?
Les variations
.....................Plus haut...... Plus bas .........Vol. moyen .........Variation
1 semaine ......36,18 ............34,29 ............9 297 923............ -1,82%
1 mois............ 37,91 ............34,29 ............7 542 436............ -8,67%
1er janvier...... 37,91............ 34,29 ............7 563 519............ -3,02%
1 an ...............45,65 .............21,12............ 8 636 530........... -24,22%
3 ans .............56,82............. 21,12............ 6 754 213........... -23,92%
5 ans .............56,82 ............21,12 .............6 366 758............ -7,64%
10 ans ...........56,82 ............21,12 .............8 108 486.......... -20,38%
Extrêmes 63,40 7,345
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JD est une grande optimiste !
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UBS a confirmé son opinion Neutre et son objectif de cours de 40,5 euros après des résultats supérieurs au consensus et en ligne avec ses propres prévisions.
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PARIS, 3 février (Reuters) - Un mouvement de grève à l'appel de la CGT perturbait mercredi le fonctionnement des raffineries françaises de Total, a-t-on appris auprès d'un délégué du syndicat.
La CGT a lancé un appel à la grève pour les journées de mercredi et jeudi afin de protester contre le projet de transformation de la raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne) de Total en une plate-forme "zéro pétrole", qui se traduira par 135 suppressions de postes sur le site selon le groupe.
Thierry Defresne, délégué syndical central CGT Total Raffinage Pétrochimie, a indiqué que les raffineries de Normandie (à Gonfreville en Seine-Maritime), La Mède (Bouches-du-Rhône), Feyzin (Rhône) et Donges (Loire-Atlantique) étaient en grève depuis mercredi matin, de même que le site des Flandres près de Dunkerque (Nord).
Les salariés de la raffinerie de Grandpuits, qui est à l'arrêt depuis mi-novembre, ont par ailleurs reconduit jusqu'au 11 février la grève qu'ils ont commencée début janvier.
"Aucun produit ne sort (de ces sites)", a ajouté Thierry Defresne.
Total a de son côté fait savoir que, à la suite de l'appel à la grève, les expéditions de produits pourraient être perturbées dans certaines de ses raffineries, ajoutant toutefois qu'il continuerait à assurer les approvisionnements de son réseau de station-service et de ses clients.
Thierry Defresne a précisé que les taux de grévistes dans les équipes d'exploitation s'établissaient à 50% au raffinage et 40% à la pétrochimie en Normandie ; à 40% à La Mède ; à 100% dans le raffinage, 60% à la pétrochimie et 70% aux expéditions à Feyzin et à 100% sur le site des Flandres. (Benjamin Mallet, édité par Jean-Michel Bélot)
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Forum de discussion TotalEnergies
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