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Société Générale - News - Reco

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Ptitchat72 Ptitchat72
06/04/2025 14:51:06
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Que dire qu'on est encore en face d'une divergence..
que l'on est en train de la payer comme il se doit.
et puis....
reste juste un petit -20% pour toucher la Mm200

  
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Rollier1 Rollier1
25/02/2025 12:26:37
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…si les Analystes passent à Surpondérer, il est probablement temps de sortir 🙃

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
25/02/2025 12:12:11
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JPMorgan voit l'action Société Générale encore grimper de 20%
Aujourd'hui à 10:39

(BFM Bourse) - La banque américaine a relevé son conseil à "surpondérer" sur la banque de La Défense, ce mardi 25 février. JPMorgan estime que le titre peut encore largement s'apprécier si Société Générale atteint ses objectifs de rentabilité des fonds propres.

Plus forte hausse du CAC 40 en 2025 (+42,2% depuis le début de l'année), Société Générale est clairement revenue dans le radar des investisseurs, ces derniers mois.

Boudée par le marché pendant de nombreuses années, la banque de La Défense a retrouvé du crédit en livrant coup sur coup deux publications de haut vol, au titre du troisième puis du quatrième trimestre. L'inflexion positive tant espérée de ses revenus nets d'intérêt (la différence entre l'argent gagné sur les crédits et la rémunération des dépôts) dans la banque de détail en France est finalement survenue.

Après ce grand rallye boursier, Société Générale offre-t-elle encore du potentiel? JPMorgan pense que oui. La banque américaine a relevé, ce mardi, son conseil à "surpondérer" sur la banque française, équivalent d'acheter dans sa terminologie, contre "neutre" précédemment. JPMorgan a aussi rehaussé son objectif de cours sur l'action à 46 euros contre 29 euros auparavant. Ce qui accorde un potentiel d'environ 21,5% à l'action Société Générale, à la clôture de lundi.

Des efforts payants
"L'action de Société Générale a fortement progressé au cours des quatre derniers mois grâce à une meilleure visibilité sur le capital et à une communication améliorée, mais aussi principalement grâce au changement de directeur financier (Leopoldo Alvear a succédé à Claire Dumas, NDLR) et à un changement radical dans le message sur le rendement du capital, qui nous ont tous deux pris au dépourvu", explique JPMorgan.

En clair, la direction de Société Générale a pris des actions plus favorables aux actionnaires que la banque américaine s'y attendait. Par exemple, l'établissement a relevé son taux de distribution (la proportion du bénéfice retourné aux investisseurs sous forme de dividende ou de rachats d'actions) à 50%, ce que l'entreprise n'avait jamais fait précédemment, note JPMorgan. Ce car la précédente direction se focalisait davantage sur la croissance, quitte à accroître son encours pondéré des risques (et donc ses besoins de capitaux) et à afficher des ratios de capitaux un peu "serrés" par rapport au secteur.

Sur ce point, JPMorgan note que la nouvelle direction de Société Générale est plus soucieuse de ses ratios de capital et s'avère ainsi plus disciplinée, en se focalisant sur les activités qui ont un potentiel de croissance. La banque en ligne BoursoBank et la filiale de financement automobile Ayvens se voient ainsi "allouer plus de capital, tandis que la banque de financement et investissement et la banque de détail ont plus de contraintes", résume l'établissement américain.

Société Générale tient par ailleurs le cap de sa feuille de route dévoilée en septembre 2023, en cédant des activités peu appréciées du marché (certaines filiales en Afrique) et en redressant sa rentabilité.

Des objectifs sous-estimés
Pour autant la valorisation reste peu exigeante, remarque l'établissement américain. Société Générale ne s'échange que 5,6 fois son bénéfice attendu en 2025 et 0,5 son actif net. Ce dernier ratio reste le plus faible parmi les banques européennes.

JPMorgan estime que le marché ne croit pas encore suffisamment dans les objectifs fixés par la banque pour 2025 et 2026.

"Compte tenu de l'histoire volatile de Société Générale (…) la bonne volonté des investisseurs doit être gagnée par des résultats", explique JPMorgan. "En raison de l'absence d'antécédents en matière de distribution ou de rentabilité, les investisseurs s'interrogent toujours sur la capacité du groupe à atteindre (ses) objectifs et ils ne peuvent pas considérer Société Générale comme une entreprise de rendement", développe la banque américaine.

Mais JPMorgan fait valoir que Société Générale a désormais pris une série de décision de nature à gagner la confiance du marché et à tenir ses objectifs. La banque française a quitté la Russie, transformé de manière structurelle sa banque de financement et d'investissement, cédé une très grande partie de ses actifs à l'étranger au cours des dix dernières années et ses indicateurs de qualité des actifs se sont améliorés au cours des huit dernières années.

JPMorgan s'attend en conséquence à ce que Société Générale soit en mesure d'atteindre sa cible de rentabilité des fonds propres tangibles (ROTE), de 9% à 10% en 2026, retenant un taux de 9,5% en 2026. Le marché lui n'y croit pas, le consensus tablant sur 8% à ce même horizon.

La rentabilité va s'accélérer chez Boursorama
Mais selon l'établissement américain, le marché sous-estime encore plusieurs activités de Société Générale, JPMorgan citant notamment la banque de financement et d'investissement ainsi que Boursobank.

Dans la banque de financement et d'investissement, Société Générale a tendance à donner des objectifs prudents de revenus qu'elle dépasse allègrement depuis deux ans, souligne l'établissement américain. Ce qui devrait encore être le cas en 2025, estime JPMorgan, en raison des perspectives solides dans les produits à taux fixes, c'est-à-dire les obligations. En conséquence, la banque américaine estime que le marché sous-estime la dynamique de croissance de cette division.

La banque en ligne Boursobank est déjà rentable et a quasiment atteint son objectif de taille, avec 7,2 millions de clients à fin 2024, contre un total de 8 millions visé. JPMorgan anticipe une nette amélioration de ses bénéfices, car Boursobank passera bientôt d'une phase d'acquisitions de clients à une phase d'amélioration de sa rentabilité, ce qui se traduira par de moindres coûts d'acquisition et une hausse du taux d'équipements de sa clientèle. JPMorgan prévoit un bénéfice net de Boursobank de 237 millions d'euros en 2026, ce qui est toutefois inférieur à la cible de Société Générale (300 millions d'euros).

Par ailleurs, JPMorgan estime qu'avec un ratio de capital CET 1 (les capitaux propres rapportés à l'encours pondéré des risques) de 13,3% à fin 2024, Société Générale devrait être suffisamment capitalisée pour lancer, chaque année, un programme de rachats d'actions de 1 milliard d'euros sur la période 2025-2027. Or, selon l'établissement américain, ce retour à l'actionnaire n'est pas intégré par le marché.

À noter que JPMorgan se veut, cependant, prudente, sur la cible de coefficient d'exploitation (les charges d'exploitation divisé par le produit net bancaire). Société Générale compte ramener ce ratio à moins de 60% en 2026 quand l'établissement américain retient 62% en 2026.

Mais dans le cas où Société Générale parviendrait à tenir cette cible, ainsi que son objectif de bénéfice de 300 millions d'euros chez Boursobank, l'objectif de cours de JPMorgan passe cette fois à 54 euros pour l'action Société Générale. Il s'agit d'un scénario "blue sky" c'est-à-dire très optimiste, qui accorde un potentiel de plus de 40% à l'action, explique JPMorgan.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
12/02/2025 15:23:59
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Société Générale: dans le vert avec des propos de broker
Actualité publiée le 12/02/25 13:42

(CercleFinance.com) - Société Générale gagne près de 2% et surperforme ainsi la tendance à Paris, sur fond de propos positifs de Barclays qui réaffirme sa recommandation 'surpondérer' sur le titre du groupe bancaire avec un objectif de cours rehaussé de 41 à 48 euros.

Dans une note consacrée aux banques françaises, le broker s'attend à ce que les résultats de Société Générale augmentent de 15 à 24% par an sur la période 2025-27 et à ce que son capital reste au-dessus de la cible CET1 (après mise en oeuvre de Bâle IV) de 13%.

'Le risque français est maintenant plus limité et nous voyons du potentiel de revalorisation significatif pour l'action Société Générale, qui se traite toujours parmi les banques européennes les moins chères', ajoute-t-il.

  
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JD1976 JD1976
06/02/2025 08:48:21
0

Société Générale annonce des revenus annuels de 26,8 MdsE, en hausse de 6,7% vs. 2023, au-dessus de la cible de +5% fixée pour 2024, portés notamment par le fort rebond de la marge nette d'intérêt en France et par une excellente performance des activités de Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs avec des revenus au-dessus de 10 MdsE.

Le coefficient d'exploitation est de 69%, en-deçà de la cible de "moins de 71%" fixée pour 2024, grâce à une forte discipline sur les coûts qui sont stables par rapport à 2023. Le coût du risque ressort à 26 points de base, dans le bas de la fourchette de la cible 2024. Société Générale a fait par ailleurs état d'un résultat net plus que doublé au titre du quatrième trimestre 2024, grâce à la reprise de ses activités de banque de détail en France et à sa banque d'investissement, lui permettant d'augmenter sa distribution aux actionnaires.

Les analystes devraient en particulier saluer le rebond de 36% sur un an de la marge nette d'intérêt au quatrième trimestre de la banque de détail en France. Le résultat net part du groupe ressort ainsi à 1,04 Milliard d'euros sur la période, dépassant nettement la moyenne de 815 Millions d'euros attendue par les analystes de la place. Le produit net bancaire a augmenté de 11,1% à 6,62 Milliards d'euros sur les trois derniers mois de l'année 2024, alors que le consensus se situait à 6,40 Milliards d'euros.

Le quatrième trimestre permet à la banque d'afficher un résultat net part du groupe de 4,2 Milliards d'euros en 2024, en hausse de 69% sur un an, et un produit net bancaire de 26,8 Milliards d'euros, en hausse de 6,7% sur un an, tous deux supérieurs aux objectifs de la direction.

La Rentabilité (ROTE) s'inscrit à 6,9%, supérieure à la cible de plus de 6% attendue pour 2024. Le Ratio CET1 est de 13,3% à fin 2024, environ 310 points de base au-dessus de l'exigence réglementaire.

Proposition d'une distribution de 1.740 Millions d'euros équivalent à 2,18 euros par action, à savoir : un dividende en numéraire de 1,09 euro par action proposé à l'Assemblée générale; un programme de rachat d'actions de 872 millions d'euros, équivalent à 1,09 euro par action; l'autorisation de la BCE a été obtenue pour lancer ce programme qui débutera le 10 février 2025; une hausse du taux de distribution à 50% du résultat net.

Le groupe vise pour 2025 une croissance des revenus supérieure à +3% vs. 2024; une baisse des frais de gestion supérieure à -1% vs. 2024; une amélioration du coefficient d'exploitation, inférieur à 66% en 2025; un coût du risque situé entre 25 et 30 points de base en 2025; une hausse du ROTE, supérieur à 8% en 2025; un ratio CET1 supérieur à 13% post Bâle IV tout au long de l'année 2025.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
31/01/2025 09:07:11
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Terrible hausse depuis début décembre.
Après être sorti de son corridor plat 19.55/28.10€ le titre vient de combler son gap.
il en reste 1 plus haut.
Mais à la vue des indicateurs, il ne serait pas étonnant de voir une correction intervenir sous peu.
Pour le coup, ici, on peut dire que la dissolution a bien été digérée..à croire que tout va bien désormais.
bizarre

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
15/01/2025 15:34:30
1

Sortie de corridor par le haut..
on touche du doigt le gap

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
13/01/2025 15:52:10
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Bank of America intègre Société Générale parmi ses valeurs préférées en Europe
Aujourd'hui à 15:24

(BFM Bourse) - L'établissement estime que la banque de La Défense pourrait rendre entre 40% et 55% de sa capitalisation boursière sur les trois prochaines années. Ce alors que l'action s'échange avec une décote de 60% par rapport à sa valeur comptable. Bank of America estime par ailleurs que Société Générale réduira ses coûts.

Bank of America est clairement emballée par Société Générale. L'établissement américain, déjà à l'achat sur l'action de la banque de La Défense, a relevé ce lundi 13 janvier son objectif de cours à 36 euros, contre 33 euros précédemment.

Bank of America a surtout décidé d'ajouter le titre dans la liste de ses idées préférées sur les grandes valeurs européennes (liste "Europe 1") ainsi que dans son groupe de "25 actions (européennes, NDLR) pour 2025".

Retour de cash aux actionnaires
Après une année de transition à la suite du changement de directeur général (Slawomir Krupa ayant succédé à Frédéric Oudéa en mai 2023), marquée par une inflexion de la rentabilité dans la banque de détail en France et des changements importants de l'équipe dirigeante, "nous pensons que le titre est prêt pour la prochaine étape de (son) histoire, ce qui devrait entraîner une revalorisation importante du titre en Bourse", juge la banque américaine.

L'une des clefs de cette revalorisation reste la distribution aux actionnaires. Bank of America estime que Société Générale érigera cette distribution en priorité et rendra entre 8,5 milliards et 12 milliards d'euros à ses actionnaires au cours des trois prochaines années, soit entre 40% et 55% de sa capitalisation boursière.

L'établissement estime que la banque française pourrait déjà annoncer, soit lors de la publication des résultats de 2024 soit lors de la présentation des comptes du premier trimestre 2025, une hausse de son ratio de distribution du résultat net à 50% (contre 40% au titre de 2023). Cette distribution serait à la fois opérée via des rachats d'actions et des dividendes.

Sur les rachats d'actions, plus particulièrement, Bank of America estime que la banque pourrait lancer un programme de 500 millions d'euros au second semestre 2025, puis un milliard d'euros en 2026 et un milliard d'euros, de nouveau, en 2027. Les dividendes, eux, représenteraient un total de 3 milliards d'euros environ, sur la période 2025-2027.

En sus, Selon Bank of America, la banque pourrait redistribuer jusqu'à 3 milliards d'euros supplémentaires sous certaines conditions, comme de nouvelles cessions d'actifs ou la suspension par les autorités européennes de l'adoption d'un nouveau cadre réglementaire bâlois sur l'évaluation des risques de marché ("FRTB").


Des efforts sur les coûts
Bank of America s'attend par ailleurs à ce que Société Générale reverse tout capital excédentaire dès lors que son ratio CET 1 (qui rapporte les fonds propres à l'encours pondéré des risques) dépassera sa cible de 13%.

Selon le bureau d'études, la banque françaises devrait parvenir à ce taux dès le deuxième trimestre. Société Générale afficherait ensuite un ratio CET 1 de 13,4% en 2025 et de 13,5% en 2026. Ces prévisions reposent notamment sur la faculté de la banque à améliorer son rendement sur capitaux propres tangibles (ROTE).

En supposant que le FRTB ne soit pas adopté et que Société Générale poursuive les cessions d'actifs, le ratio CET 1 pourrait même atteindre entre 14% et 14,5% en 2026, calcule Bank of America.

Le bureau d'études table aussi sur une meilleure efficacité de la part de Société Générale sur les coûts, des efforts étant, selon lui, requis pour que la banque rouge et noire tienne son objectif d'un coefficient d'exploitation (les charges d'exploitations divisées par le produit net bancaire) inférieur à 60% en 2026.

Bank of America anticipe notamment des dépenses moins fortes dans la banque de détail en France grâce aux synergies tirées de la fusion des réseaux de Société Générale et de Crédit du Nord, à la sortie des activités de banque privée en Suisse, ainsi qu'à des réductions de coûts dans les fonctions centrales. Avec une hausse des revenus provoquée par la baisse des coûts sur les dépôts rémunérés ainsi que par des volumes de crédit plus importants, cette division présenterait un effet ciseau positif en 2025.

Plus largement, avec les cessions d'actifs et les mesure sur les coûts, Société Générale devrait avoir ramené sa base de coûts de 18,5 milliards d'euros en 2024 à environ 16,9 milliards en 2026, selon les prévisions de l'établissement américain.

Par ailleurs, Bank of America considère que Société Générale offre une exposition aux perspectives "solides" de la banque de financement et d'investissement.

L'établissement américain souligne que la banque française présente ces atouts alors que sa valorisation évolue à des niveaux déprimés. Le titre ne s'échange que quatre fois les bénéfices attendus en 2026 et 0,4 fois la valeur comptable de ses actifs (mesurée par le "tangible book value").

  
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LV62870 LV62870
12/12/2024 09:43:02
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Société Générale : Goldman Sachs relève sa recommandation de « vendre » à « neutre » avec un objectif de cours de 29,25 euros.

  
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JD1976 JD1976
01/11/2024 11:47:27
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Société Générale caracole en tête

Société Générale poursuit sa hausse à la Bourse de Paris (+4,07% à 27,46 euros vers 10H30, la plus forte hausse du CAC 40 vendredi matin), profitant encore de résultats qui ont ravi les investisseurs.

La banque a publié jeudi un bénéfice net au troisième trimestre près de cinq fois supérieur à celui de l'an dernier, porté par le réveil de sa banque de détail et un effet de comparaison favorable. La "Socgen" a pu également compter entre juillet et septembre sur son principal moteur: la banque de financement et d'investissement.

Société Générale doit également son rebond au fait que "l'actif est décoté", avait affirmé Arnaud Morvillez, gérant de fonds pour Uzès Gestion, à l'AFP.


Jeudi, le titre du groupe avait terminé en hausse de 11,33%.



  
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JD1976 JD1976
01/11/2024 10:12:31
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SURSAUT CONFIRMÉ, ANALYSTES EN RENFORT

01/11/2024 09:20


Portée par sa solide publication trimestrielle, Société Générale s'offre une deuxième séance d'assez nette progression à l'ouverture avec un titre qui avance de 2,5% à 27 euros. Les analystes sont nombreux à revoir leur copie sur la banque au lendemain de la présentation financière de l'établissement de la Défense. Citi a ainsi relevé à l''achat' sa recommandation sur la valeur en visant 33 euros tandis que Morgan Stanley est passé à 'surpondérer' avec une cible de 36 euros. Toujours 'vendeur' du dossier, Goldman Sachs a rehaussé la mire de 24,7 à 26,6 euros.

  
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Rollier1 Rollier1
31/10/2024 15:53:36
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Ils ont surtout enfin viré la Claire Dumas et le marché salue ça ! 😊

  
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JD1976 JD1976
31/10/2024 15:35:21
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Lettre de l'Actionnaire N°143


Chers actionnaires,

Nous publions aujourd’hui des résultats trimestriels solides et en nette progression. Un an après la présentation de notre plan stratégique, les premiers bénéfices se matérialisent de façon tangible dans nos résultats.

Nos revenus sur le trimestre s’établissent à 6,8 milliards d’euros, en hausse de +10,5 % par rapport au troisième trimestre de l’année dernière1. Cette progression résulte notamment de la bonne performance de nos métiers avec un fort rebond de la marge nette d’intérêt en France et une contribution toujours remarquable de la Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs, en particulier sur les métiers Actions et de banque transactionnelle.


Par ailleurs, les frais généraux demeurent stables et le coefficient d’exploitation affiche une forte baisse par rapport au troisième trimestre 2023, à 63,3 %. Le coût net du risque reste également maîtrisé, à 27 points de base sur le trimestre, en ligne avec nos anticipations.

Le résultat net part du Groupe s’élève à 1,4 milliard d’euros sur le trimestre et la rentabilité sur actifs nets tangibles à 9,6 %, en hausse par rapport au troisième trimestre de l’année dernière. Le ratio de capital progresse à nouveau à 13,2 %2 à fin septembre, et le profil de liquidité demeure robuste avec un ratio réglementaire de liquidité court-terme (Liquidity Coverage Ratio - LCR) de 152 %.

À fin septembre 2024, nous avons provisionné un montant équivalent à 1,663 euro par action au titre de la distribution.


Depuis un an, nous travaillons sans relâche, toutes nos équipes sont mobilisées et nous avons progressé sur trois points fondamentaux : le renforcement de notre capital, l’amélioration de la rentabilité et la refonte du portefeuille d'activités. Nous continuons à mettre en œuvre nos diverses initiatives stratégiques, telles que le développement de BoursoBank, qui compte plus de 300 000 nouveaux clients ce trimestre, l'intégration de LeasePlan au sein d'Ayvens, la création de Bernstein et le partenariat avec Brookfield au sein de la Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs, ou encore la fusion de nos réseaux en France ainsi que la digitalisation de notre banque en République tchèque. Le déploiement de notre feuille de route ESG4 progresse également de manière satisfaisante, reflétant les efforts collectifs de tous les métiers en faveur d’un avenir durable.


Il reste encore beaucoup à faire, mais nous avançons dans la bonne direction et je suis profondément convaincu de notre capacité à tenir nos engagements. Notre objectif demeure inchangé : une performance durable, créatrice de valeur à long terme.


Je tiens à vous remercier pour la confiance que vous placez dans notre Groupe ainsi que votre engagement de long terme à nos côtés.


Slawomir Krupa

Directeur général



  
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Ptitchat72 Ptitchat72
31/10/2024 09:58:59
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Grand nettoyage de printemps...6mois plus tard

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Société Générale secoue sa direction, Krupa reprend la main sur la banque de détail
Actualité publiée le 31/10/24 08:33

Un vent de changement souffle sur la Société Générale. Le 30 octobre 2024, le Conseil d’administration, sous la présidence de Lorenzo Bini Smaghi, a approuvé une réorganisation majeure de la gouvernance de la banque. En ligne de mire : un recentrage des activités de banque de détail et une simplification de la structure managériale. À partir du 1er novembre, Slawomir Krupa, actuel directeur général, assumera directement la supervision de plusieurs pôles stratégiques, notamment la banque de détail en France, la banque privée et les assurances.

Une réorganisation sans précédent
Ce remaniement s’accompagne du départ de figures clés de la direction, dont Philippe Aymerich, directeur général délégué, Claire Dumas, directrice financière, et Marie-Christine Ducholet, directrice de la banque de détail en France. À la suite de cette décision, le nombre de mandataires sociaux au sein de la direction générale est ramené à deux : Slawomir Krupa, qui conserve le rôle de directeur général, et Pierre Palmieri, désormais unique directeur général délégué. Ce dernier, déjà bien ancré dans les activités de banque d’investissement, épaulera Krupa dans la mise en œuvre de la nouvelle stratégie.

Des nominations pour renforcer la banque de détail
Dans le cadre de ce plan de réorganisation, Bertrand Cozzarolo et Thierry Le Marre sont nommés co-directeurs du réseau SG pour la banque de détail en France. Au service de la Société Générale respectivement depuis 2004 et 1998, Cozzarolo et Le Marre apporteront leur expertise et leur expérience des activités de banque de détail, acquises tant en France qu’à l’international. « Leur contribution sera cruciale pour soutenir une politique commerciale ambitieuse et assurer une performance durable », a précisé la Société Générale dans son communiqué. Ils remplaceront ainsi Marie-Christine Ducholet, qui part explorer de nouvelles opportunités en dehors du groupe.

En parallèle, Mathieu Vedrenne, jusqu’ici directeur adjoint des activités de banque privée, prend les rênes de ce secteur, succédant à Bertrand Cozzarolo. Depuis 2001, Vedrenne a contribué au développement de la banque privée en France, axé sur une croissance durable. Sa promotion témoigne de la volonté de la banque de renforcer un secteur essentiel à sa stratégie.

Un nouveau directeur financier en janvier
Autre changement majeur : l’arrivée de Leopoldo Alvear au poste de directeur financier du groupe à compter du 7 janvier 2025. Alvear, précédemment en poste chez Banco Sabadell et fort d’une expérience de 27 ans dans des directions financières, succèdera à Claire Dumas, qui assurera la transition jusqu’à fin janvier. Alvear siégera également au Comité exécutif. Ce choix stratégique s’inscrit dans la volonté de renforcer la gouvernance financière de la Société Générale, à un moment crucial pour la banque, qui cherche à rétablir la confiance des investisseurs.

Résultats encourageants mais défis persistants
Ce remaniement intervient alors que la Société Générale affiche des résultats du troisième trimestre 2024 meilleurs qu’attendus, notamment grâce aux performances de la banque d’investissement et à une amélioration significative de la marge nette d’intérêt. Celle-ci a bondi de 43 % sur un an, avec un rebond de 19 % par rapport au trimestre précédent, marquant un retour progressif vers les objectifs financiers. Le bénéfice net a, quant à lui, atteint 1,37 milliard d’euros, multiplié par 4,6 par rapport au même trimestre en 2023, et le produit net bancaire s’élève à 6,84 milliards d’euros, en hausse de 10,5 %.

Cependant, des défis demeurent. Krupa a hérité en mai 2023 d’une situation délicate, marquée par les conséquences de décisions de couverture des taux qui ont lourdement impacté la banque, coûtant plus de 2 milliards d’euros. La banque avait d’ailleurs revu à la baisse son objectif de marge nette d’intérêt, provoquant une chute en Bourse à la fin du deuxième trimestre. Toutefois, l’optimisme renaît : « L'exécution de notre plan stratégique se matérialise de façon tangible dans nos résultats », a déclaré Krupa, ajoutant que la bonne performance de la banque d’investissement et le redressement de la marge nette d’intérêt en France soulignent une trajectoire positive.

Avec ce remaniement d’envergure, Société Générale s’engage dans une transformation stratégique pour surmonter les difficultés de sa banque de détail et rassurer les investisseurs. Ces décisions marquent le début d’une nouvelle ère pour l’institution financière, qui mise sur une gouvernance resserrée et une direction resserrée pour renouer avec une croissance durable.

  
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JD1976 JD1976
24/09/2024 15:39:21
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SOCIÉTÉ GÉNÉRALE : VA GÉRER PROACTIVEMENT SON EXCÉDENT DE CAPITAL

24/09/2024

La Société Générale est prête à retourner davantage d'argent à ses actionnaires une fois qu'elle aura atteint ses objectifs en matière de solidité du capital. Le capital reste la pierre angulaire de la stratégie de la banque, sans aucune marge de compromis, a déclaré Slawomir Krupa lors d'une conférence organisée par Bank of America. Cependant, tout ce qui dépasse l'objectif de 13% de fonds propres ordinaires (CET1) pourrait éventuellement être utilisé à d'autres fins telles que des investissements dans la croissance ou l'augmentation du retour aux actionnaires, a indiqué le dirigeant cité par 'Bloomberg'. "Notre objectif est de 13%, pas plus... Tout ce qui dépasse cela de manière raisonnablement durable" pourrait être "géré de manière proactive".


Le directeur général de la SocGen a, jusqu'ici, toutes les peines du monde à convaincre les investisseurs du bien-fondé de sa stratégie axée sur le renforcement du capital et l'amélioration de l'efficacité. Il a supprimé des centaines d'emplois au siège de la banque à Paris et vendu les activités de financement d'équipements professionnels ainsi que des activités régionales, principalement en Afrique. Malgré ces actions, le titre SocGen est à la traîne en bourse, avec l'une des plus mauvaises performances parmi les grandes banques européennes sur les douze derniers mois. Le directeur général a anéanti les espoirs de rendements plus élevés des investisseurs lorsqu'il a reporté d'un an un objectif de rentabilité clé, visant un rendement des capitaux propres corporels compris entre 9% et 10% en 2026, tout en limitant le ratio de distribution à 40%-50%.


Les cessions en Afrique, où la banque était dans certains cas présente depuis plus de cent ans, n'ont pas été prises à la légère, a souligné le DG. Mais les revenus perdus avec ces sorties n'ont pas d'impact matériel sur la taille globale du prêteur français, a-t-il précisé.

  
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JD1976 JD1976
28/08/2024 16:19:15
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Société Générale : Du sang et des larmes


La situation du troisième groupe bancaire français ne s’améliore que beaucoup trop lentement au goût des investisseurs.


Il y a un an, son énergique directeur général Slawomir Krupa prévenait que la restructuration serait longue, laborieuse et sans gloire, au moins au départ. Les investisseurs, qui avaient défavorablement reçu le message, n’ont eu cesse de sanctionner le titre depuis.

Il est vrai que, sur le papier, les signaux d’amélioration se font attendre. La rentabilité tarde à s’améliorer et le groupe n’a pas encore taillé dans ses coûts. De solides espoirs sont possiblement à nourrir de ce côté-là, tant Société Générale y accuse encore un retard considérable par rapport à ses pairs.

La stratégie de Krupa, qui a entrepris de céder les actifs non-stratégiques du groupe — par exemple des filiales en Afrique — et d’établir des partenariats avec des références de la gestion d’actifs comme Brookfield, consiste pour l’instant à renforcer le capital.

Un tel arbitrage se fait bien sûr aux dépens de la croissance, et cette posture défensive, à la demi-surprise des analystes de Zonebourse, n’est guère encouragée par les investisseurs, qu’on imaginait pourtant instruits du précédent de Crédit Suisse.

Au niveau de sa capitalisation, en effet, Société Générale accuse également un retard urgent à combler. Son ratio CET1 atteignait 13.1% au dernier trimestre, certes supérieur aux exigences du régulateur, mais très inférieur à la moyenne européenne de 15.7%.

Le groupe reste par ailleurs largement capitalisé via des obligations convertibles AT1 de type « coco ». Mercurial, le marché des AT1 avait été complètement paralysé l’an passé suite aux déboires de Crédit Suisse. Un choc exogène de semblable nature placerait Société Générale dans une position périlleuse.


L’année dernière, dans Société Générale : Décote Structurelle, Zonebourse prenait le parti de saluer la nomination de Slawomir Krupa, dont le style très "franc du collier" tranche singulièrement avec les moeurs de l’establishment bancaire européen. Il en faudra toutefois davantage pour sortir Société Générale de l’ornière.

Il est également possible que les récents commentaires de Krupa, qui semble exclure à ce stade le rachat du groupe ou son rapprochement avec un pair européen, aient déplu aux investisseurs qui voyaient ici la dernière porte de sortie possible.

En conséquence, la décote sur les capitaux propres s’est encore creusée, pour redescendre aux niveaux observés au pic de la crise de l’euro.

  
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cool13 cool13
11/08/2024 10:43:21
0

Que se passe-t-il dans la tête dans la tête de Krupa, au C.A, les objectifs sont bien diffusés ou une vérité, a doubles détentes, la vérité d’aujourd’hui n’est pas celle de demain.

Société Générale : le casse-tête concernant la cession de la filiale ivoirienne

Date de création: 09 août 2024 Dernière modification le: 09 août 2024 16:33


(Agence Ecofin) - La cession de SGCI reste un défi, compte tenu notamment de son implantation dans une économie à fort potentiel.


Le groupe bancaire français Société Générale, lancé dans un programme de désengagement en Afrique, se heurtera à des arbitrages majeurs pour la cession de sa filiale en Côte d'Ivoire. Au-delà des enjeux politiques et de sa position dominante dans l'UEMOA, Société Générale Côte d'Ivoire (SGCI) présente un niveau de valorisation qui restreint sérieusement le nombre de repreneurs potentiels.

Contrairement au Maroc où Société Générale a cédé sa filiale au groupe Saham dans un marché bancaire mature, l'Afrique subsaharienne présente un contexte différent. Des solutions ont été trouvées pour des filiales plus modestes, notamment en République du Congo, au Tchad, au Mozambique, au Benin et au Togo. Mais la situation en Côte d'Ivoire s'annonce plus complexe.

SGCI, valorisée à environ 637 milliards FCFA (1,02 milliard $) en bourse, affiche un potentiel de croissance estimé à 32% par certains analystes. Son ratio cours/bénéfice suggère une marge de progression sur la BRVM d'Abidjan. Cela implique qu’au moment de la fixation du prix de vente, cette opportunité de plus-value sera prise en compte, ce qui devrait tirer les prix de cession vers le haut.

La performance financière auditée de SGCI en 2023 est notable, avec un bénéfice net en hausse de 30,1%, dépassant sa moyenne quinquennale de 16%. Selon des données consultées par l'Agence Ecofin, plusieurs indicateurs placent SGCI au-dessus de ses pairs internationaux. Le rendement des capitaux propres de 26,7% en 2023, combiné à une réduction de l'endettement, témoigne d'une gestion efficace. De plus, SGCI a régulièrement augmenté ses dividendes depuis 2018, renforçant son attrait pour les investisseurs.

Par ailleurs, la cession de SGCI reste un défi, compte tenu de son implantation dans une économie à fort potentiel.

La Côte d'Ivoire, premier producteur mondial de cacao et futur acteur majeur dans le pétrole, le gaz et l'or, offre des perspectives de croissance parmi les plus élevées d'Afrique subsaharienne. Une hypothèse forte serait qu'une piste de solution soit trouvée en Afrique du Sud. Plusieurs groupes bancaires de ce pays ont en ligne de mire l'Afrique de l'Ouest francophone et, de ce point de vue, Ecobank dont le premier actionnaire est le sud-africain Nedbank pourrait être un cas d'étude sérieux

  
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Rollier1 Rollier1
09/08/2024 12:32:24
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C’est pas impossible. Les agences coûtent cher et le client préfère Internet. Alors ? Pourquoi pas ?

Cela dit… je suis pas dans la tête de Krupa ni au C.A. 😕

  
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Webmaster ABC Webmaster ABC
09/08/2024 10:39:07
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Quitte à se replier sur bourso à 100% pour la banque de détail tant qu'à faire

  
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cool13 cool13
09/08/2024 10:34:22
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Oui, c’est vrai, gros élagages bancaires chez la société générale. (et fuite des clients)

  
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