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je note " Voiture électrique et voiture autonome c’est decorellé."
Absolument PAS, c'est bourré d'électronique de capteur de circuits électriques
: (
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Voiture électrique et voiture autonome c’est decorellé.
C’est vrai que le tout électrique c’est pas encore gagné tant que les problèmes de charges et recyclage des batteries ne sont pas résolus…sans parler des matières premières pour le fabriquer et le bilan carbone.
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A méditer aussi ...
Voiture électrique : ces urbexeurs retrouvent un cimetière d’Autolib (Vidéo)
Automobile-propre.com | 29 Mar 2021
Deux explorateurs urbains se sont introduits dans le parc où reposent plusieurs milliers de Bolloré Bluecar en attente de destruction ou reconditionnement.
Gabriel de Saint-Exupéry et Corentin Talamon animent depuis 4 ans la chaîne YouTube Gabriel & Corentin. Plus de 150 vidéos témoignent ainsi de leurs visites de lieux publics et privés abandonnés.
Leur dernière exploration, publiée samedi dernier 27 mars 2021, sort de leur ordinaire. Ils ont retrouvé pas loin de 3 700 Bolloré Bluecar qui équipaient le service Autolib démantelé en 2018. Les versions utilitaires se distinguent clairement en rouge depuis les vues prises par drone.
Message complété le 01/10/2021 13:51:32 par son auteur.
NB : la vidéo a été supprimée, quel hasard...
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A méditer concernant les bus... après l'échec des Blue Car de Bolloré.
"On a tout fait à la va-vite": l'échec d'Alstom sur les bus électriques
Actualité AFP publiée le 01/10/21 11:50
"C'est un énorme gâchis": en trois ans, Alstom a créé puis supprimé Aptis, sa filiale dédiée à la fabrication de bus électriques, un véhicule prometteur mais qui a eu toutes les peines du monde à démontrer sa fiabilité.
Le projet semblait pourtant idéalement engagé: en 2017, NTL, entreprise détenue par Alstom et la Banque Publique d'Investissement, reçoit le prix de l'innovation pour son prototype de bus électrique.
Il détonne. Inspiré du tramway et alimenté par batterie, ses roues directrices à chaque extrémité lui permettent de se déplacer en crabe et son plancher bas facilite l'accès des poussettes et fauteuils roulants.
Fort de ce succès et des retours d'expérimentations dans plusieurs villes en France et à l'étranger, Alstom passe la vitesse supérieure et rachète en 2018 l'ensemble de l'activité bus électriques de NTL pour créer Aptis, filiale à 100% d'Alstom Transport.
Le groupe français est alors l'un des premiers grands acteurs du secteur à se lancer sur le marché des bus électriques. Et compte bien conserver son avance sur ses concurrents.
Rapidement les premières commandes arrivent, 12 bus pour Strasbourg, 7 pour Grenoble, 4 pour La Rochelle, 12 pour Toulon et 50 pour la RATP.
Dans ces villes, les élus veulent réceptionner les bus avant les élections municipales de 2020, pour démontrer leur engagement écologique. Les délais sont courts mais Alstom se montre confiant.
- "Fonctionnement Alstom" -
A Hangenbieten (Bas-Rhin), sur le site de conception où travaillent environ 150 personnes, le changement d'entité entre NTL et Alstom-Aptis ne passe pas inaperçu.
"On a été nombreux à déchanter", se remémore Florian Bouché, secrétaire du CSE. "Beaucoup de directeurs du groupe sont arrivés, on est tombé dans un fonctionnement Alstom, avec beaucoup de process, de validations... Une inertie s'est installée, alors qu'on avait besoin de réactivité".
Au delà des méthodes, Alstom procède à de nombreuses modifications sur le véhicule, au moment de passer du prototype à la fabrication en série.
"Il y a eu des changements de configuration et de design qui ont nécessité de refaire l'ingénierie du bus", explique à l'AFP Didier Pfleger, président d'Aptis. "Et je pense qu'on a un peu sous-estimé le travail nécessaire".
L'entreprise fait aussi appel à de nouveaux fournisseurs. "Peu importe s'ils étaient qualifiés ou non, c'était toujours le moins cher qui était retenu", déplore un ingénieur de conception.
La direction réfute: "On avait dit qu'il fallait choisir des composants standards. Or beaucoup d'ingénieurs ont développé des solutions sur mesure, très chères", nuance Didier Pfleger. Certains composants se révèleront inadaptés et causeront des difficultés.
- Pare-brise de 40 kilos -
Après avoir largement remanié son prototype, Alstom se lance dans la fabrication pour honorer ses premières commandes. Mais il ne dispose pas des capacités de produire en série et entame en parallèle la création d'une chaîne capable de produire plus de 150 véhicules par an.
"Ça change beaucoup de choses: un pare-brise par exemple, c'est énorme, ça pèse 40 kilos. Si vous le manipulez à la main, il faut trois ou quatre opérateurs, il faut le positionner sur la cabine, régler, il faut des structures pour vous aider à le monter et à le coller. Alors qu'en ligne de production, un bras télescopique le prend, le positionne, vous faites le joint et c'est nickel".
Mais la chaîne de montage ne sera opérationnelle que début 2021.
"On s'est retrouvé avec une ligne de production pour faire des bus en série, mais avec les problèmes des premiers bus livrés, on n'avait plus aucune commande nouvelle, plus aucun client", indique l'ingénieur de conception.
Car pour tenir les délais, Alstom a raccourci la période de tests de plusieurs mois, au détriment de la fiabilité. Strasbourg a reçu ses premiers bus, assemblés comme les prototypes, courant 2019. Roland Ries, alors maire de la ville, apparaît en photo à bord du "véhicule propre" dans les pages du quotidien local.
- Problèmes de sécurité -
"On a peut-être accepté de livrer des bus à Strasbourg qui n'étaient pas totalement validés, parce que c'était les premiers qu'on faisait", admet le directeur, Didier Pfleger.
Les agents de la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) passent outre les premiers défauts constatés, d'autant que l'entreprise se montre "très réactive" pour assurer le service après-vente, témoigne un cadre de la métropole.
"Mais quand on corrigeait à un endroit, ça n'allait plus à un autre. On commençait à avoir une liste de défauts importante, c'était gênant", complète-t-il. "Et là où c'est devenu très gênant, c'est quand on a eu des problèmes de sécurité".
Début 2021, sur deux véhicules différents, l'essieu arrière devient incontrôlable et le bus se déporte. "Dans un cas, on a même arraché un poteau de signalisation sur un trottoir", indique l'agent.
Le deuxième problème de sécurité est l'inversion du sens de marche: lors d'une mise en route, un véhicule part brièvement en arrière. "Sur le coup, c'est une vingtaine de centimètres, mais si vous heurtez une poussette, ça peut être extrêmement grave", poursuit le cadre métropolitain.
La CTS met donc un terme à l'exploitation des bus Aptis et réclame un remboursement. De longues discussions s'engagent.
"Dans un premier temps, Alstom était dans le déni", déplore un élu. "Au début on ne savait pas qui était en tort, mais comme ça s'est reproduit plusieurs fois, et dans d'autres villes, Alstom a bien été obligé de reconnaître qu'il y avait un souci."
D'autres clients ont connu des difficultés similaires. À Grenoble, des "problèmes d'essieux, de batterie, de fonctionnement des circuits", ont été constatés selon un élu, mais les choses sont rentrées dans l'ordre et les bus circulent.
À Toulon, au contraire, "sur les 12 véhicules livrés, la quasi-totalité n'était pas conforme au cahier des charges", et les véhicules ne sont pas exploités, regrette Thierry Durand, directeur de la régie des transports. "C'était la première fois que je devais assister à une réception des produits avec un huissier".
"Toulon c'est une autre histoire, ils ont demandé un tas de modifications entre la commande et la livraison", précise M. Pfleger. "Et quand on a annoncé la fermeture d'Aptis, ils se sont rendu compte qu'ils ne pourraient pas avoir une flotte homogène, ils ont refusé les bus".
- "Chercher du travail" -
Face aux difficultés, et en l'absence de perspectives de rentabilité, le groupe tire un trait sur le projet, et les 150 emplois qui vont avec. Au final, l'entreprise a vendu ses bus à un prix unitaire proche de 700.000 euros, pour un coût réel d'environ 1,3 million d'euros. Ses comptes font apparaître une perte de 17 millions d'euros en 2019, puis 10 millions en 2020.
"On pensait que notre produit prendrait une part de marché plus importante, je pense qu'on a été trop ambitieux", avoue Didier Pfleger.
La ligne de production, quasi neuve, ne sera donc pas utilisée pour produire une deuxième génération de véhicules, qui aurait intégré les améliorations apportées depuis les premières ventes, et permis d'amortir les coûts fixes.
Seuls quelques bus, pour la RATP, doivent encore être assemblés. Malgré l'accord entre les syndicats et la direction sur les mesures d'accompagnement du plan social, les salariés se demandent de quoi l'avenir sera fait.
"J'habitais en Bretagne, j'ai été débauchée pour venir travailler ici, sur ce projet d'avenir", ironise une employée. "Entre la réalité et ce qu'on m'a vendu au départ, c'est le grand écart. Je suis venue, j'ai fait déménager ma famille, et au final, je me retrouve à chercher du travail".
© 2021 AFP
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Pour rappel : "Bolloré confirme l'échec de la Bluecar auprès des particuliers"
https://www.caradisiac.com/bollore-abandonne-sur-la-voiture-electrique-particuliere-113979.htm
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Pourquoi Navya dérape en Bourse
INVESTIR.FR | LE 29/09/21
Le groupe a vu son cours de Bourse dégringoler de près de 10% à la mi-séance mercredi. Au premier semestre, la société spécialisée dans les véhicules autonomes a subi une perte nette de 12,5 millions d’euros.
Des résultats dégradés, une consommation de trésorerie élevée, l’absence d’inflexion à court terme… Il n’y a rien de bien bon dans le dernier communiqué de presse de Navya. Résultat, le titre du spécialiste lyonnais des solutions destinées aux véhicules autonomes dévisse de près de 10% à la mi-séance, mercredi, pour tomber à 1,74 euro. Les raisons de ce désamour sont nombreuses. Tout d’abord, les comptes à mi-parcours sont décevants. A 12,5 millions d’euros, la perte nette s’est accrue de 11% sur un an et représente 2,7 fois le chiffre d’affaires de 4,6 millions, en baisse de 2%. En six mois, plus de 8 millions d’euros de trésorerie ont été consommés.
Partenariats
« La crise sanitaire continue d’impacter l’activité commerciale de la société du fait des restrictions de déplacement dans certains pays, comme la Corée du Sud, le Japon et les États-Unis », explique Navya. La société a vendu 9 de ses navettes Autonom Shuttle au cours des six premiers mois de l’année. Elle en avait commercialisé 10 il y a un an. Dans le même temps, les dépenses de R&D, tout comme les frais généraux et administratifs, ont augmenté.
Car l’objectif final pour Navya est de réussir sa transition d’un modèle de production de véhicules autonomes à un modèle de développeur et intégrateur de logiciels de conduite autonome « fabless », c’est-à-dire à sans usine (et donc à moindre coût). Les partenariats récemment annoncés (REE Automotive, BB6 Bolloré, etc.) montrent l’intérêt de grands groupes pour la technologie de Navya. « Néanmoins, il reste à la société des milestones technologiques clés avant de pouvoir commercialiser des systèmes de conduite autonome efficaces de niveau 4, comme l’autodiagnostic du véhicule ou la gestion à distance de plusieurs véhicules par un seul opérateur », commente l’analyste du cabinet Oddo BHF. Pour la suite, aucune prévision n’est formulée… Ce qui tombe sous le sens.
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Invectus : De là , retourner à la case départ?....???
Et bien je dirais, non en réalité..
même si le cours revenait à 0.85€ (ou à son plus bas extrême), la société pèserai toujours plus lourd puisqu'il y a plus de titres en circulation.
faut pas arrêter son regard que sur une valeur prix
C'est un des pièges de toutes ces actions à financement dilutif par le temps (donc, pour rappel, aux porteurs long terme).
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La dernière fois, voilà une dizaine de jours que j'ai prévu un premier objectif de baisse à 1,70, des participants à la file m'avaient mal compris et avaient dit qu'ils se renforceraient. J'avais dû faire un second post pour leur dire que ce n'était qu'un premier objectif en leur disant que s'ils se renforçaient, ils étaient kamikaze puisqu'on pouvait descendre à 0,47 €.
Mais je dois reconnaître que ces 1,70 forment un beau support.
De mémoire, c'était je crois le prix d'exercice de ce machin qu'on appelle les Ornanes...
Pour autant je n'achèterai pas et je maintiens l'objectif 0,47 € pour le 20/12/2021.
AMHA
Pas actionnaire!
encore - 73 %
Message complété le 29/09/2021 17:08:11 par son auteur.
Le post et le graphe dont je parle datent du 16/09/2021 dans la file "NAVYA startup française.
Au passage je réalise qu'on aurait dû appeler la file "NAVYA START DOWN FRANçAISE".
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Si tu n'as pas plus d'arguments tangibles à fournir, merci d'arrêter la pollution de la file et d'aller ouvrir une file avec des objectifs...
: (
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il faut arreter de fumer n importe quoi, les 0,85 je n y crois pas du tout cette baisse est saine pour la suite , ce sont les soldes profitez en
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Malheureusement tout est possible.
C'est vrai que par le passé la hausse a été vertigineuse, mais surtout injustifiée...
De là , retourner à la case départ?....???
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On reste bien d'accord,Tirelire19 c'est aussi ce que j'envisage sur le graphe que j'ai posté au dessous ce jour.
Pour le reste concernant la hausse alambiqué sur le titre, il suffit de remonter la file avec tous les éléments à charges produits qui expliquent pourquoi on avait besoin de la faire monter.
L'objectif était d'éviter de rester en penny stock pour faire des appels au cash de trésorerie. Maintenant que les fan(e)s découvrent que les carottes sont cuites, il va rester les épluchures...
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Désolé de me répéter : çà sent pas bon
L' Ichimoku dit :
1 - Cours actuel sous le nuage
2 - cours actuel sous la Kijun
3 - cours actuel sous la Tenkan
4 - Lagging Span sous le cours et sous le nuage .
Conclusion : c' est mauvais de mauvais
Si on applique la règle des reports H méthode du balancier : l' objectif final de baisse serait 0.85 euros , j' ai bien dis serait au conditionnel
Le VORTEX VI- rouge est au dessus de VI+ vert implique la baisse .
Rappel : on est passé de 0.50 à 4.755 euros pourquoi ne pas envisager un retour à la case départ après la spéculation haussière , c' est à se demander si ce n' est pas voulu ?
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0,85 lol pourquoi 0,50 non plus elle n ira pas plus bas que 1,58 ou je me fache ensuite
Message complété le 29/09/2021 14:40:40 par son auteur.
0,85 lol pourquoi pas 0,50 non plus elle n ira pas plus bas que 1,58 ou je me fache ensuite
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A/ support majeur 1.682€
B/ ensuite suivant 1.255€
C/ le dernier pour la route 0.869€
évidement sur mon écran
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ça ne fait que confirmer tout ce que j'ai dit dans mes posts d'analyse financière et graphiques, publié ce jour au dessous.
(voir Graphe plus bas)
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Pourquoi NAVYA chute en bourse :
https://m.investir.lesechos.fr/actualites/pourquoi-navya-derape-en-bourse-1982043.html?
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Toujours aussi bon à la pêche dans la vase, 👍
Message complété le 29/09/2021 12:49:11 par son auteur.
@boriskof
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Coucou invectus pru 1,7313 je commence une ligne
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Salut Boriskof,
Attends encore, ça pourrait (devrait?) aller plus bas....
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hello la compagnie bonne à ht now la d.aube
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