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et maintenant ! c est quoi la suite !
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R 4,37 et après 5,35
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Peut être le bon moment d y retourner !
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Pas facile de trouver des informations sur ce qui se passe dans les cuisines...
L'accord sur les satellites pour défier Musk se prépare au château de Luxembourg
BNN Bloomberg TV | 2 avril 2023
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Ce que j'ai trouvé pour l'instant...
"Après des décennies de concurrence, deux sociétés de satellites luxembourgeoises rivales envisagent de fusionner pour s'attaquer à un nouveau venu dans l'industrie spatiale, le milliardaire Elon Musk.
Si l'union réussit, SES SA et Intelsat SA donneront naissance à la plus grande société de satellites d'Europe. Les deux sociétés sont domiciliées au Grand-Duché de Luxembourg, l'un des plus petits pays du monde.
SES, dont le siège se trouve au château de Betzdorf, a confirmé mercredi qu'une fusion était à l'étude après que Bloomberg a rapporté que les deux sociétés étaient en pourparlers avancés en vue d'une transaction qui valoriserait la société combinée à plus de 10 milliards de dollars, dette comprise.
Les deux sociétés utilisent des satellites "géostationnaires", c'est-à-dire de grands engins spatiaux en orbite à 36 000 kilomètres de la Terre. Au fil des ans, ces satellites ont rapporté des milliards en diffusant la télévision depuis l'espace. Mais plus récemment, les modèles commerciaux de SES et d'Intelsat ont été remis en question par de nouvelles technologies, notamment une vague de satellites en orbite basse - ou "LEO" - qui tournent à seulement 310 miles au-dessus de nos têtes et fournissent un accès internet à large bande à faible latence.
Le plus grand système LEO est de loin Starlink de Musk, géré par Space Exploration Technologies Corp - SpaceX en abrégé. SES a également rapproché ses activités de la Terre, avec un lot de satellites qui volent à 8 000 km d'altitude sur ce que l'on appelle l'"orbite terrestre moyenne".
Mais avec Musk et d'autres nouveaux venus comme OneWeb Ltd., basé à Londres, qui menacent leur part de marché, les "deux géants de la vieille école" doivent faire plus pour rivaliser, a déclaré Alexander Peterc, analyste à la Société Générale. Unir leurs forces ne sera pas facile : tout accord devra relever des défis réglementaires, financiers et technologiques considérables.
Changement de terrain
Lorsque la diffusion en ligne a commencé à éroder le secteur de la télédiffusion par satellite, SES et Intelsat se sont tournés vers un nouveau domaine : connecter les administrations et les entreprises éloignées à l'internet par satellite.
Cette source de revenus est aujourd'hui remise en question. Le prix de la transmission des données est en baisse et les entreprises luxembourgeoises doivent faire face à Starlink et OneWeb, qui ont déjà lancé des milliers de satellites LEO, ainsi qu'à Amazon.com Inc. qui est sur le point de les rejoindre.
C'est un moment charnière pour les finances des entreprises. Après avoir vu leurs revenus stagner pendant des années - Intelsat est sortie de la faillite l'année dernière avec une dette de 7 milliards de dollars - les deux sociétés s'attendent maintenant à une manne imminente, après avoir cédé de précieux droits sur les ondes aux compagnies de téléphone américaines qui mettent en place la 5G.
Cet accord, qui a donné lieu à une bataille juridique acrimonieuse entre les deux entreprises, leur a permis de rembourser leurs dettes et d'ouvrir la voie à une fusion. Une fois que les derniers détails de la vente des ondes auront été réglés, SES devrait empocher 4 milliards de dollars et Intelsat près de 5 milliards de dollars.
SES et Intelsat ne sont que les derniers géants du satellite à se joindre au manège de la consolidation.
L'économie du secteur ayant été bouleversée par des lancements moins coûteux et des investisseurs aux poches pleines comme Musk, d'autres acteurs majeurs ont déjà pris des mesures pour mettre en commun leurs investissements et leurs risques. La société californienne Viasat Inc. rachète la société britannique Inmarsat Holdings Ltd pour 4 milliards de dollars, et la société française Eutelsat SA achète OneWeb dans le cadre d'une transaction évaluée à 3,4 milliards de dollars.
La paperasserie
Si SES et Intelsat vont de l'avant avec un accord, cela donnerait le coup d'envoi d'un processus de contrôle long et compliqué.
Les régulateurs se précipiteraient, car la nouvelle société représenterait collectivement environ 40 % du marché mondial des services fixes par satellite et 90 % de la radiodiffusion aux États-Unis, selon les estimations de Thomas Coudry, analyste chez Bryan Garnier.
Cela créerait sa propre série de problèmes, car les enquêtes antitrust peuvent durer entre un et deux ans, a fait remarquer M. Peterc - une période au cours de laquelle SpaceX et Amazon devraient lancer des centaines, voire des milliers, de satellites supplémentaires.
"Ils perdront du temps s'ils veulent faire quoi que ce soit sur le front de l'orbite terrestre basse, c'est donc certainement un problème", a déclaré M. Peterc à propos de la situation difficile de SES et d'Intelsat.
En outre, les mesures antitrust obligatoires pourraient compromettre les avantages d'un accord, a déclaré M. Coudry, de Bryan Garnier, dans une note adressée aux clients jeudi.
Il n'existe pas non plus de précédent clair sur la manière dont les enquêtes réglementaires pourraient se dérouler : Viasat attend toujours l'approbation de l'acquisition d'Inmarsat annoncée il y a 16 mois, et l'accord OneWeb d'Eutelsat - signé en juillet dernier - n'a pas encore été conclu.
Enfin, le gouvernement luxembourgeois étant l'actionnaire principal de SES, la société aurait également besoin de la bénédiction de l'État pour mener à bien la fusion.
La science des fusées
SES possède plus de 70 satellites en orbite et Intelsat en a 52. Il sera difficile de les combiner, car les flottes fonctionnent sur plusieurs types de spectre, soumis à des réglementations mondiales obscures.
Les analystes estiment que l'unification des opérations pourrait générer des milliards de bénéfices, mais pour renouer avec la croissance, la nouvelle société pourrait devoir investir des sommes tout aussi importantes dans une "constellation" capable de rivaliser avec OneWeb, SpaceX et Amazon.
Bien que Musk ait déclaré que sa flotte Starlink pourrait nécessiter des investissements de 20 à 30 milliards de dollars pour rester compétitive - il a même évoqué la possibilité d'une faillite -, les changements que lui et d'autres ont déclenchés ont déjà transformé l'industrie.
Les dépenses d'investissement pour assurer la croissance risquent de produire des rendements inférieurs au coût moyen pondéré du capital, a déclaré M. Coudry.
Cela place SES et Intelsat dans une position compliquée pour l'avenir. "S'ils se lancent maintenant dans l'orbite terrestre basse, ils seront en retard : ils seront les derniers à obtenir le spectre de l'orbite terrestre basse et les droits orbitaux", a déclaré M. Peterc, expliquant qu'ils seraient "au bas de l'échelle", derrière SpaceX, OneWeb et Amazon.
Mais heureusement, alors que SES et Intelsat négocient les complexités diaboliques des actifs extra-terrestres et de l'étalement réglementaire, il y a une chose qui pourrait faciliter les négociations : leurs bureaux luxembourgeois ne sont qu'à 25 minutes de route l'un de l'autre.
(Mise à jour avec le commentaire d'un analyste. Une version antérieure de cet article a corrigé l'orthographe de Bryan Garnier.)
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Il avait raison l As du pif .... à trois ans près
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MAJ
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Test oblique proche
1ere cible 10.60
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24/09/2020 SES: contrat avec une agence de l'US Air Force
cela devrait être un frein à la baisse non? Mais il n'annonce pas le montant
L'opérateur de satellites SES a annoncé jeudi la signature d'un contrat avec le laboratoire de recherche de l'US Air Force.
Aux termes de l'accord, SES et son partenaire britannique Isotropic Systems conduiront pour le compte de l'armée américaine une série de tests autour d'antennes multifaisceau de nouvelle génération sur plusieurs positions orbitales.Il s'agit du premier contrat en commun conclu par SES et Isotropic.
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ça devrait aller beaucoup mieux maintenant...
Comme le voit, on vient de passer le biais baissier et les résistance en passant par le bas, en chercher à les effacer une par une et reprenant appui sur la 20.
LE RSI, les stochastiques et la DM+ verte des acheteurs sont haussières. Le MACD devrait bientôt se décider à bouger.
Parcours conforme à ce que j'avais indiqué en graphes précédents.
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MAJ
ne plus casser 5.81
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Cloture > 6.40
Fibo 23 : 7.99
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non mais c'est dingue la voilà qui baisse !!!
Mieux vaut larguer sans bénéf?
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on a touché 6.54 ce matin suite aux résultats du 1 er trim
"" A l'occasion de la publication de ses semestriels, SES abaisse ses fourchettes cibles pour l'ensemble de l'exercice 2020, anticipant désormais un EBITDA ajusté entre 1120 et 1160 millions d'euros, ainsi que des revenus entre 1860 et 1900 millions.
Sur son premier semestre 2020, l'opérateur de satellites a vu son EBITDA ajusté se tasser de 2,3% à 582 millions d'euros (-3,5% à taux de changes constants) pour des revenus en repli de 1,5% à 947,5 millions (-2,4% en sous-jacent).
'Nous avons réalisé des revenus solides dans des conditions d'activité difficiles, tout en engrangeant les bénéfices des mesures d'économies de coûts proactives prises précocement face au développement de la Covid-19', commente son CEO Steve Collar. ""
Peut on être confiant? je pense que oui
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Bloquée par les 6.40
au dessus c'est Full Bull
voir graphe mensuel posté plus bas
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Ouf elle remonte et s'éloigne d'une zone de danger
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MAJ
avons encore 2 zones de rebond possible
5.38 et 5.10 avant le plus bas historique
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@Cavalerie
Bonjour
Pour moi 5.88 était une zone de rachat. C est fait
Tu parlais de 4euros ! Toujours dans tes objectifs ?
Les 4 € sont une cible potentielle en cas de rupture du précédent point bas
qui validerait d/x rouge
Message complété le 08/07/2020 23:43:22 par son auteur.
sur 7.86
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ça sera pas pour maintenant, la SAR vient de repasser au vert depuis 3 séances, Comme toi, j'ai refait le plein !
A+
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Bonjour
Pour moi 5.88 était une zone de rachat. C est fait
Tu parlais de 4euros ! Toujours dans tes objectifs ?
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MAJ
oblique basse vers 4 €
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