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Je voulais balancer un commentaire en donnant 2027....
Là tu viens de me mettre dans le moule.
Très intéressant ton graphique.
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je peux même vous dire quand ca va arriver mais je ne parie pas 1,1 M
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Faire confiance à l'Intelligence Artificielle, c'est se préparer à une forte augmentation du chômage d'ici quelques années. Un investisseur avisé devrait en tenir compte.
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@Dubaisan
Tout concoure à un crash monumental d'ici à 3 ans sur les marchés de taux et d'actions (devises en victimes collatérales)
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Là je ne pense pas que beaucoup puissent miser sur un Krach qui n'arrivera peut-être que dans 3 ans !!!
Je suis pourtant certain que comme toutes les bulles (Immobilière, Internet, ....) la bulle I.A. qui est en train de se déployer avec Nvidia en figure de proue devrait crever. Mais tenir 3 ans à l'attendre c'est trop long pour moi.
Dans le désordre où nous sommes et même sans le concours d'un Krach I.A. je suis prêt à profiter d'une grosse baisse de régime de notre Bourse de Paris mais là dans moins d'un an. Voir les ETF sur le CAC40 (BX4, LVC).
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(ABC Bourse) - L’homme qui avait prévu la crise des subprimes refait parler de lui. Michael Burry vient de miser 1,1 milliard de dollars sur la chute de deux géants de l’intelligence artificielle, persuadé que la bulle est sur le point d’éclater.

Depuis son coup de maître en 2007, chaque geste de Michael Burry est scruté par Wall Street. L’investisseur américain, immortalisé par le film « The Big Short », a cette fois misé plus d’un milliard de dollars contre deux symboles de la révolution technologique actuelle : Nvidia et Palantir.
Selon les documents réglementaires publiés lundi, son fonds Scion Asset Management a acquis des « put options », ces contrats qui rapportent lorsque la valeur d’une entreprise chute. En clair, Burry parie que les deux mastodontes de l’intelligence artificielle sont surévalués, comme l’étaient les titres immobiliers avant la crise des subprimes.
Le pari intrigue, voire déroute. Fin octobre, Nvidia est devenue la première société à dépasser les 5 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, tandis que Palantir annonçait une hausse de 63 % de son chiffre d’affaires sur un an. Pourtant, Burry a misé 187,6 millions de dollars sur la chute de Nvidia et 912 millions sur celle de Palantir.
Sur le réseau X, il a posté un message énigmatique accompagné d’une photo de son personnage incarné par Christian Bale dans le film à succès. "Parfois, on observe des bulles. Parfois, il est possible d’agir. Parfois, la seule stratégie gagnante est de ne pas jouer", a-t-il écrit lundi, avant de publier plusieurs graphiques soulignant son pessimisme sur le marché de l’IA.
Lire aussi : Goldman Sachs et Morgan Stanley redoutent une correction brutale des marchés
Du côté des entreprises visées, la réaction ne s’est pas fait attendre. Le patron de Palantir, Alex Karp, a répondu sur CNBC : "Les deux entreprises qu’il vend à découvert sont celles qui gagnent le plus d’argent, ce qui est vraiment étrange". Il a même qualifié de "complètement fous" ceux qui parient contre sa société.
Le pari de Michael Burry intervient alors que certains investisseurs commencent à douter de la solidité de l’euphorie liée à l’intelligence artificielle. Mardi, le Nasdaq a chuté de 1,5 % à l’ouverture, et le S&P 500 a perdu près de 1 %. Pour John Plassard, responsable de la stratégie d’investissement chez Cité Gestion Private Bank, un début de "fatigue de l’IA" s’installe chez les investisseurs malgré la multiplication des mégadeals dans le secteur, comme le contrat de 38 milliards de dollars signé entre OpenAI et Amazon.
Ipek Ozkardeskaya, analyste senior chez Swissquote, nuance : ces alliances offrent certes "un moment de gloire" aux géants du secteur, mais "certains sceptiques continuent à froncer les sourcils, préoccupés par la circularité de ces accords".
D’autres voix vont plus loin. Daniel Bustamante, fondateur de Bustamante Capital Management, estime que "tous les ingrédients sont réunis pour déclencher une crise majeure : il suffit d’une étincelle pour que la situation dégénère".
Enfin, dans une note relayée par Fortune, la Deutsche Bank constate un "nombre croissant d’observateurs (qui) se demandent si nous ne sommes pas au bord d’une correction boursière". Un avertissement qui résonne étrangement avec la vision sombre de Michael Burry.
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Forum de discussion Wall Street 30
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