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Donc les types qui sont venus piquer assez illégalement le travail de ceux qui avaient achetés des licences d'exploitation et qui avaient une activité légale encadrée et déclarée…
Donc ces types viennent maintenant se plaindre que leurs conditions de travail ne respectent pas la loi…
On se moque de qui ?
C'est bien à l'image de la société et de la politique qui veut toujours plus de lois et de réglementation, tout en prônant toujours moins de réglementations et plus de détricotage législatif…
Y'a vraiment plus aucune raison d'aller voter quand on voit un tel ramassis d'âneries essentiellement et avant tout généré par la classe politique occupée à justifier des émoluments mirobolants pour dépenser plus que l'argent du con-tribuable (… à merci)
Que dirait-on à l'Assemblée Nationale si un type venait prendre le fauteuil d'un député et disait au contribuable employeur : " je vous j'assure la semaine de présence et mon vote à l'Assemblée Nationale pour 259 €, charges comprises, et cantine offerte… ?
Pitoyable et affligeant…
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En complément d’information, deux ans entre deux post. Ressuscité un fil endormi ça il fallait le faire. Juste comparer ce qui était proposé et la réalité économique aujourd’hui.
Les trois mousquetaire, Sarkosy, Attali, Macron.
Décret n o 2007-1272 du 27 août 2007 instituant une commission pour la libération de la croissance française
Demander par Nicolas Sarkozy
Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre et de la ministre de l’économie, des finances et de l’emploi, Le conseil des ministres entendu.
M. Jacques Attali, président de PlaNet Finance, est nommé président de la commission. Sont nommés membres de la commission
M. Emmanuel Macron, inspecteur des finances, est nommé rapporteur général adjoint.
Ensuite pour l’ambiance et le plaisir on y trouve quelques pépites de membres ci-dessous
M. Philippe Aghion, professeur d’économie à l’université Harvard (Etats-Unis), membre du Conseil d’analyse économique ;
M. Eric Labaye, directeur général associé de McKinsey au bureau de Paris ;
Mme Anne Lauvergeon, présidente du directoire d’Areva ;
M. Stéphane Boujnah, managing director de Deutsche Bank ;
Mme Evelyne Gebhardt, représentant au Parlement européen (Allemagne)
Ensuite la liste complètes ci-dessous
https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf?id=TDL-ks2TyXPy0YwqkNB8pe6yplGEb0Xgie4-T-nS53g=
Le rapport ci-dessous en ce qui concerne les taxis aller à la décision 209 à 211
https://www.lefigaro.fr/assets/pdf/attali.pdf
Un vrai régal ce rapport, un programme économique, qui ne dit pas son nom, mais s’installe en toute discrétions sen faire de bruit, depuis sa publication
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C’est un débat de fond, et il est légitime. Le modèle des plateformes type Uber a largement contribué à précariser le métier de chauffeur VTC :
- commissions élevées (jusqu’à 25 %),
- courses imposées sans liberté tarifaire,
- revenus instables malgré des heures de travail longues,
- dépendance totale à un algorithme opaque.
👉 La demande d’un revenu minimum garanti est donc compréhensible, mais elle ne règle pas le problème structurel : la perte d’autonomie.
Il existe pourtant d'autres modèles : certaines plateformes, comme monTransport.com, permettent aux chauffeurs de proposer librement leurs prix, de choisir leurs trajets, et surtout de n’intervenir que quand ils le souhaitent, en fonction de leur emploi du temps et de leur rentabilité.
C’est une approche plus saine et plus durable :
- Pas de course imposée
- Tarifs fixés par le chauffeur
- Réservation anticipée = meilleure planification
- Clients informés à l’avance = meilleure relation
- Et paiement sécurisé après la course, sans risque de litige
✅ En résumé : plutôt que de chercher une garantie artificielle, autant favoriser des modèles qui rendent le pouvoir économique au chauffeur.
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c'est ballot pour les VTC d'hier et d’aujourd’hui
« Emmanuel Macron a soutenu la méthode Uber et sa prédation en bande organisée »
Laurent Lasne, écrivain au coeur du système Uber
https://www.youtube.com/watch?v=MT1_syU3PT8
UBER FILES : RELIRE «LA PRÉDATION EN BANDE ORGANISÉE» – CRÉER UN DÉONTOLOGUE POUR L’EXÉCUTIF ?
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Après la signature d'un accord inédit en France entre chauffeurs VTC et plateformes sur l'instauration d'un tarif minimum par course, les syndicats souhaitent s'attaquer au revenu minimum garanti, une revendication ancienne des chauffeurs mais difficile à mettre en place.
Flairant le bon coup médiatique, la plateforme française Le Cab a dégainé en premier. Depuis le 1er février, elle garantit un revenu de 35 euros net de l'heure aux chauffeurs VTC utilisant son application.
Le Cab, service de transport VTC premium, ne décompte pas le temps d'attente, mais il rémunère le temps d'approche ainsi que le temps de transport des voyageurs. "Personne aujourd'hui sur le marché ne fait ça", promet le président de l'entreprise, Yves Weisselberger.
"On a toujours soutenu l'idée que si on veut un secteur économique pérenne, il faut qu'il existe des garanties", explique le chef d'entreprise à l'AFP.
Trente-cinq euros net, "c'est ce qui permet à un chauffeur de gagner correctement sa vie" une fois déduites les charges, le prix de l'essence et du véhicule, estime-t-il.
"Ça aurait été bien qu'on s'en parle entre nous plutôt que d'utiliser cette annonce comme un effet de com'", a déploré Fabian Tosolini, délégué national du syndicat Union-Indépendants, qui ajoute que 35 euros ne suffisent pas à couvrir les coûts dans certains cas comme les longues attentes à l'aéroport de Roissy.
"Il serait temps que les plateformes comprennent que dans le dialogue social, il y a un certain nombre de règles", a-t-il rappelé.
- Vivre dignement -
Depuis les toutes premières élections syndicales de mai dernier chez les travailleurs indépendants (chauffeurs VTC et livreurs), l'Autorité de régulation des plateformes d'emploi (Arpe) est censée organiser le dialogue social dans un secteur encore très déficient en matière de droits sociaux.
Mi-janvier, quatre syndicats sur sept ont signé avec les plateformes un premier accord pour instaurer un revenu minimum mais seulement par course, soit 7,65 euros net (le prix pour le client est plus élevé et inclut les commissions et taxes).
Des débuts encore trop timides pour Union qui souhaite l'ouverture d'un dialogue plus global sur la question des revenus, comme le gouvernement l'a appelé de ses vœux.
Le syndicat réclame "un revenu garanti qui permettrait aux VTC de vivre dignement". Cela doit passer par "la revalorisation de la tarification horokilométrique", insiste Fabian Tosolini.
Cette mesure permet de calculer le prix d'une course en fonction du temps passé et des kilomètres parcourus. Actuellement, les plateformes rémunèrent entre 1,05 euro et 1,20 euro du kilomètre, selon Union.
"Pour atteindre un seuil de rentabilité, on devrait être à 1,40 euro du kilomètre sur une gamme éco, pour une berline à 1,95 et pour la gamme van, on devrait être à 2,50", estime Brahim Ben Ali, secrétaire général du syndicat INV. Lui et son organisation, qui dit rassembler 4.700 chauffeurs, refusent de participer aux discussion syndicales car ils en contestent les modalités.
- Temps d'attente -
Sur l'initiative de Le Cab, "c'est du marketing", juge-t-il. "Ils sont en train de sortir tout et n'importe quoi pour dire: +On fait mieux que l'accord, mieux qu'Uber+", s’insurge Brahim Ben Ali.
Les chauffeurs VTC indépendants méritent mieux, affirme-t-il, car "l'huile de vidange a explosé de 40%, les pneumatiques même chose, tout a augmenté, on fait comment?"
La manager générale d'Uber France, Laureline Seyries, reconnaît qu'il est "probable" que la question des revenus soit "parmi les tout prochains sujets" abordés.
Mais de nombreux défis techniques se posent pour évaluer le temps de travail. "Quand vous êtes en temps d'attente sur Uber, vous pouvez très bien être en train de prendre une course pour une autre plateforme", rendant la prise en compte du temps d'attente impossible, dit Mme Seyries.
Uber compte 32.000 chauffeurs sur sa plateforme, mais estime que les trois quarts d'entre eux utilisent également d'autres applications.
Fabian Tosolini souhaiterait voir d'autres paramètres pris en compte comme "la facturation de services supplémentaires, par exemple les sièges-bébé, et surtout, une juste rétribution de la valeur des données créées par les courses", qui ne profitent pour l'instant qu'aux plateformes.
© 2023 AFP
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