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Verdir les pneus, l’autre défi environnemental de l’automobile
Leur nombre devrait être multiplié par deux dans les vingt ans qui viennent. Des fabricants comme Michelin travaillent à les rendre 100 % durables.
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Tant qu'il y a des parpaings à poser pour monter l'usine pilote...
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Beh non ... direction 33
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Belle résistance dans la tempête
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oui j ai remarqué perso j ai passé un ordre pour compléter
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3 millions d'euros de subvention et la pré-ouverture est à l'étal...
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désolé @Invectus, mais je n'aime pas du tout le côté 'Pierre de Rosette' de tweeter...
CARBIOS - Cours du 25/11 17:35:24► 38EUR +1.88%
(AOF) - 25/11/2021 | 18:16 ►Carbios : reçoit le soutien de la Commission européenne au travers de son programme LIFE
Carbios a obtenu aux côtés de ses partenaires T.EN Zimmer GmbH et Deloitte un financement européen de 3,3 millions d’euros (dont 3 millions d’euros pour Carbios) sous forme de subvention. T.EN Zimmer GmbH apporte son expertise sur la repolymérisation des monomères en PET 100 % recyclés et Deloitte sur l’analyse de la performance environnementale (notamment via l’Analyse du Cycle de Vie) du procédé à partir de déchets plastiques et textiles.
Le programme de financement européen LIFE est un vaste programme de subventions visant à soutenir des projets innovants, ayant un faible impact environnemental et une capacité de déploiement industrielle prouvée.
Carbios dit s'inscrire pleinement dans les objectifs de la Commission européenne au travers de sa technologie C-ZYME.
" Face aux limites des procédés de recyclage thermomécaniques, l'approche de Carbios est novatrice car elle redonne de la valeur aux déchets plastiques et textiles en permettant un recyclage à 100 % de tous types de déchets en PET, sans perte de qualité ", explique Carbios.
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Pile poil ca repart
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Déjà dessus avec 220 titres, ce qui est déjà beaucoup pour une boîte en devenir !
Quant à l'analyse graphique sur un encéphalogramme plat.... je suis dubitatif.
Je crois plus à l'inauguration de l'usine pilote sur le site de Michelin qui déclenchera une hausse qui se poursuivra lorsque les licences vont arriver. D'ici là c'est comme pour Crossject; il suffit d'être patient.
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Merci @Dubaisan ! De belles pistes à surveiller !
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Bonsoir Ribo,
Ci-dessous, l'article : "la-chimie-verte-nouvel-eldorado-des-start-up-20211117" - Le Figaro
DÉCRYPTAGE - Ce secteur, encore émergent il y a quelques années, est désormais convoité par les investisseurs du monde entier.
C’est un secteur aux confins de la biologie, de l’informatique et de l’intelligence artificielle, en pleine expansion. Sofinnova, l’un des géants européens du capital-risque dédiés aux sciences de la vie (2,5 milliards d’euros d’actifs sous gestion), vient de lever 150 millions d’euros afin d’investir dans les biotechs industrielles. C’est son troisième fonds dont l’objectif est de financer des start-up qui s’appuient sur les biotechnologies pour développer des solutions durables dans l’alimentation, l’agriculture, la chimie et les matériaux.
L’enjeu de ce secteur, qui englobe notamment la chimie verte, est de concevoir à partir de la nature (biomasse, sucre, amidon…) des matières premières et produits qui tiennent compte de l’épuisement de nos ressources et du changement climatique. Il s’agit aussi bien d’inventer des engrais non toxiques pour l’environnement, des ingrédients naturels pour les cosmétiques, des bioplastiques pour les emballages ou de la viande cellulaire comme alternative à l’élevage intensif.
Matériaux durables
C’est la «face cachée de la “quatrième révolution industrielle”», selon les termes du cabinet BCG, auteur d’une étude sur le sujet. Les investissements dans ce secteur ont atteint plus de 60 milliards de dollars en 2020 et pourraient tripler à 200 milliards en 2025, selon le BCG.
Cela fait dix ans que Sofinnova creuse son sillon dans ce domaine, moins connu du grand public que la santé, son principal champ d’action. Les biotechs industrielles, dans lesquelles il a pris une quinzaine de participations, représentent environ 15 % des investissements de Sofinnova. Parmi ses principaux «deals», figurent DNA Script, inventeur d’une «imprimante à ADN», Protera, qui a mis au point des protéines biosourcées utilisées dans les conservateurs pour les pains et brioches industrielles, ou encore Biotalys, qui conçoit des pesticides inoffensifs pour les animaux et l’environnement.
En dix ans, la perception de ce secteur encore émergent a beaucoup changé. Il est désormais convoité par les investisseurs à travers le monde. Il a ses champions comme l’américain Ginkgo Bioworks, surnommé par certains le «Google de la biologie synthétique», qui vaut aujourd’hui 25 milliards de dollars à Wall Street. Avec sa plateforme de programmation cellulaire, cette entreprise fondée par des scientifiques du MIT, qui a noué des partenariats avec des géants comme Bayer ou Roche, produit des micro-organismes ayant des applications industrielles.
La plupart des entreprises planchent sur des alternatives aux matériaux issus de la pétrochimie ou trop consommateurs d’énergie afin de mieux répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, et aux obligations réglementaires. L’Oréal s’est ainsi engagé à ce que 95 % de ses formules soient biosourcées ou issues de procédés circulaires d’ici à 2030. Lego a fait le pari que 100 % de ses briques et autres figurines soient produits à partir de matériaux durables d’ici à 2030. Danone, qui compte avoir l’ensemble de ses emballages recyclables, réutilisables ou compostables d’ici à 2025, est ainsi en train de basculer ses pots de yaourts du polystyrène vers le carton, le verre et le PET recyclé.
«Il ne s’agit plus seulement de concevoir des copies des matériaux existants mais d’obtenir des performances supérieures», explique Michaël Krel, associé chez Sofinnova, spécialiste de ce secteur. Des grands groupes, à l’instar de Solvay (chimie), Michelin (pneus) ou de Sofiprotéol (agroalimentaire), investissent aux côtés de Sofinnova dans certaines jeunes pousses. Le prix de ces nouveaux matériaux n’est - presque - plus un problème. «Dans la plupart des cas, ils sont devenus compétitifs d’un point de vue du coût, assure Michaël Krel. Le problème vient surtout des volumes, encore insuffisants. Il faut consolider ces filières de production.» En outre, si l’appétit des investisseurs est réel, «il y a encore plus de projets intéressants que de fonds disponibles», résume Michaël Krel.
Afyren transforme la nutrition et la cosmétique
Cette green tech auvergnate a mis au point une gamme de sept acides organiques fabriqués à base de carbone renouvelable, utilisés aussi bien dans l’alimentation humaine et animale (conservateurs…), les cosmétiques (vernis à ongles…), les arômes ou encore l’aéronautique (lubrifiants…). Le procédé de fabrication de ces acides, à partir de résidus de la betterave à sucre, est entièrement circulaire: il utilise peu d’eau, produit zéro déchet hormis un résidu valorisé en tant qu’engrais.
Afyren mise sur ses prix, comparables à ceux des matériaux issus de la pétrochimie, pour tirer son épingle du jeu. La société, qui vient de lever 66,5 millions d’euros lors de son introduction en Bourse, a déjà vendu 60 % de la production de sa première usine, située près de Metz, alors que la production ne démarrera qu’au premier trimestre 2022. Deux autres sites devraient suivre, en Amérique du Nord et en Asie du Sud-Est. Le marché des acides organiques, qui croît de 5 % par an, devrait atteindre 1 milliards d’euros en 2030.
Carbios lance le plastique recyclable à l’infini
Cofondé en 2011 par le fonds Truffle Capital, Carbios a développé une nouvelle enzyme capable de transformer par voie biologique tous les déchets plastiques en PET (plastique utilisé notamment dans l’alimentaire) recyclé ayant les mêmes propriétés que le plastique classique. Cette technologie présente l’avantage de pouvoir traiter tous les types de PET, clairs, colorés, opaques et multicouches, et de pouvoir recycler ces plastiques à l’infini. Carbios, qui a levé en mai dernier 114 millions d’euros en Bourse, financera la construction d’une première usine, pour une mise sur le marché des premiers produits en 2025.
En attendant, il a inauguré en septembre son premier démonstrateur industriel sur un site de Michelin à Clermont-Ferrand. Actionnaire de Carbios, Michelin - qui veut fabriquer des pneus constitués à 100 % de matériaux biosourcés ou à base de produits recyclés à horizon 2050 - utilisera une «fibre de haute ténacité» mise au point par la jeune société. L’Oréal, qui détient 5,9 % du groupe, a réalisé le premier flacon en plastique entièrement recyclé grâce à la technologie de Carbios. Biotherm devrait être sa première marque à l’utiliser vers 2025
DNA Script invente l’imprimante à ADN
La biotech française, fondée en 2014, a levé le mois dernier 142 millions d’euros pour accélérer la commercialisation de son «imprimante à ADN». Cet appareil, qui ressemble à un petit four et se configure en 15 minutes, permet aux chercheurs de fabriquer et tester les fragments d’ADN au sein même de leurs laboratoires, dans la journée. Un gain de temps, d’efficacité et d’autonomie. Un moyen aussi de remplacer la synthèse chimique de l’ADN - polluante en raison notamment des réactifs nécessaires - par un procédé naturel, durable et efficace.
Cette technologie est utilisée pour la recherche en génomique et la biologie moléculaire. Si les chercheurs utilisent l’ADN pour développer vaccins et médicaments (Moderna fait partie des clients de DNA Script), elle leur permet aussi de créer de nouveaux produits. Parmi les applications, figurent la production de matériaux innovants pour la cosmétique, le textile, les lessives, les parfums… ou encore celle de biocarburants. Cette technologie permet aussi de contribuer à l’amélioration variétale des semences. DNA Script, qui a compté Sofinnova parmi ses premiers investisseurs, entend continuer à étendre la liste des applications.
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information fournie par B o u r s o r a m a - 22/11/2021 à 13:45
►Web conférence L'Oréal : entretien avec le directeur général Nicolas Hieronimus
REPLAY du mercredi 17 novembre à 17h30, le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus était en direct pour présenter la stratégie du leader mondial des cosmétiques, ses ambitions pour les années à venir et son engagement, sa raison d'être, à "créer la beauté qui fait avancer le monde".
Il a évoqué la politique d'innovation du groupe, le rôle qu'il entendait jouer dans la transition écologique et la façon dont la crise du covid-19 avait accéléré la transformation de L'Oréal.
Nicolas Hieronimus a également répondu aux questions des internautes pendant cet échange exclusif d'une durée de 50 minutes.
https://
www.boursorama.com/videos/tv/webinaire
A partir de la 30ième minute, le DG cite plusieurs fois CARBIOS.
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CARBIOS ► Chimie verte, nouvel eldorado des start-up - Par Keren Lentschner
Publié le 17/11/2021 à 07:00, Mis à jour le 17/11/2021 à 11:11
DÉCRYPTAGE - Ce secteur, encore émergent il y a quelques années, est désormais convoité par les investisseurs du monde entier.
C’est un secteur aux confins de la biologie, de l’informatique et de l’intelligence artificielle, en pleine expansion. Sofinnova, l’un des géants européens du capital-risque dédiés aux sciences de la vie (2,5 milliards d’euros d’actifs sous gestion), vient de lever 150 millions d’euros afin d’investir dans les biotechs industrielles. C’est son troisième fonds dont l’objectif est de financer des start-up qui s’appuient sur les biotechnologies pour développer des solutions durables dans l’alimentation, l’agriculture, la chimie et les matériaux.
L’enjeu de ce secteur, qui englobe notamment la chimie verte, est de concevoir à partir de la nature (biomasse, sucre, amidon…) des matières premières et produits qui tiennent compte de l’épuisement de nos ressources et du changement climatique. Il s’agit aussi bien d’inventer des engrais non toxiques pour l’environnement, des ingrédients naturels pour les cosmétiques, des bioplastiques pour les emballages ou de la viande cellulaire comme alternative....
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https://
www.lefigaro.fr/conjoncture/la-chimie-verte-nouvel-eldorado-des-start-up-20211117
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Emmanuel Ladent était jusque-là un cadre haut placé dans l'organigramme de Bibendum. Diplômé de Neoma Business School, il dirigeait jusqu'à présent la plus importante ligne business du groupe Michelin, la division des marques mondiales automobile. « Emmanuel Ladent a contribué au développement de filiales de plusieurs milliards d'euros de chiffres d'affaires », précise Carbios.
Emmanuel Ladent déclare :
« Carbios et sa filiale Carbiolice vont devenir un leader mondial du développement, de l'industrialisation et de la commercialisation de procédés biologiques pour repenser la fin de vie des plastiques et des textiles, j'en suis convaincu ! Je suis ravi d'intégrer un groupe innovant, qui propose des solutions concrètes et riches de sens, au service d'une économie circulaire des déchets plastiques »
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Transfert de compétences..
il reste dans le domaine de la pompe !
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nb : Emmanuel Ladent vient de chez Michelin... un rapprochement avec Carbios se tramerait-il en coulisses ?
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Le marché apprécie semble-t-il.
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https://www.technologyreview.com/2021/10/06/1036571/carbios-enzymes-recycle-plastics-pet/amp/
Message complété le 29/10/2021 16:38:20 par son auteur.
"À terme, le recyclage enzymatique pourrait être capable de faire des choses que le recyclage mécanique ne peut pas faire, comme recycler des vêtements ou des flux mixtes de plastiques."
https://www.deepl.com/Translator
Message complété le 29/10/2021 16:41:11 par son auteur.
"Le nouveau réacteur de Carbios mesure 20 mètres cubes, soit à peu près la taille d'un fourgon. Il peut contenir deux tonnes de plastique, soit l'équivalent d'environ 100 000 bouteilles broyées à la fois, et les décomposer en 10 à 16 heures en éléments constitutifs du PET (éthylène glycol et acide téréphtalique).
La société prévoit d'utiliser ce qu'elle a appris dans l'installation de démonstration pour construire sa première usine industrielle, qui abritera un réacteur environ 20 fois plus grand que le réacteur de démonstration. Cette usine à grande échelle sera construite près d'un fabricant de plastique, quelque part en Europe ou aux États-Unis, et devrait être opérationnelle d'ici 2025, selon Alain Marty, directeur scientifique de Carbios.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)"
Message complété le 29/10/2021 16:43:02 par son auteur.
Je ne comprends pas bien pourquoi il faut 4 ans pour installer un grosse cuve et des tuyaux... ?
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Un petit 14% à faire ?
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La techno n'est pas la même...
Message complété le 27/10/2021 08:49:55 par son auteur.
Cours Théorique d'Ouverture 38,80 27/10/2021 - 08:47 CEST CET
Certains tournent casaque !
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