Et vous? votre avis? - Page 82
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CITADEL ADVISORS II LLC0,5429/12/201630/12/2016
VALLOUREC (FR0000120354)DISCOVERY CAPITAL MANAGEMENT LLC2,3921/12/201622/12/2016
VALLOUREC (FR0000120354)PDT PARTNERS LLC0,8720/12/201621/12/2016
VALLOUREC (FR0000120354)MARSHALL WACE LLP0,5015/12/201616/12/2016
VALLOUREC (FR0000120354)KAIROS INVESTMENT MANAGEMENT LIMITED0,9108/12/201609/12/2016
VALLOUREC (FR0000120354)AQR CAPITAL MANAGEMENT LLC0,8429/11/2016-
VALLOUREC (FR0000120354)OXFORD ASSET MANAGEMENT LLP
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VALLOUREC (FR0000120354)OXFORD ASSET MANAGEMENT LLP
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Salut Augustus
La chance n'existe pas...
C'est la conjonction de la volonté et de la circonstance ....
La volonté actuelle demeure haussière et c'est de circonstance.. pour la valeur .@+
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En attendant ceux qui sont entrés dans la hausse et qui laissent courir leur gain ont raison pour le moment.
le plus dur sera la décision de couper sa position à temps.
vivre l'instant présent !
Après ça coule de source qu'une baisse arrivera tôt ou tard et qu'elle pourra être aussi puissante que la force haussière.
clair qu'il y aura embouteillage près des portes de sorties de secours.
le plus dur sera la décision de couper sa position à temps.
vivre l'instant présent !
Après ça coule de source qu'une baisse arrivera tôt ou tard et qu'elle pourra être aussi puissante que la force haussière.
clair qu'il y aura embouteillage près des portes de sorties de secours.
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Oui, Augustus, je parles du bull trap ...
Imaginez bien que quand ça va partir dans l'autre sans... ça devrait se bousculer...
Imaginez bien que quand ça va partir dans l'autre sans... ça devrait se bousculer...
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Augustus
21/12/2016 13:21:54
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tu as raison l’espoir fait vivre 
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« Les marchés haussiers naissent dans le PESSIMISME, grandissent dans le SCEPTICISME, mûrissent dans l’OPTIMISME et meurent dans l’EUPHORIE. »
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Augustus
21/12/2016 13:05:49
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Tu parle du bull trap gars d'ain ??
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Tiens donc... C'est étonnant, non ?
Je note "Seul bémol, le biseau ascendant est une figure dont les cours sortent théoriquement par le bas dans plus de 75% des cas selon les études de Thomas Bulkowski en la matière", indique-t-il dans une note d'analyse. "Aussi, en cas de cassure de la figure par le bas, une correction pourrait tout à fait prendre le pas", ajoute-t-il."
Si vous avez investi sur l'âne mort, je vous conseillerais plutôt de chercher à comprendre avec intérêt les chiffres.
Rappelez-vous dernièrement, le cas "Vet affaires", c'est bien bien plus petit et ça n'ira pas jusque là, mais une partie de ceux qui ont joué ont tout simplement tout perdu...
Les chiffres parlent, il suffit de les écouter...
http://www.abcbourse.com/forums/msg555690_vallourec-finalise-son-plan-d-actionnariat-salarie
Mais bien-sûr chacun voit midi à sa porte....
Je note "Seul bémol, le biseau ascendant est une figure dont les cours sortent théoriquement par le bas dans plus de 75% des cas selon les études de Thomas Bulkowski en la matière", indique-t-il dans une note d'analyse. "Aussi, en cas de cassure de la figure par le bas, une correction pourrait tout à fait prendre le pas", ajoute-t-il."
Si vous avez investi sur l'âne mort, je vous conseillerais plutôt de chercher à comprendre avec intérêt les chiffres.
Rappelez-vous dernièrement, le cas "Vet affaires", c'est bien bien plus petit et ça n'ira pas jusque là, mais une partie de ceux qui ont joué ont tout simplement tout perdu...
Les chiffres parlent, il suffit de les écouter...
http://www.abcbourse.com/forums/msg555690_vallourec-finalise-son-plan-d-actionnariat-salarie
Mais bien-sûr chacun voit midi à sa porte....
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DJ ECHO BOURSE: Vallourec présente un potentiel de hausse jusqu'à 6,6 euros - CMC Markets
[21/12/2016
PARIS (Dow Jones)--L'action Vallourec (VK.FR) présente un potentiel de hausse jusqu'à 6,6 euros, estime Nicolas Chéron, stratégiste pour CMC Markets, en s'appuyant sur l'analyse graphique. "Seul bémol, le biseau ascendant est une figure dont les cours sortent théoriquement par le bas dans plus de 75% des cas selon les études de Thomas Bulkowski en la matière", indique-t-il dans une note d'analyse. "Aussi, en cas de cassure de la figure par le bas, une correction pourrait tout à fait prendre le pas", ajoute-t-il. En Bourse, l'action Vallourec gagne 1,6% à 6,36 euros. (ambroise.ecorcheville@wsj.com) ed : LBO
[21/12/2016
PARIS (Dow Jones)--L'action Vallourec (VK.FR) présente un potentiel de hausse jusqu'à 6,6 euros, estime Nicolas Chéron, stratégiste pour CMC Markets, en s'appuyant sur l'analyse graphique. "Seul bémol, le biseau ascendant est une figure dont les cours sortent théoriquement par le bas dans plus de 75% des cas selon les études de Thomas Bulkowski en la matière", indique-t-il dans une note d'analyse. "Aussi, en cas de cassure de la figure par le bas, une correction pourrait tout à fait prendre le pas", ajoute-t-il. En Bourse, l'action Vallourec gagne 1,6% à 6,36 euros. (ambroise.ecorcheville@wsj.com) ed : LBO
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À lire article sur Valourec Le Parisien .
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euh je vais voir ..
juste pour info VK est mon trade raté de 2016..
j'étais en observation dessus ainsi que Mau et Cgg courant Mars/Avril à titre spéculatif.
l'actualité du moment m'a fait peur :
Opa sur Mau et je savais qu'on aurait le regroupement fin juillet sur Cgg (vécu une mauvaise expérience de cette situation donc pas touche).
du coup, j'ai tout laissé tomber et je suis passé à autre chose .. tant pis !
me revoilà, alors d'après mon petit trend en place et ma façon de voir les choses..
et via les graphiques Bourso (je travail plus sur PRT pour le coté sérieux et plus de détails notamment via l'ichimoku)
j'émettrai un joli objectif de : 4.90/5.00€ là.
1) jsuis en haut de mon trend annuel avec une bougie toute pourrie (je look tjs en Hebdo)..
2) rsi et sto idem .. ca bute sur ma ROH annuelle et ce pour la 3ième fois (mode 3 sommets ou genre ETE peu importe)
3) le mom lui est plutot à jouer avec son SOH ==> pas top
4) macd c'est nickel .. haussier sans soucis
dans le cas où je sois pas dans le bon timing et donc que la grimpette continue..
je pense que je vais dire une évidence mais c'est ~7€.
par contre sur sortie haussière de ce niveau, ca risque de bien booster.
y a techniquement rien avant 11.50€.
mais bon tel quel, pour moi c'est pas à l'ordre du jour !
voilà voilou
y a rien à faire de mes dires, il a aucune importance particulière si ce n'est que pour moi.
juste je partage mon point de vue simplement.
juste pour info VK est mon trade raté de 2016..
j'étais en observation dessus ainsi que Mau et Cgg courant Mars/Avril à titre spéculatif.
l'actualité du moment m'a fait peur :
Opa sur Mau et je savais qu'on aurait le regroupement fin juillet sur Cgg (vécu une mauvaise expérience de cette situation donc pas touche).
du coup, j'ai tout laissé tomber et je suis passé à autre chose .. tant pis !
me revoilà, alors d'après mon petit trend en place et ma façon de voir les choses..
et via les graphiques Bourso (je travail plus sur PRT pour le coté sérieux et plus de détails notamment via l'ichimoku)
j'émettrai un joli objectif de : 4.90/5.00€ là.
1) jsuis en haut de mon trend annuel avec une bougie toute pourrie (je look tjs en Hebdo)..
2) rsi et sto idem .. ca bute sur ma ROH annuelle et ce pour la 3ième fois (mode 3 sommets ou genre ETE peu importe)
3) le mom lui est plutot à jouer avec son SOH ==> pas top
4) macd c'est nickel .. haussier sans soucis
dans le cas où je sois pas dans le bon timing et donc que la grimpette continue..
je pense que je vais dire une évidence mais c'est ~7€.
par contre sur sortie haussière de ce niveau, ca risque de bien booster.
y a techniquement rien avant 11.50€.
mais bon tel quel, pour moi c'est pas à l'ordre du jour !
voilà voilou
y a rien à faire de mes dires, il a aucune importance particulière si ce n'est que pour moi.
juste je partage mon point de vue simplement.
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Bonjour petit chat et bravo pour ton analyse .
Ton objectif pour Vk?
Ton objectif pour Vk?
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Ah bein si t'es triste de pas avoir de réaction..
je vais d'en fournir une !
(viable ou non .. i don't no !)
"Pour 2013, le bénéfice par action est de 0.58 euro par titre
Pour 2014, le déficit par action est de -2.04 euro par titre"
quoi de plus normal de constater cela quand tu sais que la société à procédé à moultes Ak ces dernières années.
tu peux voir les choses différemment aussi.
quand nous étions en plein effondrement des cours du pétrole, l'idée générale des zinzins était de miser sur une possible faillite de vallourec (idem pour cgg).
résultat : est-ce qu'en début 2016, Vallourec valait réellement 2€ ?
on peut en douter à aujourd'hui.
maintenant, le scénario est à l'opposé. on juge que début 2016 correspond au bas du cycle sur le Pétrole.
c'est merveilleux en plus les cartels Opep font pleins de jolis discours pour alimenter ce scénario.
ah ba oui, ils se sont rendu compte qu'avec un cours du pétrole trop bas .. leurs états étaient eux aussi déficitaires. flut !
bref, Vallourec ne fera plus faillite (à ce jour)...
donc faut refaire monter le cours sur un prix un peu plus raisonnable quoi.
et hop d'un trait on efface quasiment toute la dernière jambe baissière d'exagération.
c'est magique la bourse.
d'autant qu'il ne faut pas voir le cours de vallou simplement mais plutôt comme un tracker pétrole.
pour le moment, le troupeau est en position Call.
c'est la fête.
aujourd'hui, à partir du moment où le pétrole tourne sur zone 50$, ca redonne de la capacité aux réouvertures du puits de gaz de schiste.
que supertrump est pas vraiment dans l'ère "énergie renouvelable", c'est doublement une bonne nouvelle pour Vallourec.
et le coté bonus non négligeable :
youhou, les USA sont depuis peu autorisé à vendre leur pétrole de schiste à l'étranger.
aller zou, on va produire encore plus alors ==> y a de la demande.
encore un encouragement positif théorique ?
ah mais c'est qu'on nous dit ici et là, qu'il va falloir reprendre les investissements sinon on va frôler la pénurie d'ici peu.
qu'on découvre aussi de gigantesques champs aux Us .. chouette, ça va faire pleins de puits partout .... de vrais champignons.
bon, outre mon blablabla théorique, tant que les zinzins sont dans le courant optimiste.
le coté purement fondamental enfin comptable plutôt .. on le laisse de coté, il sert à rien.
par contre, le jour des publications, là ça va peut être déchanter sévère si jamais on est loin du compte.
enfin c'est à partir de ce moment qu'on commencera à se réajuster niveau prix / résultat.
pour le moment on est toujours en mode spéculation positive.
outre le coté pétrole, on peut voir aussi que nous avons effectué un retournement majeur sur toutes les matières premières.
vive la tendance "relance budgétaire".
et en général, ce type de changement (pour le coup cyclique) n'est pas comparable à une envie de pisser subite...
c'est plutôt un mouvement lourd.
En clair, même si Vallourec est affiché à 6€ ce jour...
pour quelqu'un qui ouvrirait une ligne à horizon lointain, ce prix n'est pas forcément une aberration dans le sens "trop chère".
ce qui ne veut pas dire non plus que c'est un bon point d'entrée, qu'on soit bien d'accord.
PS (juste comme ça au passage pour toi Gadin) :
si on prends l'exemple de AF et sa valorisation, crois-tu que purement comptable elle est à son juste prix ?
à tout casser cela représente le prix d'une 12zaines d'avions de sa flotte et qui plus est, elle va être capable de dégager une année bénéficiaire.
et pourtant les zinzins sont scotchés avec leur vad dessus.
je vais d'en fournir une !
(viable ou non .. i don't no !)
"Pour 2013, le bénéfice par action est de 0.58 euro par titre
Pour 2014, le déficit par action est de -2.04 euro par titre"
quoi de plus normal de constater cela quand tu sais que la société à procédé à moultes Ak ces dernières années.
tu peux voir les choses différemment aussi.
quand nous étions en plein effondrement des cours du pétrole, l'idée générale des zinzins était de miser sur une possible faillite de vallourec (idem pour cgg).
résultat : est-ce qu'en début 2016, Vallourec valait réellement 2€ ?
on peut en douter à aujourd'hui.
maintenant, le scénario est à l'opposé. on juge que début 2016 correspond au bas du cycle sur le Pétrole.
c'est merveilleux en plus les cartels Opep font pleins de jolis discours pour alimenter ce scénario.
ah ba oui, ils se sont rendu compte qu'avec un cours du pétrole trop bas .. leurs états étaient eux aussi déficitaires. flut !
bref, Vallourec ne fera plus faillite (à ce jour)...
donc faut refaire monter le cours sur un prix un peu plus raisonnable quoi.
et hop d'un trait on efface quasiment toute la dernière jambe baissière d'exagération.
c'est magique la bourse.
d'autant qu'il ne faut pas voir le cours de vallou simplement mais plutôt comme un tracker pétrole.
pour le moment, le troupeau est en position Call.
c'est la fête.
aujourd'hui, à partir du moment où le pétrole tourne sur zone 50$, ca redonne de la capacité aux réouvertures du puits de gaz de schiste.
que supertrump est pas vraiment dans l'ère "énergie renouvelable", c'est doublement une bonne nouvelle pour Vallourec.
et le coté bonus non négligeable :
youhou, les USA sont depuis peu autorisé à vendre leur pétrole de schiste à l'étranger.
aller zou, on va produire encore plus alors ==> y a de la demande.
encore un encouragement positif théorique ?
ah mais c'est qu'on nous dit ici et là, qu'il va falloir reprendre les investissements sinon on va frôler la pénurie d'ici peu.
qu'on découvre aussi de gigantesques champs aux Us .. chouette, ça va faire pleins de puits partout .... de vrais champignons.
bon, outre mon blablabla théorique, tant que les zinzins sont dans le courant optimiste.
le coté purement fondamental enfin comptable plutôt .. on le laisse de coté, il sert à rien.
par contre, le jour des publications, là ça va peut être déchanter sévère si jamais on est loin du compte.
enfin c'est à partir de ce moment qu'on commencera à se réajuster niveau prix / résultat.
pour le moment on est toujours en mode spéculation positive.
outre le coté pétrole, on peut voir aussi que nous avons effectué un retournement majeur sur toutes les matières premières.
vive la tendance "relance budgétaire".
et en général, ce type de changement (pour le coup cyclique) n'est pas comparable à une envie de pisser subite...
c'est plutôt un mouvement lourd.
En clair, même si Vallourec est affiché à 6€ ce jour...
pour quelqu'un qui ouvrirait une ligne à horizon lointain, ce prix n'est pas forcément une aberration dans le sens "trop chère".
ce qui ne veut pas dire non plus que c'est un bon point d'entrée, qu'on soit bien d'accord.
PS (juste comme ça au passage pour toi Gadin) :
si on prends l'exemple de AF et sa valorisation, crois-tu que purement comptable elle est à son juste prix ?
à tout casser cela représente le prix d'une 12zaines d'avions de sa flotte et qui plus est, elle va être capable de dégager une année bénéficiaire.
et pourtant les zinzins sont scotchés avec leur vad dessus.
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Les analystes de Sberbank, la plus grande banque de Russie, ont dévoilé leurs prévisions concernant le prix du pétrole, qui pourrait atteindre 138 dollars par baril à moyen terme.
En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/economie/201612161029199041-petrole-prix-baril-russie/
En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/economie/201612161029199041-petrole-prix-baril-russie/
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Ben, voyons !
...et pourquoi pas 20 euros tant qu'on y est.???
Je vous conseille vivement de lire le sujet suivant dans son intégralité, c'est rapide et clair...
http://www.abcbourse.com/forums/msg555690_vallourec-finalise-son-plan-d-actionnariat-salarie
Vallourec ne vaut pas plus que SEQUANA... Et Sequana a plus de chance de redevenir bénéficiaire à cours terme...
...et pourquoi pas 20 euros tant qu'on y est.???
Je vous conseille vivement de lire le sujet suivant dans son intégralité, c'est rapide et clair...
http://www.abcbourse.com/forums/msg555690_vallourec-finalise-son-plan-d-actionnariat-salarie
Vallourec ne vaut pas plus que SEQUANA... Et Sequana a plus de chance de redevenir bénéficiaire à cours terme...
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, la remontée des cours contribuera à un retour en force des producteurs de pétrole et gaz schiste américains et surtout canadiens, prédit le cabinet Lipow. Ces acteurs ont déjà trouvé le moyen d’être « rentables avec un baril à 50 dollars ou moins », souligne le dirigeant de cet organisme. Il oriente ainsi les investisseurs vers les nouveaux puits et réserves découvertes, notamment au Texas et surtout au Canada.
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Les pays producteurs de pétrole ont annoncé samedi à Vienne un nouvel accord de réduction de la production, associant au pacte de limitation récemment conclu entre les membres de l'Opep des pays extérieurs à l'organisation afin de consolider la remontée des prix. Onze pays producteurs non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) se sont engagés à diminuer leur production de 558.000 barils par jour (bpj), "un accord historique" annoncé par le président du cartel et ministre qatari de l'Energie, Mohamed Saleh Al-Sada, à l'issue d'une journée de réunion à Vienne.
La Russie sera le plus important de ces contributeurs. Elle avait déjà annoncé, il y a une semaine, qu'elle abaisserait son offre de 300.000 bpj. Les autres pays devant participer à l'effort seront le Mexique, le Kazakhstan, la Malaisie, Oman, l'Azerbaïdjan, Bahreïn, la Guinée équatoriale, le Soudan du Sud, le Soudan et Bruneï. L'accord sur 558.000 barils hors Opep, dont la répartition entre pays n'a pas été dévoilée, est un peu en retrait de l'objectif de 600.000 barils qu'avait annoncé l'Opep à l'issue de sa réunion du 30 novembre mais c'est la première fois en quinze ans qu'un engagement commun des deux camps est pris.
Dans un signe supplémentaire envoyé aux marchés, l'Arabie Saoudite, chef de file et poids-lourd du cartel, a annoncé qu'elle irait au-delà des promesses faites il y a une semaine (-486.000 bpj) : "Nous couperons substantiellement sous le seuil promis" de 10,06 millions bpj, a déclaré le ministre saoudien Khalid al-Falih. Après avoir inondé le marché d'"or noir" et provoqué une dégringolade spectaculaire des prix depuis 2014, les membres de l'Opep étaient parvenus le 30 novembre à s'entendre sur une baisse de leur propre production de 1,2 million de barils par jour, un accord déjà qualifié d'"historique". Les cours du pétrole ont ainsi repris des couleurs et dépassent les 50 dollars depuis l'accord du 30 novembre.
Comité de surveillance
Le cartel a précisé samedi qu'il allait tenter de convaincre d'autres producteurs extérieurs à l'Opep de contribuer à ce pacte de limitation qui sera valable "pour six mois" à partir du début de 2017, mais pourra être reconduit. Le ministre russe du pétrole, Alexandre Novak, a par ailleurs annoncé la mise en place d'un comité de surveillance de l'accord présidé par le Koweit et la Russie, impliquant trois pays de l'Opep ainsi que deux n'en faisant pas partie, un geste à l'attention des sceptiques qui prédisent des infractions aux quotas.
L'essentiel de l'accord du 30 novembre est porté par les plus gros producteurs du cartel : Arabie Saoudite, Irak, Emirats arabes unis, Koweït, tandis qu'Iran, Nigeria et Libye en ont été exemptés. Samedi, l'Opep a notamment arraché la collaboration du Kazakhstan (-20.000 selon Bloomberg) alors que ce pays vient de doper ses capacités avec la mise en exploitation de son nouveau gisement géant de Kashagan. Selon Bloomberg, le Mexique réduira sa production de 100.000 bpj, Oman de 40.000 et l'Azerbaïdjan de 35.000.
Ce nouveau cycle de discussions à Vienne a aussi été l'occasion pour Moscou de rassurer sur son engagement de réduction de l'extraction applicable à un niveau de production historiquement haut, de 11,2 millions de barils par jour cet automne, ce qui, selon les analystes, relativise la portée de l'effort proposé.
Et les Etats-Unis ?
Les autorités russes avaient assuré mercredi avoir le "soutien" des compagnies pétrolières privées, mais sans apporter de précisions sur ses modalités pratiques. Moscou, dont les finances ont été plombées par la chute des cours, a a priori tout intérêt à un rebond durable des cours, qui donnerait à Vladimir Poutine des marges de manoeuvre budgétaires non négligeables à un peu plus d'un an de la présidentielle.
Les analystes s'interrogent aussi sur la tentation pour les producteurs de "maquiller" des déclins naturels, liés à l'épuisement de certains gisements et déjà intégrés aux prévisions, afin de les faire passer pour des réductions volontaires.
Chef de file du cartel, l'Arabie Saoudite avait longtemps soutenu une politique de prix bas, espérant évincer les concurrents de l'Opep, notamment les producteurs de pétrole de schiste américains. Mais la chute des cours avait fini par affecter cette riche pétromonarchie, l'incitant à changer de stratégie. Les producteurs jouent une partie serrée pour trouver le "juste prix" : en annonçant une réduction marquée de leur offre, ils risquent d'ouvrir une brèche dans laquelle pourraient s'engouffrer les producteurs américains, déjà encouragés par les prises de position du futur président Donald Trump.
La Russie sera le plus important de ces contributeurs. Elle avait déjà annoncé, il y a une semaine, qu'elle abaisserait son offre de 300.000 bpj. Les autres pays devant participer à l'effort seront le Mexique, le Kazakhstan, la Malaisie, Oman, l'Azerbaïdjan, Bahreïn, la Guinée équatoriale, le Soudan du Sud, le Soudan et Bruneï. L'accord sur 558.000 barils hors Opep, dont la répartition entre pays n'a pas été dévoilée, est un peu en retrait de l'objectif de 600.000 barils qu'avait annoncé l'Opep à l'issue de sa réunion du 30 novembre mais c'est la première fois en quinze ans qu'un engagement commun des deux camps est pris.
Dans un signe supplémentaire envoyé aux marchés, l'Arabie Saoudite, chef de file et poids-lourd du cartel, a annoncé qu'elle irait au-delà des promesses faites il y a une semaine (-486.000 bpj) : "Nous couperons substantiellement sous le seuil promis" de 10,06 millions bpj, a déclaré le ministre saoudien Khalid al-Falih. Après avoir inondé le marché d'"or noir" et provoqué une dégringolade spectaculaire des prix depuis 2014, les membres de l'Opep étaient parvenus le 30 novembre à s'entendre sur une baisse de leur propre production de 1,2 million de barils par jour, un accord déjà qualifié d'"historique". Les cours du pétrole ont ainsi repris des couleurs et dépassent les 50 dollars depuis l'accord du 30 novembre.
Comité de surveillance
Le cartel a précisé samedi qu'il allait tenter de convaincre d'autres producteurs extérieurs à l'Opep de contribuer à ce pacte de limitation qui sera valable "pour six mois" à partir du début de 2017, mais pourra être reconduit. Le ministre russe du pétrole, Alexandre Novak, a par ailleurs annoncé la mise en place d'un comité de surveillance de l'accord présidé par le Koweit et la Russie, impliquant trois pays de l'Opep ainsi que deux n'en faisant pas partie, un geste à l'attention des sceptiques qui prédisent des infractions aux quotas.
L'essentiel de l'accord du 30 novembre est porté par les plus gros producteurs du cartel : Arabie Saoudite, Irak, Emirats arabes unis, Koweït, tandis qu'Iran, Nigeria et Libye en ont été exemptés. Samedi, l'Opep a notamment arraché la collaboration du Kazakhstan (-20.000 selon Bloomberg) alors que ce pays vient de doper ses capacités avec la mise en exploitation de son nouveau gisement géant de Kashagan. Selon Bloomberg, le Mexique réduira sa production de 100.000 bpj, Oman de 40.000 et l'Azerbaïdjan de 35.000.
Ce nouveau cycle de discussions à Vienne a aussi été l'occasion pour Moscou de rassurer sur son engagement de réduction de l'extraction applicable à un niveau de production historiquement haut, de 11,2 millions de barils par jour cet automne, ce qui, selon les analystes, relativise la portée de l'effort proposé.
Et les Etats-Unis ?
Les autorités russes avaient assuré mercredi avoir le "soutien" des compagnies pétrolières privées, mais sans apporter de précisions sur ses modalités pratiques. Moscou, dont les finances ont été plombées par la chute des cours, a a priori tout intérêt à un rebond durable des cours, qui donnerait à Vladimir Poutine des marges de manoeuvre budgétaires non négligeables à un peu plus d'un an de la présidentielle.
Les analystes s'interrogent aussi sur la tentation pour les producteurs de "maquiller" des déclins naturels, liés à l'épuisement de certains gisements et déjà intégrés aux prévisions, afin de les faire passer pour des réductions volontaires.
Chef de file du cartel, l'Arabie Saoudite avait longtemps soutenu une politique de prix bas, espérant évincer les concurrents de l'Opep, notamment les producteurs de pétrole de schiste américains. Mais la chute des cours avait fini par affecter cette riche pétromonarchie, l'incitant à changer de stratégie. Les producteurs jouent une partie serrée pour trouver le "juste prix" : en annonçant une réduction marquée de leur offre, ils risquent d'ouvrir une brèche dans laquelle pourraient s'engouffrer les producteurs américains, déjà encouragés par les prises de position du futur président Donald Trump.
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La Russie, le Mexique ou encore le Kazakhstan vont, en accord avec l’Opep, réduire leur production afin de faire remonter les prix. Mais la hausse devrait être limitée.
« Je suis heureux d’annoncer qu’un accord historique a été atteint », a déclaré hier à Vienne le président de l’Opep et ministre qatari de l’Énergie, Mohamed Saleh Al-Sada. Et un accord « historique » de plus ! Le premier était celui 30 novembre, qui avait vu les pays de l’Opep s’entendre pour réduire leur production. Celui d’hier associe à l’effort onze pays producteurs non-membres de l’organisation. Car tous partagent un même objectif : faire remonter les prix, en chute libre depuis deux ans, pour redresser des économies très dépendantes de l’or noir.
Pas de flambée de l’essence
Mais l’heure n’est pas à annoncer une flambée des prix de l’essence. D’abord parce que le prix du baril n’entre que pour un quart dans le coût de l’essence à la pompe. Ensuite parce que la hausse devrait rester limitée.
Les efforts de réduction de la production sont en effet modestes. Tandis que l’Opep (et en premier lieu l’Arabie saoudite) s’engage à réduire sa production de 1,2 million de barils par jour, ces onze autres pays (et d’abord la Russie) vont diminuer la leur de 558 000 barils. Le tout sur une production de 33,6 millions en octobre…
Depuis l’accord du 30 novembre, le prix avait repassé la barre des 50 dollars le baril, à 54 dollars vendredi soir. Certes loin des creux à moins de 40 dollars… mais aussi des pics à plus de 100 dollars. Et il faut encore s’assurer que cet accord, malgré la mise en place d’un « comité de surveillance », sera vraiment respecté. Car nombre de pays, pris financièrement à la gorge, seront tentés de privilégier leurs recettes à court sur leurs intérêts à long terme.
Mohamed Saleh Al-Sada a affirmé que le cartel allait essayer de convaincre d’autres producteurs extérieurs à l’organisation de se joindre à l’effort commun. On doute cependant qu’il convainque le principal, les États-Unis. Et cela d’autant moins qu’une remontée des prix rend à nouveau rentables des gisements de schiste américains dont l’exploitation avait été suspendue avec la chute des prix.
« Je suis heureux d’annoncer qu’un accord historique a été atteint », a déclaré hier à Vienne le président de l’Opep et ministre qatari de l’Énergie, Mohamed Saleh Al-Sada. Et un accord « historique » de plus ! Le premier était celui 30 novembre, qui avait vu les pays de l’Opep s’entendre pour réduire leur production. Celui d’hier associe à l’effort onze pays producteurs non-membres de l’organisation. Car tous partagent un même objectif : faire remonter les prix, en chute libre depuis deux ans, pour redresser des économies très dépendantes de l’or noir.
Pas de flambée de l’essence
Mais l’heure n’est pas à annoncer une flambée des prix de l’essence. D’abord parce que le prix du baril n’entre que pour un quart dans le coût de l’essence à la pompe. Ensuite parce que la hausse devrait rester limitée.
Les efforts de réduction de la production sont en effet modestes. Tandis que l’Opep (et en premier lieu l’Arabie saoudite) s’engage à réduire sa production de 1,2 million de barils par jour, ces onze autres pays (et d’abord la Russie) vont diminuer la leur de 558 000 barils. Le tout sur une production de 33,6 millions en octobre…
Depuis l’accord du 30 novembre, le prix avait repassé la barre des 50 dollars le baril, à 54 dollars vendredi soir. Certes loin des creux à moins de 40 dollars… mais aussi des pics à plus de 100 dollars. Et il faut encore s’assurer que cet accord, malgré la mise en place d’un « comité de surveillance », sera vraiment respecté. Car nombre de pays, pris financièrement à la gorge, seront tentés de privilégier leurs recettes à court sur leurs intérêts à long terme.
Mohamed Saleh Al-Sada a affirmé que le cartel allait essayer de convaincre d’autres producteurs extérieurs à l’organisation de se joindre à l’effort commun. On doute cependant qu’il convainque le principal, les États-Unis. Et cela d’autant moins qu’une remontée des prix rend à nouveau rentables des gisements de schiste américains dont l’exploitation avait été suspendue avec la chute des prix.
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DJ ECHO BONDS: L'Opep pourrait soutenir la dette des pétrolières, des incertitudes demeurent
[01/12/2016-02:00 ]
LONDRES (Dow Jones)--L'accord conclu par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) pour réduire sa production de 1,2 million de barils par jour pourrait soutenir les obligations des groupes de services parapétroliers et spécialisés dans l'amont pétrolier à moyen terme, selon Kepler Cheuvreux. La grande question est toutefois de savoir si cet accord perdurera après les six premiers mois. Le courtier maintient sa recommandation "acheter" pour les obligations du fabricant de tubes sans soudure pour l'industrie pétrolière Vallourec (VK.FR). L'accord de l'Opep pourrait toutefois ne pas avoir d'impact sensible sur le le groupe de services parapétroliers CGG (CGG.FR), qui risque une restructuration de sa dette et ne dispose pas de liquidités suffisantes pour couvrir les maturités de 2019, ajoute Kepler. L'action Vallourec gagne 0,2% à 5,33 euros et le titre CGG prend 4,6% à 14,25 euros.
-Tasos Vossos, Dow Jones Newswires (Version française Maylis Jouaret) ed: VLV
(END) Dow Jones Newswires
December 01, 2016 08:00 ET (13:00 GMT)
Copyright (c) 2016 Dow Jones & Company, Inc.
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[01/12/2016-02:00 ]
LONDRES (Dow Jones)--L'accord conclu par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) pour réduire sa production de 1,2 million de barils par jour pourrait soutenir les obligations des groupes de services parapétroliers et spécialisés dans l'amont pétrolier à moyen terme, selon Kepler Cheuvreux. La grande question est toutefois de savoir si cet accord perdurera après les six premiers mois. Le courtier maintient sa recommandation "acheter" pour les obligations du fabricant de tubes sans soudure pour l'industrie pétrolière Vallourec (VK.FR). L'accord de l'Opep pourrait toutefois ne pas avoir d'impact sensible sur le le groupe de services parapétroliers CGG (CGG.FR), qui risque une restructuration de sa dette et ne dispose pas de liquidités suffisantes pour couvrir les maturités de 2019, ajoute Kepler. L'action Vallourec gagne 0,2% à 5,33 euros et le titre CGG prend 4,6% à 14,25 euros.
-Tasos Vossos, Dow Jones Newswires (Version française Maylis Jouaret) ed: VLV
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Aucune inquiétude sur la valeur .😀
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