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L'informatique quantique ? C'est encore plus improbable que de la science fiction. Tu vas l'attendre encore longtemps.
C'est comme la fusion sur terre.
C'est comme les promesse d'envoyer des gens sur Mars.
Par contre c'est très efficace pour collecter du blé.
Internet j'étais un des premiers à l'utiliser en France, j'y ai tout de suite cru. L'IA c'est un moteur de recherche amélioré rien de plus. Pour le reste on attend toujours que l'IA trouve un vaccin contre le VIH ou le cancer.
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c'est désolant de lire de telles inepties msf..
internet il suffit de se souvenir que personne n y croyait
il suffit que tu ouvres les yeux
l'IA que toi tu te sers et qui sert au grand public c'est du low level
l'IA utilisé dans la technologie de pointe c'est quelque chose qui te dépasse.
et attend on a pas encore sauté sur le quantique.
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Il suffit d'aller sur la page wikipedia de la bulle internet. Tout est bien expliqué.
Quand on voit les hallucinations de l'IA, aux Etats Unis des étudiants ont été arretés et menottés parce que l'IA avait confondu un paquet de chips avec un flingue. La supercherie ne va pas durer.
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Et mieux encore !
Ça va dans le sens de ce que je dis… C'est trop tard pour investir dans l'IA actuellement, c'est bien trop payé et ça devrait pas durer…
L'investisseur qui avait prédit la crise des subprimes parie 1,1 milliard de dollars contre l'IA
Actualité publiée le 07/11/25 17:46
(ABC Bourse) - L’homme qui avait prévu la crise des subprimes refait parler de lui. Michael Burry vient de miser 1,1 milliard de dollars sur la chute de deux géants de l’intelligence artificielle, persuadé que la bulle est sur le point d’éclater.
Depuis son coup de maître en 2007, chaque geste de Michael Burry est scruté par Wall Street. L’investisseur américain, immortalisé par le film « The Big Short », a cette fois misé plus d’un milliard de dollars contre deux symboles de la révolution technologique actuelle : Nvidia et Palantir.
Selon les documents réglementaires publiés lundi, son fonds Scion Asset Management a acquis des « put options », ces contrats qui rapportent lorsque la valeur d’une entreprise chute. En clair, Burry parie que les deux mastodontes de l’intelligence artificielle sont surévalués, comme l’étaient les titres immobiliers avant la crise des subprimes.
Un pari risqué face à deux géants en pleine ascension
Le pari intrigue, voire déroute. Fin octobre, Nvidia est devenue la première société à dépasser les 5 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, tandis que Palantir annonçait une hausse de 63 % de son chiffre d’affaires sur un an. Pourtant, Burry a misé 187,6 millions de dollars sur la chute de Nvidia et 912 millions sur celle de Palantir.
Sur le réseau X, il a posté un message énigmatique accompagné d’une photo de son personnage incarné par Christian Bale dans le film à succès. "Parfois, on observe des bulles. Parfois, il est possible d’agir. Parfois, la seule stratégie gagnante est de ne pas jouer", a-t-il écrit lundi, avant de publier plusieurs graphiques soulignant son pessimisme sur le marché de l’IA.
Lire aussi : Goldman Sachs et Morgan Stanley redoutent une correction brutale des marchés ( au dessous !)
Du côté des entreprises visées, la réaction ne s’est pas fait attendre. Le patron de Palantir, Alex Karp, a répondu sur CNBC : "Les deux entreprises qu’il vend à découvert sont celles qui gagnent le plus d’argent, ce qui est vraiment étrange". Il a même qualifié de "complètement fous" ceux qui parient contre sa société.
Les premiers signes d’une "fatigue de l’IA" sur les marchés
Le pari de Michael Burry intervient alors que certains investisseurs commencent à douter de la solidité de l’euphorie liée à l’intelligence artificielle. Mardi, le Nasdaq a chuté de 1,5 % à l’ouverture, et le S&P 500 a perdu près de 1 %. Pour John Plassard, responsable de la stratégie d’investissement chez Cité Gestion Private Bank, un début de "fatigue de l’IA" s’installe chez les investisseurs malgré la multiplication des mégadeals dans le secteur, comme le contrat de 38 milliards de dollars signé entre OpenAI et Amazon.
Ipek Ozkardeskaya, analyste senior chez Swissquote, nuance : ces alliances offrent certes "un moment de gloire" aux géants du secteur, mais "certains sceptiques continuent à froncer les sourcils, préoccupés par la circularité de ces accords".
D’autres voix vont plus loin. Daniel Bustamante, fondateur de Bustamante Capital Management, estime que "tous les ingrédients sont réunis pour déclencher une crise majeure : il suffit d’une étincelle pour que la situation dégénère".
Enfin, dans une note relayée par Fortune, la Deutsche Bank constate un "nombre croissant d’observateurs (qui) se demandent si nous ne sommes pas au bord d’une correction boursière". Un avertissement qui résonne étrangement avec la vision sombre de Michael Burry.
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oui c vrai, quand on voit des per à 70 un peu partout aux us et le record jamais vu des faillites de pme en FRance on peut se poser des questions, le tout avec un dette dingue, je crois que warren buffet l'oracle de 90 ans est liquide depuis cet été !!!
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Goldman Sachs et Morgan Stanley, 2 prêteurs bien connus de titres pour la VAD…
Comme on stagne en ce moment et qu'il faut bien que ces 2 grasses banques américaines (Goldman Sachs et Morgan Stanley) continuent d'approvisionner rapidement le comptable en bénéfices juteux, quoi de plus normal que d'agiter le système d'alarme d'un krack "bousier" latent alors que l'on est bien connu par ailleurs pour prêter des titres à la VAD…
Bref, Il est vrai que certains secteurs comme l'IA, et tout ce qui y est lié sont parfaitement survalorisés et qu'il faudra s'attendre comme pour l'immobilier en France à une prochaine grosse fessée de correction.
Mais par contre, il y a pleins de secteurs économiques sous-valorisés actuellement qui n'attendent que les signaux d'une rotation sectorielle.
Dans l'article ici, on vous dit en sous-jacent, qu'il faut avoir peur de ce qui vient et donc basculer par mal d'argent sur la VAD en les contactant pour un prêt de titre…
Suffit aussi de regarder un peu les indices pour voir que ce qui peut se casser la gueule actuellement, ce sont le NASDAQ et le Nikkeï, c'est donc pas chez nous que c'est survalorisé.
Bref, on va pas laisser impressionner pour si peu surtout si comme moi, vous misez sur des rotations prochaines des actifs et que vous n'avez pas d'IA en portefeuille ou des boites à la con qui font jamais de bénéfices.
Les 2 boites que j'ai qui en rapprochent le plus de l'IA sont Téléperformance ( Acheté durant la chûte…) et Schneider qui ne craint rien du tout… Et au pire, si ça baisse, je rachèterai les quelques unes vendues vers 217€.
Voilà, on sait bien que c'était Halloween, mais faut pas pousser Mémé Flouze dans les orties non plus.
Pitoyable et affligeant
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(ABC Bourse) - Alors que les marchés boursiers flirtent avec des sommets, plusieurs géants de Wall Street tirent la sonnette d’alarme. Pour certains dirigeants, une correction est non seulement possible, mais souhaitable.

Une euphorie en bourse qui rappelle de mauvais souvenirs. Alors que le S&P 500 accumule les records, les voix les plus écoutées de la finance américaine commencent à prendre leurs distances. Lors du sommet des leaders financiers mondiaux à Hong Kong, Ted Pick, nouveau directeur général de Morgan Stanley, a affirmé : "Nous devrions nous réjouir de la possibilité qu'il y ait des baisses de 10% à 15% qui ne seront pas dues à un effet macroéconomique catastrophique". Une manière de rappeler que les marchés ont peut-être trop ignoré les signaux d’alerte.
Ce constat est partagé par David Solomon, PDG de Goldman Sachs, qui a insisté sur l’imprévisibilité des déclencheurs de crise : "Ces cycles peuvent durer un certain temps. Mais il y a des choses qui vont changer le sentiment et créer des baisses, ou changer la perspective de la trajectoire de croissance, et aucun d'entre nous n'est assez intelligent pour les voir jusqu'à ce qu'elles se produisent". Une déclaration faite alors que le VIX - l’indice de volatilité surnommé "la jauge de la peur" - reste à des niveaux élevés.
La prudence de ces dirigeants s’explique aussi par le poids croissant des valeurs technologiques, dont les valorisations sont jugées tendues. "Les multiples de valorisation de la technologie sont tendus", a reconnu David Solomon, tout en précisant que cela ne s’appliquait pas à l’ensemble du marché.
L’enthousiasme autour de l’intelligence artificielle générative alimente les comparaisons avec la bulle Internet des années 2000. Le gestionnaire de fonds Michael Burry s’en est même inquiété sur X en déclarant : "Parfois, nous voyons des bulles". Des propos d’autant plus frappants que les géants du numérique multiplient les annonces. OpenAI vient de signer un contrat massif de 38 milliards de dollars avec Amazon pour ses services cloud. De son côté, Citigroup estime désormais que les investissements liés à l’IA pourraient dépasser 2.800 milliards de dollars d’ici à 2029.
Les signaux d’alerte ne datent pas d’hier. En octobre déjà, Jamie Dimon, patron de J.P. Morgan, avait exprimé son inquiétude croissante sur l’avenir du marché américain : "Je suis bien plus inquiet que d'autres à ce sujet". Il évoquait alors "beaucoup de choses" qui créaient une atmosphère d'incertitude, allant des tensions géopolitiques aux dépenses budgétaires en passant par la remilitarisation globale.
Même son de cloche chez Bridgewater Associates, où les dirigeants estiment que les investisseurs négligent les risques croissants. Malgré un contexte de taux d’intérêt élevés, d’inflation persistante et de shutdown prolongé du gouvernement américain, les marchés ont jusqu’ici tenu bon. Reste à savoir jusqu’à quand.
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Forum de discussion Wall Street 30
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