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parce qu'ils adorent dire que le mal vient des citoyens, eux ne représentent qu'une miette....
c'est vraiment dommage qu'aucun cabinet d'audit des employés à la retraite ou avec des c ne publient pas ce qu'ils ont vu en terme de coût?
et mon rêve secret serait qu'un organisme puissant met carrément tous ces louftingues sous surveillances et leur enlèves définitivement tout privilège écoeurant....
et les salaries aux résultats: "tu fais de la dette tu n'as pas ce salaire et on t'enlève tel avantage
tu fais un bon résultat on t'accorde tant."
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rayray
« « comence t-on de parler de debut ..//..cette histoire de niche aurait du sortit il y a 9 mois avec la liste precise et l'économie realisée mais annoncer une intention de faire un an apres c'est une insulte » »
C’est pas faux.
Mais il faut bien balancer des nuages de fumée, quelques miettes, (les niches, les jours férié, la question « est t’il urgent d’agir ? » , une étude sur les privilèges indus, etc…) pour cacher l’essentiel, pour amuser le petit Peuple.
C à D qu’on ne touche à rien au train de vie de l’état, encore moins de l’élysée, on ne touche pas au millefeuille administratif, on ne coupe pas dans le nombre de parlementaires , ni sur leur paye et retraites, (on touche à la retraite mais pas à la leur), on ne touche pas aux privilèges accordés aux « ex », on ne revient pas aux seuls ministères régaliens, on ne touche pas au Nb de fonctionnaires et à ce magnifique statut qui demande une sérieuse remise à plat…Son semblant de budget ne fait aucune économie . juste des ponctions sur le dos des travailleurs , des entreprises, sur les faiseurs de richesse.
A noter que cette girouette ne donne aucun chiffre précis, ferme et définitif : juste de vagues propositions, à débattre, qu’il dit ? La porte ouverte, …avec le seau plein d’eau en équilibre au-dessus.
Le petit Peuple a de quoi s’amuser, de quoi s’affronter, dans des forums interminables, sur des broutilles, et au final, macron imposera sa loi par un 49.3 et déclenchera l’article 16.
Bayrou, il s’en fout comme de sa première couche culotte : à 75 ans passé, son avenir doré est plus qu’assuré. Et c’est sûrement pas lui qui mettra 100 balles dans la cagnotte pour participer à l’effort « presque collectif » demandé.
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L'UE nous enfonce aussi.
Dejà qu'on donne 10 milliards d'euros par an depuis des années alors qu'on en a plus les moyens, le plan Renew Europe a attribué 200 milliards à l'Italie, 150 à l'Espagne.
Comme par hasard ces 2 pays se portent beaucoup mieux économiquement depuis qu'ont leur a alloué ces montants faramineux.
Voici les montants alloués par pays (il faut prendre en compte le nombre d'habitants aussi)
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@manuborelli
non je n'ai jamais vu un riche se mettre des batons dans les roues
je les ai vus supprimer l'ISF avec la promesse que cela allait sauver l'économie française.
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pourquoi ne parle t on pas de cet avantage fiscal consnti aux stes holding
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Amélie de Montchalin: son père n’est pas jean Valjean, donc ce n’est pas cosette.
il y a un moment faut se réveiller.
Vous avez déjà vu un riche se mettre des bâtons dans les roues?
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On peut avoir la traduction ?
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réformer? Non ! Reconstruire à zéro, on ne fait pas du neuf avec du vieux qui ne marche pas!
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À douze jours d’un vote de confiance crucial, Amélie de Montchalin avance une mesure choc : supprimer 50 niches fiscales jugées inefficaces. Une promesse d’économies, mais aussi un pari risqué dans un contexte budgétaire explosif.
Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics
Le chiffre claque comme un coup de rabot : 50. C’est le nombre de niches fiscales que la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, propose de supprimer dans le prochain budget. Une annonce faite mercredi 27 août sur BFMTV, alors que le gouvernement cherche à gratter 44 milliards d’euros d’économies pour boucler le projet de loi de finances 2026.
"C’est une proposition qu’on va faire aux parlementaires, de supprimer 50 niches fiscales évaluées comme obsolètes ou inefficaces", a-t-elle affirmé, sans en dévoiler la liste. Objectif : rationaliser un système devenu tentaculaire. En France, 474 niches fiscales existent encore, dont 65 sont déjà en extinction. Leur coût pour les finances publiques est colossal : 85,1 milliards d’euros par an.
Si la suppression de certains dispositifs semble justifiée, comme ceux qui ne bénéficient qu’à quelques dizaines de contribuables, d'autres soulèvent des inquiétudes. La ministre a toutefois assuré qu’elle ne toucherait pas aux mesures jugées efficaces. "J’ai toujours dit en ce qui concerne les gardes d’enfant, les personnes âgées à domicile, les personnes handicapées, je ne souhaite pas que nous touchions à ce qui fonctionne", a-t-elle rappelé.
Les suppressions viseraient donc principalement des dispositifs peu utilisés ou aux effets économiques jugés marginaux. Parmi les 69 niches fiscales identifiées comme profitant à moins de 100 contribuables, certaines sont particulièrement anecdotiques. C’est le cas de la déduction exceptionnelle pour les simulateurs d’apprentissage à la conduite (26 entreprises), ou de l’exonération de CVAE pour les commerces en zone rurale (12 bénéficiaires). Plus surprenant encore : 36 niches n’ont eu aucun bénéficiaire en 2022, comme l’exonération de droits de mutation pour les dons d’œuvres d’art ou la TVA réduite pour l’équitation, créée en 2024.
Mais ces dispositifs, même s’ils peuvent paraître absurdes, ne représentent qu’une infime partie de l’enjeu budgétaire. La Cour des comptes notait en 2023 que 149 niches n’avaient quasiment aucun impact sur les finances publiques. À l’inverse, 15 mesures concentrent à elles seules plus de 50 % du coût global. Le crédit d’impôt recherche (7,7 milliards d’euros) et celui pour l’emploi à domicile (6,8 milliards) sont les plus massifs.
La proposition intervient dans un contexte politique ultra-sensible. Le gouvernement est en sursis à moins de deux semaines d’un vote de confiance décisif pour François Bayrou, et tente de construire des compromis budgétaires avec l’opposition.
Lire aussi : François Bayrou engage sa survie politique avec un vote de confiance le 8 septembre
Amélie de Montchalin défend une approche fondée sur le dialogue. "L’équité fiscale c’est que chacun contribue à la hauteur de ses moyens", martèle-t-elle, en écho aux propos de François Bayrou, qui cible ouvertement les avantages fiscaux des plus aisés. "Les niches fiscales qui profitent d’abord aux ménages aisés et aux grandes entreprises seront supprimées à chaque fois qu’elles seront constatées comme injustes et inutiles", a-t-il déclaré.
Dans cette logique, certaines pistes font déjà l’objet d’un consensus : taxation des petits colis, renforcement de la lutte contre la fraude, ou encore accords ponctuels avec des partis d’opposition.
Mais entre volonté de simplification et réalité politique, le rabot fiscal risque de rencontrer quelques résistances.
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