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En Août , se concentrer sur:
- les valeurs à fort potentiel de développement peu ou pas impactées par les "tariffs".
- les taux d'intérêts et notamment le spread du 10 ans OAT /Bund
- les devises et notamment US$/€
- les news en provenance d'Asie, de Chine et du Japon en particulier....
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C'est en effet une bonne façon de voir les opportunités d'achat qui vont se présenter surtout si la baisse s'accentue davantage.
Aujourd'hui je note par exemple que Saint-Gobain qui est loin d'avoir démérité mais qui a fait une publication sans surprise a dévissé de plus de 9% sans doute à cause de prises de bénéfices après une hausse importante du titre. Mais je le vois bien dans les valeurs qui ne craignent pas pour leur futur malgré tous les risques actuels.
Même chose avec on le voit à travers son +3,60% de hausse pour Orange qui va au contraire pouvoir profiter pleinement de la fin des travaux accomplis pour la fibre et pour la 5G et des difficultés de SFR.
Le mois d'Août est propice à des mouvements brutaux et avec Trump on risque cette année d'être bien servi !!!
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Les situations éco générale et géopolitiques étant fortement instables, nombre de gérants prennent leurs précautions et préfèrent avant leurs vacances, réaliser une partie de leurs marges au cas où les marchés changeraient brutalement de direction.
De toutes les façons, c'est le boss qui donnera le la.
En Août , se concentrer sur:
- les valeurs à fort potentiel de développement peu ou pas impactées par les "tariffs".
- les taux d'intérêts et notamment le spread du 10 ans OAT /Bund
- les devises et notamment US$/€
- les news en provenance d'Asie, de Chine et du Japon en particulier....
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Et plus simplement parlez de "droits de douane". Cela date de l'époque où il y avait une douane pour aller de France en Belqique .
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Vous oubliez l'hindi , le bengali et ...le ch'ti !!! Sans fotes d'ortograf . Merki.
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les départs de vacances sont à l'oeuvre...
y a trop de monde dans le tunnel de la sortie
ça bouchonne !!!!
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Toutes les langues évoluent....dans 2000 ans ne resteront probablement que le chinois, l'espagnol ou l'anglais, et l'arabe.
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Le Gaulois réfractaire oublie que la Gaule d'antan était faite de différentes tribus qui ont été rassemblées par un chef de guerre.
Mais la Gaule n'a jamais été un pays, mais de différentes communautés.
Et pour aller encore plus dans ton propos de franglais, sache que les Francs ont détruit les communautés gauloises pour en faire un peuple unique en leur enlevant leur culture, leur langue et tradition ! Ils n'étaient pas chrétiens mais polythéistes.
D'ailleurs Corse, Basque, Savoyard, Breton, Languedocien, Nissard etc.. se souviennent très bien comment leurs communautés furent massacrées !
La France ce n'est pas si vieux et pourtant l'histoire de France et son passé est si vite oubliés.. par une pseudo frange nationaliste.
(j'aime mon pays et son histoire qui commence avant les Francs)
PS la langue de Molière n'a aucun commun avec notre langue du XX.
Rien de personnel mais c'est bien de le rappeler.
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Ici, nous sommes encore en France, (pour l’instant) et « tarifs » s’écrit avec un seul F.
Il a été décidé de longue date que la langue officielle de l’E.U. - succursale des U.S. - sera l’anglais (*) , bien que l’Angleterre ne soit plus dans l’E.U., mais pour l’instant, la langue officielle de la France est le Français (avec majuscule) .
(*) A remarquer que, à chaque jour, son mot nouveau en franglais. L’apprentissage - le bourrage de crânes - en route. Cela fait partie de notre dé-culturation.
Message complété le 01/08/2025 13:43:11 par son auteur.
Prière de ne pas trahir la France et la langue de Molière.
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(Zonebourse.com) - La Bourse de Paris cède près de 1,6 % ce matin, autour des 7 645 pts, plombée par Teleperformance (-15,8 %), Axa (-5,8 %) ou encore Accor (-4 %).
Les investisseurs continuent de digérer une semaine chargée, marquée par l'accord commercial entre les États-Unis et l'Union européenne, les annonces de la Fed et de nombreux résultats d'entreprises.
L'attention des marchés se tournera en début d'après-midi vers les derniers chiffres de l'emploi américain, qui pourraient s'avérer déterminants dans l'évolution de la politique monétaire de la Réserve Fédérale.
Alors que Jerome Powell, le président de l'institution, a clairement conditionné ce mercredi de futures baisses de taux à un affaiblissement du marché du travail, les investisseurs se mettent à espérer des chiffres moins bons que prévu, mais une certaine prudence reste de mise compte tenu de la vigueur des précédentes livraisons.
Les économistes attendent en moyenne 105 000 créations de postes en juillet, ce qui marquerait un net ralentissement après les 147 000 postes créés en juin, avec un taux de chômage anticipé en hausse de 0,1 point à 4,2 %.
En attendant, l'indice PMI HCOB pour l'industrie manufacturière de la zone euro, produit par S&P Global, a atteint un sommet de trois ans, passant de 49,5 en juin à 49,8 en juillet, tout proche des 50, et a signalé une quasi-stabilisation de la conjoncture du secteur.
Si la production a continué d'augmenter, sa croissance a affiché son plus faible niveau depuis mars dernier, tandis que le volume global des nouvelles commandes est reparti à la baisse, sous l'effet notamment d'une diminution de celles à l'export.
En France, à 48,2 en juillet (après 48,1 en juin), l'indice PMI HCOB pour l'industrie manufacturière, produit par S&P Global, s'est maintenu sous la barre des 50 en juillet, continuant ainsi de signaler une détérioration modérée de la conjoncture du secteur.
Cette quasi-stagnation de l'indice PMI masque toutefois l'orientation préoccupante de certains sous-indices de l'enquête, en particulier celui des nouvelles commandes, dont la contraction accentuée entraîne un nouveau recul de la production.
Les marchés étaient aussi suspendus à l'expiration de la date butoir du 1er août que Donald Trump avait établie pour la mise en oeuvre de ses surtaxes douanières.
Le président américain a dévoilé hier soir une nouvelle salve de droits de douane massifs visant des dizaines de pays, dont le Canada, le Brésil, l'Inde, la Suisse et Taïwan.
La frénésie de résultats de sociétés des derniers jours n'est pas encore appelée à s'arrêter puisque des groupes européens de la trempe d'AXA, Daimler Truck, Engie ou Linde doivent publier leurs comptes aujourd'hui.
Aux États-Unis, ce sont les performances trimestrielles des poids lourds pétroliers Chevron et ExxonMobil qui tomberont à la mi-journée.
Hier soir, Apple a rassuré le marché avec des résultats bien meilleurs que prévu, dus notamment au retour de la croissance des ventes d'iPhone en Chine.
Mais le sentiment a été alourdi par la publication d'Amazon, la croissance de la branche 'cloud' du géant de l'Internet ayant déçu au deuxième trimestre, tout comme ses prévisions communiquées au titre du trimestre en cours.
Sur le compartiment obligataire, les US T-Bonds à 10 ans évoluent à 4,38 % (+2 pts), le Bund de même échéance est à 2,71 % (+2 pts), l'OAT est à 3,38 % (+3 pts).
À Londres, le baril de brent recule de 1,4 %, à 71,5 $. L'euro est stable face au billet vert, à 1,141 $.
Dans l'actualité des sociétés tricolores, au premier semestre 2025, Saint-Gobain affiche un résultat net part du Groupe en léger recul de 1,9 % à 1 629 MEUR, dans un contexte marqué par un environnement géopolitique incertain et des effets de change défavorables. Le bénéfice net courant reste quasiment stable à 1 797 MEUR (-1,3 %), tout comme le BNPA courant, maintenu à un niveau record de 3,63 EUR.
Teleperformance enregistre un recul de 14,4 % de son résultat net part du groupe au premier semestre 2025, à 249 MEUR. Le résultat dilué par action s'établit à 4,19 EUR, contre 4,83 EUR un an plus tôt. Le cash-flow net disponible ressort en net repli à 259 MEUR, contre 448 MEUR au S1 2024, en raison d'une hausse de la fiscalité et d'investissements accrus, notamment dans l'IA.
Renault Group annonce 'franchir une nouvelle étape clé dans son développement à l'international', grâce à l'acquisition de la participation de 51 % dans l'usine de Chennai (RNAIPL), jusqu'ici détenue par son partenaire japonais Nissan.
Depuis son démarrage en 2010, l'usine de Chennai a produit plus de 2,8 millions de véhicules - dont 1,2 million exportés vers plus de 100 pays - ainsi que 4,6 millions de moteurs et boîtes de vitesses.
Legrand annonce la signature d'un contrat pour acquérir Cogelec Développement, qui détient indirectement 5 347 065 actions Cogelec (soit au total 60,09 % du capital et 78,39 % des droits de vote), sur la base d'un prix unitaire de 29 euros (coupon 2024 détaché).
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