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Ca va être l'occasion de voir si l' UE est capable de tenir tête ou non .
On a des doutes.
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Trump ne ruinera pas la France , Macron l'a déjà fait
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Merci de cette précision...
Votre post laissait supposer que ce n'était qu'à cette occasion qu'ils jouaient double jeu.
J'estime que c'est tout le temps, dans toutes les occasions, et ce particulièrement pour l'Allemagne.
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C'est ça qui s'appelle jouer un double jeu.
Jouer tantôt pour son propre pays, tantôt pour l'EU en fonction des ses propres intérêts et non pas des intérêts de l'EU.
C'est ce qu'on fait l'Italie et l'Allemagne.
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"Des pays comme l'Allemagne ou l'Italie ont joué un double jeu...."
Je ne peux pas être d'accord avec cette vision des choses;
Nous avons un président qui, c'est vrai, joue le jeu d'une UE supranationale; Mais l'ensemble des autres pays dont les précités, jouent avant tout leur propre jeu et ne jouent UE que lorsque cela va dans le sens de leurs Intérêts.
Je ne doute pas qu'ils trouveront séparément des accords bilatéraux avec l'Administration Trump.
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D'accord avec vous, Van der Leyen est un "perdreau de l'année" face aux requins internationaux. (d'autant plus qu'elle n'est pas soutenue d'une seule voix).
Mais Trump s'arrêtera parce que les américains trinqueront aussi et sa cote va baisser.
Et comme il ne fonctionne qu'à l'argent et à l'image....
Maintenant, il serait bon aussi qu'un démocrate fasse surface pour succéder à papy Biden et que les démocrates fassent leur mea culpa parce qu'il n'y a pas que du bon dans leur présidence.
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Toute cette situation démontre bien la faiblesse de cette soit disant Union Européenne. Madame Von der Leyen n'est aucunement à la hauteur et ce ne sont pas les sempiternels blablablas de notre Président qui y changeront quelque chose.
Trump, en excellent businessman, est là pour son pays et il n'a aucune raison de s'arrêter.
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Et des pénuries de pâtes, de sucre et de farine.
Il y aura des émeutes devant les magasins.
C'est la fin du monde.
"Sous le choc", n'exagérons rien.
Ca fait 8 mois maintenant que Trump dit qu'il va augmenter les droits de douane. On ne peut plus être surpris.
Et il a commencé par 100%.
Il suffit qu'on fasse la même chose avec les produits en provenance des USA (et le numérique en particulier) et dans 6 mois, il reviendra à la raison parce que l'économie américaine va en souffrir autant que la nôtre.
Des pays comme l'Allemagne ou l'Italie ont joué un double jeu et ça leur retombe sur le coin de la figure.
L'union aurait mieux payé que la division
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il risque dy avoir des coupures de courant
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Comment vont réagir les marchés Européens ?
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Donald Trump a frappé un coup dur sur l'économie européenne en annonçant l'imposition de droits de douane de 30 % sur les importations européennes vers les États-Unis, une mesure qui prendra effet dès le 1er août. Cette décision intervient malgré des négociations en cours entre Washington et Bruxelles, et marque une intensification des tensions commerciales transatlantiques.
Ce geste du président américain est justifié par sa volonté de réduire le déséquilibre commercial que les États-Unis subissent, selon lui, face à l'Union européenne. Le déficit, qu'il estime à 157 milliards d'euros pour les biens et 48 milliards pour les services, est au cœur de ses préoccupations. Avant l'arrivée de Trump au pouvoir, les importations européennes étaient taxées à seulement 2,5 %. Les secteurs déjà soumis à des taxes élevées, tels que l'automobile, l'acier et l'aluminium, verront leurs tarifs respectifs de 25 % et 50 % augmenter également.
Donald Trump a averti que toute mesure de rétorsion de la part de l'UE entraînerait de nouvelles hausses tarifaires. Dans une lettre adressée à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Trump a ironiquement qualifié cette décision de "grand honneur", soutenant qu'elle démontre la robustesse des relations commerciales transatlantiques. Toutefois, il s'agit avant tout de protéger l'industrie et l'emploi américains, selon ses déclarations.
La réaction européenne n'a pas tardé. Ursula von der Leyen a dénoncé ces droits de douane, soulignant les perturbations qu'ils causeraient aux chaînes d'approvisionnement transatlantiques, nuisant aux entreprises, consommateurs et patients de part et d'autre de l'Atlantique. Elle a affirmé que l'UE est prête à continuer les négociations pour parvenir à un accord avant le 1er août, tout en se préparant à adopter des contre-mesures si nécessaire.
Du côté français, le président Emmanuel Macron a exprimé sa "très vive désapprobation", incitant l'UE à défendre fermement ses intérêts, y compris en préparant des contre-mesures crédibles. En Allemagne, la ministre de l'Économie, Katherina Reiche, a appelé à une négociation pragmatique, tandis que la Fédération allemande de l'industrie a mis en garde contre l'impact négatif d'un conflit commercial sur la reprise économique et la coopération internationale.
Parallèlement, le Mexique est également visé par cette augmentation tarifaire, avec une taxe similaire de 30 %. Donald Trump a justifié cette mesure par le manque d'efficacité de Mexico dans la lutte contre le trafic de drogue. Les autorités mexicaines ont qualifié cette décision de "traitement injuste" lors de négociations récentes.
Cette offensive commerciale s'inscrit dans une stratégie plus large de l'administration Trump, qui a déjà augmenté les tarifs sur plusieurs autres partenaires commerciaux, dont le Japon, la Corée du Sud et le Brésil. En augmentant les exigences de "Made in America" et en imposant des taxes punitives sur certains composants électroniques, Trump continue de capitaliser sur un discours protectionniste qui a contribué à son élection.
Face à cette escalade, l'UE reste sur la défensive, cherchant à éviter un conflit commercial qui pourrait avoir des répercussions économiques significatives. Toutefois, l'absence de dialogue concret entre Bruxelles et Washington ne laisse entrevoir que peu de solutions à court terme.
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