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Si les propriétaires arrêtaient de vendre leurs jardins constructibles contre un chèque de 30 000 ou 40 000 € ils seraient moins pauvres.
Dans ma ville je suis l'un des derniers à ne pas avoir vendu.
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Le jour où les pauvres arrêteront de faire des gosses, là on commencera à rigoler , mais les "pauvres" ils ne comprennent rien.
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Donc en résumé:
L' "Europe" , en fait l'UE complètement différend, devait amener à des richesses
Les impôts en France devaient amener à de la justice sociale
La dette était soit disant un "investissement" et donc nous devrions en toucher des résultats.
Les migrants étaient soit disant une excellente nouvelle apportant diversité et postes de travail comblés
Le logement, en gros la France n'a en gros que des passoires thermiques
Les grèves étaient perçues comme nécessaire pour faire avancer les entreprises.
Les patrons sont toujours perçus comme des salauds
Les élections, en gros l'absentéisme est perçu comme un mal, alors que les gens ont compris que cela ne servait plus à rien.
L'arme nucléaire était perçu comme une dissuasion, en fait nous pouvons être rasé en 20 minutes.
....
JCROIPLU n'y croit toujours pas.
Je me démerde et je les emmerde tous.
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Lvys
« « Bonjour, Je remplacerais ..//.. c'est Champagne, porte jarretelle et petit fours comme dirait Monsieur Pignon) » »
J’imagine B. Arnault ou V. Bolloré en porte jarretelle.
Et je reconnais que cela m’amuse assez.
Merci pour ce bon moment.
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Bonjour,
Je remplacerais RIPOLIN par VASELINE.
Terme plus neutre et beaucoup plus adéquat en ces temps de disette (enfin pour les pauvres la Disette..pour les autres...c'est Champagne, porte jarretelle et petit fours comme dirait Monsieur Pignon)
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L’INSEE écrit :
« En 2023, près de 10 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté en France. L’Insee dresse un tableau sans appel dans son dernier rapport : 15,4 % de la population française métropolitaine était concernée, un chiffre inédit depuis la création de l’indicateur en 1996. ..//.. 650.000 personnes de plus qu’en 2022 ."
Eh ben moi je dis que L’INSEE ment !
Dans la sphère gouvernementale il est dit :
Nous avons sauvé l’industrie.
Nous avons sauvé l’emploi.
Nous avons sauvé le pouvoir d’achat.
Nous avons combattu l’inflation,
Etc….
Elle est là, la vérité.
L’INSEE, c’est caca-boudin !
Et pourtant, L’INSEE (organe étatique) n’a pas pour habitude de tacler le Gvt.
Faut pas qu’on s’plaigne : dans la zone EU. on trouve le même scénario (selon les chiffres même fournis par l’E.U., et non pas par un "complotiste" quelconque). Et ce depuis plus de 40 ans au moins.
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Et voilà encore une vérité pas bonne à entendre par le camp politique, les politiques gouvernementales et l'accroissement de la dette nationale ne se servent en rien l'intérêt des petites gens.
On voit d'ailleurs que l'on est même dans un schéma de corrélation négative : plus de politiques gouvernementales + plus de dettes = plus de pauvres.
Contrairement encore à ce qui est dit, en politique, on se donne bonne conscience et on cherche surtout à se passer une couche de "Ripolin" quand on parle des pauvres…
Et d'ailleurs, les budgets annuels des aides allouées ont de plus en plus de mal à trouver une place de financement.
Et comme les bas revenus sont la majorité en France, faut pas s'tonner d'un taux abstention qui va de record en record.
L'indice de Gini va faire une syncope en lisant le rapport…
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En 2023, près de 10 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté en France. L’Insee dresse un tableau sans appel dans son dernier rapport : 15,4 % de la population française métropolitaine était concernée, un chiffre inédit depuis la création de l’indicateur en 1996. Et ce n’est pas seulement une question de pourcentage : ce sont 650.000 personnes de plus qu’en 2022 qui ont basculé dans la pauvreté en un an.
Ce seuil est fixé à 1.288 euros par mois, mais la moitié des personnes pauvres vivent avec moins de 1.041 euros mensuels. L’étude exclut même les sans-abri et les logements mobiles, ce qui rend le bilan encore plus glaçant. En parallèle, les inégalités se creusent, fragilisant durablement la cohésion sociale.
Certains profils ressortent nettement dans l’étude de l’Insee. En tête, les chômeurs : 36,1 % d’entre eux vivent sous le seuil de pauvreté. Viennent ensuite les familles monoparentales (34,3 %), les personnes seules (20,3 %) et les travailleurs indépendants (19,2 %).
La situation est particulièrement préoccupante pour les enfants : 21,9 % des moins de 18 ans vivent dans la pauvreté, soit une hausse de 1,5 point en un an. En cause, la hausse de 2,9 points du taux de pauvreté chez les familles monoparentales. L’arrêt des aides exceptionnelles de 2022 et la baisse des revenus chez les ménages modestes ont aggravé cette tendance.
Le niveau de vie médian a progressé en 2023 pour atteindre 25.760 euros annuels, mais cette hausse est loin d’être uniforme. L’indice de Gini, qui mesure les inégalités, grimpe à 0,297, frôlant son record de 2011 (0,298).
La répartition des niveaux de vie illustre ce déséquilibre :
Ce contraste s’explique par des revalorisations du SMIC en janvier et mai 2023, une conjoncture favorable à l’emploi salarié, mais aussi une hausse des rendements financiers, dont seuls les plus aisés profitent réellement.
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