Trump rallume l'incendie douanier avec l'Europe : vers un choc à 50 %,

C'était un plaisir de discuter pour un week-end de fête, avec aujourd'hui une fermeture de la bourse aux Etats-Unis.

Mais le temps des discussions reste quand même bien limité. Le proverbe "Reculer pour mieux sauter" est toujours là pour nous inciter à la prudence.

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Droits de douane contre l'Europe : Trump reporte l'échéance au 9 juillet

Le président américain a accepté de laisser plus de temps aux négociations commerciales avec Bruxelles après un coup de fil d'Ursula von der Leyen.

Encore une fois on annonce le pire, puis on se ravise et on repart dans les discussions ....!!!

Un feuilleton qui n'a pas fini de nous balloter et de nous empêcher de faire des plans sur le futur ...

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"La réponse de l'Europe devrait être simple fin du pétro dollars , désormais le pétrole sera payé en Euros pour L'Europe ...l'économie Américaine repose sur le pétro dollars ... c'est l'effondrement de leurs économie à ne pas en douter !!!"

La fin du pétro dollar est déjà effective, l'obligation de vendre son pétrole par l'Arabie saoudite en dollar était fixée pour une durée de 50 ans.

Raison pour laquelle Obama est allé en Arabie Saoudite à la fin de l'obligation pour montrer les grosses dents afin de pouvoir continuer de payer, de manière non exclusive, en dollars.

C'est pas habitude et par peur des pétrolières que les transactions en dollars continue.

Maintenant, il est probable que le taux de change dollar autres monnaies est en train de baisser, les détenteurs de dollars n'ont peut être plus de raison d'en conserver...

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La SEC peut suivre ce qu'elle veut aux EU les présidents sont intouchables. Il a déjà échappé à plusieurs condamnations.

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oullins oullins
23/05/2025 18:36:09
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Encore une "trumperie", il a du acheter des dizaine de lingots d'un kilo avant son message, puis va acheter des actions européennes après et dans 3 jours il ramène les droits à 10 % et il fait un aller retour transactions Bien joué le manipulateur.!

Je pense que la SEC et d'autres organismes us doit suivre comme le lait sur le feu les achats et ventes de TRUMP, de sa famille, de ses proches sur tous les produits financiers ( or, bourse etc ... )

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La réponse de l'Europe devrait être simple fin du pétro dollars , désormais le pétrole sera payé en Euros pour L'Europe ...l'économie Américaine repose sur le pétro dollars ... c'est l'effondrement de leurs économie à ne pas en douter !!!

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Encore une "trumperie", il a du acheter des dizaine de lingots d'un kilo avant son message, puis va acheter des actions européennes après et dans 3 jours il ramène les droits à 10 % et il fait un aller retour transactions Bien joué le manipulateur.!

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Je note : "En toile de fond, les Américains visent aussi l’abrogation des taxes sur le numérique et la reconnaissance des normes alimentaires américaines, souvent décriées pour leur laxisme "

Qu'il se faire f…outre.

Ses éructations sont destinées à faire monter la pression, je crois pas à ses manipulations. Et je crois qu'il sous-estime le pouvoir de nuisance des consommateurs sur les ventes de produits américains en Europe.

Même Google tremble actuellement pour son moteur de recherche qui en concurrence désormais avec les outils IA…

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ça baisse pas beaucoup

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La meilleure réponse :

le boycott des productions américaines et des produits fabriqués par des sociétés sous capitaux américains, la liste est longue...

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... et des actions baissent

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Wall Street ouvre dans 15 minutes et on va voir comment ça réagit à New-York avec ces nouvelles menaces de Trump. Pour le moment il est impossible de savoir ce qui peut arriver, sinon une grande confusion et une volatilité qui va sans doute augmenter.

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La tension commerciale entre les États-Unis et l’Union européenne connaît un nouveau pic. Vendredi 23 mai, Donald Trump a annoncé vouloir imposer, dès le 1er juin, une taxe de 50 % sur l’ensemble des produits européens entrant sur le territoire américain. Une déclaration fracassante publiée sur sa plateforme Truth Social, où il accuse l’UE de profiter depuis trop longtemps des États-Unis.

« Nos discussions ne vont nulle part », a-t-il martelé, qualifiant les barrières réglementaires, les taxes sur le numérique et les normes alimentaires européennes de « pratiques commerciales injustes ». Les marchés financiers n’ont pas tardé à réagir : le CAC 40 a chuté de près de 3 %, entraînant dans sa glissade Francfort, Milan et l’ensemble de l’indice Stoxx 600.

Ce regain de tension survient alors que les négociations transatlantiques peinent à progresser. Les États-Unis exigent des concessions unilatérales pour réduire leur déficit commercial, estimé à plus de 250 milliards de dollars. En retour, Bruxelles propose une approche mutuellement bénéfique : levée réciproque de certains droits de douane, reconnaissance des normes industrielles, et investissements croisés dans des secteurs clés comme l’énergie et l’intelligence artificielle.

Mais Washington reste inflexible. L’administration Trump juge l’offre européenne trop timide, notamment parce qu’elle ne comprend pas de réductions tarifaires unilatérales. En toile de fond, les Américains visent aussi l’abrogation des taxes sur le numérique et la reconnaissance des normes alimentaires américaines, souvent décriées pour leur laxisme.

Déjà sous le coup de droits de douane de 20 %, provisoirement abaissés à 10 % pour encourager le dialogue, les exportations européennes sont dans le viseur. Des produits comme l’acier, l’aluminium, les pièces automobiles, voire les semi-conducteurs et les produits pharmaceutiques, pourraient être touchés dans les semaines à venir.

L’Union européenne, de son côté, prépare sa riposte. Un arsenal de mesures de rétorsion visant 95 milliards d’euros d’exportations américaines, dont les avions Boeing et le whiskey bourbon, est prêt à être activé si aucun accord n’émerge.

Une réunion décisive entre les négociateurs Jamieson Greer et Maros Sefcovic est prévue à Paris dans les prochaines semaines. Elle pourrait constituer l’ultime chance d’éviter une escalade aux conséquences potentiellement ravageuses pour le commerce mondial et les relations transatlantiques.

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