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Les français se sont embourgeoisés avec de l'épargne . Maintenant il va falloir retrousser ses manches et prendre des risques pour gagner autant qu'avant à glander . Fallait bien que ça arrive .
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Encore une preuve de plus qui vient corroborer ce que je dénonce depuis plusieurs années : Nous ne sommes pas les auteurs de la dette, mais c’est à nous que l’on va imposer de la rembourser.
En surtaxant notre épargne. En taillant à la tronçonneuse dans le social (Santé, indemnisation chomage, congés payés , retraite, alloc familiales, suppression de jours fériés, augmentation du temps de travail, baisse des salaires, spoliation de la propriété immobiliaire….) sur-taxer, partout où ils pourront le faire.
Tout ceci est déjà en cours, par petites touches.
Et ne comptez pas sur nos z’élites pour cotiser du moindre centime de leur poche !
Depuis Giscard, ils nous ont tous trahi.
Ramener les mieux lotis au niveau des roumains : C’est la volonté de l’E.U. Ce que nous imposera le FMI, (qui prendra bientôt la main) histoire d’éloigner le plus possible les revendications et manifestations.
La seule façon de vous protéger ? Ce n’est pas le petit bout de papier que vous jetez dans une boite en plexiglass qui changera quoi que ce soit. (Souvenez-vous du référendum de 2004 ! )
Mettez vos capitaux à l’abri , hors de la zone E.U !).
Fuyez la France si vous le pouvez.
Quant à ceux qui, immanquablement, me traiteront de complotiste , de traitre, de je ne sais quoi d’autre, libre à eux de se faire tondre cuir et poil.
Moins ils resteront, plus cher ils auront à payer.
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Ils pensaient être à l’abri. Mais les retraités pourraient bientôt dire adieu à un avantage fiscal vieux de 1978. Le gouvernement envisage de supprimer l’abattement automatique de 10 % appliqué à leurs revenus lors de la déclaration d’impôt. L’objectif : combler un déficit public qui s’est envolé à 5,8 % du PIB en 2024. Un coup dur qui pourrait coûter cher à la moitié des retraités français, dont beaucoup basculeraient dans l’impôt pour la première fois.
Ce débat, relancé par Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, s’inscrit dans le cadre du projet de budget 2026. Interviewée par Le Parisien, elle déclare : « Ce n’est pas votre âge qui doit définir votre contribution, mais aussi les moyens dont vous disposez ». Une déclaration qui cible de front une niche fiscale jugée « aberrante » par le Medef. De quoi raviver les tensions entre générations… et creuser l’écart entre experts et syndicats.
Depuis près de cinquante ans, les retraités bénéficient d’un abattement de 10 % sur leurs revenus imposables, exactement comme les actifs qui, eux, déduisent leurs frais professionnels. Cette mesure, instaurée en 1978, visait à rétablir une certaine équité. Sauf que selon plusieurs voix au sein du gouvernement et du patronat, cet argument ne tient plus.
4,5 milliards d’euros par an. C’est ce que coûte cette niche fiscale à l’État, selon le président du Medef, Patrick Martin, qui qualifie ce dispositif de « contre-nature ». Pour lui, il est incompréhensible qu’un retraité soit exonéré au titre de frais professionnels qu’il n’a plus. Même son de cloche chez Gilbert Cette, président du Conseil d’orientation des retraites (COR), favorable à une suppression pure et simple.
Lire aussi : Fraude fiscale : 15 milliards d'euros à récupérer d'ici 2026 pour éviter d'augmenter les impôts
L’abattement, dans sa version actuelle, concerne 8,4 millions de retraités, soit la moitié de la population retraitée en France. L’impact serait loin d’être symbolique : pour certains, la suppression signifierait une hausse d’impôt nette, pour d’autres, l’entrée dans l’imposition après des années d’exonération.
La question est maintenant de savoir qui paiera vraiment plus et combien. Selon les calculs de l’UNSA-Retraités, qui monte au créneau, cette suppression alourdirait significativement la contribution fiscale de millions de personnes âgées, dont « tous ne sont pas riches », rappelle le syndicat.
Le débat, au-delà des chiffres, s’invite dans une fracture générationnelle croissante. « On ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement », insiste Amélie de Montchalin. L’implicite est clair : les retraités doivent aussi faire leur part dans un pays où les dépenses sociales explosent et les marges budgétaires se réduisent.
Reste à savoir si cette mesure franchira le cap du projet de loi de finances. Pour l’heure, les discussions se poursuivent dans le cadre du conclave sur les retraites, réunissant
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