L'UE suspend de 90 jours sa contre-attaque face aux droits de douane d

Je ne pense pas que Warren Buffet s'intéresse aux travaux de Duminil-Copin, médaillé Fiels (soit l'équivalent du prix Nobel de mathématiques qui n'existe pas), sur la percolation, les systèmes auto-bloquants sur les hexagones et les 3 couleurs pour les systèmes aléatoires.

A moins que...

Perso j'aurai approfondi le pile ou face au maxi de mes possibilités.

Mieux que Warren Buffet !!!

55% de gain moyen par an ! Avec une telle perf en 20 ans tu pourras racheter Tesla !

Ouaf ouaf ....

A l'inverse c'est excellent, c'est exactement la stratégie gagnante démonter par Anatol Rapoport ! Cela va faire plaisir à JCROIPLU

Ursula von der Leyen, Présidente de la commission européenne

L’Union européenne vient d'annoncer à son tour une suspension de 90 jours de ses contre-mesures douanières, initialement prévues en réponse aux droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium européens. Objectif affiché : « donner une chance aux négociations », selon Ursula von der Leyen. 

Les produits américains ciblés allaient des diamants aux fèves de soja, en passant par les motos, les bateaux de plaisance et les amandes californiennes. Des surtaxes allant de 10 % à 25 %, déjà prêtes à s’abattre sur les importateurs européens. Mais voilà que Bruxelles temporise, face à une volte-face tout aussi spectaculaire de la Maison-Blanche : Donald Trump a annoncé, mercredi, suspendre ses propres sanctions douanières à l’égard des produits européens.

Une riposte européenne suspendue… mais pas annulée

Derrière ce geste d’apaisement se cache une posture stratégique. Ursula von der Leyen l’a précisé sans détour : « Si les négociations ne sont pas satisfaisantes, nos contre-mesures entreront en vigueur. » Autrement dit, la trêve n’est que temporaire. Et le calendrier reste en embuscade.

Les premières taxes européennes étaient initialement prévues pour entrer en vigueur dès le 15 avril 2025. Une seconde vague de mesures devait ensuite être mise en place à la mi-mai. 

Ce sursis douanier pourrait-il déboucher sur un accord durable ? Trop tôt pour le dire. Mais l’UE a clairement laissé entendre qu’elle ne resterait pas passive si les États-Unis relançaient les hostilités.