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S'il n'y était plus suffira de dire que les Russes ou les Chinois l'ont hacké. Il y aura toujours des ravis pour le croire
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oui en effet sauf que personne n'est sûr qu'il y soit encore !! On parle de plus de 100 milliards je crois
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La confiance règne :
En Allemagne qui possèderait les deuxièmes plus importantes réserves d'or au monde, plusieurs voix s'élèvent pour rapatrier l'or stocké dans les coffres de Fort Knox.
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l'UE fera ce qu'on lui dit car sinon les US qui tiennent la BCE pourraient bien s'énerver!
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Quand on lit que Ruffin ne veut plus de Tesla en Europe, le pauvre gars n'a rien compris, il sait ou sont construites les Tesla en Europe, encore un qui ne connaît rien au dossier et ça veut gouverner la France, Oh pauvre !......
La LFI dans toute sa splendeur ....
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jamariuscky
« « Je me demande ce que la Hongrie fait en Europe. Sous marin Russo - Américain ? » »
Elle est la seule opposition que aucun « député européen » (pas un seul) n’est capable de faire montre. Le seul Gvt qui pense à son pays, que l’E.U. est un organisme totalitaire, une maffia.
manuborelli
« « pfff ils ont tapé fort. trump va trembler » »
Une fois de plus, l’E.U. affiche sa faiblesse. Et Trump sait qu’il peut la mener par le bout du nez, que l’E.U. s’écrasera.
L’E.U. n‘ayant pas grand chose à opposer , n’a d’autre ressource que de vendre les bons du trésor américain. Le seul levier. Mais pour cela , il faut en avoir les couilles .
Simple avis, et non....
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Il est temps de ressortir ce vieux dicton "Qui répond appond" !
In fine, le gagnant ne sera certainement pas l'Union Européenne car elle a déjà trop longtemps tergiversé pour répliquer.
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Oué ça, c'est du boulot made in faux derch.
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pfff ils ont tapé fort. trump va trembler
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pire sino russo américano resto du mondo complotisto version macrono !
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C’est un coup de semonce économique. Dès le 15 avril 2025, l’Union européenne appliquera des droits de douane de 25 % sur une large gamme de produits américains. Une décision prise à une écrasante majorité des États membres, seule la Hongrie s’est opposée, en réponse aux taxes imposées par l’administration Trump sur l’acier et l’aluminium. Après la Chine et le Canada, c’est donc au tour de l’UE de contre-attaquer, attisant les tensions commerciales à l’échelle planétaire.
La liste des produits ciblés est aussi stratégique que symbolique : maïs, blé, riz, volaille, bois, motos, vêtements, mais aussi fil dentaire et produits cosmétiques. Ces mesures européennes frapperont l’équivalent de 21 milliards d’euros d’importations américaines, contre 26 milliards d’euros d’exportations européennes de métaux désormais lourdement taxées par Washington. Si Bruxelles temporise encore sur sa riposte face aux nouvelles taxes de 20 % sur presque tous les produits européens, et aux 25 % prévus sur l’automobile, la mécanique d’escalade semble bel et bien enclenchée.
Officiellement, la manœuvre européenne se veut équilibrée. "Ces contre-mesures peuvent être suspendues à tout moment, si les États-Unis acceptent une issue négociée juste", précise la Commission européenne. Mais dans les faits, les Vingt-Sept ont choisi de frapper fort, sans attendre la réponse américaine à leurs appels au dialogue. Et ils ont surtout visé des produits emblématiques d’États stratégiques sur le plan électoral, notamment les bastions républicains de Donald Trump.
Lire aussi : Croissance en berne, chômage en hausse : Ce que les taxes de Trump vont couter à la France
Le bourbon du Kentucky, un temps dans le viseur, a finalement été retiré de la liste après des pressions de la France et de l’Italie, inquiets d’éventuelles représailles contre le vin et les spiritueux européens. Ce retrait tactique reflète l’ambivalence européenne : volonté de fermeté, mais aussi crainte d’un engrenage incontrôlable.
Les premières salves de ces représailles douanières s’appliqueront le 15 avril, puis le 16 mai et le 1er décembre, selon les catégories de produits. Le comité commerce des 27 États membres a entériné cette répartition progressive mercredi après-midi.
Du côté de Washington, le tempo s’accélère. Depuis le 2 avril, les États-Unis imposent des droits de douane "réciproques" de 20 % sur quasiment tous les produits européens, en plus des 25 % sur l’aluminium et l’acier. À cela s’ajoutent des surtaxes de 104 % sur les importations chinoises, qui ont précipité une nouvelle chute des marchés financiers.
Pékin n’a pas tardé à répondre : la Chine appliquera dès le 10 avril des droits de 84 % sur les produits américains, aggravant la nervosité sur les places boursières. L'UE, jusque-là plus prudente, semble donc contrainte de suivre le mouvement au risque de perdre en crédibilité.
Selon des diplomates européens cités par Reuters, la liste initiale des produits visés a été ajustée après consultation des États membres, pour éviter des effets boomerang sur certains secteurs sensibles. Mais l’unité européenne reste fragile : la Hongrie, proche du président Trump, a dénoncé une politique "contre-productive", susceptible de pénaliser les consommateurs européens eux-mêmes.
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