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bravo exactement ils se sont gaves
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Dans quelques décennies les historiens nous expliquerons que DT était une taupe du KGB .
Pour un blaireau avec un nom de canard ça la fout mal!
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Tesla, la Magnifique déchue, a perdu 800 milliards de dollars en Bourse en moins de trois mois
L'entreprise fondée par le très controversé Elon Musk est désormais la seule des Sept Magnifiques à ne plus faire partie du Top 10 des plus grosses entreprises américaines. Elle avait déjà été boutée hors du premier décile mondial lundi, séance au cours de laquelle sa valorisation a fondu de plus de 100 milliards de dollars en Bourse. Au total, ce sont 800 milliards qui sont partis en fumée depuis le pic historique de décembre. Jamais un boycott n'avait eu de telles répercussions. C'est aussi la première fois qu'une crise éthique secoue une « mega cap ».
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Et le Nasdaq se casse la gueule pour de bonnes raisons …
Plus c'est gros, mieux ça passe…
Les gestionnaires d'actifs français pour le compte de particuliers et de grandes fortunes ne vont pas venir s'en vanter de celle-là. Ils avaient quasi tous du Nvidia… A la SG, on m'avait même proposé de souscrire à un nouveau produit de capitalisation basé sur l'IA : il a dû bien commencer l'année 2025 le produit…
Au pays des grosses capitalisations, on peut s'appeler Nvidia et être une grosse bourse…
"Le lancement de DeepSeek a soulevé des doutes sur le modèle économique de ses concurrents, ainsi que sur le rôle de la clé de voûte de Nvidia dans la course à l'IA. Cet évènement, qualifié de "moment Spoutnik" a ainsi fait fondre de 593 milliards de dollars (566,16 milliards d'€uros) la valeur boursière de Nvidia le 27 janvier 2025. Il s'agit tout bonnement de la parte la plus importante jamais enregistrée par une entreprise américaine en une seule séance. " (Investir N° du 1er mars 2025)
Depuis, l'action Nvida a repris seulement autour de 7%…
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Wall Street devrait bientôt offrir un gros nez bien rouge à K'lown Donald pour récompenser sa prestation "Scénic Renew" hors de propos…
; )
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Soutenir Donald Trump n’a pas été un pari gagnant pour certains milliardaires. Depuis son investiture, plusieurs grands noms de la tech et du luxe ont vu leurs fortunes fondre sous l'effet des turbulences boursières. Voici ceux qui ont payé le prix fort.
Le 20 janvier dernier, Donald Trump prêtait serment en tant que 47e président des États-Unis. Parmi les invités de marque, plusieurs milliardaires qui, malgré des divergences passées, avaient choisi d’apporter leur soutien à l’homme d’affaires devenu chef d’État. Elon Musk, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg ou encore Bernard Arnault faisaient partie de ce cercle rapproché.
Mais à peine deux mois plus tard, la facture est salée pour certains. Les marchés boursiers ont violemment réagi aux hésitations du président américain sur sa politique commerciale, notamment en matière de tarifs douaniers. Résultat : une perte colossale de 300 milliards de dollars pour cinq figures majeures de la finance et de la technologie.
Le patron de Tesla et SpaceX détient le record absolu de la plus grande perte individuelle. Alors que sa fortune culminait à 700 milliards $ en décembre, elle a fondu de plus de 50 % en raison de la chute vertigineuse de l’action Tesla. Le cours boursier du constructeur automobile a plongé de 15 % en une seule journée, impacté par des ventes en berne et des craintes de taxes supplémentaires sur les importations.
L’ex-PDG d’Amazon, autrefois adversaire de Trump, avait opéré un rapprochement stratégique après l’élection, allant jusqu’à verser 1 million $ US pour financer l’investiture du président. Mais la Bourse n’a pas suivi : le titre Amazon a chuté de 14 %, entraînant une perte de 41,8 milliards $ pour Bezos. Un coup dur pour celui qui, malgré tout, reste l’un des hommes les plus riches du monde.
Le cofondateur de Google, Sergey Brin, a lui aussi fait partie des invités de la cérémonie présidentielle. Mais cette proximité avec le chef d’État n’a pas empêché l’action d’Alphabet de reculer. Après la publication d’un rapport financier jugé décevant, le titre a perdu plus de 7 %, effaçant 31,7 milliards $ de la fortune de Brin.
Après une année 2024 record, le PDG de Meta a vu son empire vaciller. Son entreprise, qui avait enregistré une hausse de 19 % en janvier, a finalement effacé tous ses gains et affiche désormais une baisse de 7,2 milliards $. Comme d’autres géants de la tech, Meta subit les secousses des incertitudes économiques et des potentielles sanctions contre les monopoles numériques.
Le magnat du luxe français, à la tête de LVMH, a lui aussi vu son patrimoine chuter de 7,2 milliards $. La menace de nouvelles taxes américaines sur les produits de luxe européens pèse sur le marché, provoquant un repli des investisseurs. L’action du groupe, qui avait fortement progressé après l’élection, a finalement corrigé une grande partie de ses gains.
La principale source d’instabilité vient des allers et retours de Trump sur sa politique commerciale. D’abord favorable à des taxes sur les importations pour protéger l’industrie américaine, il a ensuite tempéré ses déclarations, avant de revenir à la charge avec de nouvelles menaces tarifaires. Ces revirements incessants ont plongé les marchés dans le doute, amplifiant la volatilité et provoquant des pertes massives chez les grandes entreprises technologiques et industrielles.
En parallèle, la crainte d’une récession se renforce. Les trois principaux indices américains – https://www.abcbourse.com/cotation/DJIAx" target="_blank">Dow Jones, Nasdaq et S&P 500 – ont reculé de 2 à 4 % en quelques semaines. Un climat d’incertitude qui pousse certains investisseurs à se désengager des valeurs technologiques les plus exposées.
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Forum de discussion Wall Street 30
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