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Une belle blague de coco en effet !
à force de prendre de la poudre on voit où ça mène!
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Huit heures par jour vissé à ma machine
Une vie transparente soudée à mon usine
La casquette de travers, j’avais la classe ouvrière
C’était toute ma vie, mon droit à la misère
Jusqu’à cette lettre qui dit encore merci
C’est ça ou RMI dans un faubourg de Varsovie
J’ai rien contre la Pologne à part peut-être un pape ou
deux
Mais dans ma ville du nord le gris du décor est plus bleu
Bientôt ce sera la Chine
https://www.youtube.com/watch?v=VvFWGkz6CF4
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7500€ de revenus (salaire) annuel c'est 625€/mois soit 4875 rmb au cours actuel du change.
Je paye mieux mes employés chinois que ça...
C'est catastrophique!
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oui des autoentrepreneurs parce que personne ne veut les salarier (livreurs, installateur fibre optique, batiment ...). une grande précarité que seule l'immigration accepte ... et c'est pour cela d'ailleurs qu'elle n'est pas freinée ...
Le ministre de l'Economie Eric Lombard estime que la France a "besoin d'une immigration de travail"
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Em même temps, 1,1 millions d'entreprises unipersonnelles ou presque, c'est loin de couvrir l'hécatombe en cours.
Importation du modèle américain : si vous voulez travailler vous devez créer votre emploi...
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En effet, c'est une information en trompe l’œil.
Rien n'est précisé quant aux fermetures des 67000 entreprises dont on peut supposer que bon nombre d'entre elles avaient des salariés, alors que ces "nouvelles entreprises" sont des auto-entrepreneurs, générant 7500 euros de revenus (salaire) annuel.
C'est la généralisation de la paupérisation.
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1,1 million de nouvelles entreprises ont vu le jour en 2024, un chiffre record qui reflète un dynamisme entrepreneurial inédit en dépit des incertitudes économiques.
Selon les données publiées par l’Insee, les créations d’entreprises ont progressé de 5,7 % par rapport à 2023, atteignant un total impressionnant de 1,111 million de nouvelles entités enregistrées. Cette croissance s’inscrit dans un contexte économique morose, marqué par des incertitudes politiques et des signaux contrastés sur la santé du tissu productif français.
Parmi les nouvelles structures, les micro-entrepreneurs dominent largement, représentant près de deux tiers des créations, avec une augmentation de 7,3 % en un an. Ce régime attire grâce à sa simplicité administrative et son accès facilité, selon les organisations d’auto-entrepreneurs. Malgré cet engouement, 64 % des micro-entrepreneurs ne souhaitent pas faire évoluer leur activité, selon une enquête du Crédoc et de l’Urssaf.
Les chiffres révèlent également que le chiffre d’affaires moyen des micro-entrepreneurs reste modeste. En 2022, 89 % d’entre eux ne dépassaient pas les 34 400 euros de CA, et leurs revenus annuels moyens étaient estimés à seulement 7 500 euros.
En 2024, certains secteurs se sont particulièrement démarqués :
En revanche, la crise immobilière a ralenti les créations dans ce domaine, avec une baisse de près de 5 % des nouvelles entreprises.
Malgré cette dynamique, le revers de la médaille n’est pas négligeable. 65 764 entreprises ont fait faillite en 2024, soit une hausse de 16,8 % par rapport à l’année précédente, selon la Banque de France. Cette augmentation est partiellement attribuée à un effet de rattrapage après les années de soutien pendant la pandémie.
Les radiations ont également augmenté : 310 000 entreprises ont cessé leur activité en 2024, un chiffre en hausse de 9 % par rapport à 2023. Les secteurs les plus touchés par les défaillances incluent l’immobilier (+31,2 %), le transport (+30,7 %), et la finance et assurance (+26,9 %).
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